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Irapuato
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le 13 janvier Sainte Marguerite Bourgeoys.

breski1 le 13 janvier Sainte Marguerite Bourgeoys
Irapuato
👍 dvdenise 🤗
dvdenise
Merci beaucoup pour ce bel exposé Irapuato. C'est aussi elle qui a inventé la tire Ste Catherine que l'on mangeait quand on était jeune. On en retrouve encore à quelques endroits, mais quel dommage d'avoir changé la recette, elle n'est plus aussi bonne qu'avant.
Irapuato
Sainte Marguerite Bourgeoys, née à Troyes en France le 17 avril 1620 et décédée le 12 janvier 1700 à l'âge de 79 ans àVille-Marie au Québec, est la fondatrice de l'enseignement du français à Montréal. Elle a été canonisée le 31 octobre 1982 par Jean-Paul II.
Marguerite Bourgeoys était la septième d'une famille de treize enfants aux parents dévoués: Abraham Bourgeoys, son père et …Plus
Sainte Marguerite Bourgeoys, née à Troyes en France le 17 avril 1620 et décédée le 12 janvier 1700 à l'âge de 79 ans àVille-Marie au Québec, est la fondatrice de l'enseignement du français à Montréal. Elle a été canonisée le 31 octobre 1982 par Jean-Paul II.
Marguerite Bourgeoys était la septième d'une famille de treize enfants aux parents dévoués: Abraham Bourgeoys, son père et Guillemette Garnier, sa mère. Elle fut baptisée en l'église Saint-Jean le jour de sa naissance. Le 7 octobre 1640, pendant une procession en l’honneur de Notre-Dame du Rosaire une grâce de Dieu l’invite à un engagement spirituel plus profond ; elle désigne ce moment comme celui de sa « conversion ».
À la suite de cette expérience, elle devient membre d’une congrégation externe qui regroupe des jeunes filles pour les former à la prière et à l’enseignement dans les milieux pauvres. La directrice de cette association est alors la sœur de Paul de Chomedey Sieur de Maisonneuve, fondateur de Ville-Marie en 1642. Lors de son voyage en France, en 1653, il visite sa sœur et lui expose le besoin de la colonie : une institutrice laïque pour instruire les enfants des colons et des Indiens. On lui présente Marguerite Bourgeoys qui accepte cette tâche.
La traversée dura trois mois ; le voilier était misérable et la peste éclata à bord, si bien que Marguerite doit se faire infirmière. Vers la mi-novembre 1653, elle arrive à Ville-Marie, s’occupe de tenir la maison du gouverneur et « montre gratuitement aux filles à lire, les instruisant tantôt dans un endroit, tantôt dans un autre, n’en ayant point encore de fixé pour cela. » Charles de Glandelet

L’école – En 1658, M. de Maisonneuve lui donne l’étable de pierres de la Commune : elle la nettoie pour en faire une école. Par une échelle extérieure, elle peut accéder au colombier, qui devient un dortoir pour elle, pour ses futures compagnes, les premières sœurs de la Congrégation de Notre-Dame de Montréal qu'elle venait de fonder et les filles à marier qui arrivent de France.
Aujourd’hui, on situe l’emplacement de l’étable-école au 50 ouest de la rue Saint-Paul, dans le Vieux-Montréal. On trouve une plaque commémorative sur un mur de la rue Saint-Dizier, au sud-ouest de la rue Saint-Paul.
Une chapelle – Dès 1655, elle projette la construction d’une chapelle de pèlerinage en dehors de l’enceinte du fort. Des difficultés retardent la réalisation de ce rêve. La chapelle ne sera terminée qu’en 1678, et abritera la petite statue miraculeuse donnée par le Baron de Fancamp en 1672. Cette statue est encore vénérée dans la chapelle Notre-Dame de Bon-Secours. Au sous-sol, on peut visiter les fondations de la chapelle primitive et d’autres vestiges reliés à l’histoire du site.
