Montfort.
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FRANÇOIS à TELEVISA -5- : Valentina Alazraki s'entretient avec l'Antéchrist à la télévision mexicaine (traduction française intégrale) - Cinquième partie -

Album ACTU
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : comme François l'est, concluez !

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[Où Bergoglio aligne les hérésies dans un charabia où tous les sens se mélangent, quelquefois dans la même phrase. La chose la plus importante à retenir est cette monstrueuse hérésie, savoir que Dieu aime Judas ! Donc il aime Lucifer, les diables et les damnés, autrement dit, l'enfer n'existe pas, et du coup, ce n'est pas une invention de Scalfari puisque c'est Bergoglio lui-même qui le dit en direct.
Conclusion : les conciliaires ont un pape qui nie l'existence de l'enfer : après tout, c'est le pape qu'ils méritent !!!]


Le PAPE à TELEVISA (suite)

>>> Les 6 autres parties

Et avec les gouvernements, comment vous sentez-vous ? C’est un aspect qui attire parfois notre attention pendant nos voyages, parce qu’il est impossible de trouver un gouvernement qui fasse tout ce que l’Église veut : qui ait la politique sociale que l’Église veut, qui défende les valeurs de la religion catholique et des êtres humains. Comme vous dites, c’est compliqué. Parfois, il y a des dirigeants, ceux de gauche pour être clairs, qui ont peut-être des projets sociaux que vous aimez beaucoup, mais qui ne respectent pas les valeurs catholiques et humaines. Au contraire, les hommes de droite qui s’attaquent à l’avortement, mais qui ont un programme social injuste, et on a le sentiment que l’on préfère le premier au second. Est-ce une mauvaise impression ?

R. - Non, je n’aime pas dire : « Je préfère, je préfère, je préfère moins. » Non, je veux être honnête à ce sujet. Devant un gouvernement, j’essaie de dialoguer avec ce qu’il y a de mieux. Parce que c’est du mieux qu’il a qu’il peut faire du bien à son peuple. Et j’essaie de le faire dans les discours. Parfois, dans les discours, je dis des choses plus générales sur les problèmes du pays, puis, en séance privée, je me permets d’en faire un peu plus. Mais il faut reconnaître le bien qu’il y a en une personne, même si elle a aussi de mauvaises choses. « Vous avez ceci, c’est bien, continuez dans cette direction. » Alors je propose. Et je trouve quelque chose de bon en chacun, de bonne volonté, même chez les non-croyants, ils font toujours quelque chose de bien. Et c’est aussi utile pour les gens. C’est-à-dire, « cette personne m’est désagréable ». Mais cette personne désagréable, qui va même dire du mal de moi, a-t-elle quelque chose de bon ? Et si elle a ceci et cela.... Puis je pense à ce qu’elle a de bon et la tempête se calme. C’est quelque chose que tout le monde devrait faire. Je vous ai donné un livret que je distribue à la Curie, parce que nous sommes plus enclins à mal parler des gens, c’est bon pour nous.

Pouvez-vous nous dire comment ça s’appelle ?

R. - « Ne parle pas des autres », « Ne critique pas les gens. » C’est un défaut que nous avons tous, nous voyons immédiatement le défaut de l’autre, nous cancanons, nous cancanons. Et cela s’applique à tout le monde : les dirigeants, les gouvernés, les garçons, les jeunes, les hommes, les femmes, tous. On dit que les femmes sont plus bavardes. Ce n’est pas vrai ! Même les hommes sont des ragoteurs.

Et ici, ça suffit....

R. - Je pense donc qu’il serait bon pour nous, quand nous sommes sur le point de faire un commérage, de penser : « Il y a quelque chose de bien chez cette personne. » Tout le monde a quelque chose de bon. Alors je rends grâce à Dieu pour cela. Et après, oui, vous pouvez lui dire ça en privé, pour qu’il puisse se corriger, lui dire. Mais ne le dites pas aux autres.

Passons maintenant aux riches, aux pauvres...

R. - J’ai déjà parlé un peu de ce problème quand j’ai parlé de la migration.

Il y a peut-être un autre sujet qui attire l’attention et qu’il serait bon d’expliquer. C’est votre relation avec des gens qui vivent dans des situations qu’on appelait auparavant "irrégulières", pour ainsi dire. Permettez-moi de vous donner un exemple. Quand vous avez reçu un transsexuel espagnol avec son partenaire à Santa Marta, il est clair que ces personnes sont sorties de Santa Marta en disant que vous les avez embrassées, que vous les avez bénies, que Dieu les aime. Puis une argentine divorcée vous a appelée au téléphone et elle a dit : « Le Pape a dit que je pouvais communier. » C’est clair, les fidèles, dans un cas comme dans l’autre, vont voir les prêtres et disent : « Le Pape m’a dit que tout va bien et que je peux faire la communion. » Et les prêtres s’arrachent les cheveux et disent : « Que dois-je faire maintenant ? », parce que la doctrine n’a pas changé. Alors, comment gérez-vous cette situation ?

