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François a appelé une mère qui envisageait l'avortement

Le Pape François a récemment téléphoné à Anna, une femme divorcée qui est enceinte après avoir commis l'adultère avec un homme marié, rapporte Credere le 22 mai.

Anna, originaire d'Arezzo, en Italie, était sans emploi lorsqu'elle a déménagé à Rome en pensant à avorter son enfant.

Mais elle a ensuite écrit au pape François qui l'a appelée.

Il a dit à Anna que les chrétiens ne perdent jamais espoir, qu'un enfant est un don de Dieu et un signe de la Providence.

Il semble qu'il ait pu convaincre Anna d'épargner la vie de son enfant.

Image: © Mazur/catholicnews.org.uk, CC BY-NC-SA, #newsBmnzbjwiys
dvdenise
GChevalier
Le Saint-Siège rappelle que l’avortement ne peut pas être une mesure de "santé reproductive"
Mgr Ivan Jurkovic, Observateur du Saint-Siège auprès de l’Onu, est intervenu ce matin à Genève pour rappeler que les services sanitaires ne peuvent pas être destinés à œuvrer contre la vie des enfants à naître.
Lisa Zengarini – Cité du Vatican
«Le Saint-Siège s’oppose fermement à tout …Plus
GChevalier

Le Saint-Siège rappelle que l’avortement ne peut pas être une mesure de "santé reproductive"
Mgr Ivan Jurkovic, Observateur du Saint-Siège auprès de l’Onu, est intervenu ce matin à Genève pour rappeler que les services sanitaires ne peuvent pas être destinés à œuvrer contre la vie des enfants à naître.
Lisa Zengarini – Cité du Vatican

«Le Saint-Siège s’oppose fermement à tout effort des Nations Unies ou de ses agences spécialisées en vue de promouvoir des législations nationales qui permettent de tuer la vie de l’enfant à naître», a martelé Mgr Jurkovic, observateur permanent du Saint-Siège auprès des institutions de l’Onu à Genève, à l’occasion de la 71e assemblée de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), dédié à l’examen de la nouvelle stratégie globale pour la santé des femmes, des enfants et des adolescents lancée en 2015.

Préoccupation face à l’inclusion du soi-disant “avortement sûr” dans les nouvelles lignes stratégiques globales

Tout en partageant de nombreux objectifs fondamentaux de l’OMS, comme la promotion d’un service de santé universel, la lutte contre la violence faite aux femmes et aux enfants, la mise à jour des programmes en faveur de l’enfance pour l’étendre jusqu’au 18e anniversaire, Mgr Jurkovic s’est dit préoccupé de l’inclusion du soi-disant “avortement sûr” dans les nouvelles lignes stratégiques globales pour la santé, sur la période 2016-2030. «Le Saint-Siège, a-t-il affirmé, ne considère pas l’avortement et les services abortifs comme des mesures pour la santé reproductive», a précisé le diplomate pontifical.

Le Saint-Siège est opposé à toute légalisation de l’avortement

Mgr Jurkovic a donc exprimé sa préoccupation face à la participation de l’OMS et d’autres organisations onusiennes à une banque de données contenant des informations complètes sur les lois et politiques en matière d’avortement, sous prétexte de protéger les droits des femmes. Pour le Saint-Siège, il est contradictoire et inacceptable de présenter «l’avortement sûr comme un moyen pour protéger les droits humains de femmes et d’enfants, quand de fait, il nie à l’enfant à naître le droit le plus fondamental : celui à la vie». Comme l’a souligné le Pape François, a conclu Mgr Jurkovic, le droit à la vie est «sacré et inviolable», et «il n’est subordonné à aucune condition».
dvdenise
Le Pape François sur Twitter
twitter.com/pontifex_fr
GChevalier
Je relève le terme "il semble". Ce qui est certain c'est que ce monsieur n'a pas ouvert la bouche pour la manifestation pro-vie qui s'est tenue à Rome le 19 mai. Comme d'habitude, il fait comme Perón.
Les fours crématoires italiens : 6 millions de gazés, comme la Shoah ! Et ailleurs ? La conciliaire approuve par son silence !