Une communauté d’éducatrices – Rapidement, Marguerite a besoin d’aide pour son travail d’éducation. Elle retourne en France et ramène quatre compagnes en 1659. La vie communautaire qu’elles mènent alors constitue l’origine de sa communauté. En 1672, lors de son deuxième voyage en France, elle recrute six nouvelles compagnes. Elle rapporte aussi les Lettres patentes signées par le roi Louis XIV : c’est la charte civile des « Filles séculières de la Congrégation de Notre-Dame ». L’approbation de Monseigneur de Laval viendra en 1676.
Les Filles du Roi – Lors de ses voyages, elle se voit confier les Filles du Roi, des jeunes filles destinées à fonder des familles pour le peuplement de la colonie. Elle ira en « quérir » d’autres à l’arrivée des navires de France. Elle les accueille chez elle, les prépare à la vie qui les attend dans ce dur pays, les garde jusqu’à leur mariage. Elle achète même une autre maison, en 1663, afin de loger ces femmes. Rien d’étonnant à ce qu’on l’ait appelée « la mère de la colonie ».
Une école ménagère – En 1668, Marguerite organise l’exploitation d’une ferme à la Pointe Saint-Charles. Selon la tradition, elle y accueille les Filles du Roi venues de France de 1668 à 1673. C’est probablement là aussi qu’elle établit l’ouvroir de « La Providence », véritable école ménagère avant la lettre. On y donnait une éducation ayant pour but d’inculquer aux jeunes femmes d’âge post-scolaire les compétences dont elles avaient besoin pour gagner leur vie. La Maison Saint-Gabriel existe toujours.
Les progrès de l’oeuvre – Marguerite Bourgeoys fait un troisième voyage en France en 1680, pour obtenir de nouveaux renforts et défendre le caractère non cloîtré de sa communauté. L’évêque de Québec, Mgr de Laval, alors à Paris, ne lui permet pas de ramener des recrues. Ce sont les filles du pays qui contribueront à la progression de son œuvre. Au recensement de 1681, la Congrégation compte déjà 7 canadiennes parmi les 18 sœurs. Outre les missions de Pointe Saint-Charles et de la Montagne, elle a déjà ouvert des écoles à Champlain, à Pointe-aux-Trembles et à Lachine. Les années suivantes, les sœurs iront à Sainte-Famille, Île d’Orléans, à Québec et à Château-Richer.
L’accueil des Amérindiennes – En 1676, les Sulpiciens établissent à la Montagne, une mission pour les Amérindiens. C’est près de cet endroit que Paul de Chomedey Sieur de Maisonneuve avait élevé la première croix sur le Mont-Royal – croix qui avait été relevée par les soins de Marguerite Bourgeoys. Marguerite reçut deux jeunes femmes iroquoises dans la congrégation : Marie-Thérèse Gannensagouas qui devint enseignante à la mission, et Marie Barbe Attontinon.
En 1685, Monsieur de Belmont, p.s.s. fait bâtir un fort avec quatre tours de pierres. La tour ouest sert d’école, et la tour est devient la résidence des sœurs. Ces deux tours existent toujours devant le Grand Séminaire de Montréal, au 2065 ouest, rue Sherbrooke.
Les dernières années de sa vie
En 1693, Marguerite Bourgeoys cède sa place comme supérieure ; Marie Barbier qui la remplace, est la première montréalaise à s’être jointe à la communauté en 1678, à l’âge de quinze ans. À l’infirmerie, c’est une vie de solitude qui commence. Mais Marguerite aura encore à intervenir pour sauvegarder la vie « voyagère » non cloîtrée de sa congrégation. Enfin, en 1698, Mgr de Saint-Vallier approuve les Règles de la communauté, et les sœurs prononcent leurs vœux en sa présence. Marguerite est la quatrième à signer son acte de profession. Entre octobre 1697 et juin 1698, elle écrit une autobiographie et une sorte de testament spirituel. Ce qui nous a été conservé de ces textes révèle un exceptionnel amour de Dieu et du prochain, le désir d’imiter la Vierge Marie dans le mystère de la Visitation et dans son rôle auprès des apôtres après la résurrection de Jésus.
