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Peillon avoue qu'il veut tuer le catholicisme. VINCENT PEILLON est ministre de l'Education nationale ! 00:29 : "Il faut s'enfanter soi-même et donc faire le propre récit de sa naissance"; 02:19 : "On …Plus
Peillon avoue qu'il veut tuer le catholicisme.
VINCENT PEILLON est ministre de l'Education nationale !
00:29 : "Il faut s'enfanter soi-même et donc faire le propre récit de sa naissance"; 02:19 : "On ne peut pas faire une révolution uniquement dans la matière, il faut la faire dans les esprits. Or on a fait la révolution essentiellement politique, mais pas la révolution morale et spirituelle. Et donc on a laissé le moral et le spirituel à l'Eglise catholique. Donc il faut remplacer ça. [...] On ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique. Comme on ne peut pas non plus acclimater le protestantisme en France comme on l'a fait dans d'autres démocraties, il faut inventer une religion républicaine. Cette religion républicaine, qui doit accompagner la révolution matérielle, mais qui est la révolution spirituelle, c'est la laïcité. Et c'est pour ça d'ailleurs qu'au début du XXe siècle, on a pu parler de foi laïque, de religion laïque, et que la laïcité voulait …Plus
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Sisyphe
« Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des événements » Honoré de Balzac
Dans son « Essai sur les Mœurs », Voltaire a défini sans ambiguïté sa vision d'un pays bien comme il faut : c'est celui où « le petit nombre fait travailler le grand nombre, est nourri par lui, et le gouverne». Il importe donc à l'État d'avoir à …Plus
« Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse, puis l’histoire secrète, où sont les véritables causes des événements » Honoré de Balzac
Dans son « Essai sur les Mœurs », Voltaire a défini sans ambiguïté sa vision d'un pays bien comme il faut : c'est celui où « le petit nombre fait travailler le grand nombre, est nourri par lui, et le gouverne». Il importe donc à l'État d'avoir à sa disposition une masse docile de « gueux ignorants », autrement dit de prolétaires analphabètes « n'ayant que leurs bras pour vivre et constituant cette vile multitude » dont Thiers, ce voltairien, parlera en 1850 à son tour, « prévue par la nature pour assurer l'aisance de l'élite ». Auteur de « Représentants », dans l'Encyclopédie, Diderot précisera lui sans détours que les possédants seuls sont qualifiés pour un rôle national.
Je vous présente « Les Lumières » !
L’idée d’en finir avec la religion catholique n’est pas nouvelle…
Voltaire veut en finir avec le christianisme et ne s'en cache pas. « Là où douze faquins ont réussi (les apôtres, ces marins-pêcheurs, ces méprisables, ces gens de la tourbe) pourquoi six hommes de mérite (unissant leurs efforts) ne réussiraient-ils pas ? » La bande à Jésus a su lancer le christianisme ; d'Alembert, Diderot, d'Holbach, Grimm, Helvétius et lui-même, Voltaire, s'ils savent s'y prendre, sont tout à fait capables de détruire cette fable.
Réelle est l'influence des « Lumières » sur la Révolution et l'irréligion affirmée, offensive, militante, à la fin du XVIIIe siècle…
Le bien commun est remplacé par le profit… C’est la naissance de la République… : la société fondée sur le bien commun est remplacée par une société fondée sur le profit « pour tous »… ( le plus fort l'emporte ! ). La Révolution française et par suite la République est donc l’arrivée au pouvoir de ces traîtres à la Nation.

( Réfs : M. Henri GUILLEMIN )
fgm
La laïcité est la négation de toute religion et en particulier le catholicisme. Mieux vaudrait une laïcité a l américaine autorisant toutes les religions. Il n a rien compris. Dans le catholicisme, Dieu nous a crée Libres, libres de nos choix, de choisir entre le bien et le mal, de le suivre ou non, car Il nous aime. C est une religion d amour de tolerance et de liberté. La laïcité de Peillon …Plus
La laïcité est la négation de toute religion et en particulier le catholicisme. Mieux vaudrait une laïcité a l américaine autorisant toutes les religions. Il n a rien compris. Dans le catholicisme, Dieu nous a crée Libres, libres de nos choix, de choisir entre le bien et le mal, de le suivre ou non, car Il nous aime. C est une religion d amour de tolerance et de liberté. La laïcité de Peillon n a rien de tolerant!
Jésus est Dieu
Interview : Peut t-on être chrétien et franc-maçon ?
Interview avec Mgr Brincart - Évêque du Puy-en-Velay -
Au cours des dernières décennies, la Congrégation pour la doctrine de la foi a rappelé aux catholiques que l’appartenance à un mouvement maçonnique était contraire à la foi chrétienne. J’aimerais savoir pourquoi toutes ces réserves face à la Franc-maçonnerie. ?
Votre question est …Plus
Interview : Peut t-on être chrétien et franc-maçon ?
Interview avec Mgr Brincart - Évêque du Puy-en-Velay -

