apvs
11953

Qui est ce Luther que l'on a osé fêter ?

Luther eût-il en partie raison ?
L'histoire de Luther a été si bien protégée de la lumière pour rester secrète que beaucoup de gens simples, quoique connaissant la nature perverse du protestantisme, ne savaient pas trop quel argument employer en priorité pour le dire... Certes il y en a foule ! Imaginons qu'au lieu d'un saint François pour réformer l'Eglise, se soit présenté un Martin Luther !!! Quelle catastrophe abominable, quelle tâche scandaleuse dans la magnifique histoire de la chrétienté...
Remarquons que, dès que l'Eglise a eu besoin de réforme, il y a eu des saints réformateurs qui se sont levés : mais avec quoi ont-ils mis en oeuvre leur "réforme" ? AVEC LA CROIX, LA CROIX, ET ENCORE LA CROIX. Esprits bornés et conservateurs ? Mais non, car la Croix du Christ est l'éternelle NOUVEAUTE dans l'histoire humaine, tristement marquée par le crime, la haine sous toute ses formes, cad la désobéissance à la loi de Dieu. Et seule la Croix du Christ efface tout cela par l'Amour, grâce à ceux qui veulent bien en devenir les disciples.
Luther, lui, a décidé d'anéantir si possible la puissance de la Croix, sans doute parce qu'il ne croyait pas en l'Eglise, qu'il désespérait d'elle, et la jugeait irréformable. Lui n'entendait plus l'appel divin à recommencer, toujours recommencer sans jamais se décourager. Baliverne pour lui, assassin qui dissimulait son crime sous des apparences de vertus, faux pasteur qui méprisait ses ouailles, loup rapace sous une peau de brebis.
Ce qui me paraît tout simplement hallucinant, c'est de découvrir que Luther était un désespéré, un homme taraudé par ses crimes, les fuyant en disant " C'est pas moi ! C'est pas moi ! " à sa conscience, à Dieu... Et quand sa femme en pleurs essaya de le ramener à la raison et à l'Eglise véritable, il désespéra encore de son salut et refusa, apeuré comme Judas par la boue qui le recouvrait, ne voulant pas du pardon de Dieu, n'arrivant plus à prier sans vomir sa haine, sans maudire les papistes ! Un possédé... Qui finit par se suicider, seul et désespéré, se pendant dans sa chambre, et allant vers sa funeste destiné éternelle...
ET C'EST CA QUE L'ON ENCENSE AUJOURD'HUI, ET C'EST CA QUE L'ON SUIT, ET C'EST A CA QU'ON TENTE PAR TOUT LES MOYENS DE TROUVER DE LA VERTU ??????
Si quelqu'un y comprend quelque chose, il a bien de la chance.
Mais non, il n'y a rien a comprendre : on se moque du monde.
On se moque de l'Eglise, on se rit de sa vertu, on veut la déshabiller et la traîner, à la suite de Luther l'antéchrist, sur la place publique, on veut déshonorer la sainte Messe, et au moins si possible, forcer tous les fidèles à communier dans la main, à s'emparer du Corps du Christ comme d'un vulgaire bout de pain... Si tous pouvaient perdre la foi en Dieu !
Protestant, souviens-toi que tu as dit oui à suivre un assassin désespéré, blasphémateur, un suicidé, un nouveau Judas....
Et c'est cela que tu fêtes aujourd'hui ?

Mais peut-être que tu ne le savais pas... Que tu ne t'ai rendu compte de rien... Que toi aussi tu as été trompé.
Alors sache que Jésus t'aime d'un amour infini, et te veut dans sa Sainte Eglise Catholique dont tu n'as pas à rougir, car elle est lavée dans le Sang Précieux de son Seigneur, ce Sang offert au Père dans la sainte Messe qui te lavera tout entier et te rendra resplendissant, à la louange du Père du Fils et du Saint Esprit.
