Révérend Père Pagès,

J'ai eu des doutes sur l'orthodoxie de A. Dumouch le jour où, parcourant son site personnel, j'ai constaté qu'il considérait la "religion" de Mahomet comme faisant partie de la Révélation. Cela, de manière subtile, retorse, tout en douceur... Passons.

Je vous remercie infiniment de votre limpide mise au point dans cette vidéo, concernant le "Salut facile" professé par cette personne. Vous rétablissez la juste doctrine de l'Eglise Catholique.

Quand la pensée est droite, réellement animée par l’Esprit du Christ, elle ne tombe pas dans l’ergotage et adhère à la foi de l’Eglise, qui dit ceci : « Les âmes de ceux qui meurent en état de péché mortel descendent IMMÉDIATEMENT après la mort dans les enfers, où elles souffrent les peines de l'enfer, le feu éternel. » (CEC, article 1035). « Immédiatement », c’est-à-dire dès que l’âme se sépare de son corps, et celui-ci devenant cadavre.

Tel est l'enseignement salutaire de l'Eglise, dans le CEC de 1992 signé par le Bienheureux Pape Jean-Paul II, et tel est l’enseignement de l’Eglise de toujours et pour toujours. A la lumière de cette doctrine, prétendre que l'âme, une fois la mort arrivée, a encore des latitudes de choix devant elle, des temps de réflexion sur sa fin dernière, ne relève plus de la théologie mais de la semence d’ivraie.

En effet, il ne suffit pas d’être « connaisseur » en théologie. C’est celui-là seul qui présente sainement la doctrine de l’Eglise catholique, Pape ou prêtre, assisté de l’Esprit du Christ (Ga 4,6), qui en est l’authentique docteur, et siège alors, pour ainsi dire, dans la chaire même du Christ. Tandis que d’autres __ maîtres en ergotage qui nuit aux âmes __, sont assis, quant à eux, sur la « chaire de pestilence », comme dit le Psalmiste (Ps 1,1 - Septante), et en lesquels S. Jérôme reconnaît « les hérétiques, c’est-à-dire les antichrists, puisque, sous le nom du Christ, ils enseignent des doctrines contraires au Christ ». (S. Jérôme, « In Matheum », IV, 4,5.)

C'est vous, Révérend Père, le docteur de notre foi. Par cette vidéo __ où votre parole est sobre et claire comme la parole du Christ était sobre et claire __vous avez mis en lumière les "profondeurs de Satan" (Ap 2, 24) contenues dans les replis du discours subtil et tortueux de votre contradicteur, « profondeurs de Satan » qui, sans vous, seraient passées inaperçues aux yeux de beaucoup. L’ergotage même d’un tel discours, à propos d’un hypothétique intermédiaire où l’âme post-mortem peut encore faire un choix quant à sa fin dernière, montre assez qu'il est étranger à l'Esprit du Christ, car l'Apôtre prévient : « Si quelqu'un veut ergoter, tel n'est pas notre usage, ni celui de l'Eglise de Dieu" (1 Co 11,16). Or là où n’est pas l'Esprit du Christ, là est l'esprit du Mauvais dont les artifices sont « légion » (Mc 5,9) pour prendre les apparences d’un « ange de lumière » (2 Co 11,14) et tromper, en premier lieu l’intéressé lui-même, et ceux qui l’écoutent. En effet, le discours hasardeux de votre contradicteur peut malheureusement induire en erreur beaucoup d'internautes, hélas, trop souvent peu « spirituellement armés » (Ep 6, 11-17) pour y discerner l’artifice et s’en défendre. Cela, d'autant plus que le discours en question détourne insidieusement, hors de leur contexte, les Saintes Ecritures et des paroles du Magistère, pour les instrumentaliser à son service.

Grâce à Dieu, Père, la personne en cause est seulement un laïc. S'il avait été dans les Ordres sacrés, la Congrégation de la Doctrine de la Foi aurait sans doute eu à juger le détail de ses dires et de ses écrits. Car la sainte Eglise, gardienne toujours vigilante du Dépôt divin, continue de nos jours, comme à travers les siècles, et jusqu’à la consommation des temps (Mt 28,20), à veiller sur l’orthodoxie de sa Doctrine. Aujourd’hui, hier et demain, dans la charité mais dans la justice, seules les ténèbres obstinées, qui se présentent comme des « lumières », ont à redouter le Glaive spirituel dont le Seigneur, pour le bien des âmes, a Lui-même doté l’Eglise (Mt 18, 17-18).