Au cours des dernières décennies, la Congrégation pour la doctrine de la foi a rappelé aux catholiques que l’appartenance à un mouvement maçonnique était contraire à la foi chrétienne. J’aimerais savoir pourquoi toutes ces réserves face à la Franc-maçonnerie. ?
Votre question est courageuse. Avant d’y répondre, je voudrais faire, en guise de préliminaire, les remarques suivantes :
1) Il arrive que les hommes soient bien meilleurs que les doctrines auxquelles ils adhèrent. Il faut s’en souvenir lorsque nous rencontrons des francs-maçons. En revanche, c’est toujours le contraire qui se produit lorsqu’il s’agit de l’Evangile. L’Evangile est plus grand que celui qui le professe. Nous comprenons dès lors pourquoi la première vertu chrétienne est celle de l’humilité.
2) Au cours d’un dialogue, il convient de rejoindre le cœur profond de son interlocuteur. Dans ce cœur, en effet, il y a des aspirations qu’une fausse doctrine ignorera. C’est encore le cas des francs-maçons.
3) Les origines historiques de la franc-maçonnerie sont obscures. Dans le cadre de notre émission, je ne puis m’attarder sur elles. Pour éclairer mon propos, il suffit de dire que la franc-maçonnerie, telle qu’elle apparaît au début du 18ème siècle, ne peut revendiquer sérieusement une filiation avec certaines corporations médiévales, par exemple, avec celle des tailleurs de pierres. De telles corporations, en effet, étaient d’inspiration chrétienne. Or les constitutions d’Anderson de 1723, texte de référence pour tous les francs-maçons, ne comportent plus la moindre référence au Dieu révélé en Jésus Christ, révélation reçue, gardée et transmise par l’Eglise fondée sur les apôtres envoyés par le Ressuscité prêcher au monde l’Evangile du Salut. Un orfèvre en la matière, Jacques Mitterrand - qu’il ne faut pas confondre avec son homonyme célèbre, François Mitterrand, l’affirme nettement dans un livre où il explique les principes fondamentaux de la franc-maçonnerie.
Et maintenant, j’en viens à la question souvent posée : "Peut-on être catholique et franc-maçon ?" Je réponds clairement : non ! La déclaration de la Congrégation pour la doctrine de la foi, déclaration engageant fortement l’autorité de l’Eglise, est sans ambiguïtés sur ce point. Elle est du 26 novembre 1983, signée par le cardinal Ratzinger, préfet de cette Congrégation et dit ceci : "On a demandé si le jugement de l’Eglise sur les associations maçonniques était changé étant donné que dans le nouveau code canonique, il n’en est pas fait mention expresse comme dans le Code antérieur. Cette Congrégation est en mesure de répondre qu’une telle circonstance est due aux critères adoptés dans la rédaction qui a été suivie aussi pour d’autres associations également passées sous silence parce qu’elles sont incluses dans des catégories plus larges.
Le jugement négatif de l’Eglise sur les associations maçonniques demeure inchangé parce que leurs principes ont toujours été considérés comme inconciliables avec la doctrine de l’Eglise et l’inscription à ces associations reste interdite par l’Eglise. Les fidèles qui appartiennent aux associations maçonniques sont en état de péché grave et ne peuvent accéder à la sainte communion. Les autorités ecclésiastiques locales n’ont pas compétence pour se prononcer sur la nature de ces associations maçonniques par un jugement qui impliquerait une dérogation à ce qui a été affirmé ci-dessus.
Le Souverain Pontife Jean-Paul II, dans l’audience accordée au cardinal Préfet a approuvé cette déclaration". Cette déclaration a été précédée par une autre, non moins claire, cette fois de la conférence épiscopale allemande. Faite en 1981, elle est cependant peu connue. C’est pourquoi j’invite mes auditeurs à la lire dans " la Documentation catholique " (n°18O7). On y développe longuement l’incompatibilité fondamentale entre la doctrine de la maçonnerie et les enseignements de l’Evangile.
Et qu’en disent les francs-maçons ?
La franc-maçonnerie reconnaît elle-même cette incompatibilité. J’en veux pour preuve ce que dit à ce sujet Paul Gourdeau, ancien grand maître du Grand Orient de France. Ecoutons son message : "Ce qu’il est aujourd’hui important de comprendre c’est que le combat qui se livre actuellement conditionne l’avenir, plus encore le devenir de la société.
Il repose sur l’équilibre de deux cultures : l’une fondée sur l’Evangile et l’autre sur la tradition historique d’un humanisme républicain. Et ces deux cultures sont fondamentalement opposées : ou la vérité est révélée et intangible d’un Dieu à l’origine de toute chose ou elle trouve son fondement dans les constructions de l’Homme toujours remises en question parce que perfectibles à l’infini. De cette bataille perpétuelle recommencée avec vigueur depuis quelques temps, Malraux disait hier que le 21ème siècle serait religieux ou ne serait pas. C’est à cette affirmation, c’est à ce défi qu’il nous appartient de répondre." (" Humanisme " n°193, octobre 1990).
Faire dire à la franc-maçonnerie ce qu’elle n’a jamais pensé, c’est à l’évidence faire preuve d’une naïveté nourrie d’ignorance, c’est confondre sentimentalisme et générosité. Mais Gustave Le Bon ne disait-il pas déjà : " Beaucoup d’hommes sont doués de raison, très peu de bon sens."
Sur quels points s’opposent l’Eglise catholique et la Franc-maçonnerie ?
J’en vois trois principaux :
A) La franc-maçonnerie prône le relativisme doctrinal. Autrement dit les vérités profondes concernant l’homme et sa destinée ne peuvent être connues avec certitude. A ce sujet, il n’y a donc ni vérité définitive ni vérité universelle. Le croyant, au contraire, affirme : " Jésus Christ est le Chemin, la Vérité et la Vie." Mais le croyant authentique ajoutera aussitôt : " Si en Jésus Christ, j’atteins la vérité, cette vérité, je la reçois ; ensuite je suis appelé à la connaître toujours plus ; enfin, ce que j’en connais, je ne le mets pas suffisamment en pratique. C’est pourquoi connaître la Vérité ne signifie pas la posséder, c’est bien plutôt Elle qui me possède ! "
Voici quelques conséquences de ce relativisme doctrinal :
a) La connaissance de l’Etre suprême est une connaissance si générale que tout homme peut se faire un dieu selon son idée. " Le grand architecte de l’univers " - comme on appelle Dieu dans la tradition maçonnique - est quelque chose d’indéfini, ouvert à toute compréhension. Autrement dit, chacun peut y introduire sa représentation de Dieu, le chrétien comme le musulman, le confucianiste comme l’animiste ou le fidèle de n’importe quelle religion. Pour le franc-maçon, " le grand architecte de l’univers " n’est pas un être au sens d’un Dieu personnel. C’est pourquoi, il suffit d’une " vive sensibilité religieuse " pour reconnaître son existence. Cette conception d’un Etre suprême, trônant dans un éloignement déiste, veut, bien entendu, saper à la base la foi catholique en Dieu et rendre vaine toute réponse de l’homme à Celui qui se révèle comme un Père plein d’amour et de miséricorde.
b) La franc-maçonnerie, d’une manière générale, refuse jusqu’à la possibilité d’une révélation divine. Certaines obédiences soutiennent que l’intelligence humaine peut affirmer l’existence de l’Etre suprême. Mais aucun franc-maçon n’acceptera jamais que Dieu ait parlé aux hommes, leur donnant une lumière venant des profondeurs de son Amour, une lumière confiée à l’Eglise pour être transmise fidèlement à tous les hommes.
Ajoutons que lorsque une révélation divine est considérée comme acceptable, une telle révélation ne passe en aucun cas par un magistère ecclésial. Elle est livrée à l’appréciation subjective de chacun. Il faut surtout souligner que la franc-maçonnerie verse dans un rationalisme typique du " Siècle des Lumières. " Un tel rationalisme est une infirmité intellectuelle. En effet, quiconque cherche la vérité, l’aime pour elle-même, sans jamais prétendre qu’elle provient de la seule raison humaine. Si la vérité attire seulement en tant que mesurée par l’homme, cette attraction ne cache-t-elle pas un grand orgueil ?
c) La franc-maçonnerie n’admet aucune morale objective et donc universelle. Selon un franc-maçon que je cite : "La morale est essentiellement contingente. Elle évolue". Nous saisissons mieux aujourd’hui les conséquences funestes d’un tel scepticisme.
B) La franc-maçonnerie refuse toute idée de salut. L’homme se construit par lui-même. Il n’a pas besoin de Dieu pour changer son cœur et trouver le bonheur. Il en va autrement pour le croyant. La foi lui découvre qu’en Jésus Christ, Dieu est venu parmi les hommes pour les sauver. " Dieu a tellement aimé le monde qu’il lui a envoyé son Fils". Ce salut consiste en une délivrance. C’est un salut de tout l’homme, proposé à tout homme. Jésus Christ sauve en particulier la liberté humaine, abîmée par le péché. Mais en Jésus Christ, la vie divine est aussi communiquée : c’est une vie de lumière et d’amour que "l’œil n’a pas vue et que l’oreille n’a pas entendu". L’homme est appelé à entrer en communion avec la Trinité divine. Autrement dit Jésus comble et même dépasse les aspirations les plus profondes du cœur humain.
L’opposition farouche de la maçonnerie au salut apporté en Jésus Christ, me fait penser à cette réflexion d’un grand écrivain de notre temps : "Le plus impressionnant aujourd’hui n’est pas que l’homme fasse le mal, c’est-à-dire se détruise et détruise les autres. Le plus effrayant est que l’homme veuille se passer de Dieu pour faire le bien". Pierre Simon, ancien Grand Maître de la Grande loge, le dit à sa manière : " L’homme est le point de départ de tout chose et de toute connaissance, il est sa propre référence. Seul aujourd’hui, il peut dire ce qui est bon pour l’homme."
C) Le secret maçonnique est quelque chose que l’Eglise n’a jamais accepté.
Sur ce point, il n’est pas nécessaire d’affabuler : l’existence de ce secret, reconnue par les francs-maçons eux-mêmes, porte gravement atteinte à la dignité de la personne humaine. Le secret maçonnique, en effet, empêche l’homme de s’engager consciemment et librement.
Evoquons brièvement quelques aspects de ce secret : un maçon n’a pas le droit de révéler à un " profane " l’identité de ses frères ; tout au plus peut-t-il - s’il le juge utile - déclarer son appartenance à la franc-maçonnerie.
Il ne peut pas non plus divulguer le contenu de certains travaux auxquels il a pris part au sein de son atelier ni faire connaître aux frères de grades inférieurs les mots de passe, signes ou symboles propres à son grade. Enfin, il existe un secret spécial, fruit d’une initiation aux formes douteuses. L’initiation est censée conduire à une révélation intérieure illuminant celui qui en est l’objet au fur et à mesure qu’il avance sur la voie de la connaissance.
A sa manière la franc-maçonnerie est donc une gnose " au nom menteur " (saint Irénée) avec une dimension occultiste très inquiétante. Ajoutons que les hauts gradés de la franc-maçonnerie présents dans une loge de la base ne révèleront jamais aux membres de cette loge leur " dignité". On a pu dire à juste titre que la franc-maçonnerie est une " superposition de loges secrètes ".
Pourtant, certains se revendiquent d’une double appartenance : à l’Eglise et à la Franc-maçonnerie ?
Je suis bien conscient que ce que je viens de dire ne plait pas à tout le monde. Je n’ignore pas non plus qu’un illustre jésuite, le père Riquet - pour ne pas le nommer - a défendu une position différente de celle de l’Eglise. Il l’a même fait connaître dans un livre publié peu de temps avant son décès. A titre personnel, j’ai de l’estime pour le père Riquet.
Je rends hommage à son courage pendant la deuxième guerre mondiale. C’est sans doute, un religieux exemplaire sous beaucoup de rapports. Mais à propos de la franc-maçonnerie, il s’est gravement trompé, probablement abusé par des amitiés nouées en des circonstances difficiles et par une bonne dose de naïveté. A ce propos, il est salutaire de se souvenir que si instruits que nous soyons, nous demeurons fragiles, exposés à de nombreuses erreurs. Un lecteur attentif découvre sans peine que le père Riquet fait preuve de beaucoup de crédulité, par exemple, lorsqu’il affirme que le symbolisme de la franc-maçonnerie peut conduire à la découverte de Jésus Christ !
En revenant à votre question initiale, je tiens à ajouter que les évêques, et moi le premier, nous sommes la voix de l’Eglise dans la mesure où nous agissons en communion les uns avec les autres autour du " serviteur des serviteurs " qu’est le pape. La déclaration de la Congrégation pour la doctrine de la foi est une déclaration qui doit éclairer notre action pastorale.
Après tout ce que vous venez de nous dire, Père évêque, quelle attitude avoir à l’égard des francs-maçons ?
Ma réponse est celle-ci : la franc-maçonnerie constitue un défi qu’il faut relever sereinement et courageusement. Certes, il ne faut pas exagérer l’influence de la franc-maçonnerie ; il ne faut pas, non plus, la sous-estimer. L’attitude d’un catholique agissant en cohérence avec sa foi, doit, me semble-t-il, être la suivante : d’abord la clairvoyance. Cela signifie connaître avec exactitude les véritables objectifs que poursuit la franc-maçonnerie. Ensuite, le désir d’approfondir sans cesse la foi chrétienne. L’ignorance est le grand ennemi de la foi. Enfin, la résolution de suivre de plus en plus fidèlement Jésus Christ. L’exemple est plus convaincant que la seule parole.
Et voici le mot de la fin : notre vraie force est de prendre appui sur Jésus Christ. Lui seul peut changer les cœurs. C’est pourquoi, autant il faut combattre la franc-maçonnerie en rappelant qu’elle est une forme particulièrement nocive de " gnose ", autant il faut poser sur les francs-maçons un regard d’espérance, regard né d’une authentique charité, car " rien n’est impossible à Dieu " !
+ Henri BRINCARD Evêque du Puy-en-Velay

