Le CULTE & le PATRONAGE de SAINTE ANNE par le R.P. Mermillod

LECTURE. — Hommages que lui a rendus l’Orient. — Le Père d’Argentan. — Mgr Mislin. — Le Père Joseph Besson. — Typique de saint Sabas. — L’empereur Justinien. — Annales grecques (suite du chapitre XI, page 111). — Sainte Anne, secourable aux sourds-muets (page 271).

PRATIQUES. — Respecter les vieillards en souvenir de sainte Anne et de saint Joachim : les visiter, les soigner avec une filiale affection, les consoler.

PRIÈRES. — « Ô Joachim embelli du souffle divin ! Anne resplendissante de la divinité ! vous êtes les deux lustres d’où est sortie la lampe inaltérable autour de laquelle on ne saurait apercevoir l’ombre la plus légère. La grâce même de Dieu, c’est-à-dire de sa Mère, vous a surabondamment enrichis. À ses prières joignez vos prières, afin que le Seigneur accorde à nos âmes la jouissance de ses miséricordes infinies. »
(Saint Sabas)
 

LECTURE. — Hommages rendus à Sainte Anne par l’Occident. — France. — Apt. — Bréviaire aptésien. — L’empereur Charlemagne. (chapitre XII, pages 117 à 123). — Sainte Anne, force des paralytiques (page 274).

PRATIQUES. — Visiter les affligés, les prisonniers ; prier sainte Anne de leur donner la résignation et la grâce de profiter de leurs peines.

PRIÈRES. — « Je vous salue, Marie, pleine de grâce, le Seigneur est avec vous : que votre grâce soit avec moi ; vous êtes bénie entre les femmes, et bénie soit sainte Anne, votre Mère, de laquelle vous êtes née Immaculée. »
(Sainte Gertrude)
 

LECTURE. — Hommages de la Provence à Sainte Anne (suite du chapitre XII, pages 123 à 129). — Sainte Anne, port des naufragés (page 278).

PRATIQUES. — Venir en aide aux pauvres honteux, aux infirmes les plus délaissés.

PRIÈRES. — « Ô très-douce Mère, ne dédaignez pas la prière des pauvres, mais dans votre maternelle charité protégez ceux qui se réfugient vers vous. »
 

LECTURE. — Marseille, Lyon, Clermont et Dijon rendant leurs hommages à la bonne sainte Anne. (suite du chapitre XII, pages 129 à 135). — Sainte Anne, secours des pestiférés (page 283).

PRATIQUES. — Imiter la mortification de sainte Anne ; s’imposer quelques privations, un jeûne ; s’interdire quelque récréation ou passe-temps même légitime, dans le but de mériter ses bonnes grâces.

PRIÈRES. — « Ô Bienheureuse Anne, vous êtes digne de toute vénération !
Heureuses les entrailles qui ont porté la Reine du ciel !
Heureuses les mamelles qui ont allaité la Mère de Dieu ! »
 

LECTURE. — Rouen. — Sainte-Anne-de-la-Prairie (suite du chapitre XII, pages 135 à 139). — Sainte Anne, trésor des familles en détresse (page 289).

PRATIQUES. — Imiter sainte Anne dans sa fidélité à la grâce : docilité aux bonnes inspirations, se tenir en garde contre les illusions.

PRIÈRES. — « Ô Bienheureuse Anne, je vous félicite d’avoir mérité la Mère de Dieu.
Vous êtes vraiment heureuse d’être l’aïeule d’un Dieu. »
 

LECTURE. — Sainte-Anne-d’Auray (suite du chapitre XII, pages 139 à 145). — Sainte Anne, chemin des voyageurs (page 289).

PRATIQUES. — Instruire les ignorants ; faire le catéchisme aux pauvres.

LECTURE. — Canada, Sainte-Anne-du-Petit-Cap (fin du chapitre XII, page 145).— Sainte Anne, mère compatissante des estropiés (page 292).

PRATIQUES. — Imiter la patience de sainte Anne, comprimer les saillies de l’humeur, se corriger des inégalités de caractère, par la possession de son âme en Dieu.

LECTURE. — Hommages rendus à Sainte Anne : Nord de l’Europe — Charlemagne — L’Isle-Barbe — Florac — Les provinces rhénanes — L’Angleterre — Urbain VI (chapitre XIII, de la page 153 à la page 158). — Sainte Anne, refuge des mères inquiètes sur le salut de leurs enfants (page 294).

PRATIQUES. — Prier pour les agonisants, principalement pour ceux qui sont exposés à mourir sans sacrements.

PRIÈRES. — ACTE de CONSÉCRATION (PDF) :
« Bienheureuse Anne, vous qui avez donné le jour à la Mère de Dieu, illustre aïeule de notre Sauveur Jésus-Christ, moi, N... je vous choisis en ce jour pour ma patronne et ma Mère, je m’offre et me consacre entièrement à vous, je recommande à votre maternelle sollicitude et à votre sainte garde mon corps et mon âme, les nécessités et les vicissitudes de mon existence, ma vie et ma mort. Je me propose et je prends l’engagement de vous servir, de vous honorer par amour pour Marie, votre Fille très-sainte, de défendre et de propager, selon mon pouvoir, votre glorieux patronage. De votre côté, ô ma très-douce Mère ! ô ma patronne ! daignez me recevoir au nombre de vos serviteurs et de vos fils adoptifs ; daignez m’attacher à vous par les liens de la plus tendre dévotion. Obtenez-moi d’imiter si parfaitement les vertus qui vous ont rendue agréable à Dieu, que je mérite les faveurs de votre Jésus et de Marie, votre Fille. Obtenez-moi une heureuse mort, et qu’à ma dernière heure mon âme reçoive vos consolations. Aidez-moi durant ma vie à mériter, par les souffrances, les mérites et les miséricordes de Notre-Seigneur Jésus-Christ, une rémission si parfaite de mes péchés, que mon âme, en sortant de son corps, puisse aller aussitôt vous rejoindre dans le repos éternel. »
(Jean Thomas de Saint-Cyrille)

LECTURE. — Hommages rendus à Sainte Anne : La Bohême. — L’Autriche. — Flandres, — Cologne. — Düren (suite du chapitre XIII, de la page 158 à la fin). — Sainte Anne, liberté des captifs (page 296). .

PRATIQUES. — Favoriser, suivant ses moyens, les vocations à la vie religieuse et apostolique.

LECTURE. — Hommages de l’Italie à Sainte Anne. — Rome. — Léon III. (chapitre XIV, de la page 165 à la fin de la page 167). — Sainte Anne, remède des incurables (page 237).  

PRATIQUES. — Résolution énergique de combattre son défaut dominant, afin de ne pas mettre obstacle, par notre indignité, aux bontés de sainte Anne.