La Prise des Tuileries ou le Massacre des Gardes Suisses

"Franck Abed analyse l'ouvrage d'Alain-Jacques Czouz-Tornare, historien franco-suisse "La prise des Tuileries et le sacrifice de la Garde suisse". Extraits : "Ce livre nous présente, sous un jour …Plus
"Franck Abed analyse l'ouvrage d'Alain-Jacques Czouz-Tornare, historien franco-suisse "La prise des Tuileries et le sacrifice de la Garde suisse".
Extraits : "Ce livre nous présente, sous un jour nouveau, les Gardes suisses et leur sacrifice héroïque du 10 août 1792. [...] L’auteur explique dès les premières lignes que : « la journée du 10 août 1792, l’une des plus spectaculaires séquences dramatiques de l’histoire des relations franco-suisses, se nomme sobrement « prise des Tuileries » en France et plus crûment « massacre des Gardes suisses » au pays de Guillaume Tell ». [...] Czouz-Tornare développe une idée pertinente montrant tout le paradoxe de cette journée d’été : « en focalisant sa haine contre ses étrangers à la Nation, le peuple fit d’eux le symbole de la fragilité du pouvoir royal réduit à s’appuyer sur ceux qui n’étaient pas ses sujets ». Pour rappel, nombreux sont les soldats des troupes régulières qui avaient déserté pour rejoindre le camp révolutionnaire. Quant à ceux …Plus
ne nous laissez pas succomber
@Catholique et Français ,je vous comprend et vous respect ,mai dans votre vie avez vous lutter contre les asseaux du malin ,on perd parfois pied et cela arrive aussi dans nos vies à une plu petite échelle ,mais cela peut bouleversée des Familles ,comme cela à bouleversée la FRANCE FILLE AINÉE de l'Église de notre Seigneur .De toutes façons Merci pour tout .
Catholique et Français
Désolé, à la suite de tant d'autres, j'ai étudié les évènements minute par minute : Louis XVI est IM-PAR-DO-NNA-BLE ! Ce qu'il a fait est absolument CRI-MI-NEL ! Il n'a AUCUNE EXCUSE, D'AUCUNE SORTE devant l'histoire. On ne donne pas l'ordre à des soldats de mettre l'arme à la bretelle EN PLEIN MILIEU d'une bataille acharnée, surtout face à des bêtes sauvages assoiffées de sang, de cruauté …Plus
Désolé, à la suite de tant d'autres, j'ai étudié les évènements minute par minute : Louis XVI est IM-PAR-DO-NNA-BLE ! Ce qu'il a fait est absolument CRI-MI-NEL ! Il n'a AUCUNE EXCUSE, D'AUCUNE SORTE devant l'histoire. On ne donne pas l'ordre à des soldats de mettre l'arme à la bretelle EN PLEIN MILIEU d'une bataille acharnée, surtout face à des bêtes sauvages assoiffées de sang, de cruauté, sans pitié et sans honneur ! C'est livrer les siens sciemment à la boucherie !
ne nous laissez pas succomber
@Catholique et Français ,moi je comprend Louis XVI il à du pensé que tout s'arrêterait ,pour moi ce devait être un homme de paix ,et bien souvent dans nos vies nous pensons comme lui et nous nous trouvons mari ,le bec dans l'eau ,merci pour tout vos écrits très instructif et pour ce que l'on à oublier .
Catholique et Français
Ce qui est criminel et impardonnable de la part de Louis XVI, c'est d'avoir ordonné de cesser le combat en plein milieu de la bataille, sans condition et de déposer les armes ! Cet ordre insensé, hélas obéi par les suisses, a semé le désordre et la confusion, totalement désorganisé la défense et livré les pauvres suisses et les autres défenseurs désarmés aux bêtes sauvages ! S'en sont …Plus
Ce qui est criminel et impardonnable de la part de Louis XVI, c'est d'avoir ordonné de cesser le combat en plein milieu de la bataille, sans condition et de déposer les armes ! Cet ordre insensé, hélas obéi par les suisses, a semé le désordre et la confusion, totalement désorganisé la défense et livré les pauvres suisses et les autres défenseurs désarmés aux bêtes sauvages ! S'en sont ensuivies des horreurs et des abominations, en particulier de la part des mégères des faubourgs qui se sont livrées aux pires indécences sur les cadavres des héros, horreurs et abominations dont même Napoléon s'est indigné à la fin d'une vie au cours de laquelle il en avait pourtant vu beaucoup.
Vidi Aquam
reseauinternational.net/le-roi-la-dette…
Voilà une des causes de la révolution.