Le 31 décembre 1699, alors qu'une jeune sœur était à l'article de la mort, mère Marguerite demanda au Seigneur de prendre sa vie en échange. Au matin du 1er janvier 1700, la jeune sœur en question avait recouvré la santé et Mère Marguerite fut prise d'une violente fièvre; elle souffrit pendant douze jours, puis mourut le 12 janvier 1700. Elle avait dès alors acquis une réputation de sainte. Un peu après qu’elle fut morte, « Pierre LeBer fut prié de « tirer » le portrait de notre chère Mère. » Ce portrait est exposé au Musée Marguerite-Bourgeoys.
Vénérations et culte

Tombeau de Marguerite Bourgeoys dans la chapelleND de Bonsecours à Montréal
Dès le lendemain de sa mort, un prêtre écrivait : « Si les saints se canonisaient comme autrefois par la voix du peuple et du clergé, on dirait demain la messe de sainte Marguerite du Canada. »
De 1766 à 2005, ses restes mortels ont été inhumés à la maison mère de la Congrégation de Notre-Dame de Montréal. Depuis le 24 avril 2005, ils ont été déposés dans l’autel latéral gauche de la chapelle Notre-Dame de Bon-Secours, située dans le Vieux-Montréal.
Deux miracles furent reconnus par l’Église, avant sa béatification par le pape Pie XII le 12 novembre 1950.
Le 2 avril 1982, le pape Jean-Paul II a promulgué le décret de miracle pour une guérison attribuée à son intercession et, le puis canonisée le 31 octobre suivant, il canonisait, à Rome, celle que l’Église universelle invoque maintenant : « SAINTE MARGUERITE BOURGEOYS ».
Trois siècles d'évolution et de rayonnement
L’action éducative et apostolique de Marguerite Bourgeoys se perpétue grâce à l’engagement de ses filles. Les sœurs de la Congrégation de Notre-Dame de Montréal oeuvrent dans les champs d’activités les plus divers : l’école, la promotion sociale, la pastorale familiale, paroissiale ou diocésaine. On les retrouve dans plusieurs provinces du Canada. Un éclatement missionnaire les a conduites aux États-Unis en 1860, au Japon en 1932, en Amérique latine en 1962, au Cameroun en 1970 et en France en 1981. Depuis 20 ans, une expérience tente de faire revivre la « congrégation externe » établie par Marguerite Bourgeoys. Les « Associé(e)s » sont des laïques qui s’inspirent de la spiritualité de Marguerite Bourgeoys pour orienter leur vie chrétienne et leur engagement dans l’Église.
fr.wikipedia.org/wiki/Marguerite_Bourgeoys
4 autres commentaires de Irapuato
Irapuato
Santa Margherita (Marguerite) Bourgeoys Fondatrice
12 gennaio
Marguerite Bourgeoys nacque presso Troyes, antica capitale della Champagne (Francia), il 17 aprile 1620, sestogenita di dodici figli. Sotto la guida dei genitori, commercianti di ceri, la ragazza crebbe giudiziosa e generosa. Nella città natale frequentò soltanto le scuole elementari. Nelle sue “Memorie” la santa attestò la sua precoce …Plus
Santa Margherita (Marguerite) Bourgeoys Fondatrice
12 gennaio

Marguerite Bourgeoys nacque presso Troyes, antica capitale della Champagne (Francia), il 17 aprile 1620, sestogenita di dodici figli. Sotto la guida dei genitori, commercianti di ceri, la ragazza crebbe giudiziosa e generosa. Nella città natale frequentò soltanto le scuole elementari. Nelle sue “Memorie” la santa attestò la sua precoce vocazione: “Fin dalla mia prima gioventù il Signore mi aveva dato una particolare inclinazione per adunare delle fanciulle della mia età”. Con esse infatti non solo giocava, ma cuciva e pregava. A diciannove anni, alla morte della mamma, Margherita dovette assumere la direzione di casa, senza badare ai sacrifici, ma lasciandosi dominare dal rispetto umano e dalla vanità femminile. Nella prima domenica di ottobre del 1640, prendendo parte ad una processione, Margherita passò davanti al portale dell'abbazia e sollevò lo sguardo verso una massiccia statua della Madonna. Per un istante il volto della Vergine le apparve vivo e sorridente ed il suo animo le sembrò liberarsi dai sentimenti di vanità: considerò per sempre tale episodio come “la sua conversione”. Per corrispondere alla grazia ricevuta Margherita entrò nella Congregazione delle Suore di Nostra Signora, fondata da San Pietro Fourier, ed emise i voti di povertà e castità. Per purificarsi dei suoi peccati con una vita di penitenza tentò di entrare prima in un monastero di clarisse e poi di carmelitane, ma non vi riuscì. Monsignor Jendret, sua guida spirituale, le propose di fondare una congregazione di religiose che lavorassero nel mondo a favore dei poveri, dei malati e degli ignoranti, pur vivendo in comunità. L'impresa però momentaneamente si arenò e Margherita riprese la sua abituale vita di preghiera e di assistenza a poveri e malati.