Ne nous laissez pas sucomber
Merci Catholique et Français , en vous relisant ,mais venu de comprendre le pourquoi de mon malaise dans cette nouvelle "Eglise Catholique "et ce que vous dite me fait souvenir de mon cher Abbe Fert guide dans mes années d'adolescence ou l'on est a tout vent .Encore un grand MERCI
Ne nous laissez pas sucomber
Réformateur Non démolisseur oui ,contre le principe de la SAINTETE = l'homme et encore l'homme .
apvs
Merci Cher Catholique et Français, pour ce beau témoignage de l'abbé Georges de Nantes, et pour vos commentaires ! 👍 Ave Maria44 😇 Francesco I ( merci pour votre article ) 🤗 Spina Christi 2 😉 perceval2507 👌
Catholique et Français
Le moine Luther découvert par un jeune séminariste de 1946 (Abbé Georges de Nantes. Extraits des "Mémoires et Récits", tome 2, p. 189.) : "Au séminaire, le choc de Luther : les cours d’histoire de Monsieur Gautier au séminaire d’Issy-les-Moulineaux «régalaient mon inlassable curiosité, mais ce qu’il racontait et revivait lui, était si loin de moi que mon admiration en demeurait toute froide …Plus
Le moine Luther découvert par un jeune séminariste de 1946 (Abbé Georges de Nantes. Extraits des "Mémoires et Récits", tome 2, p. 189.) : "Au séminaire, le choc de Luther : les cours d’histoire de Monsieur Gautier au séminaire d’Issy-les-Moulineaux «régalaient mon inlassable curiosité, mais ce qu’il racontait et revivait lui, était si loin de moi que mon admiration en demeurait toute froide et formelle» jusqu’au jour où il évoqua «le soudain envol de l’ordre clunisien en pleine anarchie féodale des derniers temps carolingiens». Quel choc ! (…)
" Cluny me toucha au cœur, à l’impourvu et pour toujours. À partir de 909, l’Histoire me parle, elle me concerne et m’appelle, elle m’éclaire et m’aide. (…) Son histoire est celle de mon univers ; j’ai aperçu ses clochers échappés à la ruine, en passant. Et par bonheur, la grande idée de ses abbés de légende, Odon, Mayeul, Odilon, appartient à la vision qui m’a été inculquée de notre ordre catholique et français, comme sa clef de voûte. Serait-il dès lors insensé de dire que ma vocation s’originait, naissait là, dans cette fondation de Cluny que dix siècles ne séparaient pas autant de nous qu’ils nous y unissaient ?" (…)
Même «enthousiasme vibrant pour saint Bernard. Cette mystique du Cantique des cantiques, ces Croisades, cette poursuite de l’hérésie, cet acharnement contre Abélard, cette hargne contre Pierre le Vénérable jugé trop tiède», paraissaient désuets aux confrères, et les laissaient froids, «alors que de toutes mes soifs inextinguibles je buvais au goulot, avidement, cette vie, cette ardeur, palpitant de ces saints enthousiasmes, de ces fureurs, de cette poésie mystique, sans en laisser tomber une goutte, en nourrissant ma jeune existence ! J’y entendis une leçon pour aujourd’hui mais, dans notre climat nouveau de 1946, je paraissais le seul. (…)
«Je ne vis pas mille ans en arrière comme m’en brocardaient mes confrères. Je vis de ces mille ans qui ont bâti mon univers – et le leur, hélas ! qui leur est indifférent, à moins qu’il ne leur soit étranger et ennemi –, et qui lui ont mérité de Dieu et de son Christ de survivre. J’y puise toute ma sagesse, à leurs cent cinquante vérités et bontés, beautés humaines et chrétiennes, ou pour mieux dire monastiques et monarchiques. (…)
Choc contraire, « aussi vif mais douloureux », l’année suivante, au récit de la Réforme de Luther : "De ces cours-là non plus je ne perdis pas un mot, pas une inflexion de voix, et je n’en ai vraiment rien oublié. Ma haine de ce monstre d’orgueil et de sensualité, l’une et l’autre irréfrénés, ne voulant pas capituler l’une devant l’autre, et se retournant alors contre la Foi, contre la Loi, contre le Sacrement du Christ pour se tailler à eux deux un royaume… Y a-t-il rien de plus dégoûtant, de plus révoltant, de plus catastrophique pour le genre humain ? Ainsi la volupté la plus abjecte, la solitaire, et l’orgueil barbare de l’individu se préférant à tout l’Ordre humain et divin qu’il conteste et rêve de broyer, allaient installer leur faux ménage là où, des siècles, avaient régné la chasteté, l’humilité et la douce amitié fraternelle ?
«J’avais conservé intacts, enrichis encore de constantes lectures mes souvenirs, mes admirations, mes amours des saints Hugues de Cluny, Bernard et Norbert, Bruno et François, Thomas et Bonaventure… Je n’en pouvais embrasser les pléiades lumineuses. Et voici que ce moine grossier, débauché, fort en gueule et de propos honteux, se faisant maître de l’Évangile et seul juge de la foi et de la discipline, allait tout souiller, tout renverser, sans que rien s’oppose à lui victorieusement ?