Révérend Père, le seul fait que votre contradicteur regimbe et ne se soumette pas à l'avis du Prêtre que vous êtes, alors que vous présentez la Doctrine dans sa limpide orthodoxie, qu'il ose contredire frontalement, sous des dehors de douceur, celui qui consacre le Corps du Seigneur à l'autel, décèle déjà une secrète insoumission au Seigneur.

La mort est certes un « passage », mais c’est un passage sans « durée ». C’est comme une porte qui s'ouvre et se referme instantanément. D'un côté de cette porte, c'est la vie d'ici-bas, dans le temps qui s'écoule, vie temporaire en laquelle nous sommes sous le signe de la Grâce. De l'autre côté de cette porte, c'est l'Au-delà où, le temps ne s'écoulant plus, nous sommes dans l’Eternité et immédiatement sous le signe de la Justice (2 Co 5, 10 ; He 9,27). L’erreur de votre contradicteur, c’est qu’il ne comprend pas que les notions de temps et de durée sont des choses terrestres __ créées par le Verbe éternel pour ce monde temporaire (2 P 3, 10), où nous sommes, Lui par qui tout a été fait (Jn 1, 3 ; Col 1, 16) __, et non créées pour l’Au-delà, qui est l’Eternité. Une fois la porte de la mort ouverte devant chaque homme, le temps et la durée cessent instantanément pour lui : Plus de « durée », plus de « transition » pendant lesquelles il peut encore faire des choix. La métanoia et les choix se font en ce monde, en cette vie. Franchi le seuil de la mort, l’âme entre dans l'Eternité. A la seconde même où elle quitte son corps, elle reçoit son jugement personnel, immédiat et éternel (CEC - Article 1022). Voilà la raison et la rationalité.

Votre contradicteur, prétendant que la mort est un tunnel de traversée durable, où l'on fait encore des choix, se situe dans la déraison et l'irrationalité. Il prétend ainsi faire mentir la Vérité, qui a prévenu : "Veillez donc ; car vous ne savez ni le jour ni l'heure."

Notre joie est en Marie, la Mère de Dieu, dont le talon écrase la tête du Serpent.

Dieu vous garde, Révérend Père.

Chère Gudule,

"le fait de m'entendre dire que je n'aime pas Dieu, que toutes mes bonnes oeuvres ne sont que mensonges et hypocrisie m'est resté en travers de la gorge surtout de la part d'un prêtre"

Je vous ai dit la vérité. Si vous ne voulez pas le comprendre, tant pis pour vous. On n'aime pas Dieu si on ne L'aime pas à 100 %. Comment faut-il vous le dire ?

"deuxièmement, je vous l'avais signifié en mp très courtoisement et vous avez changé votre nouvelle réponse au lieu de répondre en mp puis, vous avez stoppé les commentaires. Ce genre de pratique, je ne vous direz pas ce que j'en pense, vous devinerez vous-même. Les "beaux" sermons à côté de ça, si vous voyez ce que je veux dire..."

Non, je ne vois pas ce qu'il y avait de problématique à préciser ma pensée tant manifestement vous avez du mal à comprendre ce que je vous disais.

(première version):
@Resurection mr l'abbé àGudule*
" et si cela vous choque de ne pouvoir garder pour vous 1% de votre amour, c'est la preuve que vous n'aimez pas Dieu, et que toutes vos bonnes oeuvres ne sont que mensonges et hypocrisie."

(deuxième version):
"... et si cela vous choque de ne pouvoir garder pour vous 1% de votre amour, c'est la preuve que vous n'aimez pas Dieu comme Il mérite d'être aimé." —

Monsieur l'Abbé,

Puisque vous ouvrez de nouveau les commentaires de cette vidéo, je me permet de reprendre la parole là où vous me l'avez coupée net puisque mon message était presque le dernier laissé ainsi pendant des semaines. Je peux donc vous dire mon questionnement quant au fait que vous avez modifié votre réponse dont voici (en bleu), les première et deuxième versions (la première ayant été relevée par Resurection dans un de ses coms.). Je vous exprime cela car premièrement le fait de m'entendre dire que je n'aime pas Dieu, que toutes mes bonnes oeuvres ne sont que mensonges et hypocrisie m'est resté en travers de la gorge surtout de la part d'un prêtre deuxièmement, je vous l'avais signifié en mp très courtoisement et vous avez changé votre nouvelle réponse au lieu de répondre en mp puis, vous avez stoppé les commentaires. Ce genre de pratique, je ne vous direz pas ce que j'en pense, vous devinerez vous-même. Les "beaux" sermons à côté de ça, si vous voyez ce que je veux dire...

