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C'est l'Antéchrist qui écrabouillera Pékin et non le contraire

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Le cardinal Zen au pape François :
vos prêtres chinois restés fidèles à Rome
ne savent pas ce qu’ils doivent faire


par Clémentine Jallais, Réinformation.TV, le 14 novembre 2018

Une longue lettre destinée à François, la demande d’un énième entretien avec le pape… Ce pourraient être, il l’a écrit, les derniers efforts du cardinal Zen pour tenter d’avertir le Saint-Siège de la folie de l’accord, dit « provisoire », entre la Chine communiste et le Vatican, conclu le 22 septembre dernier. La situation de l’Église clandestine chinoise se complique déjà, « ses prêtres pleurent », écrit-il. Pour autant, « notre ligne de fonds est le pape » a -t-il réaffirmé à ucanews.com.

Une position douloureuse, une position-martyr dont le communisme risque de profiter largement.

Le Vatican a voulu inclure, à tout prix. Ce qui va permettre au gouvernement de Pékin d’exclure à tout va – tout particulièrement ce catholicisme originel souterrain non choisi par Rome, et pourtant le seul qui lui était fidèle.

Les prêtres chinois restés fidèles à Rome ne savent pas ce qu’ils doivent faire

Le cardinal Zen a révélé qu’il s’était rendu à Rome à la fin du mois d’octobre pour remettre une lettre de sept pages au pape François. Une lettre qui expose les souffrances des catholiques depuis la signature de l’accord sino-Vatican, plus précisément « ce que des clercs lui ont crié », comme il l’a déclaré à l’Union des nouvelles catholiques asiatiques (ucanews.com).

« Ils ont déclaré que des responsables les avaient forcés à s’ouvrir, à rejoindre l’association (schismatique) patriotique chinoise et à obtenir un certificat de prêtre pour la raison que le pape avait signé l’accord provisoire sino-Vatican », a déclaré le cardinal Zen au groupe de presse.

Le problème majeur, comme le souligne LifeSiteNews, est que, comme l’accord n’a pas été révélé, ces prêtres, le clergé catholique légitime, ne savent pas ce qu’ils doivent faire, ne savent pas ce que le Saint-Père veut qu’ils fassent… Obtempérer et rejoindre les rangs de ceux contre qui ils ont toujours lutté ? Ou rester coi et s’écraser jusqu’à finir par disparaître ? En guise de réponse, le Vatican a choisi comme toujours le silence… procédé dont il est très malheureusement coutumier.

Le cardinal Zen ne comprend pas le pape

« Certains prêtres se sont échappés et d’autres ont disparu parce qu’ils ne savaient pas quoi faire et qu’ils étaient dans la confusion ». Dans sa lettre, le cardinal Zen évoque de nombreuses difficultés essuyées par les prêtres chinois de l’Église clandestine : argent confisqué, harcèlement par les autorités civiles, emprisonnements et même exécutions. « Le Saint-Siège ne les soutient pas et les considère comme un problème. C’est ce qui les rend le plus malheureux ».

Il a redit, pour la énième fois, toute son incompréhension du message papal, de ce pape François qui n’hésite pas à saluer « ceux qui ont souffert pour la foi », en parlant des ex-pays du bloc communiste, et ne voit pas dans ces catholiques chinois les stricts pendants, en Asie, des martyrs européens d’hier. « Leur histoire est aussi l’histoire de l’Église chinoise et de la situation actuelle » !