qe.catholique.org/…/5335-interview-…
Jésus est Dieu
"Le Führer est inexorablement déterminé à anéantir les Eglises chrétiennes" (Josef Goebbels)
Extraits du dernier tome (paru) du journal du ministre de la Propagande du IIIe Reich :
plunkett.hautetfort.com/…/le-fuhrer-est-i…
Tallandier complète sa publication du Journal de Josef Goebbels (1923-1945), avec les années 1939-1942. Comme les deux autres tomes (1923-1938 et 1943-1945), celui-ci est …Plus
"Le Führer est inexorablement déterminé à anéantir les Eglises chrétiennes" (Josef Goebbels)
Extraits du dernier tome (paru) du journal du ministre de la Propagande du IIIe Reich :
plunkett.hautetfort.com/…/le-fuhrer-est-i…

Tallandier complète sa publication du Journal de Josef Goebbels (1923-1945), avec les années 1939-1942. Comme les deux autres tomes (1923-1938 et 1943-1945), celui-ci est un recueil de symptômes : étroitesse et mégalomanie, masochisme et fanatisme [1], émotivité et inhumanité, exaltation et nihilisme... Dans cette Weltanschauung pathologique n'existent ni vrai ni faux, ni bien ni mal ; seulement le culte de la « volonté », exacerbé jusqu'à la dénégation hystérique du réel.
Si nous en parlons aujourd'hui, c'est sous l'angle de la christianophobie nazie. Le IIIe Reich se sent en guerre profonde et permanente avec les confessions chrétiennes, particulièrement avec l'Eglise catholique, et le Journal en donne d'innombrables exemples :