(première version):
@Resurection mr l'abbé àGudule*
" et si cela vous choque de ne pouvoir garder pour vous 1% de votre amour, c'est la preuve que vous n'aimez pas Dieu, et que toutes vos bonnes oeuvres ne sont que mensonges et hypocrisie."

(deuxième version):
"... et si cela vous choque de ne pouvoir garder pour vous 1% de votre amour, c'est la preuve que vous n'aimez pas Dieu comme Il mérite d'être aimé."

C'est Pie XII encore qui, lors de la réception solennelle des Juristes
Catholiques Italiens, le 6 février 1955, rappelait combien l'enfer est terrible
:
«La révélation et le magistère de l'Église l'établissent fermement :
après le terme de la vie terrestre, ceux qui sont chargés d'une grave
faute seront soumis par le Maître Suprême à un jugement et subiront
une peine qui ne comporte ni libération ni pardon. Dieu pourrait même
dans l'au-delà remettre une telle peine : tout dépend de Sa libre volonté
; mais Il ne l'a jamais accordé ni ne l'accordera jamais. Ce n'est pas
ici le lieu de discuter pour savoir si l'on peut rigoureusement démontrer
ce fait par la seule raison naturelle ; certains l'assurent, d'autres le mettent
en doute. Mais les uns comme les autres apportent dans leurs arguments ex ratione des considérations qui indiquent qu'une telle disposition
de Dieu n'est contraire à aucun de Ses attributs, ni à Sa justice, ni
à Sa sagesse, ni à Sa miséricorde, ni à Sa bonté ; ils montrent encore
qu'elle n'est pas non plus en opposition avec la nature humaine donnée
par le Créateur Lui-même, avec sa finalité métaphysique absolue tendant
à Dieu, avec l'élan de la volonté humaine vers Dieu, avec la liberté
physique du vouloir, enracinée et toujours présente dans la créature
humaine. Toutes ces réflexions laissent sans doute chez l'homme,
quand il juge en se fiant seulement à sa propre raison, une dernière
question portant non plus sur la possibilité mais sur la réalité d'une si
inflexible sentence du Juge Suprême. Nul ne pourra donc s'étonner
qu'un Théologien de grande renommée ait pu écrire au début du XVIIè
siècle : Quator sunt mysteria nostræ sanctissimæ fidei maxime difficilia
creditu menti humanæ: mysterium Trinitatis, Incarnationis, Eucharistiæ
et æternitatis suppliciorum1. Mais malgré tout cela, le fait de
l'immutabilité et de l'éternité de ce jugement de réprobation et de son
accomplissement est hors de toute discussion. Les débats auxquels a
donné lieu un livre publié récemment manifestent souvent un grave défaut
de connaissance de la doctrine catholique et partent de prémisses
fausses ou faussement interprétées. Dans le cas présent, le législateur
suprême, en usant de son pouvoir supérieur et absolu, a fixé la validité
irrévocable de son jugement et de son exécution. Cette durée sans limite
est donc le droit en vigueur».(Pie XII, Discours aux Juristes catholiques
italiens, 5 février 1955).

Cher Abbé Pagès,

J'ai souvent écouté vos vidéo et je voulais prendre le temps de vous remercier pour votre travail d'évangélisation. Vous ne faîtes pas l'unanimité chez tous ceux qui passent leur temps à tout contester, surtout chez certains théologiens - soi-disant ; pour ceux qui cherchent la Vérité et la simplicité, par contre, vos enseignements sont rassurants et éclairants. En ces temps de grande confusion, je ne peux qu'admirer votre clarté, votre grande foi et... votre bravoure.

Que Dieu vous bénisse et que l'Esprit Saint vous couvre de son ombre.