Il giorno dell'Assunta del 1650, prostrata in adorazione davanti al Santissimo, accanto all'ostia vide Gesù Bambino che le sorrideva senza nulla dire. Pensò allora di moltiplicare le sue buone opere per compiacerlo maggiormente.Un giorno giunse in visita il governatore del Canada Paul Chomedey de Maisonneuve, considerato dai contemporanei “un vero cavaliere, forte e coraggioso come un leone e pio come un monaco”, francese di origine, che propose a Margherita di trasferirsi a Montreal per aprire una scuola elementare. La santa, essendogli apparso quell'uomo in sogno la notte precedente in compagnia di San Francesco, non esitò a rendersi subito disponibile, qualora i suoi superiori avessero acconsentito. Nonostante i parenti cercarono di trattenerla in patria, al principio del 1653 si imbarcò, senza denaro né vestiario, non prima di aver legalmente rinunciato alla sua parte di eredità.Il viaggio durò ben tre mesi e fu tragico: a bordo scoppiò la peste e Margherita divenne infermiera, medico e sacerdote.Nel borgo di Ville-Marie, nell'isola di Montreal, accanto al forte ove alloggiò Margherita, sorgeva il piccolo ospedale fondato nel 1645 dalla Serva di Dio Jeanne Mance. Le due eroine della carità divennero presto amiche e collaboratrici. Occupazione principale della santa divenne far scuola ai bambini dei coloni, ma non mancò di fare da massaia in casa del governatore, l'infermiera nell'ospedale e soccorritrice dei soldati più poveri. Scortata da trenta uomini fece ricostruire sulla vicina montagna la grande croce che Maisonneuve aveva eretta in adempimento di un voto e che gli irochesi avevano abbattuto. Liberò il governatore da gravi tentazioni, esortandolo a compiere il voto di castità. Infine ideò la costruzione della prima chiesa in muratura dedicata alla Madonna.Dopo quattro anni di intensa attività Margherita riuscì ad aprire la prima scuola nel 1658. Moltiplicatosi sempre più il lavoro, la santa pensò bene di tornare in Francia alla ricerca di giovani desiderose di servire Dio nel prossimo. Nei suoi piani futuri vi erano un piccolo istituto per i bambini indigeni, un'associazione per le fanciulle ed un circolo per le giovani da marito, allo scopo di prepararle a divenire buone madri di famiglia. In francia trovò quattro ragazze disposte a seguirla ed aiutò inoltre l'amica Giovanna Mance a trovare rinforzi per le sue opere.
Le opere di Madre Bourgeoys andarono sempre più consolidandosi e ciò le parve una conferma da parte della Provvidenza che necessitasse la fondazione della Congregazione di Notre-Dame di Montreal. Le donazioni terriere effettuate nel 1662 dal governatore costituirono un'ulteriore conferma.Le suore che Margherita sognava dovevano essere libere dalla clausura per dedicarsi ad opere di misericordia spirituale. Il beato vescovo De Laval la comunità a darsi all'istruzione ed all'educazione della gioventù. Per sollecitare l'autorizzazione reale e raccogliere nuove vocazioni, la fondatrice si recò nuovamente in Francia nel 1670. Aiutata dalla “Compagnia di Montreal” ottenne di essere ricevuta dal re Luigi XIV che le concesse tutto ciò che desiderava. L'unica preoccupazione della Madre non restò che dare una formazione religiosa al suo istituto, come annotò nelle sue Memorie: “Ci è sempre sembrato che un certo spirito di umiltà, di semplicità, di docilità, d'ubbidienza, di povertà, di distacco da tutte le cose e d'abbandono nella divina Provvidenza dovesse essere il vero spirito della Congregazione”. Un programma di vita così evangelico non poté che far prosperare l'Istituto e le annesse attività. Monsignor de Laval, eletto nel frattempo primo vescovo di Quèbec, rimase tanto soddisfatto da non esitare ad erigere a Congregazione religiosa le Suore di Notre-Dame nel 1676.
