INTRODUCTION AU PHÉNOMÈNE DU TROLLISME ANTICHRÉTIEN DANS LES RÈSEAUX SOCIAUX :
Il est vrai que pendant longtemps, pour écraser le débat (que ce soit pour le meurtre des enfants à naître ou pour le mariage gay), il suffisait, en effet, de faire passer tous ceux qui résistaient au lavage de cerveau de la dictature culturelle du politiquement correct féministo-satanique mondiale pour des homophobes, des fascistes, des antisémites, des néo-nazis etc.(Et cela avait d’ailleurs, hélas, parfaitement fonctionné)
Nombreux sont ceux qui par le biais de la pensée unique régnant depuis de nombreuses années en France et en occident, s'étaient habitués à ne jamais être confrontés à la moindre contradiction. Actuellement, les choses ont changé et la situation est devenu pour eux beaucoup plus difficile à gérer Ces personnes ont du mal à « avaler » qu'avec l'explosion des réseaux sociaux, il est désormais plus difficile d'abrutir la population comme cela était le cas dans les années 90 où on voyait des fascistes imaginaires de partout qui en réalité n'existaient pas (chose reconnu par Lionel Jospin lui-même) afin de pouvoir installer en toute quiétude la dictature de la culture de mort. Ça a failli marcher. Mais voilà, au tout dernier moment, quand on croyait le combat définitivement perdu, les réseaux sociaux sont apparus! Un peu comme dans ce match France-Allemagne (1982) où à la toute dernière seconde, alors qu’on croyait tous avoir gagné, Didier Six rate son penalty et c’est finalement l’Allemagne qui gagne. Oui, eux aussi, les rebelles de panurges, ils ont raté leur penalty, alors qu’ils croyaient déjà avoir gagné…
Cependant, cela suffit-il pour expliquer leur haine incontrôlée et proche de la pathologie ?
Oui, mais à condition toutefois de considérer les choses d’un point de vue éthique et psychologique. En effet, tant pour l'avortement que pour le "contre Dieu et nature" mariage gay, on veut écraser le débat afin de pouvoir continuer les ignominies sans sentiments de culpabilité. Échapper à la culpabilité. Toute leur haine tourne au fond autour de ce concept.
C’est qu’on voudrait pouvoir nommer le bien mal et le mal bien.
C'est pour cette raison que les "rebelles de panurges" ont tant de haine à l'endroit de leurs contradicteurs (soit dit en passant, cela est aussi la motivation essentielle des journaux comme Charlie hebdo qui s'en prennent systématiquement au fait religieux en général). Cela est d’autant plus vrai, qu’a cause, ou plutôt grâce à quelques résistants, ils savent qu'ils vivent dans l'infamie. La religion est leur cauchemar, elle représente la petite voix de la conscience universelle que ces années de dictature culturelle n’ont pas réussi à éteindre complètement. C’est cela qui les rend fous.
C'est pourquoi ils paniquent et c'est pourquoi, au fond, leurs seules réponses ne peuvent être nécessairement que des injures ou une fuite faussement dédaigneuse quand ils n'ont de toute façon rien à dire. Leurs attaques prouvent (même s'ils ne s’en rendent pas compte) que certaines idées font "mouche" et certaines vérités sont pour eux, dures à entendre. Autrement, ils ne réagiraient pas. Sans le savoir, ils avouent ainsi leur impuissance et leur désarroi haineux.
Le courage des uns, il est vrai, fait ressortir la lâcheté des autres. Certes, pour les lâches, cela est insupportable. Désormais, ils sont obligés de se regarder dans une glace. Et cela les consument.
Voilà le cœur du débat, et voilà pourquoi les trolls et autre soumis à la bien-pensance qui viennent essayer de polluer les débats, sont au fond (je dirais même malgré eux) obligés de sombrer dans les pires âneries de la pensée unique et les insultes les plus grotesques.
