T-shirt "brûle ton église"
(Le « politiquement correct », phase intermédiaire entre les « bouffeurs de curés » traditionnels et la « culture de mort » de la féministe post-moderne).
Depuis la révolution française et cela jusque dans les années 1970, il incombait en général à la franc-maçonnerie (ayant des leviers dans quasiment tous les secteurs de la société) de réaliser un travail de « sape » quant à l’image de l’église catholique. L’imaginaire collectif s’y était confortablement habitué. C’est sans doute pour cette raison que beaucoup n’ont pas su voir que le « flambeau » des forces antichrétiennes avait, en réalité, changé de mains. En effet, les dernières années du vingtième siècle auront vu se déplacer le centre de gravité anticatholique, de la franc-maçonnerie historique vers le noyau dur de l’intégrisme féministe lesbien international dont la « Mecque » se trouvait dans les universités californiennes. Dans le domaine de la satanisation de l’église catholique, on peut parler d’une véritable «accélération» de l’histoire qui s’est mise en place à partir du « rebond » de mai soixante-huit. C’est que cette période marquera la rencontre entre les forces de gauches traditionnelles (rejointes par les intellectuels juifs et protestants) et le mouvement féministe. C’est à partir de cette rencontre entre haine « traditionnelle » et haine « moderne et bien-pensante » contre le catholicisme, que le politiquement correct trouvera sa vraie vocation « d’instrument idéologique » aux mains du fondamentalisme féministe. Dorénavant, sa mission sera de fédérer et de déculpabiliser la chasse aux sorcières contre le « catho ». Il convient désormais de rendre l’aversion contre l’Église « comme il faut », acceptable et même nécessaire pour la libération de l’humanité. Un peu comme les nazis, par leur historiographie antisémite mensongère, avaient rendu « acceptable » la haine du juif dans les années trente en Allemagne. C’est cette « acceptabilité » de la haine du « catho » qui a permis récemment à l’ancien ministre de l’éducation nationale, Vincent Peillon, d’affirmer en toute quiétude que tant qu’il y aurait des catholiques, la France ne pourra pas être un pays libre. En Europe, Il faut remonter, en effet, au Troisième Reich allemand pour entendre un ministre de haut rang (à l’époque c’était le ministre de la propagande Goebbels) inviter, en diabolisant un groupe religieux, à sa disparition et donc au fond, au meurtre. On connait la suite...
C’est dans ce même esprit de chasse aux sorcières « culturellement intégrée et autorisée» contre les catholiques que la candidate à la présidence des États-Unis, Madame Hillary Clinton, s’est tranquillement permis d’affirmer devant un parterre de féministes à New-York (Avril 2015) que les dogmes religieux traditionnels contraires à l’avortement et aux « droits reproductifs » devront changer quand elle sera au pouvoir. Puisque seule l’église catholique ose encore à l’échelle internationale s’opposer frontalement à l’avortement, nous savons envers qui, en dernière analyse, était dirigé cet avertissement. En clair, l’Église devra ou bien renoncer à la « substantifique moelle » de son éthique de toujours reçue par Jésus-Christ (respect des plus faibles et de la vie créée par Dieu) ou bien disparaître. Là aussi, pratiquement aucune réaction. Ce manque d’indignation face à de tels propos est très significatif car, en creux, il révèle que le fruit du génocide culturel des catholiques est presque mur. L’imaginaire collectif, sans le savoir, commence à en accepter l’idée. Or le génocide culturel est la porte d’entrée du génocide tout court…Il semble que nous allons bientôt assister à une nouvelle accélération de l’histoire. Pas dans le bon sens.
Jean-Pierre Aussant (extrait du „complot inconscient“) https://t.co/9R8nFMHZFe
PHOTO : T-shirt en vente libre, invitant à bruler son église "locale" et à haïr l’Église Catholique. Je vous laisse imaginer les réactions, si ce type de message était dirigé contre les juifs, les musulmans ou la communauté LGBT…
Depuis la révolution française et cela jusque dans les années 1970, il incombait en général à la franc-maçonnerie (ayant des leviers dans quasiment tous les secteurs de la société) de réaliser un travail de « sape » quant à l’image de l’église catholique. L’imaginaire collectif s’y était confortablement habitué. C’est sans doute pour cette raison que beaucoup n’ont pas su voir que le « flambeau » des forces antichrétiennes avait, en réalité, changé de mains. En effet, les dernières années du vingtième siècle auront vu se déplacer le centre de gravité anticatholique, de la franc-maçonnerie historique vers le noyau dur de l’intégrisme féministe lesbien international dont la « Mecque » se trouvait dans les universités californiennes. Dans le domaine de la satanisation de l’église catholique, on peut parler d’une véritable «accélération» de l’histoire qui s’est mise en place à partir du « rebond » de mai soixante-huit. C’est que cette période marquera la rencontre entre les forces de gauches traditionnelles (rejointes par les intellectuels juifs et protestants) et le mouvement féministe. C’est à partir de cette rencontre entre haine « traditionnelle » et haine « moderne et bien-pensante » contre le catholicisme, que le politiquement correct trouvera sa vraie vocation « d’instrument idéologique » aux mains du fondamentalisme féministe. Dorénavant, sa mission sera de fédérer et de déculpabiliser la chasse aux sorcières contre le « catho ». Il convient désormais de rendre l’aversion contre l’Église « comme il faut », acceptable et même nécessaire pour la libération de l’humanité. Un peu comme les nazis, par leur historiographie antisémite mensongère, avaient rendu « acceptable » la haine du juif dans les années trente en Allemagne. C’est cette « acceptabilité » de la haine du « catho » qui a permis récemment à l’ancien ministre de l’éducation nationale, Vincent Peillon, d’affirmer en toute quiétude que tant qu’il y aurait des catholiques, la France ne pourra pas être un pays libre. En Europe, Il faut remonter, en effet, au Troisième Reich allemand pour entendre un ministre de haut rang (à l’époque c’était le ministre de la propagande Goebbels) inviter, en diabolisant un groupe religieux, à sa disparition et donc au fond, au meurtre. On connait la suite...
C’est dans ce même esprit de chasse aux sorcières « culturellement intégrée et autorisée» contre les catholiques que la candidate à la présidence des États-Unis, Madame Hillary Clinton, s’est tranquillement permis d’affirmer devant un parterre de féministes à New-York (Avril 2015) que les dogmes religieux traditionnels contraires à l’avortement et aux « droits reproductifs » devront changer quand elle sera au pouvoir. Puisque seule l’église catholique ose encore à l’échelle internationale s’opposer frontalement à l’avortement, nous savons envers qui, en dernière analyse, était dirigé cet avertissement. En clair, l’Église devra ou bien renoncer à la « substantifique moelle » de son éthique de toujours reçue par Jésus-Christ (respect des plus faibles et de la vie créée par Dieu) ou bien disparaître. Là aussi, pratiquement aucune réaction. Ce manque d’indignation face à de tels propos est très significatif car, en creux, il révèle que le fruit du génocide culturel des catholiques est presque mur. L’imaginaire collectif, sans le savoir, commence à en accepter l’idée. Or le génocide culturel est la porte d’entrée du génocide tout court…Il semble que nous allons bientôt assister à une nouvelle accélération de l’histoire. Pas dans le bon sens.
Jean-Pierre Aussant (extrait du „complot inconscient“) https://t.co/9R8nFMHZFe
PHOTO : T-shirt en vente libre, invitant à bruler son église "locale" et à haïr l’Église Catholique. Je vous laisse imaginer les réactions, si ce type de message était dirigé contre les juifs, les musulmans ou la communauté LGBT…