« 27 décembre 1939 - Le pape a parlé à Noël. Discours plein d'attaques très sévères et dissimulées contre nous [2]. Toutes les forces de l'internationalisme sont contre nous. Nous devons les abattre. »
« 11 juillet 1941 - C'est une honte de devoir constater que le clergé catholique ouvre moralement la voie à l'ennemi, avec la lettre pastorale [3] qui a été lue dimanche dernier dans toutes les églises catholiques. Comme nous avons pu le constater jusqu'ici, le clergé tente une première percée avec cette lettre pastorale, avant d'attendre notre réaction et d'en tirer les conséquences pour l'avenir […] C'est dans un autre domaine que nous allons présenter la facture au clergé catholique. Nous interdisons ses revues, nous refusons les quantités de papier et les ouvriers nécessaires à la publication de ses livres, et nous le privons ainsi, peu à peu, de tout impact. »
« 23 juillet 1941 - Nous devons bien comprendre que l'Eglise catholique constitue une Internationale et qu'au moment critique, elle sera toujours contre nous. »
« 12 août 1941 – Je reçois chaque jour de nouveaux documents prouvant que la dernière lettre pastorale de l'Eglise catholique a eu des effets pratiquement dévastateurs aux Etats-Unis. Ces traîtres de l'Internationale noire mériteraient qu'on leur dépose la tête devant les pieds. »
« 23 octobre 1941 – Le SD me fait un rapport sur la situation où se trouve actuellement le pasteur Niemöller [interné à Dachau]... On affirme qu'il est en train de se convertir au catholicisme. Ce serait l'idéal ; car, dans ce cas, il ,ne serait plus un danger pour nous au sein du protestantisme, et nous avons de toute façon tellement d'opposants dans le clergé catholique qu'un de plus n'a aucune importance. »
« 14 décembre 1941 – Le clergé est antinational. Il espère la défaite allemande, afin de pouvoir éliminer le national-socialisme […] Le Führer fait les plus grands éloges de la religiosité japonaise, que l'on peut assimiler au véritable esprit nippon. Dommage que nous n'ayons rien de semblable. Par toute sa conception et sa structure intellectuelle, le christianisme sera toujours opposé à une vision nationale forte. C'est que son essence même est entièrement marquée par le judaïsme... En réalité, le christianisme est une doctrine de la déchéance. Pour un homme moderne, il ne mérite que le mépris intellectuel... L'évêque Galen [4], de Münster, en est un exemple typique. Le Führer est déterminé à faire table rase... lorsque la coupe sera pleine, l'éclair de la colère s'abattra subitement sur ces traîtres de princes de l'Eglise. […] L'Eglise protestante s'efforce, elle aussi, d'imiter la catholique. L'évêque [luthérien] Wurm, du Wurtemberg, a l'ambition de devenir un deuxième Galen. Nous nous en sortirons vraisemblablement beaucoup plus facilement avec les protestants qu'avec les catholiques […] Je n'arrive pas à comprendre comment une personne pensant de façon moderne peut, dans l'absolu, trouver dans le christianisme une doctrine adaptée à notre époque. »
« 18 décembre 1941 – Les généraux les plus pieux sont ceux qui réussissent le moins... Raeder est trop pieux : c'est pour cette raison que notre marine est si mauvaise. »
« 24 mai 1942 – Le Führer est inexorablement déterminé à anéantir les Eglises chrétiennes après la victoire. Au cours de l'hiver passé, elles se sont comportées d'une manière tellement ignominieuse, avec une telle méchanceté, elles ont frappé dans le dos avec une telle lâcheté et une telle infamie une nation combattante qui vivait son heure la plus accablante, elles lui ont asséné un coup de poignard si sournois qu'aucune réconciliation n'est plus possible avec elles... Le Führer voit poindre dans ce contexte une crise idéologique de premier ordre, comparable uniquement à la fin de l'Antiquité. »
joba
cœur infesté par Satan, faisant croire que l'histoire appartient aux hommes ..............le leurre de ceux qui entrent en politique comme en entre en religion !
Bereshit
@StephanPain
C'est bien de savoir que la maçonnerie ne commence pas au XVIIIe siècle,mais votre interprétation symbolique est bien fantaisiste.Mais une question...Une autre nation incarne le royaume de Dieu à présent...laquelle?Plus
@StephanPain

C'est bien de savoir que la maçonnerie ne commence pas au XVIIIe siècle,mais votre interprétation symbolique est bien fantaisiste.Mais une question...Une autre nation incarne le royaume de Dieu à présent...laquelle?
StephanPain
Les Architectes et le rocher de Sion
Voici un message prophétique donné dans les Psaumes puis repris et un peu mieux éclairé dans les Évangiles:
Psaumes 118:
20 Voici la porte de l'Éternel : C'est par elle qu'entrent les justes.
21 Je te loue, parce que tu m'as exaucé, Parce que tu m'as sauvé.
22 La pierre qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient Est devenue la principale de l'angle.
23 C'est de …Plus
Les Architectes et le rocher de Sion

Voici un message prophétique donné dans les Psaumes puis repris et un peu mieux éclairé dans les Évangiles:

Psaumes 118:
20 Voici la porte de l'Éternel : C'est par elle qu'entrent les justes.
21 Je te loue, parce que tu m'as exaucé, Parce que tu m'as sauvé.
22 La pierre qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient Est devenue la principale de l'angle.
23 C'est de l'Éternel que cela est venu : C'est un prodige à nos yeux.

Mathieu 21.42
Jésus leur dit: N'avez-vous jamais lu dans les Écritures: La pierre qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient Est devenue la principale de l'angle; C'est du Seigneur que cela est venu, Et c'est un prodige à nos yeux?
43 C'est pourquoi, je vous le dis, le royaume de Dieu vous sera enlevé, et sera donné à une nation qui en rendra les fruits.
44 Celui qui tombera sur cette pierre s'y brisera, et celui sur qui elle tombera sera écrasé.

Sur ce rocher était bâti le Temple de Salomon que les juifs actuels veulent rebâtir. C'est l'endroit le plus saint du judaïsme. La franc-maçonnerie partage ce même désir. Les temples maçonniques, de par le monde, en sont des évocations.

Le rocher sur le mont Sion est donc considéré comme une porte d’accès à Dieu pour les juifs et chrétiens mais aussi pour les musulmans puisque Muhammad y accomplit son voyage nocturne. Au début du ministère de Muhammad, les premiers musulmans n'avaient pas encore pris la Mecque et fait de la Kaaba la maison de Dieu. Elle n'était qu'un temple polythéiste. Les prosternations se faisaient donc en direction de Jérusalem et plus précisément en direction du mont Sion.
Au niveau de l'aspect c'est un rocher sans forme particulière.

A présent, intéressons-nous à l'étoile de David, symbole de l'Alliance entre Dieu et son peuple (ceux qui se soumettent à Lui). Vous savez que le triangle pointe en bas symbolise le peuple, l'humilité, l'eau et la transmission du savoir des cieux à la terre. Triangle que l'on retrouve "physiquement" sur terre avec les trois villes: Babylone, Jérusalem, Médine. Villes clefs représentant les étapes dans le cycle de la révélation: naissance, vie et mort. Le triangle pointe en haut symbolise Dieu lui-même, la force, le feu et l'ascension des hommes vers Dieu. Le rocher du mont Sion peut donc être symboliquement représenté par un triangle pointe en haut.

