Francesco I
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Lettre du Bienheureux Charles de Foucauld à René Bazin, de l'Académie française, le 29 Juillet, 1916

JESUS CARITAS,
Tamanrasset, par Insalah, via Biskra, Algérie, 29 juillet 1916.

" Monsieur, Je vous remercie infiniment d'avoir bien voulu répondre à ma lettre, au milieu de tant de travaux, et si fraternellement. Je pourrais, m'écrivez-vous, vous dire utilement la vie du missionnaire parmi les populations musulmanes, mon sentiment sur ce qu'on peut attendre d'une politique qui ne cherche pas à convertir les musulmans par l'exemple et par l'éducation et qui par conséquent maintient le mahométisme, enfin des conversations avec des personnages du désert sur les affaires d'Europe et sur la guerre.

I — Vie du missionnaire parmi les populations musulmanes

Habituellement chaque mission comprend plusieurs prêtres, au moins deux ou trois ; ils se partagent le travail qui consiste surtout en relations avec les indigènes (les visiter et recevoir leurs visites) ; œuvres de bienfaisance (aumônes, dispensaires) ; œuvres d'éducation (écoles d'enfants, écoles du soir pour les adultes, ateliers pour les adolescents) ; ministère paroissial (pour les convertis et ceux qui veulent s'instruire dans la religion chrétienne). Je ne suis pas en état de vous décrire cette vie qui, dans ma solitude au milieu de populations très disséminées et encore très éloignées d'esprit et de cœur, n'est pas la mienne... Les missionnaires isolés comme moi sont fort rares. Leur rôle est de préparer la voie, en sorte que les missions qui les remplaceront trouvent une population amie et confiante, des âmes quelque peu préparées au christianisme, et, si faire se peut, quelques chrétiens. Vous avez en partie décrit leurs devoirs dans votre article : "Le plus grand service" (Écho de Paris, 22 janvier 1916). Il faut nous faire accepter des musulmans, devenir pour eux l'ami sûr, à qui on va quand on est dans le doute ou la peine, sur l'affection, la sagesse et la justice duquel on compte absolument. Ce n'est que quand on est arrivé là qu'on peut arriver à faire du bien à leurs âmes. Inspirer une confiance absolue en notre véracité, en la droiture de notre caractère, et en notre instruction supérieure, donner une idée de notre religion par notre bonté et nos vertus, être en relations affectueuses avec autant d'âmes qu'on le peut, musulmanes ou chrétiennes, indigènes ou françaises, c'est notre premier devoir : ce n'est qu'après l'avoir bien rempli, assez longtemps, qu'on peut faire du bien.

Ma vie consiste donc à être le plus possible en relation avec ce qui m'entoure et à rendre tous les services que je peux. À mesure que l'intimité s'établit, je parle, toujours ou presque toujours en tête à tête, du bon Dieu, brièvement, donnant à chacun ce qu'il peut porter, fuite du péché, acte d'amour parfait, acte de contrition parfaite, les deux grands commandements de l'amour de Dieu et du prochain, examen de conscience, méditation des fins dernières, à la vue de la créature penser à Dieu, etc., donnant à chacun selon ses forces et avançant lentement, prudemment.

Il y à fort peu de missionnaires isolés faisant cet office de défricheur ; je voudrais qu'il y en eût beaucoup : tout curé d'Algérie, de Tunisie ou du Maroc, tout aumônier militaire, tout pieux catholique laïc (à l'exemple de Priscille et d'Aquila), pourrait l'être. Le gouvernement interdit au clergé séculier de faire de la propagande anti-musulmane ; mais il s'agit de propagande ouverte et plus ou moins bruyante : les relations amicales avec beaucoup d'indigènes, tendant à amener lentement, doucement, silencieusement, les musulmans à se rapprocher des chrétiens devenus leurs amis, ne peuvent être interdites par personne. Tout curé de nos colonies, pourrait s'efforcer de former beaucoup de ses paroissiens et paroissiennes à être des Priscille et des Aquila. Il y a toute une propagande tendre et discrète à faire auprès des indigènes infidèles, propagande qui veut avant tout de la bonté, de l'amour et de la prudence, comme quand nous voulons ramener à Dieu un parent qui a perdu la foi...

