Décision disciplinaire de la FSSPX au sujet des mariages
La décision d'obliger tous les prêtres de la FSSPX à recevoir les consentements des mariés dans le cadre de la juridiction conciliaire quand l'évêque du lieu l'aura concédé est désormais incontournable pour tous les prêtres de la Fraternité. Cette décision oblige : c'est à dire que les prêtres de la Fraternité St Pie X qui refusent cette délégation sont MAINTENANT INTERDITS de recevoir les consentements des mariages quand cette délégation est conférée par le diocèse.
directive :
"Les prêtres refusant la délégation sont maintenant interdits de recevoir les consentements des mariages sans cette délégation."
Signification :
Les prêtres qui refusent cette délégation parce qu'ils ne veulent pas se soumettre à l'autorité des évêques modernistes et du nouveau code moderniste sont donc écarté d'un ministère très important et pour ainsi dire mis au ban de la néo-Fraternité.
Chantage au ministère :
Les supérieurs de la néo-Fraternité agissent comme de vrais modernistes. Ils contraignent les prêtres à s'aligner sur le nouveau code et à se soumettre aux évêques modernistes sans quoi ils seraient privés de ministère et de mariages en particulier.
Sanctions :
Certains prêtres de la Fraternité ont donc anticipé ces décisions et décidé de ne plus préparer les fiancés et de recevoir les consentements des mariés dans ce cadre moderniste comme par exemple M. l'abbé Gaudray qui se retrouve aumônier des dominicaines à Kernabat. D'autres sont sanctionnés et se trouvent mutés dans des écoles de garçons comme M. l'abbé d'Abbadie qui avait préféré ne pas accepter cette juridiction moderniste : il est muté au Canada dans une école. Ils se contenteront de marier quand le diocèse ne donnera pas de délégation ordinaire ; mais la juridiction de suppléance (si elle existe encore ?) tendra à disparaître assez rapidement puisque Rome veut achever la tutelle sacramentelle de la Fraternité pour la tenir complètement.
L'avenir :
Il n'y a donc plus de place dans la néo-Fraternité pour des prêtres sérieux ou qui désirent faire du bien aux familles catholiques en leur prodiguant une préparation au mariage fermement anti-conciliaire.
L'avenir de ces prêtres est de retrouver la pleine liberté de leur sacerdoce. C'est l'exemple que Mgr Lefebvre a donné à tous les catholiques en se soustrayant de la juridiction des modernistes et aussi tout dernièrement dans le départ de M l'abbé Rousseau.
directive :
"Les prêtres refusant la délégation sont maintenant interdits de recevoir les consentements des mariages sans cette délégation."
Signification :
Les prêtres qui refusent cette délégation parce qu'ils ne veulent pas se soumettre à l'autorité des évêques modernistes et du nouveau code moderniste sont donc écarté d'un ministère très important et pour ainsi dire mis au ban de la néo-Fraternité.
Chantage au ministère :
Les supérieurs de la néo-Fraternité agissent comme de vrais modernistes. Ils contraignent les prêtres à s'aligner sur le nouveau code et à se soumettre aux évêques modernistes sans quoi ils seraient privés de ministère et de mariages en particulier.
Sanctions :
Certains prêtres de la Fraternité ont donc anticipé ces décisions et décidé de ne plus préparer les fiancés et de recevoir les consentements des mariés dans ce cadre moderniste comme par exemple M. l'abbé Gaudray qui se retrouve aumônier des dominicaines à Kernabat. D'autres sont sanctionnés et se trouvent mutés dans des écoles de garçons comme M. l'abbé d'Abbadie qui avait préféré ne pas accepter cette juridiction moderniste : il est muté au Canada dans une école. Ils se contenteront de marier quand le diocèse ne donnera pas de délégation ordinaire ; mais la juridiction de suppléance (si elle existe encore ?) tendra à disparaître assez rapidement puisque Rome veut achever la tutelle sacramentelle de la Fraternité pour la tenir complètement.
L'avenir :
Il n'y a donc plus de place dans la néo-Fraternité pour des prêtres sérieux ou qui désirent faire du bien aux familles catholiques en leur prodiguant une préparation au mariage fermement anti-conciliaire.
L'avenir de ces prêtres est de retrouver la pleine liberté de leur sacerdoce. C'est l'exemple que Mgr Lefebvre a donné à tous les catholiques en se soustrayant de la juridiction des modernistes et aussi tout dernièrement dans le départ de M l'abbé Rousseau.