La neonata congregazione si diffuse presto anche in altre località ed iniziarono a fiorine vocazioni anche in Canada. Alla fondatrice premeva ormai dotarla di regole definitive, per poi dimettersi dalla carica di superiora generale, ritenendosi incapace di governare.Un violento incendio che distrusse la casa abitata dalle suore però la dissuase, l'opera rifiorì velocemente grazie alle donazioni ricevute ed il nuovo vescovo di Quèbec affidò alle suore come campo di apostolato anche l'isola di Orléans e tutta la zona circostante Quèbec.Per l'età avanzata, il logorio fisico e lo stato d'animo angustiato, la fondatrice il 19 settembre 1693 radunò la comunità ed annunziò le sue dimissioni con straordinaria umiltà: “Ora non si tratta più di parlare di me che come una miserabile, la quale per non essere stata fedele all'impegno che mi era stato confidato così amorosamente, merita grandissimi castighi, che aumenteranno ancora per la pena che la mia rilassatezza vi ha fatto soffrire. Vi chiedo perdono e l'aiuto delle vostre preghiere. Metteteci voi rimedio in quanto vi sarà possibile. Bisogna cambiare prontamente superiora, e quella che sarà eletta faccia osservare esattamente le regole, anche le più minuziose, perché senza di ciò, che cosa ci farebbe di più in questa comunità di quello che fanno le persone del mondo, che vivono cristianamente? Mantenetevi pertanto in quello spirito che dovete avere, che è di povertà, di mortificazione, di obbedienza e d'abbandono nelle mani di Dio”.Suor Margherita visse i suoi ultimi anni serena e in perfetta conformità al volere di Dio, piena di riconoscenza nei suoi confronti. Il Signore le concesse la gioia di vedere approvata nel 1698, dopo quarant'anni di attesa, la sua congregazione così come l'aveva concepita: oltre ai tre voti, le suore avrebbero emesso anche quello di istruire ed educare la gioventù femminile. Confinata nell'infermeria, la fondatrice si preparò alla morte cucendo, pregando ed esortando le consorelle alla fedeltà al dovere, alla carità ed all'osservanza della Regola. Morì il 12 gennaio 1700.
Il pontefice Pio XII la beatificò il 12 novembre 1950, per essere poi canonizzata da Giovanni Paolo II 31 ottobre 1982.
Autore: Fabio Arduino
Irapuato
Santa Margarita Bourgeoys (17 de abril de 1620 en Troyes, Francia en la provincia de Champagne - 12 de enero de 1700 en Ville-Marie en Canadá) fue la fundadora de la Congregación de Nuestra Señora de Montréal.
Era la séptima de una familia de 12 hijos de padres devotos: Abraham Bourgeoys, su padre y de Guillemette Garnier, su madre. Bautizada en la iglesia de San Juan el día de su nacimiento. …Plus
Santa Margarita Bourgeoys (17 de abril de 1620 en Troyes, Francia en la provincia de Champagne - 12 de enero de 1700 en Ville-Marie en Canadá) fue la fundadora de la Congregación de Nuestra Señora de Montréal.
Era la séptima de una familia de 12 hijos de padres devotos: Abraham Bourgeoys, su padre y de Guillemette Garnier, su madre. Bautizada en la iglesia de San Juan el día de su nacimiento.