Espérons qu'après la victoire nos colonies prendront un nouvel essor. Quelle belle mission pour nos cadets de France, d'aller coloniser dans les territoires africains de la mère patrie, non pour s'y enrichir, mais pour y faire aimer la France, y rendre les âmes françaises et surtout leur procurer le salut éternel, étant avant tout des Priscille et des Aquila !

II — Comment franciser les peuples de notre empire africain

Ma pensée est que si, petit à petit, doucement, les musulmans de notre empire colonial du nord de l'Afrique ne se convertissent pas, il se produira un mouvement nationaliste analogue à celui de la Turquie : une élite intellectuelle se formera dans les grandes villes, instruite à la française, sans avoir l'esprit ni le cœur français, élite qui aura perdu toute foi islamique, mais qui en gardera l'étiquette pour pouvoir par elle influencer les masses ; d'autre part, la masse des nomades et des campagnards restera ignorante, éloignée de nous, fermement mahométane, portée à la haine et au mépris des Français par sa religion, par ses marabouts, par les contacts qu'elle a avec les Français (représentants de l'autorité, colons, commerçants), contacts qui trop souvent ne sont pas propres à nous faire aimer d'elle. Le sentiment national ou barbaresque s'exaltera dans l'élite instruite : quand elle en trouvera l'occasion, par exemple lors de difficultés de la France au dedans ou au dehors, elle se servira de l'islam comme d'un levier pour soulever la masse ignorante, et cherchera à créer un empire africain musulman indépendant. L'empire Nord-Ouest-Africain de la France, Algérie, Maroc, Tunisie, Afrique occidentale française, etc., a 30 millions d'habitants ; il en aura, grâce à la paix, le double dans cinquante ans. Il sera alors en plein progrès matériel, riche, sillonné de chemins de fer, peuplé d'habitants rompus au maniement de nos armes, dont l'élite aura reçu l'instruction dans nos écoles. Si nous n'avons pas su faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront. Le seul moyen qu'ils deviennent Français est qu'ils deviennent chrétiens.
Il ne s'agit pas de les convertir en un jour ni par force mais tendrement, discrètement, par persuasion, bon exemple, bonne éducation, instruction, grâce à une prise de contact étroite et affectueuse, œuvre surtout de laïcs français qui peuvent être bien plus nombreux que les prêtres et prendre un contact plus intime.

Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ? Exceptionnellement, oui. D'une manière générale, non. Plusieurs dogmes fondamentaux musulmans s'y opposent ; avec certains il y a des accommodements ; avec l'un, celui du medhi, il n'y en a pas : tout musulman, (je ne parle pas des libres-penseurs qui ont perdu la foi), croit qu'à l'approche du jugement dernier le medhi surviendra, déclarera la guerre sainte, et établira l'islam par toute la terre, après avoir exterminé ou subjugué tous les non musulmans. Dans cette foi, le musulman regarde l'islam comme sa vraie patrie et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants ; s'il est soumis à une nation non musulmane, c'est une épreuve passagère ; sa foi l'assure qu'il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l' engage à subir avec calme son épreuve; " l'oiseau pris au piège qui se débat perd ses plumes et se casse les ailes ; s'il se tient tranquille, il se trouve intact le jour de la libération ", disent-ils ; ils peuvent préférer telle nation à une autre, aimer mieux être soumis aux Français qu'aux Allemands, parce qu'ils savent les premiers plus doux ; ils peuvent être attachés à tel ou tel Français, comme on est attaché à un ami étranger; ils peuvent se battre avec un grand courage pour la France, par sentiment d'honneur, caractère guerrier, esprit de corps, fidélité à la parole, comme les militaires de fortune des XVIe et XVIIe siècle mais, d'une façon générale, sauf exception, tant qu'ils seront musulmans, ils ne seront pas Français, ils attendront plus ou moins patiemment le jour du medhi, en lequel ils soumettront la France.