Soucieux de ne pas accabler le Saint-Siège, le cardinal Zen reporte sa charge sur les conseillers du pape François, notamment son secrétaire d’État, le cardinal Pietro Parolin, qu’il a déjà qualifié de « maître des marionnettes » dans le Catholic Monitor. « Il sait le visage hideux de la Chine et sait que ses dirigeants sont pas raisonnables. Il ne les utilise que pour atteindre le but d’établir des relations diplomatiques. »

Ne pas se rebeller, mais « attendre des temps meilleurs »

Le cardinal n’est pas optimiste quant à l’avenir de l’église clandestine chinoise, confrontée dès lors à un choix impossible, très certainement pire que l’isolement et la répression qu’elle a toujours subis. Car, comme l’écrit la journaliste de LifeSite, « l’interférence du gouvernement dans l’Église signifie que pour maintenir la foi entière et entière, l’Église doit rester clandestine. Cependant, une partie de cette foi est la reconnaissance d’un pontife régnant en tant que vicaire du Christ »… qui a décidé, même s’il ne l’a pas dit explicitement, que l’Église clandestine avait tort. L’aporie est de taille.

Malgré tout cela, « notre ligne de fond est le pape », a déclaré le cardinal Zen. « Nous ne pouvons pas l’attaquer. Si le pape a tort cette fois, j’espère qu’il admettra l’erreur ; s’il ne l’admet pas, j’espère que le futur pape soulignera l’erreur. Si vous ne suivez pas, alors il n’y a pas de principe, donc les frères de la partie continentale ne doivent pas se rebeller ».

Pas de « révolution » pour le cardinal Zen : aux prêtres, il déclare que si le gouvernement leur enlève leurs églises ou leur interdit de célébrer, ils devraient retourner dans leurs familles, continuer à prier et « attendre des temps meilleurs » : « le communisme n’est pas éternel »…

« La Chine a un plan [communiste] harmonieux »

D’autres catholiques, laïcs ceux-là, des îles Britanniques, ont fait entendre leur voix , en publiant une lettre ouverte, le 9 novembre dernier, dans le Catholic Herald pour s’élever contre cet accord entre le Vatican et le gouvernement communiste chinois habitué des persécutions religieuses tous azimuts, particulièrement à destination des chrétiens et des musulmans.

L’une des signataires, Kathy Sinnott, organisatrice du « Rosaire sur les côtes » pro-vie d’Irlande, raconte qu’en tant que député européen, elle avait pu se rendre à Hong Kong à la conférence ministérielle de l’OMC. Quand elle a voulu évoquer ces problèmes avec les autorités chinoises, « ils n’ont jamais répondu » et se contentaient de dire en souriant : « La Chine a un plan harmonieux ». On connaît les harmonies communistes.

Curieux accord quand même, et le mot est faible, où tout indique que le gouvernement chinois officiellement athée a été investi d’un rôle dans le choix des évêques catholiques… Comme le signale l’un des signataires de la lettre ouverte, le Dr Joseph Shaw, jamais le Saint-Siège n’avait permis cela, « même à l’époque où les monarques catholiques insistaient pour pouvoir nommer les évêques dans leur pays » !

C’est aux persécuteurs communistes de l’Église qu’il octroie aujourd’hui ce droit. Pour les prêtres chinois restés fidèles et aujourd’hui, laissés pour compte, la petite sœur Espérance doit être bien difficile à ne pas lâcher – bien qu’il le faille plus que jamais !

Source : reinformation.tv/cardinal-zen-pr…

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La synodalité part en fumée.
Exercices de monarchie pontificale sur les États-Unis et sur la Chine


Un article de Sandro Magister, vaticaniste à L’Espresso (15/11/2018)