«Jamais, non jamais plus la Chrétienté ne jouirait de la paix, de l’unité, de la pureté des mœurs et de la clarté des dogmes, sans division, sans contestation, sans guerres sanglantes et persécutions ! J’en éprouvai sur le moment la morsure de la haine contre cet homme immonde dressé contre tout un monde pour le ruiner au nom d’un salut illusoire. Je n’en ai rien renié depuis. Il a bien fallu que mon indignation intérieure se calme, que ma haine contre cet hérétique mort depuis quatre siècles, de suffocante se fasse seulement véhémente.
«On fêtait alors, dans notre monde devenu anglo-saxon, le quatrième centenaire de sa mort, le 17 février 1546. Ce qu’il avait dit de l’Allemagne passée à sa Réforme, devenait la triste, l’écœurante réalité de notre monde libéré, de 1946 : “Si on voulait peindre l’Allemagne, il faudrait la faire comme une truie; mais puisque nous y sommes, il faut en porter la peine.”
«Ah ! non, je ne me résignerai jamais à vivre sous l’Occupation de pareille barbarie proclamée évangélique, jamais je ne préférerai son chaos absurde, son cruel fanatisme et son hypocrisie de piété mêlée de vices, à la pure vérité et bonté et beauté de notre Ordre catholique et français…»
Mais, indifférent à son jeune auditoire, Monsieur Gauthier, que toute luxure, toute violence écœuraient déjà passait à la suite de cette Histoire Sainte de l’Église; sa Contre-Réforme splendide et les gloires de la Renaissance catholique nous instruisaient de ce que nous aurions à vivre et à faire nous-mêmes.
Catholique et Français
La hiérarchie catholique contemporaine, prenant le contre-pied absolu des Princes de l'Eglise d'autrefois, entretient la mémoire de ce monstre teuton qui est à l'origine de tant et tant d'horreurs, jusques-et-y-compris Adolf et Vladimir Illitch. En "miroir" ô combien lumineux et révélateur, SILENCE QUASI ABSOLU SUR SAINT THOMAS MORE, CE MERVEILLEUX ANGLAIS, SAINT ET MARTYR, SUBLIME INTELLIGENCE …Plus
La hiérarchie catholique contemporaine, prenant le contre-pied absolu des Princes de l'Eglise d'autrefois, entretient la mémoire de ce monstre teuton qui est à l'origine de tant et tant d'horreurs, jusques-et-y-compris Adolf et Vladimir Illitch. En "miroir" ô combien lumineux et révélateur, SILENCE QUASI ABSOLU SUR SAINT THOMAS MORE, CE MERVEILLEUX ANGLAIS, SAINT ET MARTYR, SUBLIME INTELLIGENCE, PRINCE DES (vrais) HUMANISTES, CONTEMPORAIN, ADVERSAIRE ET ANTIDOTE A CET ABOMINABLE LUTHER, PENDU COMME L'ISCARIOTE, FAUX SAVANT ET FAUX THEOLOGIEN !
1 autre commentaire de Catholique et Français
Catholique et Français
Martin Luther, sa vie, son oeuvre, sa mort (ou plutôt son suicide) >>> l'un des plus grands malfaiteurs de l'humanité !
Francesco I
Catholique et Français
Martin Luther et la Sainte Eglise Catholique : L'ABOMINATION DE LA DESOLATION !
Catholique et Français
Malheur à vous, scribes et pharisiens, savants et lettrés, insensés, vicieux et pervers qui menez et aveuglez d'autres insensés ! Insensés qui jouez sur les mots et pervertissez la limpide Doctrine du Seigneur et de sa Sainte Eglise Catholique, Eglise qui n'est autre, selon le mot de Bossuet, que "Jésus Lui-même, répandu et communiqué" ! Miracle inoui de la Grâce et de la Miséricorde du Dieu …Plus
Malheur à vous, scribes et pharisiens, savants et lettrés, insensés, vicieux et pervers qui menez et aveuglez d'autres insensés ! Insensés qui jouez sur les mots et pervertissez la limpide Doctrine du Seigneur et de sa Sainte Eglise Catholique, Eglise qui n'est autre, selon le mot de Bossuet, que "Jésus Lui-même, répandu et communiqué" ! Miracle inoui de la Grâce et de la Miséricorde du Dieu vivant et de sa Très Sainte et Très Bénie Mère : un protestant lambda peut, certes, se sauver, MAIS MALGRE son protestantisme, comme il peut arriver, ô merveille !, qu'un nageur ne se noie pas malgré le boulet de fonte qui lui a été attaché au pied !