De là vient que nos Algériens musulmans sont si peu empressés à demander la nationalité française : comment demander à faire partie d'un peuple étranger qu'on sait devoir être infailliblement vaincu et subjugué par le peuple auquel on appartient soi-même ? Ce changement de nationalité implique vraiment une sorte d'apostasie, un renoncement à la foi du medhi...

III — Conversation avec des personnages du désert sur les affaires de l'Europe et sur la guerre

Je n'en ai pas. Je n'ai jamais cessé de dire aux indigènes que cette guerre est chose sans gravité : deux gros pays ont voulu en manger deux petits ; les autres gros pays, tel que les Anglais, les Russes et nous, leur font la guerre non seulement pour empêcher cette injustice, mais pour ôter à ces deux voleurs la force de recommencer ; quand ils seront bien corrigés et affaiblis on leur accordera la paix ; cela durera ce que cela durera, le résultat ne présente aucun doute, et nous avons l'habitude d'aller lentement mais sûrement... Les gens de ce pays reculé sont d'une telle ignorance que tout détail supplémentaire les induirait en erreur : ils ne comprendraient pas, et se feraient des idées fausses.

La main-d'œuvre polonaise
Votre article sur la main-d'œuvre étrangère (L'Écho de Paris du 28 mai 1916), et ce que vous y dites avec tant de vérité des Polonais me porte à vous parler d'un ami... qui a consacré sa vie à l'étude et au relèvement de la Pologne, sa patrie ; il travaille à la relever surtout par la pureté des mœurs, l'austérité de la vie et le renoncement à l'alcool. Voyant avec douleur beaucoup de Polonais partir annuellement pour l'Amérique où ils perdent leurs âmes, il cherche à détourner ce mouvement d'émigration vers la France et les colonies françaises du Nord de l'Afrique, Algérie, Maroc, Tunisie. Depuis trois ou quatre ans il a fait parvenir des propositions à ce sujet aux autorités françaises d'Algérie et du Maroc, offrant de diriger sur ces pays des familles choisies de Polonais. Rien de ce qu il a proposé n'a été exécuté jusqu'a présent. L'heure viendra peut-être bientôt de reprendre son idée et de l'appliquer non seulement à l'Algérie, à la Tunisie et au Maroc, mais aussi à la France...

Les Kabyles
Comme vous, je désire ardemment que la France reste aux Français, et que notre race reste pure. Pourtant je me réjouis de voir beaucoup de Kabyles travailler en France ; cela semble peu dangereux pour notre race, car la presque totalité des Kabyles, amoureux de leur pays, ne veulent que faire un pécule et regagner leurs montagnes.
Si le contact de bons chrétiens établis en Kabylie est propre à convertir et à franciser les Kabyles, combien plus la vie prolongée au milieu des chrétiens de France est-elle capable de produire cet effet.

Les Berbères marocains, frères des Kabyles, sont encore par trop rudes ; ils seront pareils aux Kabyles, quand, comme eux, ils auront soixante ans de domination française. Saint Augustin aimait la langue punique, parce que, disait-il, c'était la langue de sa mère : qu'était la race de sainte Monique dont la langue était la punique ? La race berbère ? Si la race berbère nous a donné sainte Monique et en partie saint Augustin, voilà qui est bien rassurant. N'empêche que les Kabyles ne sont pas aujourd'hui ce qu'étaient leurs ancêtres du IVe siècle : leurs hommes ne sont pas ce que nous voulons pour nos filles ; leurs filles ne sont pas capables de faire les bonnes mères de famille que nous voulons.
Pour que les Kabyles deviennent français, il faudra pourtant que des mariages deviennent possibles entre eux et nous : le christianisme seul, en donnant même éducation, mêmes principes, en cherchant à inspirer mêmes sentiments, arrivera, avec le temps, à combler en partie l'abîme qui existe maintenant.