Vous pouvez à présent comprendre le sens du verset des Psaumes: "20 Voici la porte de l'Éternel : C'est par elle qu'entrent les justes." Le rocher est donc cette porte, il est là par la volonté de Dieu: "23 C'est de l'Éternel que cela est venu : C'est un prodige à nos yeux."
Maintenant nous voilà avec un verset énigmatique:"22 La pierre qu'ont rejetée ceux qui bâtissaient Est devenue la principale de l'angle."
Ce même verset est repris 1000 ans plus tard par Jésus lorsqu'il s'adresse aux sacrificateurs et pharisiens. Il en comprit son sens et éprouva le besoin d'ajouter une précision: "44 Celui qui tombera sur cette pierre s'y brisera, et celui sur qui elle tombera sera écrasé."
Il s'agit d'une précision quant à sa forme: pointue vers le haut, et plate sur le dessous. Il décrit ainsi une forme pyramidale. Ceux qui bâtissaient sont les Architectes, dont les héritiers ésotériques sont les Francs-maçons.
Ils existaient déjà du temps de Salomon et l'on peut certainement faire remonter leur existence aux origines de l'homme. Ce sont eux qui, symboliquement, se sont accaparé le rocher informe de Dieu pour le retailler en forme de pyramide au centre duquel se place l’œil qui voit tout (Satan). Dans la conception du monde selon ces gens, l'humanité est symbolisée par une pyramide à 13 niveaux où la plupart d'entre nous sont condamnés aux niveaux inférieurs. La pierre retaillée et son œil vient coiffer le tout. (voir le dollar)
Originellement la pierre, informe, est au niveau du sol, tout humain est au même niveau de proximité avec Dieu. Il n'y a aucun intercesseur entre Lui et nous.

Nous arrivons tout naturellement au Bilderberg.
En allemand bilder: photos et berg: montagne.
Photos signifie lumière et la montagne pourrait être celle de Sion.
Ainsi Bilderberg signifierait Lumière de Sion ou encore Illuminés de Sion. Les illuminés sont en réalité tout simplement ceux qui sont le plus proches de la lumière de l’œil qui voit tout, du porteur de lumière, Lucifer. N'oublions pas que cet œil remonte à l'époque de l’Égypte antique, période renommée pour la construction des plus prestigieuses pyramides.

"43 C'est pourquoi, je vous le dis, le royaume de Dieu vous sera enlevé, et sera donné à une nation qui en rendra les fruits."
Le dôme du Rocher, splendeur de Jérusalem et de l'Islam.
Une autre nation incarne le royaume de Dieu à présent...
stephane77
« Il Nous suffit de rappeler les 17 articles sur les droits de l’homme qui ne sont qu’une répétition fidèle de la déclaration faite par l’Assemblée Nationale de France de ces mêmes droits, si contraires à la religion et à la société.» (Pie VI, Encyclique Adeo Nota, 23-4-1791)
« On voit donc clairement pourquoi certains hommes, ne tenant aucun compte des principes les plus certains de la …Plus
« Il Nous suffit de rappeler les 17 articles sur les droits de l’homme qui ne sont qu’une répétition fidèle de la déclaration faite par l’Assemblée Nationale de France de ces mêmes droits, si contraires à la religion et à la société.» (Pie VI, Encyclique Adeo Nota, 23-4-1791)

« On voit donc clairement pourquoi certains hommes, ne tenant aucun compte des principes les plus certains de la saine raison, osent publier que : la volonté du peuple manifestée par ce qu’on dit être l’opinion publique ou autrement, constitue la loi suprême, indépendante de tout droit divin et humain.» (Pie IX, Encyclique Quanta Cura)
DT
@eureka71, trouvez moi un passage dans la révolution de 1789 ( surtout la déclaration ) qui va dans le sens de la vision "constructivisme" des propos du Ministre?
eureka71
En fait pour lui le Messie, c'est à dire ce qui sauve l'homme, c'est la révolution de 1789. Pour d'autres, cela a été l'homme nouveau produit par le marxisme, pour d'autres encore, celui produit par le national-socialisme... Et il commence par dire qu'il souhaite que son idée soit partagée par beaucoup d'autres... Il veut la dictature ? On sait ce qu'on donné les illuminés précédents...
Cet …Plus
En fait pour lui le Messie, c'est à dire ce qui sauve l'homme, c'est la révolution de 1789. Pour d'autres, cela a été l'homme nouveau produit par le marxisme, pour d'autres encore, celui produit par le national-socialisme... Et il commence par dire qu'il souhaite que son idée soit partagée par beaucoup d'autres... Il veut la dictature ? On sait ce qu'on donné les illuminés précédents...

Cet homme est extrêmement dangereux.
Jésus est Dieu
Merci Capoguba pour ce splendide poème !
"Ma patrie, bonne et pieuse, a vu naître de grands saints. Le sens missionnaire de Saint Bernard, la vertu de Saint-Louis, la charité de Saint Vincent de Paul, le zèle du Curé d'Ars sont le vrai trésor laissé par nos ancêtres."Plus
Merci Capoguba pour ce splendide poème !

"Ma patrie, bonne et pieuse, a vu naître de grands saints. Le sens missionnaire de Saint Bernard, la vertu de Saint-Louis, la charité de Saint Vincent de Paul, le zèle du Curé d'Ars sont le vrai trésor laissé par nos ancêtres."
sandrine33
La "liberté" dont parle ce sataniste de peillon c'est bien-sur le chemin qui mène tout droit en enfer ! le projet des francs-maçons (projet démoniaque) c'est une vie sans aucune morale: pédophilie, homosexualité, drogue, meurtres (sacrifices d'enfants pour leur dieu ...), décadence, dégénérescence, cupidité, amour de l'argent, mépris parentale, etc .... pas étonnant que ce peillon finira au …Plus
La "liberté" dont parle ce sataniste de peillon c'est bien-sur le chemin qui mène tout droit en enfer ! le projet des francs-maçons (projet démoniaque) c'est une vie sans aucune morale: pédophilie, homosexualité, drogue, meurtres (sacrifices d'enfants pour leur dieu ...), décadence, dégénérescence, cupidité, amour de l'argent, mépris parentale, etc .... pas étonnant que ce peillon finira au FEU comme tous ces petits copains satanistes ! il y a seulement deux chemins dans ce monde: celui des Elohims et celui des demons ! pas besoin de peillon pour expérimenter leurs projets mortifères !
capoguba
Etranger, mon ami, tu me demandes ce que signifie le mot « Patrie ».
Si tu as une mère et si tu l'honores, c'est avec ton cœur de fils que tu comprendras mes propres sentiments.
Ma patrie, c'est la terre de France où mes ancêtres ont vécu. Ma patrie, c'est cet héritage intellectuel qu'ils m'ont laissé pour le transmettre à mon tour.
Viens voir, étranger, la beauté des paysages de France, la …Plus
Etranger, mon ami, tu me demandes ce que signifie le mot « Patrie ».

Si tu as une mère et si tu l'honores, c'est avec ton cœur de fils que tu comprendras mes propres sentiments.

Ma patrie, c'est la terre de France où mes ancêtres ont vécu. Ma patrie, c'est cet héritage intellectuel qu'ils m'ont laissé pour le transmettre à mon tour.

Viens voir, étranger, la beauté des paysages de France, la splendeur des monuments édifiés par mes aïeux. Va te reposer dans le vert marais poitevin, admire les roches rouges d'Agay qui se baignent dans le bleu de la mer de Provence. Chemine simplement de Paris vers Lyon. Sur la route, près d'Avallon, l'élégance raffinée de la basilique de Vézelay fera surgir pour toi l'épopée de nos croisades. Tu arriveras plus loin au château de la Roche pot qui donne à la région un air médiéval. N'oublie pas de visiter en Bourgogne le ravissant hospice de Beaune. Ne néglige pas le barrage de Génissiat. Continue, regarde, réjouis-toi de tant de beauté.