Infancia y partida a Canadá
A la edad de 20 años, Magarita es "tocada fuertemente" el día de la fiesta de Rosario. En el transcurso de una procesión, la mirada de una estatua de la Santísima Virgen la toca particularmente. Se sentía diferente desde ese instante: no le quedaba más que encontrar como consagrarse a Dios. Su candidatura fue rechazada en al menos un claustro, por una razón indeterminada. Se une eventualmente a la comunidad externa de la Congrégation de Notre-Dame de Troyes. Esta comunidad de enseñantes enclaustradas recibían a señoritas para enseñarles. Margarita crea entonces una comunidad externa en 1640. Llega a ser rápidamente la prefecta, que durara así por 13 años, hasta conocer a Sieur de Maisonneuve, gobernador de Montreal en la Nueva Francia (Canadá) quien estaba en Francia en busca de personas para fortalecer su colonia en el Nuevo Mundo. Invita a Margarita a acompañarlo a Canadá para enseñar en la ciudad de Ville-Marie (antiguo nombre de Montreal). Durante su travesía, la cual duró 3 meses en un navío mediocre para este tipo de viaje, se presenta la peste y Margarita se integra como enfermera. Hace 3 viajes en Francia pero permanece la mayor parte de su vida en América del Norte.
Sus obras
Después de haber dado la parte de su herencia que sus padres le habían dejado a otros miembros de su familia, se dirige a Canadá en 1653. Comienza la construcción de la Capilla de Notre-Dame-de-Bon-Secours inspirada por la Virgen María quien le dijo un día: Ve y nunca te abandonaré. Abre su primera escuela en 1658 en la rue (calle) Saint-Paul, en un terreno sobre el cual se encontraba un viejo establo. Regresa a Francia en 1659 para reclutar a otras institutrices y trae con ella otras 3 acompañantes las cuales fueron las primeras Religiosas de la Congrégation de Notre-Dame la cual acababa de fundar. En 1663, se encarga de recibir a las Hijas del Rey que Luis XIV había reclutado para poblar la colonia.
Margarita Bourgeoys y sus acompañantes ayudaron a los colonos de Ville Marie durante la hambruna, abrieron una escuela para instruir a los jóvenes a tener una casa y una granja. La congregación contaba con 18 religiosas de las cuales 7 eran nativas de Canadá. Dos amerindias se unieron también a la congregación. Recibe de Luis XIV una carta civil y del Beato Francisco de Laval una carta canoníca en 1676. Después del incendio de la casa de la Congregación en 1683, un nuevo convento es construido entre 1684 y 1686.
En 1693, la madre Margarita da la dirección de la congregación a Marie Barbier, primera nativa canadiense que se unió a la orden. Este mismo año, Jeanne Le Ber le ayuda en la construcción de una nueva capilla. La orden religiosa que Margarita Bourgeoys había fundado, recibió al fin la aprobación eclesiástica en 1698 y, habiendo finalmente pronunciado sus votos a la edad de 78 años, Margarita pasa sus últimos años en oración y escribiendo sus memorias.
El 31 de diciembre de 1699, mientras una joven religiosa estaba en articulo mortis, la madre Margarita pide al Señor de tomar su vida en el lugar de ella. La mañana del 1 de enero de 1700, la joven religiosa en cuestión había recobrado al salud y la madre Margarita fue presa de una violenta fiebre; sufrirá durante 12 días y después muere el 12 de enero de 1700.
Beatificación - Canonización
Declarada venerable en 1878, beata por Pío XII el 12 de noviembre de 1950 y después canonizada el 31 de octubre de 1982 por Juan Pablo II. Es venerada como santa en la Iglesia Católica Romana y por la Iglesia Anglicana de Canadá. Sus restos descansan en el Santuario de Notre-Dame-de-Bon-Secours en el Viejo Montréal.
Véase también
Anexo:Santos canonizados por Juan Pablo II
es.wikipedia.org/wiki/Margarita_Bourgeoys
Irapuato
Margareta Bourgeoys
italienischer Name: Marguerite
Gedenktag katholisch: 12. Januar
gebotener Gedenktag in Kanada
Name bedeutet: die Perle (griech.)
