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shazam
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La colère Un amiral : « Vous avez droit à trois colères par an, dont deux simulées... » « La colère est-elle vraiment un péché ? N'y a-t-il pas de colère juste et même nécessaire ? Jésus n'a-t-il …Plus
La colère

Un amiral : « Vous avez droit à trois colères par an, dont deux simulées... »
« La colère est-elle vraiment un péché ? N'y a-t-il pas de colère juste et même nécessaire ? Jésus n'a-t-il pas chassé les marchands du temple à coups de fouet ?
La Bible ne parle-t-elle pas à certains moments de la colère de Dieu ? Pourtant dans l'évangile de saint Matthieu (Mt 5, 22), Jésus dit à ses disciples : « Quiconque se met en colère contre son frère en répondra au tribunal. »
La question de la colère n'est donc pas simple à aborder dans la perspective chrétienne. »
Le 3° des péchés capitaux, de la série sur les péché capitaux. Mars 2013
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Extraits :

- Il y a des moments où l’on sent qu’il faut se mettre en colère, mais il faut faire très attention car le dérapage est très facile et on fait une colère qui devient un péché. C’est ce que les jeunes appellent ‘péter un câble’.

- Si la colère consiste en violence contre son frère, je contribue à détruire et à diviser l’humanité au lieu de construire ce que Jésus nous donne comme mission et qu’IL me confie comme Chrétien, comme baptisé ; réunifier cette humanité qui a été complètement dispersé par le péché.

- On voit Jésus lui-même se mettre en colère contre le mal, mais la colère devient dangereuse lorsqu’elle déborde dans la violence ne serait-ce qu’en traitant son frère d’imbécile ; on est dans le contraire de l’amour, de la charité qui restaure l’humanité abîmé.

- Les colères de Jésus ont toujours une valeur pédagogique, une valeur éducative : il veut faire comprendre à ses interlocuteurs quelque chose qu’ils ne comprendront que par cette colère.

- Une personne est venue me voir en me disant : « Vous avez remarqué ? Je n’ai pas communié ! C’est parce que je m’étais vraiment mis en colère contre quelqu’un, or elle n’était pas calmée ». J’ai trouvé ça remarquable je me suis dit : voilà quelqu’un qui a l’amour du prochain.
Moi je dirais au contraire d’aller communier pour recevoir cette nourriture qui en vous, va devenir source de paix, et cela répare et restaure.


- Quelqu’un qui ne connaît pas encore la foi, qui ne connaît pas encore Dieu, je comprends très bien qu’il soit en colère (…) souvent ses colères se terminent en larmes.

– D’ailleurs Jésus lui-même quand il se met en colère, il pleure, après.

- « Le trésor de colère (Romains 2,5-8) », c’est le trésor de Son amour qui est vainqueur de la colère.
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- Une personne est venue me voir en me disant : « Vous avez remarqué ? Je n’ai pas communié ! C’est parce que je m’étais vraiment mis en colère contre quelqu’un, or elle n’était pas calmée ». J’ai trouvé ça remarquable je me suis dit : voilà quelqu’un qui a l’amour du prochain.
- Moi je dirais au contraire d’aller communier pour recevoir cette nourriture qui en vous, va devenir source de …Plus
- Une personne est venue me voir en me disant : « Vous avez remarqué ? Je n’ai pas communié ! C’est parce que je m’étais vraiment mis en colère contre quelqu’un, or elle n’était pas calmée ». J’ai trouvé ça remarquable je me suis dit : voilà quelqu’un qui a l’amour du prochain.

- Moi je dirais au contraire d’aller communier pour recevoir cette nourriture qui en vous, va devenir source de paix, et cela répare et restaure.
L'effroi
Après une accès de colère plus ou moins (in)justifié, on peut s'inquiéter de pas être provisoirement en état de grâce, ou du moins de ne pas voir les dispositions de paix et de sérénité intérieures nécessaires pour recevoir le Saint Sacrement. Personnellement je me serais abstenu dans la crainte de voir un éventuel ressentiment perturber l'action de grâces recommandée à chaque fois que nous …Plus
Après une accès de colère plus ou moins (in)justifié, on peut s'inquiéter de pas être provisoirement en état de grâce, ou du moins de ne pas voir les dispositions de paix et de sérénité intérieures nécessaires pour recevoir le Saint Sacrement. Personnellement je me serais abstenu dans la crainte de voir un éventuel ressentiment perturber l'action de grâces recommandée à chaque fois que nous recevons la Sainte Communion.
On n'est pas obligé de communier à chaque messe.
mietteO
Merci shazam, Je viens de capter la différence entre indignation, une forme d'autoprotection de la conscience, qui serais comme une étincelle, un point de départ pour la conscience de choses mauvaises pour nous et nos semblables, afin d'en demander réparation ou justice.
La première fois pour moi c'était une indignation de voir un type regarder au dessus des porte des toilettes des filles en …Plus
Merci shazam, Je viens de capter la différence entre indignation, une forme d'autoprotection de la conscience, qui serais comme une étincelle, un point de départ pour la conscience de choses mauvaises pour nous et nos semblables, afin d'en demander réparation ou justice.

La première fois pour moi c'était une indignation de voir un type regarder au dessus des porte des toilettes des filles en 5éme, je suis sortie de suite pour lui demander de partir, mais il m'a collé une belle claque, mon sang n'a fait qu'un tour, le garçon est partis en courant, mais j'étais première en sprint dans ma classe, Je lui suis tombée dessus comme la misère sur le monde, un pion est arriver à m'arrêter, et ma amener à l'infirmerie pour me calmer je tremblais de rage, quand au garçon il a eu un bras cassé.
C'est la seule fois ou J'ai piquer une colère, j'avais douze ans. C'est la seule fois aussi ou qq que je ne connaissait pas me frappait.

Quand à la colère un des attribue de la justice de dieu, pour nous qui ne somme que des poussières(rapport au père et même rapport à son amour surhumain ),cela sert à justifier les mensonges que nous nous faisons à nous même en les imposant au autres par la force.ex: Les alcooliques homme ou femme malade pique souvent des énormes colères après leurs femme leurs gosses, leurs employer, mais jamais à une personne indépendante qui serais de force physique égal ou qui ne serais pas dépendant d'un salaire à la fin du moi.