AveMaria44
L'escroquerie du retour au source est utilisée par tous les prétendus réformateurs. L'éloge de Luther par Jean-Paul II, Benoit XVI, et François prouvent qu'ils ne professent plus la foi catholique, car eux ne peuvent pas ignorer qui était vraiment Luther incapable de se réformer lui-même. Combien d'âmes se sont perdues suite à sa prétendue réforme, avec le schisme anglican il est responsable …Plus
L'escroquerie du retour au source est utilisée par tous les prétendus réformateurs. L'éloge de Luther par Jean-Paul II, Benoit XVI, et François prouvent qu'ils ne professent plus la foi catholique, car eux ne peuvent pas ignorer qui était vraiment Luther incapable de se réformer lui-même. Combien d'âmes se sont perdues suite à sa prétendue réforme, avec le schisme anglican il est responsable de la démolition de la chrétienté.
apvs
D'une certaine manière, Judas se voulait lui aussi , comme plus tard Luther, une sorte de "réformateur", démesurément orgueilleux, car incapable de l'accomplir... Qui peut nier que les apôtres se montraient bien trop humains dans leurs rapports avec le Christ ? Certains voulaient être reconnu le plus grand, deux voulant même trôner à la droite et à la gauche du Christ dans son Royaume. Ceux-ci …Plus
D'une certaine manière, Judas se voulait lui aussi , comme plus tard Luther, une sorte de "réformateur", démesurément orgueilleux, car incapable de l'accomplir... Qui peut nier que les apôtres se montraient bien trop humains dans leurs rapports avec le Christ ? Certains voulaient être reconnu le plus grand, deux voulant même trôner à la droite et à la gauche du Christ dans son Royaume. Ceux-ci voulaient faire descendre le feu du ciel sur les ennemis du Seigneur. D'autres écartaient les petits enfants venant se faire bénir par Le Doux et Humble de coeur, dont le Royaume appartient aux enfants et à leur semblables. L'un d'entre eux se permit de conseiller au Rédempteur de renoncer à sa Passion salvatrice... Lorsqu'il marcha sur l'eau, il expérimenta la faiblesse de sa foi en son Maître, elle qui vascillait devant la peur des éléments déchaînés... On pourrait s'étendre d'avantage sur la faiblesse des apôtres, qui culmina lors de la Passion lorsqu'ils abandonnèrent tous Jésus à ses bourreaux. Oui, il fallait réformer cette petite Eglise naissante, et lorsqu'on retrouve les mêmes personnes après la Pentecôte, transformés par le souffle de l'Esprit Saint après la Mort/Résurrection du Seigneur, on comprend que ce fut chose faite...

OUI, la seule réforme, c'est la Croix du Christ, lui qui est notre paix, et qui des deux peuples n'en a fait qu'un, détruisant la barrière qui les séparait, supprimant en sa chair la haine, cette loi des préceptes avec ses ordonnances, pour créer en sa Personne les deux en un seul Homme Nouveau, faire la paix, et les réconcilier avec Dieu, tous deux en un seul Corps, par la Croix : en sa Personne, il a tué la Haine. Alors Il est venu proclamer la paix, paix pour vous qui étiez loin, et paix pour ceux qui étaient proches : par lui nous avons en effet, tous deux en un seul Esprit, libre accès auprès du Père. ( Eph 2,14-18)

-Tout autre tentative de réforme est sacrilège, et finit par la destruction de son initiateur, séparé de l'Esprit du Christ. On ne touche pas impunément à l'Oeuvre de Dieu, pour laquelle Il s'est incarné, et a versé son Sang.

- Il est intéressant de constater que les orthodoxes se sont séparés de la barque de Pierre, par peur justement de ce qu'ils pensaient être une réforme, alors que ce n'était qu'une compréhension plus profonde et explicite du mystère trinitaire : l'Esprit procède du Père et du Fils. Ils sont donc dans une situation bien préférable à celle des protestants, n'ayant rien renier de la foi des origines du christianisme.