Mais si la France, ma patrie, n'était que belle et aimable, mon amour pour elle ne serait pas si grand. Elle est mieux encore : intelligente et cultivée. La clarté de sa pensée, la finesse de son esprit, l'excellence de son goût te sont déjà connus. Des idées venues de France ont influencé l'humanité toute entière. Sais-tu par exemple, que la bibliothèque personnelle de Frédéric II de Prusse, conservée à Berlin, ne contient que des livres écrits en français ? Ainsi, bien au-delà de nos frontières, des hommes de France sont célèbres : philosophes, écrivains, poètes, artistes, savants. Pascal, Molière, Vigny, Delacroix, Berlioz, Pasteur : tous ont contribué à la gloire de la France.

Et vous, héros humbles et méritants, qui avez fait la France brave et fidèle, vous guerriers morts pour la patrie, comme je vous suis reconnaissant de m'avoir conservé ce précieux bien de mes ancêtres ! De Bayard à Guynemer, des premiers chevaliers aux soldats des dernières guerres, que de dévouements, que de sacrifices !

Et toi mon ami, qui es aussi comme moi une créature de Dieu, ne vois-tu pas qu'ici en France, tu es en terre chrétienne ? Les oratoires pittoresques, les calvaires aux croisées des chemins, les flèches de nos cathédrales sont les témoins de pierre d'une foi vivante. Ma patrie, bonne et pieuse, a vu naître de grands saints. Le sens missionnaire de Saint Bernard, la vertu de Saint-Louis, la charité de Saint Vincent de Paul, le zèle du Curé d'Ars sont le vrai trésor laissé par nos ancêtres. De la grande Sainte Jeanne d'Arc à la petite Thérèse, de l'épopée de l'une à la vie si simple de l'autre, je retrouve le courage et la bonté des femmes de France. Aux plus humbles d'entre elles, s'est montrée la Vierge Marie. A travers Catherine Labouré, Bernadette de Lourdes, quel honneur pour la France !

Tu comprends maintenant pourquoi, ami étranger, j'aime et je vénère ma patrie comme ma mère ; pourquoi, si riche de tout ce qu'elle me donne, je désire transmettre cet héritage.

Ne crois pas que cet amour que j'ai au cœur soit aveugle. Mais devant toi, je ne dirai pas les défauts de ma mère Patrie. Car tu sais bien qu'un fils ne gagne rien à critiquer sa mère. C’est en grandissant lui-même qu'il la fait grandir.
Si je veux ma patrie meilleure et plus saine, que je devienne moi-même meilleur et plus sain.

La France, ma patrie a tant de qualités que je ne saurais, ami étranger, te priver de sa douceur ; si tu sais découvrir ses charmes et ses vertus, tu l'aimeras, toi aussi. Je partagerai avec toi ses bontés et, loin de m'appauvrir de ce don, je m'enrichirai de cette tendresse nouvelle que tu lui porteras.

Mais ne l'abîme pas, ami étranger, la France, ma douce patrie, ma chère mère ; ne la blâme pas, ne la pervertis pas, ne la démolis pas car je suis là, moi son fils, prêt à la défendre.
la_grainv
Cet homme ne comprend pas que le catholicisme n'est pas un simple ensemble de valeurs (comme il le veut pour sa "nouvelle religion"), mais une croyance en un créateur de nature divine. S'il pense qu'il peut remplacer cela avec ses beaux raisonnements qui restent enfermés dans la sphère de l'intellect, il se met le doigt dans l'oeil. Il faudra se lever de bon pied pour faire disparaître le catholicisme!
Jésus est Dieu
Genre à l’école : Peillon recule
Le mardi 4 juin 2013, le ministre de l’Education nationale, Vincent Peillon, a obtenu que le projet de loi “pour la refondation de l’école” n’introduise pas une sensibilisation à la théorie du genre à l’école primaire. Selon l’article voté mardi soir en deuxième lecture par l’Assemblée nationale, l‘école sensibilisera les élèves à “l’égalité entre les …Plus
Genre à l’école : Peillon recule

Le mardi 4 juin 2013, le ministre de l’Education nationale, Vincent Peillon, a obtenu que le projet de loi “pour la refondation de l’école” n’introduise pas une sensibilisation à la théorie du genre à l’école primaire. Selon l’article voté mardi soir en deuxième lecture par l’Assemblée nationale, l‘école sensibilisera les élèves à “l’égalité entre les femmes et les hommes”. Comme les sénateurs, les députés ont renoncé à faire référence à “l’égalité de genre”.
Il s’agit de la confirmation d’un recul symbolique, lié au mouvement social qui s’est levé contre la loi Taubira. Ce recul est d’ailleurs intervenu au lendemain d’un rassemblement contre ce texte organisé au pied du ministère de la famille par la Manif pour tous, en présence de l’un de ses porte-parole, Tugdual Derville, Délégué général d’Alliance VITA.
Le 24 mai 2013, pendant les débats au Sénat, le ministre de l’Education nationale avait déjà obtenu le retrait d’un amendement similaire pour “ne pas alimenter ces polémiques malsaines, qui dégradent le débat sur l’école” et éviter “un débat idéologique malsain qui déchaînera de mauvaises passions.” L’amendement initial, celui qui a déclenché la polémique, avait été déposé par la députée Julie Sommaruga (PS) dont le texte était ainsi rédigé : “Elle [la formation] assure les conditions d’une éducation à l’égalité de genre.” Mme Sommaruga avait expliqué le 28 février 2013 vouloir “substituer à des catégories comme le sexe ou les différences sexuelles, qui renvoient à la biologie, le concept de genre qui lui, au contraire, montre que les différences entre les hommes et les femmes ne sont pas fondées sur la nature, mais sont historiquement construites et socialement reproduites.”
La reculade gouvernementale peut être analysée comme une première prise en compte par le pouvoir en place du mouvement protestataire contre la loi Taubira. Saluant une victoire d’étape, VITA reste cependant en posture de vigilance absolue contre toute présence d’une idéologie qui prétend enseigner aux écoliers l’indifférenciation sexuelle.
www.alliancevita.org/…/genre-a-lecole-…
Jésus est Dieu
L’extravagante leçon d’Histoire de Vincent Peillon à des enfants de dix ans
Bernard Girard, Enseignant en collège ; Publié le 10/06/2013 à 11h59
La dernière réunion du Parlement des enfants – une sorte de mise en scène convenue qui voit les responsables politiques faire semblant de prendre les enfants au sérieux, pourvu que ces derniers récitent bien leur leçon – a donné l’occasion à Vincent …Plus
L’extravagante leçon d’Histoire de Vincent Peillon à des enfants de dix ans
Bernard Girard, Enseignant en collège ; Publié le 10/06/2013 à 11h59