R. - Parfois, les gens par enthousiasme d’être reçu disent plus de choses que le Pape n’en a dites, ne l’oublions pas.

C’est un risque que vous courez....

R. - Clairement, un risque. Mais tous sont enfants de Dieu, tous sont enfants de Dieu. Nous tous. Et je ne peux rejeter personne. Si je dois faire attention à ceux qui jouent mal, à ceux qui m’ont tendu un piège, je dois faire attention. Mais rejetez, non. Je ne peux même pas dire à une personne que sa conduite est en accord avec ce que l’Église veut, je ne peux pas le faire. Mais je dois lui dire la vérité : « Tu es un enfant de Dieu et Dieu t’aime tant, maintenant, vois-le avec Dieu. » Je n’ai pas le droit de dire à qui que ce soit qu’il n’est pas un enfant de Dieu parce qu'il n'aurait pas la vérité. Et je ne peux dire à personne que Dieu ne l’aime pas parce que Dieu aime tout le monde, même Judas. De toute évidence, il s’agit de cas limites. Ce que j’ai dit à cette dame, je ne m’en souviens pas bien, mais j’ai dû lui dire sûrement : « Regarde, dans Amoris laetitia il y a ce que tu dois faire. Parlez à un prêtre, et avec lui cherchez... »

Un cheminement....

R. - Un chemin, j’ouvre un chemin. Mais je prends grand soin de dire « tu peux faire la communion ou non » à douze mille kilomètres de là, ce serait un acte d’irresponsabilité. Et ce serait tomber dans la casuistique, je peux ou ne peux pas, quelque chose que je n’accepte pas. C’est un processus d’intégration dans l’Église. Si nous pensions tous que les gens en situation irrégulière... ne le faisons pas, je n’aime pas ça.

Oui, c’est un mot que vous détestez, et moi aussi, mais pour que tous comprennent.

R. - Si nous pouvions nous convaincre qu’ils sont les enfants de Dieu, cela changerait assez. Ils m’ont posé une question pendant le vol - après je me suis mis en colère, je me suis mis en colère parce qu’un journal l’a rapporté - sur l’intégration familiale des personnes ayant une orientation homosexuelle. J’ai dit : les homosexuels ont le droit de faire partie de la famille, les personnes ayant une orientation homosexuelle ont le droit de faire partie de la famille et les parents ont le droit de reconnaître cet enfant comme homosexuel, cette fille comme homosexuelle, vous ne pouvez chasser personne de la famille ou rendre la vie impossible pour eux. Une autre chose que j’ai dite, c’est que lorsque vous voyez un signe chez les garçons qui grandissent, vous devez les envoyer, j’aurais dû dire à un professionnel, et à la place je suis allé chez le psychiatre. Titre de ce journal : "Le Pape envoie les homosexuels chez le psychiatre". Ce n’est pas vrai ! Ils m’ont posé à nouveau la même question et je leur ai répété : ce sont des enfants de Dieu, ils ont droit à une famille, et c’est tout. Et j’ai expliqué : j’ai eu tort d’utiliser ce mot, mais je voulais le dire. Quand vous remarquez quelque chose d’étrange, non, pas étrange, quelque chose qui sort de l’ordinaire, ne prenez pas ce petit mot pour annuler le contexte. Ce que je dis, c’est qu’il a droit à une famille. Et cela ne veut pas dire approuver les actes homosexuels, bien au contraire.

Vous savez ce qui se passe, que vous sortez souvent du contexte, c’est aussi un vice de la presse. Quand vous avez dit lors de votre premier voyage cette phrase très célèbre : « Qui suis-je pour juger », vous avez dit auparavant : « nous savons déjà ce que dit le catéchisme. » Ce qui se passe, c’est que cette première partie on ne s’en souvient pas, on se souvient simplement : « Qui suis-je pour juger ». Cela a donc suscité de nombreuses attentes dans la communauté homosexuelle mondiale, parce qu’ils pensaient que vous iriez de l’avant.

R. - Oui, j’ai fait des déclarations comme celle de cette famille pour aller de l’avant. La doctrine est la même, celle des divorcés a été réadaptée, en ligne cependant avec Amoris laetitia, au chapitre huit, qui est de récupérer la doctrine de saint Thomas, pas la casuistique.

C’est le problème qui est parfois créé.

R. - Et c’est étrange, ils m’ont dit que c’était un non-croyant qui me défendait. Il a dit quelque chose que je n’avais jamais entendu auparavant, que l’expression « voir un psychiatre » était un lapsus linguae.

(à suivre)

>>> L'hérésie officielle de François : catholique.forumactif.com/t17-l-heresie-o…

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>>> Le Ciel ouvert par les TROIS AVE MARIA du matin et du soir
& La NEUVAINE EFFICACE


AJPM
BERGOGLIO dit que « DIEU AIME JUDAS » !
Donc il aime Lucifer, les diables et les damnés, autrement dit, l'enfer n'existe pas, et du coup, ce n'est pas une invention de Scalfari puisque c'est Bergoglio lui-même qui le dit en direct à la télévision mexicaine !!!
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