Ordensgründerin
* 17. April 1620 in Troyes in Frankreich
† 12. Januar 1700 in Montréal in Kanada
Pierre Le Ber: Portrait, 1700, im Musée Marguerite-Bourgeoys in Montréal
Marguerite Bourgeoys war Mitglied des Konvents Notre Dame in ihrer HeimatstadtPlus
Margareta Bourgeoys
italienischer Name: Marguerite
Gedenktag katholisch: 12. Januar
gebotener Gedenktag in Kanada
Name bedeutet: die Perle (griech.)
Ordensgründerin
* 17. April 1620 in Troyes in Frankreich
† 12. Januar 1700 in Montréal in Kanada

Pierre Le Ber: Portrait, 1700, im Musée Marguerite-Bourgeoys in Montréal
Marguerite Bourgeoys war Mitglied des Konvents Notre Dame in ihrer Heimatstadt, durfte aber zuhause leben. 1653 ging sie mit dem neuen Gouverneur nach Montréal in Kanada, wo sie sich in der Ausbildung und Erziehung Jugendlicher engagierte, Schulen aufbaute und die Schwesternschaft Notre Dame de Villemarie, Unsere Lieben Frau von Villemarie, gründete. Die Kongregation hatte Schwestern aus Frankreich, dem französischen Kanada und Indianerinnen der Irokesen, wuchs rasch und wurde 1671 vom König und 1698 vom Papst bestätigt.
Kanonisation: Margareta wurde 1950 selig- und 1982 heiliggesprochen.
Biographisch-Bibliographisches Kirchenlexikon
www.heiligenlexikon.de/BiographienM/Margareta_Bourg…
Irapuato
January 12 Saint Marguerite Bourgeoys (1620-1700)
“God closes a door and then opens a window,” people sometimes say when dealing with their own disappointment or someone else’s. That was certainly true in Marguerite’s case. Children from European as well as Native American backgrounds in seventeenth-century Canada benefited from her great zeal and unshakable trust in God’s providence.
Born the …Plus
January 12 Saint Marguerite Bourgeoys (1620-1700)
“God closes a door and then opens a window,” people sometimes say when dealing with their own disappointment or someone else’s. That was certainly true in Marguerite’s case. Children from European as well as Native American backgrounds in seventeenth-century Canada benefited from her great zeal and unshakable trust in God’s providence.
Born the sixth of 12 children in Troyes, France, Marguerite at the age of 20 believed that she was called to religious life. Her applications to the Carmelites and Poor Clares were unsuccessful. A priest friend suggested that perhaps God had other plans for her.
In 1654, the governor of the French settlement in Canada visited his sister, an Augustinian canoness in Troyes. Marguerite belonged to a sodality connected to that convent. The governor invited her to come to Canada and start a school in Ville-Marie (eventually the city of Montreal). When she arrived, the colony numbered 200 people with a hospital and a Jesuit mission chapel.
Soon after starting a school, she realized her need for coworkers. Returning to Troyes, she recruited a friend, Catherine Crolo, and two other young women. In 1667 they added classes at their school for Indian children. A second trip to France three years later resulted in six more young women and a letter from King Louis XIV, authorizing the school. The Congregation of Notre Dame was established in 1676 but its members did not make formal religious profession until 1698 when their Rule and constitutions were approved.
Marguerite established a school for Indian girls in Montreal. At the age of 69, she walked from Montreal to Quebec in response to the bishop’s request to establish a community of her sisters in that city. By the time she died, she was referred to as the “Mother of the Colony.” Marguerite was canonized in 1982.

Comment:

It’s easy to become discouraged when plans that we think that God must endorse are frustrated. Marguerite was called not to be a cloistered nun but to be a foundress and an educator. God had not ignored her after all.

Quote:

In his homily at her canonization, Pope John Paul II said, “...in particular, she [Marguerite] contributed to building up that new country [Canada], realizing the determining role of women, and she diligently strove toward their formation in a deeply Christian spirit.” He noted that she watched over her students with affection and confidence “in order to prepare them to become wives and worthy mothers, Christians, cultured, hardworking, radiant mothers.”

www.americancatholic.org/Features/Saints/saint.aspx