En me recommandant fraternellement à vos prières, ainsi que nos Touaregs, et en vous remerciant encore de votre lettre, je vous prie d'agréer l'expression de mon religieux et respectueux dévouement.
Votre humble serviteur dans le Cœur de Jésus. "

Charles de FOUCAULD

* Lettre adressée à René Bazin, de l'Académie française, président de la Corporation des publicistes chrétiens, parue dans le Bulletin du Bureau catholique de presse, n° 5, octobre 1917. Titre et intertitres d'origine.
dvdenise
«Oh, monde inique! Tu fais tout pour me chasser de la face de la terre, pour m’expulser de la société, des écoles, des conversations et de partout; tu es en train de comploter sur la façon de renverser les temples et les autels, de détruire mon Église et de tuer mes ministres, et Moi Je suis en train de te préparer une ère d’amour, l’Ère de mon troisième «Fiat»!
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myriamir.wordpress.com/…/ces …Plus
«Oh, monde inique! Tu fais tout pour me chasser de la face de la terre, pour m’expulser de la société, des écoles, des conversations et de partout; tu es en train de comploter sur la façon de renverser les temples et les autels, de détruire mon Église et de tuer mes ministres, et Moi Je suis en train de te préparer une ère d’amour, l’Ère de mon troisième «Fiat»!
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myriamir.wordpress.com/…/ces-ecrits-que-…
dvdenise
Les adversaires des âmes continuent à polluer: www.theolib.com/histoire.html
Catholique et Français
Oui, alors que je croyais que l'on ne "condamnait" presque plus personne depuis le Concile et la transformation du Saint Office en "Congrégation pour la Doctrine de la Foi", ils censurent Tintin, Y-a-bon-Banania et même le Bienheureux père de Foucauld qui se trouve là en plaisante compagnie 😀 ; ils lui coupent la parole en taisant soigneusement la moitié de sa vie et de sa correspondance, pas …Plus
Oui, alors que je croyais que l'on ne "condamnait" presque plus personne depuis le Concile et la transformation du Saint Office en "Congrégation pour la Doctrine de la Foi", ils censurent Tintin, Y-a-bon-Banania et même le Bienheureux père de Foucauld qui se trouve là en plaisante compagnie 😀 ; ils lui coupent la parole en taisant soigneusement la moitié de sa vie et de sa correspondance, pas trop dans l"air du temps", pour nous le présenter comme une espèce d'ectoplasme niais 😈 ! Honte à eux 🤬 !
Spina Christi 2
"Si nous n'avons pas su faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront. Le seul moyen qu'ils deviennent Français est qu'ils deviennent chrétiens.
(...) Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ? Exceptionnellement, oui. D'une manière générale, non.
(...) Comme vous, je désire ardemment que la France reste aux Français, et que notre race reste pure."
Fut un temps où il était …Plus
"Si nous n'avons pas su faire des Français de ces peuples, ils nous chasseront. Le seul moyen qu'ils deviennent Français est qu'ils deviennent chrétiens.
(...) Des musulmans peuvent-ils être vraiment français ? Exceptionnellement, oui. D'une manière générale, non.
(...) Comme vous, je désire ardemment que la France reste aux Français, et que notre race reste pure."