Je me suis trompé dans mes propos. Le peuple n'était pas tous contre le Roi et bien entendu ce sont des francs maçons, aidés par les anglais qui ont fomenté cette révolte contre Dieu.
www.fatima.be/fr/fatima/vision/roi.php
Ignorance des appels de Notre Seigneur Jésus-Christ de la part du Roi Louis XIV.
Comme toujours …Plus
reseauinternational.net/le-roi-la-dette…
Voilà une des causes de la révolution.
Je me suis trompé dans mes propos. Le peuple n'était pas tous contre le Roi et bien entendu ce sont des francs maçons, aidés par les anglais qui ont fomenté cette révolte contre Dieu.

www.fatima.be/fr/fatima/vision/roi.php
Ignorance des appels de Notre Seigneur Jésus-Christ de la part du Roi Louis XIV.

Comme toujours ce sont les justes qui payent le prix le plus chère des trahisons des puissants.
Et nous le payons encore aujourd'hui !
Sauveur de mon coeur ayez pitié de la France, même si elle ne le mérite pas !!
Catholique et Français
Je ne vois pas ce que Louis XIV ou "le mépris de la haute bourgeoisie envers le peuple" viennent faire dans l'assaut des Tuileries le 10 août 1792 !!!! Comme je l'ai développé dans mes deux premiers commentaires, il est grotesque d'affirmer, comme le fait monsieur Abed, que c'est le "peuple" français qui a attaqué les Tuileries; à ce sujet, j'ai d'ailleurs oublié de mentionner que la masse des …Plus
Je ne vois pas ce que Louis XIV ou "le mépris de la haute bourgeoisie envers le peuple" viennent faire dans l'assaut des Tuileries le 10 août 1792 !!!! Comme je l'ai développé dans mes deux premiers commentaires, il est grotesque d'affirmer, comme le fait monsieur Abed, que c'est le "peuple" français qui a attaqué les Tuileries; à ce sujet, j'ai d'ailleurs oublié de mentionner que la masse des assaillants était largement constituée des nombreux bagnards marseillais et brestois qui avaient investi et terrorisé la ville de Paris depuis la fin du printemps; deuxièmement, non seulement l'issue des combats est contraire à ce qui était hautement probable et très facilement réalisable mais elle s'explique uniquement par le comportement totalement insensé et même criminel du roi Louis XVI ("Quel couillon !", comme l'a dit crûment Bonaparte).
ne nous laissez pas succomber
Une chose ma choque ,c'est de faire porter la responsabilité à Luis XVI ,il dit à la garde Suisse ( aujourd'hui la légion étrangère ,alors pourquoi lui en vouloir)de cessez le combat c'est tout à son honneur aux vu du massacre la honte est bien dans les rends des révolutionnaires ,le même acharnement de crise et de haine la ou la réflexion n'à plu cour ,ou l'esprit est envouter par le Malin …Plus
Une chose ma choque ,c'est de faire porter la responsabilité à Luis XVI ,il dit à la garde Suisse ( aujourd'hui la légion étrangère ,alors pourquoi lui en vouloir)de cessez le combat c'est tout à son honneur aux vu du massacre la honte est bien dans les rends des révolutionnaires ,le même acharnement de crise et de haine la ou la réflexion n'à plu cour ,ou l'esprit est envouter par le Malin ,on peut le voir encore aujourd'hui chez certains .
ne nous laissez pas succomber
@Vidi Aquam ,voudriez vous développer vos argument SVPL .@Catholique et Français un grand Merci de remettre l'histoire dans sa vérité celle qui nous à été transmise par nos parents et qui n'est pas dans les livre scolaires (et pour cause ,marianne ferait grise mine .
Vidi Aquam
Premier coupable Louis XIV, puis les rois successifs. Et surtout le mépris de la haute bourgeoisie envers le peuple.
Tout se paye et Notre Seigneur les avait averti mainte fois.