En toute amitié en Jésus,

Gudule — 16/01/2012 22:03:23:
Si dans ma vie j'ai essayé du mieux que je peux d'aimer Dieu de toutes mes forces, de tout mon esprit, de toute mon âme et mon prochain comme moi même, même si malgré cela comme tout le monde j'ai péché et re péché en le regrettant et en me confessant sincèrement, bref si je n'ai pas été parfaite mais que j'ai fait mon possible avec amour et que je suis fauchée par une voiture, que je meure sans être en état de grâce à ce moment T comme vous dites, si donc je vais sur un siège éjectable directement en enfer, alors cette religion je la trouve absurde et le Dieu qu'elle décrit n'est ni bon, ni Amour, ni juste ni rien de tout cela et autant être athée!!! Je suis en colère pour le coup, COMMENT POUVEZ VOUS AFFIRMER QUE DIEU PUISSE DONNEZ LA DIRECTION ETERNELLE D'UNE AME, UNE CHOSE AUSSI CRUCIALE SUR UN PETIT MOMENT RIQUIQUI DE LA VIE D'UNE PERSONNE, C'EST INSENSE. CA CLOCHE COMPLETEMENT VOTRE TRUC C'EST ANTI- EVANGELIQUE, C'EST "TUE L'AMOUR", BONSOIR!"

Comme l'ont très bien dit déjà Alix et VVV.JNSR, en formulant différemment, je dis que Dieu a droit à être aimé de tout notre coeur, à 100% (Mt 22.37), et si cela vous choque de ne pouvoir garder pour vous 1% de votre amour, c'est la preuve que vous n'aimez pas Dieu comme Il mérite d'être aimé. En fait, il n'y a pas de raison que vous soyez choquée de pouvoir être prise au dépourvu, car ce moment où vous pourriez être prise en défaut pour être le dernier n'est pas pour autant substantiellement différent de tous ceux qui l'ont précédé, c'est à dire qu'il peut être chacun d'eux... Pourquoi donc se scandaliser à son sujet plutôt que pour tous les autres ? Si vous cherchez à aimer Dieu comme Il mérite d'être aimé, c'est à dire sans cesse, il n'y a pas de risque que ce moment arrive, mais seulement pour qui ne veille pas en vérité. Et si vous vous scandalisez et révoltez contre cette religion, c'est bien contre le Christ Lui-même que vous le faites, aussi vrai que c'est Lui qui a dit : "Soyez sur vos gardes, veillez, car vous ne savez pas quand ce sera le moment." (Mc 13.35)...

lion des bois — 17/01/2012 13:10:10: Dominus Vobiscum, et monsieur l'Abbé

Je peux juste dire que j'étais en état de péché mortel et qu'il ne m'a pas punit."

Eh bien, réjouissez-vous et soyez confondu de reconnaissance pour la miséricorde de Dieu dont vous avez bénéficié, et n'en déduisez jamais qu'elle est due, à aucun moment ! Elle est toujours absolument gratuite et à jamais imméritée.
Que si nous sommes sauvés, c'est toujours le don de Dieu, et si nous nous damnons, ce ne peut être que notre faute.

Dominus Vobiscum, et monsieur l'Abbé

Je peux juste dire que j'étais en état de péché mortel et qu'il ne m'a pas punit.

Je retrouve cela dans l'évangile de Jean chapitre 8, face à la femme adultère. La punit-il ? Or mon âme, était en état de péché mortel, était en état d'adultère face Dieu, moi, l'athée.

Si le terme énergie vous effraie, de lui se dégage une lumière. Cette lumière EST Amour, compassion, vérité, patience, souffrance. J'ai employé le mot énergie, si vous voulez vous pouvez le remplacer par "Amour, compassion, vérité, patience, souffrance"

Il n'y a aucune injure dans mes propos. Je ne sais pourquoi vous voyez injures

Cela dit, si vous y voyez injures, je vous en demande pardon et suis prêt à me retirer

Dominus vobiscum — 17/01/2012 12:17:51:
@lion des bois

"Alix, Le christ ne punit jamais, il propose son salut dans un incommensurable Amour"

Voila où mène la mauvaise compréhension et la mauvaise connaissance du Christ professée par Mr Dumouch, à de l'hérésie caractérisée. Mr lion des bois en écrivant ces quelques mots, vous apostasiez la foi catholique."