Nous sommes très loin d’une Église synodale. Après avoir fait l’éloge de la « synodalité » qui aurait été le principal fruit du synode des évêques d’octobre dernier et après avoir promis depuis 2013 plus d’autonomie et de pouvoir aux conférences épiscopales, y compris une « certaine autorité doctrinale authentique », le Pape François vient de décapiter l’ordre du jour de l’assemblée plénière de l’une des plus grandes conférences épiscopales du monde, celle des États-Unis, qui est réunie à Baltimore depuis le lundi 12 novembre.
Dans la même foulée, en Chine, il vient d’abandonner à leur sort les évêques qui n’entrent pas dans l’accord secret signé fin septembre entre le Saint-Siège et les autorités de Pékin, c’est-à-dire la trentaine d’évêques dits « souterrains » ou clandestins qui résistent courageusement à l’oppression de l’Église par le régime. Au Vatican, on nie que ce soit l’intention du Pape. Mais n’en reste pas moins que les évêques chinois clandestins se sentent abandonnés par le Pape, comme en témoigne le cardinal Zen Ze-Kiun dans une lettre-appel à cœur ouvert qu’il a remise personnellement entre les mains de François un matin au début de ce mois de novembre.

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En effet, le Pape François a agi en monarque absolu envers les évêques des États-Unis. Samedi 10 novembre il a reçu en audience à Rome le Préfet de la Congrégation pour les évêques, le cardinal Marc Ouellet, ainsi que le nonce aux États-Unis, Christophe Pierre, et il a chargé le premier de transmettre au cardinal Daniel N. DiNardo, le président des évêques américains, l’interdiction de voter sur deux points cruciaux de l’ordre du jour de l’assemblée concernant le scandale des abus sexuels : un « code de conduite » extrêmement sévère pour les évêques et la création d’un organisme composé de laïcs pour enquêter sur les évêques incriminés.

En annonçant, la double interdiction du Pape, le cardinal DiNardo, assez mal à l’aise, a expliqué que François exigeait que les évêques américains n’aillent pas au-delà de ce que le droit canon prévoit déjà en la matière et surtout qu’ils n’anticipent pas les décisions qui seront prises à Rome lors de la réunion des présidents des conférences épiscopales du monde entier convoquée par le Pape du 21 au 24 février prochain.
Le « diktat » de François a suscité des réactions très négatives aux États-Unis, y compris chez ceux qui ont cherché d’en comprendre les raisons.

Dans le cas des évêques chinois, ce qui est le plus frappant en revanche, c’est l’impressionnant silence qui accompagne leur chemin de croix, de la part des plus hauts responsables de l’Église. Un silence non seulement public, comme la prudence pourrait l’expliquer, mais surtout dépourvu de tout geste de proximité ou de soutien qui pourrait s’exprimer de manière réservée. Tout cela dans le silence non moins assourdissant de nombreux médias catholiques, en particulier de ceux qui sont les plus proches du Pape François.

C’est ce que dénonce le P. Bernardo Cervellera, de l’Institut Pontifical des Missions Étrangères qui dirige l’agence « Asia News », dans l’éditorial que nous reproduisons ci-dessous qui s’offusque de l’énième arrestation ces derniers jours de l’un des évêques qui a été le plus héroïque dans son refus de se soumettre au régime communiste chinois.

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La honte envers Mgr Shao Zhumin, évêque séquestré par la police

par Bernardo Cervellera

Il fallait s’y attendre. L’information de l’énième arrestation – la cinquième en deux ans – de Mgr Pietro Shao Zhumin, l’évêque de Wenzhou, a été passée sous silence. Mis à part pour certains médias espagnols et anglais et quelques rare sites italiens autres qu’Asia News, il semblerait que le fait de faire subir des dizaines de journées d’endoctrinement, comme à l’époque de la Révolution culturelle, à un évêque dont la droiture et le courage sont très connus en Chine ne constitue pas une information digne d’intérêt mais plutôt quelque chose de gênant qu’il vaut mieux taire.
Je me demande ce qui se serait passé si un brave évêque italien, disons par exemple le sympathique Mgr Matteo Zuppi de Bologne, était enlevé par un groupe de fondamentalistes musulmans pour l’endoctriner et le convertir à l’Islam, entendons-nous bien sans lever la main sur lui, comme c’est le cas pour Mgr Shao. J’imagine que tous les journaux du monde en feraient leurs gros titres. Dans le cas de l’évêque de Wenzhou, il ne s’agit pas de fondamentalistes musulmans mais bien de fondamentalistes « de l’indépendance » : ils veulent convaincre cet évêque qu’appartenir à l’Association patriotique, qui a pour but de construire une Église « indépendante » du Saint-Siège, serait une bonne chose pour lui, pour l’Église et pour le monde.

