La conciliaire, aucun doute, c'est une usine à gaz...

Jeudi, 1er mars 2018 :
Le « Synode des jeunes » a été souhaité par le pape François. A quoi servira-t-il ? A publier des tas de documents qui finiront comme tant d’autres documents : dans l’oubli. A part ça, il ne servira à rien. Il n’est pas nécessaire, en effet, de faire un synode pour savoir que les jeunes (le peu qui fréquente encore les églises) ne veulent plus de cette Église soixante-huitarde qui propose des messes déglinguées dans lesquelles les ministres de l’autel et les musiques de karaoké obscurcissent la présence de Dieu ; ils ne veulent plus de ces prêtres « cool » qui croient qu’en édulcorant la doctrine ils réussiront à faire de nouvelles conversions ; ils ne veulent plus de cette pastorale qui, sous couvert d’ouverture, oblige à admettre une foi vidée de sa doctrine. Bref, le « Synode des jeunes » ne sera qu’une usine à gaz. Une de plus.

Jeudi, 1er mars 2018 :
Les catholiques sont de plus en plus nombreux - 2 sur 5 selon un récent sondage - à souhaiter une démission du pape François. Et ce, en raison des scandales dans lesquels il est impliqué, les derniers étant le mensonge au sujet de l’évêque chilien Mgr Juan Barros et, plus récemment, le rôle qu’il a joué pour l’obtention d’une subvention de 25 millions de dollars pour un hôpital de Rome impliqué dans des pratiques en opposition avec les enseignements de l’Église.

Si le pape Bergoglio devait démissionner, certains évêques libéraux qui ont aidé à l’élire ont déjà dit qu’ils souhaiteraient voir l’actuel secrétaire d’État, Mgr Pietro Parolin, le remplacer. L’Église y gagnerait-elle ? En janvier dernier, Mgr Parolin a exprimé son approbation pour la possibilité offerte aux divorcés remariés civilement de recevoir la communion eucharistique. Il a qualifié ce changement dans la pratique de l’Église héritée du Christ et des apôtres de « changement de paradigme » montrant que la conscience devait passer avant l’enseignement catholique. Sa déclaration a toutefois été publiquement corrigée par l’ancien préfet de la Congrégation pour la doctrine de la Foi, le cardinal Gerhard Ludwig Müller, qui a tenu à préciser qu’un tel changement révolutionnaire « ne constitue pas un développement, mais une corruption » de l’enseignement de l’Église.

[Bref, une usine à gaz de plus !]

Source : www.proliturgia.org/actua.html

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