Catholique et Français
"...le peuple...", "...alors que Paris bouillonne déjà...", "...la vindicte populaire..." : c'est, semble-t-il, le 10 août 1792 que fut utilisée pour la première fois l'escroquerie de l'amalgame d'une émeute de quelques milliers de sauvages avec le "peuple" français dans sa globalité ! Il est consternant que l'auteur de cet excellent article tombe lui aussi dans ce piège grossier et maintenant …Plus
"...le peuple...", "...alors que Paris bouillonne déjà...", "...la vindicte populaire..." : c'est, semble-t-il, le 10 août 1792 que fut utilisée pour la première fois l'escroquerie de l'amalgame d'une émeute de quelques milliers de sauvages avec le "peuple" français dans sa globalité ! Il est consternant que l'auteur de cet excellent article tombe lui aussi dans ce piège grossier et maintenant archi-éculé ! Par ignorance ? Ce procédé amalgamant émeutiers et "peuple" a largement fait florès depuis 1792 et l'on peut, de nos jours, entendre des "antifas", des parasites d'Universités, un imposteur Cöhn-Bendit ou un vulgaire Mélanchton se proclamer sans rire représentants ou porte-paroles du "Peuple" ! Sait-on, par exemple, que lors des terribles "Massacres de Septembre" 1792, qui firent à Paris environ 1500 victimes, plusieurs quartiers de Paris (alors beaucoup plus petit et resserré que maintenant) restèrent parfaitement calmes; certains témoins citèrent même des propriétés où les septembriseurs commettaient leurs forfaits "à la chaine" alors que de l'autre côté du mur des parisiens insouciants profitaient calmement des derniers rayons de cet été d'horreur !
Catholique et Français
"...Le combat était perdu d’avance, en raison de la disproportion des forces en présence et du fanatisme révolutionnaire..." : cette assertion est absolument et mille fois fausse ! Bien au contraire, la victoire, ou tout au moins le retrait, était facilement accessible en ce jour du Dix Août 1792, pour de multiples raisons dont voici les principales :
- Les troupes présentes (formidables Gardes …Plus
"...Le combat était perdu d’avance, en raison de la disproportion des forces en présence et du fanatisme révolutionnaire..." : cette assertion est absolument et mille fois fausse ! Bien au contraire, la victoire, ou tout au moins le retrait, était facilement accessible en ce jour du Dix Août 1792, pour de multiples raisons dont voici les principales :
- Les troupes présentes (formidables Gardes Suisses, minorité de la Garde Nationale restée fidèle, Bataillon des Filles Saint-Thomas etc...) étaient des troupes d'élite, bien commandées, bien organisées (jusqu'au lamentable ordre catégorique du roi : "Cessez le combat !"... en plein combat acharné !!!) et très fortement motivées.
- Les assaillants des Tuileries furent beaucoup moins nombreux que ce que la propagande républicaine martèle depuis deux siècles : quelques milliers au maximum dans une ville de 600.000 habitants.
- De très nombreux français, dont la grosse majorité des futurs chefs vendéens (La Roche-Jacquelain, Bonchamps, Lescure, Charette, Donissan etc...) étaient présents pour se dépenser sans compter et donner leur vie pour le roi et la France.
- Il y avait à ce moment précis de 1792, après l'année 1791 et Varennes, un profond mouvement de désaffection vis à vis de la Révolution et ses meneurs toujours plus enragés; la plupart des français étaient prêts à se retourner et à revenir de leurs folies : l'attitude de La Fayette à l'été 1792 est très symptômatique de ce profond revirement. Tout le monde sentait venir l'abîme où quelques poignées d'énergumènes fanatiques étaient prêts à précipiter le pays. Le gros du peuple français était derrière Louis XVI et n'espérait que le signal de la Contre-Révolution victorieuse.
- Les révolutionnaires parisiens ne s'attendaient pas du tout à la victoire et j'ai un livre très éclairant sur ce sujet : "Nous avons vécu la Révolution Française" (ViaMedias/Collection Manuscrits); selon leur propre témoignage (absolument passionnant !), les chefs des émeutiers se sont avancés sans organisation et avec crainte dans Paris, absolument persuadés qu'ils étaient attendus et qu'ils seraient arrêtés (en particulier sur les ponts) puis refoulés dans les faubourgs (Saint Antoine, Saint Marcel...). Ils furent les premiers étonnés de la passivité de la monarchie.
- Même en cas de difficultés, peu probables, la retraite était très facile, Paris étant très peu peuplé à partir de la Place Louis XV ( ou de la Concorde) : Jardin des Tuileries, Champs Elysées, Sablons, Pont de Neuilly (facilement défendable; caserne des Suisses de Courbevoie à la sortie du pont), Rueil (2° caserne des Suisses), Saint Germain et la Normandie, très majoritairement fidèle au roi.
C'est Louis XVI, et lui seul, qui est responsable du désastre et du naufrage de cette pauvre France !
Laissons le mot de la fin au jeune Napoléon Bonaparte, témoin oculaire de ce drame si peu prévisible, qui lança en corse, devant la lamentable et criminelle conduite de Louis XVI : "Quel couillon !"