La dernière réunion du Parlement des enfants – une sorte de mise en scène convenue qui voit les responsables politiques faire semblant de prendre les enfants au sérieux, pourvu que ces derniers récitent bien leur leçon – a donné l’occasion à Vincent Peillon, endossant ses habits préférés de Père La Morale, de développer devant son jeune auditoire, sans doute décontenancé, une conception qu’on lui sait chère de l’Histoire et de la République, malheureusement sans guère de rapport avec la réalité.
Le ton avait été donné par le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone, avec des accents à la Déroulède :
« Cette année, vos travaux vous ont permis d’approfondir le sens de la devise de notre République, “ liberté, égalité, fraternité ”. Héritée, comme les trois couleurs, bleu, blanc, rouge, de notre drapeau, de la révolution de 1789, cette devise, inscrite au fronton de chacune de vos mairies ou de vos ambassades, constitue l’identité profonde de notre démocratie. »
Qu’on se le dise : à l’école primaire, l’éducation civique – du moins dans sa version BOEN (Bulletin officiel de l’Education nationale) – c’est d’abord cela : se lever pendant la Marseillaise et honorer le drapeau. Le reste attendra.
Rousseau et Kant, des auteurs pour les 9-10 ans

Vincent Peillon à Paris, le 5 juin 2013 (PDN/SIPA)
Ce fut alors au tour de Peillon de se lancer dans une extravagante homélie à la gloire de la République – citée pas moins de onze fois en quelques minutes – et de la Révolution française (quatre mentions), agrémentant son exposé de références à Rousseau, Condorcet, Kant, des auteurs parfaitement appropriés à des enfants de neuf ou dix ans, mais aussi à Robespierre, à qui l’on doit, paraît-il, la devise républicaine « sainte devise de nos pères ».
Les écoliers, sagement rassemblés dans l’hémicycle, auront donc appris que la liberté, l’égalité, la fraternité sont le legs de l’homme de la Terreur, de la loi des suspects, des massacres de masse et de la guillotine. Puisque c’est le Ministre qui le dit.
Mais Peillon ne saurait s’arrêter à de si mesquins détails : en quelques minutes, il délivre sa version de l’Histoire, celle d’un régime républicain sans taches, immaculé, paré de toutes les vertus, un régime à qui l’on doit la liberté, l’instruction, la justice sociale, qui a fait sortir l’humanité des ténèbres, quelque chose de jamais égalé et d’ailleurs d’insurpassable.
Si les écoliers ne sont pas émus aux larmes...
Florilège :
« Ce qui a fait notre modernité, ce qui a fait la République depuis la Révolution française, c’est l’affirmation que l’humanité se définit précisément par cette qualité imprescriptible et qu’aucun pouvoir ne peut et ne doit atteindre : la liberté de chaque individu. Liberté de conscience, liberté de pensée, liberté d’expression, liberté de mouvement, liberté de contester tous les pouvoirs […] ;
Pour que la liberté soit celle de chacun, il faut veiller à ce qu’il n’y ait pas entre les hommes trop d’inégalités ; il faut veiller à ce que chaque homme et chaque femme puisse avoir accès à cette liberté. Cela suppose des conditions d’instruction auxquelles on a réfléchi dès la Révolution. Elle a donné à chacun ce droit à l’instruction […] ;
La République est donc allée plus loin, elle s’est dit qu’il fallait la liberté pour chacun et pour tous, l’égalité des droits pour tous et pour chacun, mais aussi la fraternité, la justice, la solidarité. Telle est la grandeur de notre République : avoir posé la question de la justice sociale et du droit à la subsistance, vouloir vaincre à la fois l’ignorance et l’indigence […] ;
L’idée même de la fraternité, la voici : c’est le père à la table avec ses enfants. L’enfant est plus faible que le père, mais si l’enfant a faim, alors à chacun selon ses besoins. Cette grande devise de justice a animé tout le développement de notre République au XIXe siècle. »
Si les écoliers à qui l’on s’adresse ainsi ne sont pas émus aux larmes, c’est à désespérer de l’éducation civique… ou de la République. A moins qu’ils ne se soient endormis.
L’Histoire qu’on racontait au XIXe siècle
Pour les besoins de la cause, Peillon réécrit l’Histoire. Ou plutôt, il recopie celle qu’on écrivait au XIXe siècle, avec ses petits mensonges et ses grandes omissions, celle qu’ont apprise des générations de Français et dont on pensait pourtant qu’elle n’avait plus sa place sur les bancs de l’école ou dans le débat public.
Une Histoire qui oublie que la république est née dans un bain de sang – la Terreur pour la Ie République, le sang des Communards pour la IIIe République –, qu’elle fut plus souvent portée sur la coercition et la violence que sur la tolérance. Qu’elle s’est compromise sans remords avec la colonisation et l’esclavage, pudiquement qualifié de travail forcé.
Qu’en 1940, sans beaucoup d’hésitations, elle a laissé les clefs de la maison à Vichy et à la collaboration. Qu’elle a légitimé la torture et les massacres de la décolonisation, les tribunaux d’exception. Que la raison d’Etat a couvert bien des crimes.
Qu’elle s’est accommodée, jusqu’en 1945, d’une démocratie sans les femmes et aujourd’hui sans les immigrés. Que, dans un pays miné par le chômage et les inégalités, la justice sociale est plus souvent l’objet de belles paroles que d’une pratique.
Et qu’enfin, dans les écoles, les enfants en situation d’échec sont dans tous les cas issus de milieux défavorisés, ce qui ne semble guère émouvoir un Ministre manifestement peu désireux d’y remédier et dont la loi d’orientation, dont il n’est pourtant pas peu fier, se révèle au final comme un élément de communication, en réalité une coquille vide.
Une conception de l’éducation civique ringarde et rudimentaire
Au fil des mois, la politique de Peillon se dévoile réellement pour ce qu’elle est : à défaut de refonder le système éducatif, il se rabat toujours plus sur le champ des symboles, dans l’espoir de flatter un électorat complaisant en la matière.
Après le drapeau au fronton des écoles, après les leçons de morale, voilà qu’il instrumentalise l’Histoire dans un sens qui laisse d’ailleurs bien mal augurer d’un renouvellement des programmes ; renouvellement, qu’au passage, on attend toujours.
Comme tous ses prédécesseurs, il s’avère incapable de dissocier le légitime apprentissage de la vie collective du cadre national, qui n’en est que la déviance.
Son intervention ampoulée et pontifiante devant le Parlement des enfants témoigne d’une conception de l’éducation civique ringarde et rudimentaire, où l’endoctrinement et la contemplation béate d’un passé qui n’a jamais existé seraient censés répondre aux défis du moment.
Mis à jour le 10 juin à 15 heures : Précision « le sang des communards » suite à l’incompréhension de certains riverains.
blogs.rue89.com/…/lextravagante-l…
2 autres commentaires de Jésus est Dieu
Jésus est Dieu
GLNF : la transparence tourne à l’empoignade
le 3 juin 2013 23H35 | par François Koch
La transparence sur les comptes de la GLNF, voulue par le nouveau Grand Maître Jean-Pierre Servel entre février et juin 2013, vient de tourner à l’affrontement entre René Hervet (ex-expert du développement de la GLNF en Calédonie, en Polynésie et Asie-du-Sud-Est entre 1987 et 2001) et le TRF Zavoche …Plus
GLNF : la transparence tourne à l’empoignade
le 3 juin 2013 23H35 | par François Koch
La transparence sur les comptes de la GLNF, voulue par le nouveau Grand Maître Jean-Pierre Servel entre février et juin 2013, vient de tourner à l’affrontement entre René Hervet (ex-expert du développement de la GLNF en Calédonie, en Polynésie et Asie-du-Sud-Est entre 1987 et 2001) et le TRF Zavoche Houchangnia, Assistant Grand Maître.