Du point de vue dogmatique, les déclarations de Benoît XVI dans sa Lettre aux catholiques chinois restent en vigueur, c’est-à-dire que l’appartenance à l’Association patriotique est « inconciliable avec la doctrine catholique ». Et à plusieurs reprise par le passé, le pape François a dit que cette Lettre de Benoît XVI « est encore valide ».
D’autant que l’appartenance à l’AP est très contraignante pour la vie d’un évêque : contrôles 24h/24, vérifications et demandes de permis pour les visites pastorales et pour recevoir des invités, réquisitions pendant des semaines et des mois pour participer à des conférences d’endoctrinement sur la générosité de la politique religieuse de Pékin.

Je crois que le silence des médias – et en particulier des médias catholiques – est surtout causé par la honte. Il y a quelques mois, le 22 septembre, ils ont tous fait l’éloge de l’accord entre la Chine et le Saint-Siège à un point tel qu’ils ont laissé croire que tout allait à présent aller pour le mieux. En revanche, admettre que l’Église est encore victime de nombreux problèmes de persécutions en Chine constitue un désaveu qu’il est difficile d’admettre, on peut aisément le comprendre.

Si l’on ajoute ensuite à l’arrestation de cet évêque les églises fermées et placées sous scellés, les croix détruites, les dômes rasés au sol, les sanctuaires démolis, l’interdiction imposée par la police au moins de 18 ans de se rendre à l’église ou d’assister au catéchisme, on se rend bien compte à quel point l’accord sur la nomination des évêques – comme nous l’avons dit par le passé – est bon dans la mesure où il évite l’apparition d’évêques schismatiques mais combien il laisse inchangée une situation dans laquelle l’AP et le Front Uni se considèrent comme étant les véritables chefs de l’Église en Chine (et non le pape). Cela est à nouveau confirmé par la leçon que ces deux organes sont en train de faire à des prêtres et à des évêques dans de nombreuses régions de Chine en leur répétant que « malgré l’accord entre la Chine et le Vatican », l’Église doit continuer à être « indépendante » du pape et du Saint-Siège.

Malheureusement, le fait que cet accord « provisoire », demeure secret et n’ait jamais été publié permet à la Chine d’en donner sa propre interprétation. Le Front Uni et l’AP contraignent des prêtres et des évêques à s’inscrire à l’Église « indépendante » en prétendant que « le pape est d’accord avec nous , au point que plusieurs catholiques souterrains soupçonnent avec amertume que le Vatican les ait abandonnés dans la tourmente.

Quelques soi-disant « experts » de la Chine tentent de minimiser les persécutions en prétendant qu’elles ne concerneraient que « quelques endroits ». En réalité, on signale des persécutions dans de nombreuses régions : Hebei, Henan, Zehejiang, Shanxi, Guizhou, la Mongolie intérieure, Xinjiang, Hubei… Sans compter les autres endroits qui n’ont pas été en mesure de relayer l’information.

Une autre information réductrice consiste à faire croire que ces choses se passeraient en périphérie mais qu’au centre, à Pékin, on voudrait vraiment que l’accord fonctionne. Il n’en reste pas moins qu’en octobre dernier, depuis le congrès du parti communiste, le Front Uni et l’AP se trouvent sous le contrôle direct du parti : il est pratiquement impossible que le centre – à commencer par Xi Jinping, le secrétaire général du parti – ne soit pas au courant de ce qui se passe en périphérie, avec des affaires aussi scandaleuses qu’elles secouent la communauté internationale.
Mais en plus de la honte, je crois qu’il y a deux autres explications à ce silence.
Le premier est une espèce de « complexe patriotique » : étant donné que le pape François soutient l’accord avec la Chine et qu’il est un fervent partisan du dialogue avec la culture chinoise, il semblerait que mettre en avant les persécutions constitue une offense au pape. Mis à part le fait que le pape François a toujours lui-même souligné qu’il préférait la franchise à l’adulation, il a toujours dit que le dialogue se déroule entre deux identités, sans dissimuler sa propre identité. Et si celle-ci est faite de martyrs, on ne peut pas le cacher. […]

