Abbé Cekada : Entretien avec J. Bourbon de Rivarol
Source : Tradinews L’abbé Anthony Cekada a publié en 2010 une étude sur la nouvelle messe, intitulée Work of Human Hands, A Theological Critique of the Mass of Paul VI, aux éditions PhilotheaPress …Plus
Source : Tradinews
L’abbé Anthony Cekada a publié en 2010 une étude sur la nouvelle messe, intitulée Work of Human Hands, A Theological Critique of the Mass of Paul VI, aux éditions PhilotheaPress, disponible depuis le site www.SGGResources.org. Traduit en français, l’ouvrage est en cours d’édition en France. Quatre ans plus tôt, en 2006, feu Serge de Beketch avait invité l’abbé Cekada dans son Libre Journal sur Radio Courtoisie pour s’entretenir sur son étude érudite concernant l’invalidité des nouveaux sacres conciliaires de 1968.
RIVAROL : Pouvez-vous nous dire comment l’idée d’écrire un ouvrage sur la nouvelle messe vous est venue ? N’y a-t-il pas déjà une bibliographie abondante à ce sujet ?
Abbé Anthony CEKADA : Si bien sûr, mais j’ai vraiment écrit pour répondre à un besoin. J’avais 14 ans lorsque j’assistai aux changements apportés à la liturgie après Vatican II. J’en fus profondément choqué. Cette nouvelle liturgie me frappait par son manque de révérence, la messe n’était plus …Plus
L’abbé Anthony Cekada a publié en 2010 une étude sur la nouvelle messe, intitulée Work of Human Hands, A Theological Critique of the Mass of Paul VI, aux éditions PhilotheaPress, disponible depuis le site www.SGGResources.org. Traduit en français, l’ouvrage est en cours d’édition en France. Quatre ans plus tôt, en 2006, feu Serge de Beketch avait invité l’abbé Cekada dans son Libre Journal sur Radio Courtoisie pour s’entretenir sur son étude érudite concernant l’invalidité des nouveaux sacres conciliaires de 1968.
RIVAROL : Pouvez-vous nous dire comment l’idée d’écrire un ouvrage sur la nouvelle messe vous est venue ? N’y a-t-il pas déjà une bibliographie abondante à ce sujet ?
Abbé Anthony CEKADA : Si bien sûr, mais j’ai vraiment écrit pour répondre à un besoin. J’avais 14 ans lorsque j’assistai aux changements apportés à la liturgie après Vatican II. J’en fus profondément choqué. Cette nouvelle liturgie me frappait par son manque de révérence, la messe n’était plus …Plus
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JeanBaptiste
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Même si l'abbé Cekada a certaines connaissances sur le sujet, il a omis de nombreux éléments sur la réforme liturgique :
1°) Le fait que le texte publié dans la Constitution apostolique de 1969 ne soit pas le même que celui que Paul VI avait signé.
2°) Le fait que toute la secrétairerie d'État était aux mains de la maçonnerie et que tous les documents signés passaient par là (beaucoup feraient …Plus
Même si l'abbé Cekada a certaines connaissances sur le sujet, il a omis de nombreux éléments sur la réforme liturgique :
1°) Le fait que le texte publié dans la Constitution apostolique de 1969 ne soit pas le même que celui que Paul VI avait signé.
2°) Le fait que toute la secrétairerie d'État était aux mains de la maçonnerie et que tous les documents signés passaient par là (beaucoup feraient bien de s'en rappeler).
3°) Le fait que ce soit le sosie de Paul VI, et non le vrai pape, qui ait déclaré que la nouvelle messe était obligatoire.
etc,etc.
Quant aux "déformations des propos du pape", si l'abbé Cekada avait lu Theodor Kolberg, il aurait compris que les discours publiés dans l'Osservatore Romano n'étaient même pas ceux que Paul VI prononçait en public, comme l'ont constaté les pèlerins qui ont enregistré en direct avec magnétophone les discours, et qui les ont transmis à M. Kolberg ; l'abbé Cekada avait donc raison dans sa position passée, et il a tort dans sa position présente.
1°) Le fait que le texte publié dans la Constitution apostolique de 1969 ne soit pas le même que celui que Paul VI avait signé.
2°) Le fait que toute la secrétairerie d'État était aux mains de la maçonnerie et que tous les documents signés passaient par là (beaucoup feraient bien de s'en rappeler).
3°) Le fait que ce soit le sosie de Paul VI, et non le vrai pape, qui ait déclaré que la nouvelle messe était obligatoire.
etc,etc.
Quant aux "déformations des propos du pape", si l'abbé Cekada avait lu Theodor Kolberg, il aurait compris que les discours publiés dans l'Osservatore Romano n'étaient même pas ceux que Paul VI prononçait en public, comme l'ont constaté les pèlerins qui ont enregistré en direct avec magnétophone les discours, et qui les ont transmis à M. Kolberg ; l'abbé Cekada avait donc raison dans sa position passée, et il a tort dans sa position présente.
Simon André
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"Pendant longtemps, j’ai défendu l’autorité de Paul VI. J’étais de ceux qui disaient que l’on déformait les propos du 'pape', qu’il était mal entouré, mal obéi. Mais c’était s’aveugler."
> Non, ce n'était pas s'aveugler. Les meilleurs témoignages, ceux de Louis Bouyer et de Mgr Harambillet, prouvent que Paul VI, non seulement a été trompé par son entourage, mais a été frappé, drogué et …Plus
"Pendant longtemps, j’ai défendu l’autorité de Paul VI. J’étais de ceux qui disaient que l’on déformait les propos du 'pape', qu’il était mal entouré, mal obéi. Mais c’était s’aveugler."
> Non, ce n'était pas s'aveugler. Les meilleurs témoignages, ceux de Louis Bouyer et de Mgr Harambillet, prouvent que Paul VI, non seulement a été trompé par son entourage, mais a été frappé, drogué et remplacé par un sosie. Il a d'abord été remplacé de façon intermittente de 1972 à 1975, puis de façon définitive de 1975 à 1978.
> Louis Bouyer, qui était fortement impliqué dans les questions liturgiques, a témoigné du fait que les changements viennent de Bugnini et non de Paul VI.
> Non, ce n'était pas s'aveugler. Les meilleurs témoignages, ceux de Louis Bouyer et de Mgr Harambillet, prouvent que Paul VI, non seulement a été trompé par son entourage, mais a été frappé, drogué et remplacé par un sosie. Il a d'abord été remplacé de façon intermittente de 1972 à 1975, puis de façon définitive de 1975 à 1978.
> Louis Bouyer, qui était fortement impliqué dans les questions liturgiques, a témoigné du fait que les changements viennent de Bugnini et non de Paul VI.