Les "larmes" du genou : comment abuser de la crédulité populaire. Une autre supercherie grossière de la folie Medjugorje, où comment faire prendre des vessies pour des lanternes !Plus
Les "larmes" du genou : comment abuser de la crédulité populaire.
Une autre supercherie grossière de la folie Medjugorje, où comment faire prendre des vessies pour des lanternes !
Une autre supercherie grossière de la folie Medjugorje, où comment faire prendre des vessies pour des lanternes !
Extrait du site Medjugorje sans masques, par Marco Corvaglia
À Medjugorje il y a le phénomène des gouttes d'eau qui, comme je l'ai constaté moi-même sur place, sortent constamment de fissures présentes sur les jambes (et spécialement la droite) de la statue en bronze du Christ Ressuscité.
Les fidèles les considèrent comme des "larmes" (légendaires sont les bruits qui circulent à Medjugorje …Plus
Extrait du site Medjugorje sans masques, par Marco Corvaglia
À Medjugorje il y a le phénomène des gouttes d'eau qui, comme je l'ai constaté moi-même sur place, sortent constamment de fissures présentes sur les jambes (et spécialement la droite) de la statue en bronze du Christ Ressuscité.
Les fidèles les considèrent comme des "larmes" (légendaires sont les bruits qui circulent à Medjugorje à propos de présumées analyses scientifiques sur ce sujet, dont personne ne peut jamais dire par qui et où elles ont été faites et publiées !) et font la queue pour pouvoir les toucher et en imbiber des objets personnels, rosaires ou pièces de tissu avec l'image de la Vierge vendues exprès dans de nombreux magasins sur place.
Diverses sont aussi les légende relatives à la date du début du phénomène (naturellement, il ne s'agit pas de dates choisies au hasard mais de dates aussi "significatives" qu'évidemment inconciliables l'une avec l'autre).
Observons à présent une vidéo présente sur la Toile (Voir vidéo)
La statue en bronze du Christ Ressuscité, créée par l'artiste slovène Andrej Ajdic, est creuse et contient à l'intérieur, pour des motifs de stabilité, du béton perméable. Elle a été placée dans l'espace derrière l'église Saint-Jacques de Medjugorje à l'automne 1998, alors que cet espace n'était pas encore aménagé, équipé et planté. Eh bien, la "lacrymation du genou" a commencé seulement ensuite : "Depuis 2001, des gouttes d'eau en forme de larmes ont commencé à couler du genou droit." (Since 2001, there has been water dripping in the shape of tears from the right knee of the statue), écrit le "Marist Messenger", n° 11, décembre 2006 - janvier 2007, p. 16.
Au delà du fait que toutes les gouttes ont naturellement la forme de larmes, celles-là ont commencé à couler après la réalisation de l'installation hydraulique enterrée autour du Christ Ressuscité, qui sert à arroser le pré à l'anglaise environnant.
Pour être plus précis, l'espace aménagé autour de la statue, voulu par le curé, le frère Ivan Sesar, fut ensuite inauguré à Pâques 2002 par le nouveau curé, frère Branko Radoš. À l'été 2001, on commença cependant la "phase un", qui prévoyait le pavage de l' "octogone interne", la construction de sièges en pierre, la réalisation d'une surface verte autour de la statue et, naturellement, avant tout, l'installation hydraulique enterrée (la phase deux prévoyait la pose des stations du Chemin de Croix).
Les points d'où sortent les gouttes se révèlent simplement ce que, dans le jargon technique, on nomme "criques" : en fait des fissures qui apparaissent avec le temps et doivent souvent leur origine à des défauts de fusion du bonze.
À Medjugorje il y a le phénomène des gouttes d'eau qui, comme je l'ai constaté moi-même sur place, sortent constamment de fissures présentes sur les jambes (et spécialement la droite) de la statue en bronze du Christ Ressuscité.
Les fidèles les considèrent comme des "larmes" (légendaires sont les bruits qui circulent à Medjugorje à propos de présumées analyses scientifiques sur ce sujet, dont personne ne peut jamais dire par qui et où elles ont été faites et publiées !) et font la queue pour pouvoir les toucher et en imbiber des objets personnels, rosaires ou pièces de tissu avec l'image de la Vierge vendues exprès dans de nombreux magasins sur place.
Diverses sont aussi les légende relatives à la date du début du phénomène (naturellement, il ne s'agit pas de dates choisies au hasard mais de dates aussi "significatives" qu'évidemment inconciliables l'une avec l'autre).
Observons à présent une vidéo présente sur la Toile (Voir vidéo)
La statue en bronze du Christ Ressuscité, créée par l'artiste slovène Andrej Ajdic, est creuse et contient à l'intérieur, pour des motifs de stabilité, du béton perméable. Elle a été placée dans l'espace derrière l'église Saint-Jacques de Medjugorje à l'automne 1998, alors que cet espace n'était pas encore aménagé, équipé et planté. Eh bien, la "lacrymation du genou" a commencé seulement ensuite : "Depuis 2001, des gouttes d'eau en forme de larmes ont commencé à couler du genou droit." (Since 2001, there has been water dripping in the shape of tears from the right knee of the statue), écrit le "Marist Messenger", n° 11, décembre 2006 - janvier 2007, p. 16.
Au delà du fait que toutes les gouttes ont naturellement la forme de larmes, celles-là ont commencé à couler après la réalisation de l'installation hydraulique enterrée autour du Christ Ressuscité, qui sert à arroser le pré à l'anglaise environnant.
Pour être plus précis, l'espace aménagé autour de la statue, voulu par le curé, le frère Ivan Sesar, fut ensuite inauguré à Pâques 2002 par le nouveau curé, frère Branko Radoš. À l'été 2001, on commença cependant la "phase un", qui prévoyait le pavage de l' "octogone interne", la construction de sièges en pierre, la réalisation d'une surface verte autour de la statue et, naturellement, avant tout, l'installation hydraulique enterrée (la phase deux prévoyait la pose des stations du Chemin de Croix).
Les points d'où sortent les gouttes se révèlent simplement ce que, dans le jargon technique, on nomme "criques" : en fait des fissures qui apparaissent avec le temps et doivent souvent leur origine à des défauts de fusion du bonze.