La seconde raison pourrait surtout concerner les médias soi-disant laïcs, à cause d’un « complexe mercatolâtre » de divinisation du marché chinois. On passe sous silence les persécutions et les arrestations parce qu’elles sont bien peu de choses par rapport à la guerre des droits de douane entre la Chine et les États-Unis et par rapport au futur de la superpuissance de l’Empire du Milieu. Les médias et les librairies sont remplies d’articles et de livres qui encensent Pékin, ou qui le descendent en flamme, selon qu’ils prennent parti pour la Chine ou pour les États-Unis. Dans ce cas, on ne se rend pas compte combien la liberté religieuse d’un pays un est indicateur de sa « bonté ». C’est justement le pape François qui rappelait le 5 novembre dernier dans un allocution au World Congress of Montain Jews que « la liberté religieuse est un bien précieux à conserver, un droit humain fondamental, un bastion contre les revendications totalitaires ». C’est pourquoi, ceux qui veulent une véritable liberté de commerce avec la Chine devraient avant tout défendre la liberté religieuse. Les différents grands entrepreneurs chinois en savent quelque chose, eux qui doivent se plier aux restrictions du gouvernement central s’ils veulent faire du commerce et investir à l’étranger. Mgr Shao Zhumin n’est donc pas « bien peu de choses » mais un symptôme du chemin que la Chine est en train de prendre.

Cela vaut la peine de rappeler une dernière chose : Mgr Shao Zhumin est évêque d’une Église désormais unifiée où il n’y a plus de division entre catholiques officiels et souterrains, justement celle qu’appelait de ses vœux le pape François dans son Message aux Catholiques chinois et à l’Église universelle qui a été publié quelques jours après l’accord. Et pourtant, l’Association patriotique, non contente d’avoir séquestré cet évêque, vient ces derniers jours d’interdire aux prêtres « officiels » d’aller se recueillir sur les tombes des prêtres et des évêques « souterrains ». Voilà la preuve que la division de l’Église chinoise n’est pas voulue par les catholiques mais bien par le parti communiste. Cette politique, qui dure depuis 60 ans, ne nous semble pas être en faveur de l’évangélisation de la Chine mais – comme l’Association patriotique l’a déclarée à de nombreuses reprises par le passé – constitue un pas vers la suppression de tous les chrétiens.

Source : www.diakonos.be/…/la-synodalite-p…

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Album ACTU

>>> BERGOGLIO = 666 !!! Troublant, non ?
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : si François l'est, concluez.
Montfort.
L'Antéchrist édicte ses oukases
Qui tombent comme un couperet.
L'Antéchrist ne finit pas ses phrases :
Il arrête au milieu d'un trait.
Quand l'Antéchrist frappe, il tue,
Mais cela se fait par-dessous :
En général, il distribue ses coups
Tout en souhaitant la bienvenue.
Montfort AJPM
L'Antéchrist gagne sur tous les plans,
Même quand on le croit à néant,
Et c’est même là qu'il gagne davantage :
Il se sert de tous les désavantages
Comme d'une marche pour monter plus haut !
C'est quand on le croit au fond du seau
Et que pour ainsi dire il disparaît,
Qu'alors tout d'un coup il réapparaît.
GChevalier
L'âme du Purgatoire tend toujours vers Dieu ;
L'Antéchrist tend toujours vers la terre.