Vous avez raison, tel est en effet aussi bien l'enseignement de l’Écriture (Lc 19.41-44 ; Ap 3.19), que sur celui du Magistère : « Quant au pouvoir judiciaire, Jésus en personne affirme l'avoir reçu du Père, dans une réponse aux Juifs qui l'accusaient d'avoir violé le Sabbat en guérissant miraculeusement un malade durant ce jour de repos: "Le Père, leur dit-il, ne juge personne, mais il a donné au Fils tout jugement. Dans ce pouvoir judiciaire est également compris - car il en est inséparable - le droit de récompenser ou de châtier les hommes, même durant leur vie. » (Pie XI, Quas primas, n°10).

1. Moi si j’avais commis tous les crimes possibles,
Je garderais toujours la même confiance,
Car je sais bien que cette multitude d’offenses
N’est qu’une goutte d’eau dans un brasier ardent.

2. Oui, j’ai besoin d’un cœur, tout brûlant de tendresse
Qui reste mon appui, et sans aucun retour,
Qui aime tout en moi, et même ma faiblesse,
Et ne me quitte pas, ni la nuit ni le jour.

3. Non, je n’ai pu trouver, nulle autre créature
Qui m’aimât à ce point, et sans jamais mourir,
Car il me faut un Dieu qui prenne ma nature,
Qui devienne mon frère, et qui puisse souffrir.

4. Je ne sais que trop bien que toutes nos justices
N’ont devant ton regard, pas la moindre valeur,
Et pour donner du prix à tous nos sacrifices
Oui, je veux les jeter jusqu’en ton divin cœur.

5. Non, tu n’as pas trouvé créature sans tâche,
Au milieu des éclairs, tu nous donnas ta loi,
Et dans ton cœur sacré, Ô Jésus je me cache
Non, je ne tremble pas, car ma vertu c’est Toi.

Ste Thérèse de Lisieux, docteur de l'Eglise.

EF
oui,il le faisait , avec beaucoup de force , sans transiger, mais avec amour.Pourquoi opposer Amour et vérité? on peut tout à fait dire la vérité sans forcément le faire sans amour pour son prochain.surtout verbalement.
et je vous rappelle aussi que le curé d'Ars était à une époque et dans un temps donné qui nécessitait de faire ainsi. les gens étaient TOUS avec des bases de foi autour d'eux...
cela n'est plus le cas aujourd'hui. On ne peut donc jamais caler à 100% les façons de faire d'autrefois avec aujourd'"hui. *
Il faut tenir compte de QUI sont nos contemporains et ne pas vivre en croyant que nous sommes encore dans le Passé.Même si la Vérité ne change pas. c'est du reste cela que l'Eglise est en train de comprenfdre. Bien qu'elle ait encore pas mal de retard je pense.
Les époques nous obligent à adapter aux personnes;
C'est comme si vous aviez demandé aux missionnaires qui partaient évangéliser aux Indes ou en Chine de faire comme à Paris à la même époque... il fallait qu'ils d'adaptent , malgré tout. Ce n'est pas incompatible.

Resurrection

Je vous le répète " Je suis bien d'accord avec vos propos "
et votre commentaire sur le Curé d'Ars est juste mais je vous répète encore une fois qu'il avisait les personnes quand elles étaient dans un chemin qui pouvait amener leur âme à la perdition !

EF"Et vous savez comme moi que cela n'a pas fait fuir les gens car il pouvait confesser quinze heures par jour !"

hé oui!je voulais en parler aussi du st Curé d'Ars, dont on brosse souvent un tableau faussé de dureté à cause de certains propos..mais il était d'une douceur inouie, un Amour qui surpassait tout.et que se dégageait de sa présence un immense Amour lui permettant de dire de tels propos;
c'est ce que je dis sans cesse:sansl'Amour , on ne peut rien, ni dire ni faire, car tout est alors vain et non crédible. Par contre, avec Amour , on peut TOUT obtenir; et cela se vérifie tous les jours auprès de ceux qui souffrent et ceux qui cherchent.La Vérité ne peut être donnée que dans l'AMOUR, le Christ a donné sa Vie sur la Croix par AMOUR, le sacrifice suprême. pas dans la dureté face aux misères humaines.

Monsieur l'abbé, une précision supplémentaire. Avant que je ne rencontre le Christ j'étais athée, et ne connaissais rien du Christ et ne demandais rien de lui, je ne fréquentais ni l'Eglise, ni la messe,

Le Christ fait tout pour récupérer une âme dès qu'il le peut