Entre organistes, tout ces trucs-là, on connaît bien : c'est pas une blague !
[de 1984 à 1993, j'ai joué sur cet orgue comme titulaire (G.C.)] * * * La crise que traverse l’Église et qui s’observe tant dans la diminution des candidats au sacerdoce et des prêtres que dans la …Plus
[de 1984 à 1993, j'ai joué sur cet orgue comme titulaire (G.C.)]
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La crise que traverse l’Église et qui s’observe tant dans la diminution des candidats au sacerdoce et des prêtres que dans la chute de la pratique dominicale, n’est pas tombée du ciel du jour au lendemain. Elle a été préparée, voulue, organisée par des pasteurs diocésains qui, surtout en France, ont, par leurs silences, laissé se développer et s’ancrer toutes les aberrations liturgiques et catéchétiques, surtout les plus opposées aux enseignements de l’Église.
Parmi ces aberrations désormais solidement établies, citons :
- l’obligation de célébrer la messe “face au peuple” sur des “autels-caisses” ou des “autels-planches à repasser” ;
- l’interdiction de célébrer en latin la liturgie restaurée à la suite de Vatican II ;
- la limitation drastique du chant grégorien et son remplacement par des chansons d’une profonde déficience musicale et théologiques ;
- l’obligation d’avoir des célébrations liturgiques “évolutives”…Plus
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La crise que traverse l’Église et qui s’observe tant dans la diminution des candidats au sacerdoce et des prêtres que dans la chute de la pratique dominicale, n’est pas tombée du ciel du jour au lendemain. Elle a été préparée, voulue, organisée par des pasteurs diocésains qui, surtout en France, ont, par leurs silences, laissé se développer et s’ancrer toutes les aberrations liturgiques et catéchétiques, surtout les plus opposées aux enseignements de l’Église.
Parmi ces aberrations désormais solidement établies, citons :
- l’obligation de célébrer la messe “face au peuple” sur des “autels-caisses” ou des “autels-planches à repasser” ;
- l’interdiction de célébrer en latin la liturgie restaurée à la suite de Vatican II ;
- la limitation drastique du chant grégorien et son remplacement par des chansons d’une profonde déficience musicale et théologiques ;
- l’obligation d’avoir des célébrations liturgiques “évolutives”…Plus
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