René HERVET
Dans une lettre ouverte à Jean-Pierre Servel datée du 30 mai 2013, René Hervet accuse Zavoche Houchangnia de ruiner la transparence : « Rien ne changera donc à la GLNF. » La gouvernance Servel est accusée de trafiquer le jeu des provisions afin de rendre les comptes bénéficiaires là où ils sont déficitaires.
VOIR ICI LE COURRIER DE RENE HERVET : Je tire ma révérence, au revoir
Après la diffusion de ce texte sur différents blogs (celui d’anciens supporters de Jean Murat ou d’un frère de la garde rapprochée de François Stifani), la réaction, particulièrement cinglante, est venu de celui qui était le plus visé : Zavoche Houchangnia. Sa réplique de trois pages a été diffusée ce 3 juin à 18 h 13 par communiqué de la GLNF.
Zavoche Houchangnia souligne : « Le Frère René Hervet qui a participé à 19 séances de consultation des comptes n’a découvert aucune malversation ou anomalie comptable. Peut-être est-ce là la raison principale de l’abandon de la mission qu’il s’était assignée ? » Zavoche Houchangnia accuse surtout René Hervet de ne pas savoir lire : les comptes sont clairement annoncés comme déficitaires à hauteur de 1 365 k€ (exercice 2011-2012).

Zavoche HOUCHANGUIA
En conclusion, la flèche finale de Zavoche Houchangnia apparaît sévère : « Il est temps que tous ceux qui prétendent avoir des preuves de malversations ou anomalies comptables ou ceux qui prétendent que les déficits sont présentés comme des profits, communiquent leurs preuves aux instances judiciaires de notre pays afin qu’une fois pour toute la vérité soit faite. Si leurs preuves sont avérées, la justice de notre pays fera son travail et les coupables seront sanctionnés. Mais si les soi-disant preuves sont défaillantes ou inexistantes, la honte rejaillira sur ceux qui tentent d’entacher d’allusions malsaines la marche de la GLNF vers son renouveau.«
VOIR ICI LE communiqué du 03.06.2013 de Zavoche Houchanguia
La lettre ouverte de René Hervet était déloyale puisqu’il la publiait avant même tout débat. Il refusait singulièrement de dialoguer avec Zavoche Houchangnia avant d’avoir pu faire diffuser sans réplique son courrier accusatoire. Il était en opposition vigoureuse à l’ancienne gouvernance de Stifani… et aujourd’hui, il combat Jean-Pierre Servel aux côtés de… François Stifani.
La réplique de Zavoche Houchangnia constitue avant tout un très beau cadeau à… René Hervet, en donnant une grande importance à sa protestation au point de mériter un communiqué pour lui tout seul. Mais cette polémique Hervet-Houchanguia n’est-elle pas un écran de fumée ? Cela ne camoufle-t-il pas le fiasco de cette opération « transparence des comptes » ? Car seuls trois frères (sur 26 000) se sont déplacés au 6ème étage de la Rue Pisan pour éplucher les livres comptables. A croire que la transparence ne fait ni envie… ni recette.
blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon
Jésus est Dieu
Grand rififi dans les Hauts Grades Féminins
le 5 juin 2013 19H08 | par François Koch
Au premier abord, l’affaire paraît très loufoque. Dans un courrier du 17 mai 2013, le Très Sage et Parfait Grand Vénérable du Grand Chapitre Général du Grand Orient de France (GCG-GODF), Jean-Pierre Catala, annonce la création d’un « Sublime Conseil Féminin du Rite Moderne pour la France ». Et d’ajouter …Plus
Grand rififi dans les Hauts Grades Féminins
le 5 juin 2013 19H08 | par François Koch
Au premier abord, l’affaire paraît très loufoque. Dans un courrier du 17 mai 2013, le Très Sage et Parfait Grand Vénérable du Grand Chapitre Général du Grand Orient de France (GCG-GODF), Jean-Pierre Catala, annonce la création d’un « Sublime Conseil Féminin du Rite Moderne pour la France ». Et d’ajouter que ce Sublime Conseil étant considéré comme illégitime, ses membres ne sont pas fréquentables (interdiction des visites).

Catherine JEANNIN-NALTET
Pourquoi cette illégitimité ? Parc que ce Sublime Conseil a reçu patente du Grand Chapitre Mixte de Belgique… qui lui-même l’a reçue d’une juridiction brésilienne… Or ces organisations ne sont pas reconnues par le GCG-GODF.
Pourquoi fallait-il créer un Sublime Conseil Féminin du Rite Moderne pour la France ? Selon la Grande Maîtresse de la Grande Loge Féminine de France, Catherine Jeannin-Naltet, tout est parti de la contestation d’une élection interne au Grand Chapitre Général Féminin de France (GCGFF). Le 24 mars 2012, un groupe de six contestataires a été suspendu par le GCGFF (et le 17 avril 2012, Jean-Pierre Catala, signe une circulaire précisant que ces sœurs, fondatrices du GCGFF, sont persona no grata comme toutes celles de « La Tour d’Ordre », le nom donné à leur atelier supérieur de Boulogne-sur-Mer).

Danielle MAERTEN
A la tête de toutes ces frondeuses, Danielle Maerten. Cette sœur de Boulogne-sur-Mer a été une des pionnières du GCGFF, en a été la deuxième n°1, et n’aurait pas bien vécu sa descente de charge. Une affaire de cordonite aiguë comme les frères les affectionnent ? Combien sont-elles ces sœurs dissidentes de Boulogne-sur-Mer, de Bordeaux et de Strasbourg ? 35 ? 50 ? 70 ? 80 ?
A la mi-mai 2013, le Sublime Conseil a demandé sa reconnaissance à la GLFF. Le Conseil fédéral du 1er juin 2013 a décidé de solliciter l’avis de Roger Dachez (Président de l’Institut Maçonnique de France) et de Pierre Mollier (Directeur de la bibliothèque, des archives et du Musée du GODF) avant de prendre une décision au Conseil Fédéral de fin juin 2013.
Qu’est-ce donc que cette patente brésilienne des Hauts Grades du Rite Français ? « Elle proviendrait d’un accord de 1824 entre le GODF et une obédience brésilienne, un accord qui mériterait d’être analysé sérieusement aujourd’hui, confie Roger Dachez. Au milieu des années 1990, la patente avait déjà été importée à la… GLNF, avant de l’être à nouveau par ces sœurs de la GLFF. »
Pas de doute, cette affaire met la GLFF en ébullition. L’enjeu est de taille, car si la GLFF ne reconnaît pas la création de ce Sublime Conseil, les sœurs qui en font partie risquent tout simplement l’exclusion de leur obédience.
VOIR ICI LA CIRCULAIRE DU GCG GODF- GG CC GG 17.05.2013
Malgré deux messages laissés sur son répondeur, les 2 et 3 juin, je ne suis pas parvenu à joindre Danielle Maerten.
blogs.lexpress.fr/lumiere-franc-macon