Fut un temps où il était possible de dire et d'écrire certaines choses. Et dans le plus grand respect !
Aujourd'hui, même Tintin et les boites de Banania sont censurés...
dvdenise
Biographie du Bienheureux Charles de Foucauld.
www.charlesdefoucauld.org/fr/biographie.php
dvdenise
Bienheureux Charles de Foucauld, priez pour nous.
www.charlesdefoucauld.org/fr/presentation.php
Catholique et Français
Erratum : évidemment la lettre est de 1916 et non de 1919 (le père ayant été assassiné par un musulman le 1° décembre 1916). C'est très bientôt le centenaire de sa naissance de Gloire, ne l'oublions pas ! 😲
Catholique et Français
Grossière imposture que de vouloir réduire le Bienheureux Père Charles de Foucauld à une espèce de limande conciliaire inconsistante avant la lettre ! Chez ce grand saint, le merveilleux et admirable "frère universel" ne peut en aucun cas être séparé, sauf malhonnêteté ou perversité très moderne, sauf à falsifier ce qu'il fut toute sa vie, du Français de toujours et du Catholique parfaitement …Plus
Grossière imposture que de vouloir réduire le Bienheureux Père Charles de Foucauld à une espèce de limande conciliaire inconsistante avant la lettre ! Chez ce grand saint, le merveilleux et admirable "frère universel" ne peut en aucun cas être séparé, sauf malhonnêteté ou perversité très moderne, sauf à falsifier ce qu'il fut toute sa vie, du Français de toujours et du Catholique parfaitement orthodoxe, à la mode ancienne. En voici un exemple concis, parmi des dizaines d'autres : Lettre au Commandant Duclos (01/09/19), il y a presque EXACTEMENT CENT ANS : « Jesus ! Caritas ! Tamanrasset, le 1er septembre 1916. Je suis entièrement de votre avis sur tous les points. Sur la nécessité absolue d’une répression sévère des crimes commis, des désertions, des dissidences, des passages à l’ennemi; sur la nécessité de l’expulsion des indésirables, espions et semeurs de troubles; sur la nécessité d’interdire tout rapport à nos sujets soumis avec les ennemis, insoumis, dissidents, etc… Sur la nécessité de s’abstenir de négociations avec les indigènes ennemis, sauf le seul cas où ils viennent demander l’aman, en faisant pleinement soumission
Ne pas réprimer sévèrement, c’est enhardir les criminels et encourager les autres à les suivre; c’est perdre l’estime de tous, soumis et insoumis, qui, dans cette conduite, ne voient que faiblesse, timidité, crainte; c’est décourager les fidèles qui voient que le même, ou presque le même, traitement attend les fidèles et les déserteurs, les soumis et les rebellesNe pas chasser les indésirables, c’est laisser des ferments de troubles, faibles dans le début, se développer et produire leur plein effet, qui peut être très grave et atteindre la pleine rébellionTraiter de puissance à puissance avec des chefs ennemis ou rebelles, c’est les grandir infiniment et se diminuer d’autant… » Non, le Bienheureux Père Charles de Foucauld n'est pas et ne sera jamais la caution muette des délires qui ravagent la Sainte Eglise depuis des dizaines d'années !
cristiada.cristeros
La secte conciliaire ne cherche pas à convertir les musulmans. On trouve certes quelques conciliaires qui le font, mais cela relève plus du bons sens de quelques individus isolés à l'intérieur de la secte que d'une politique générale et soutenue hiérarchiquement. "Nous adorons le même Dieu", slogan islamo-conciliaire, inutile donc de convertir l'autre. +
dvdenise
Il ne s'agit pas de les convertir en un jour ni par force mais tendrement, discrètement, par persuasion, bon exemple, bonne éducation, instruction, grâce à une prise de contact étroite et affectueuse, œuvre surtout de laïcs français qui peuvent être bien plus nombreux que les prêtres et prendre un contact plus intime.
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grâce à une prise de contact étroite et affectueuse:
Francesco …Plus
Il ne s'agit pas de les convertir en un jour ni par force mais tendrement, discrètement, par persuasion, bon exemple, bonne éducation, instruction, grâce à une prise de contact étroite et affectueuse, œuvre surtout de laïcs français qui peuvent être bien plus nombreux que les prêtres et prendre un contact plus intime.
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grâce à une prise de contact étroite et affectueuse:

Francesco, c'est exactement ce que l'Église fait depuis des décennies, à l'exemple de Charles de Foucauld, mais vous-même et combien sur ce site, ne le comprenne pas et encore pire discrédite ce que ce saint homme préconisait et prêchait par son exemple.