News au 19 mai 2020
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News au 19 mai 2020
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comme BERGOGLIO est HÉRÉTIQUE, APOSTAT & IDOLÂTRE (culte idolâtrique de la Pachamama le 4/10/2019 & « Jésus n'est pas Dieu ! » 9/10/2019, etc...), concluez !
>>> BERGOGLIO = 666_________________
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Re: News au 19 mai 2020
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Re: News au 19 mai 2020
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GOG et MAGOGGog signifie masqué ; ne vous semble-t-il pas que l'armée de Gog est nombreuse aujourd'hui ? Et dire que cela se vérifie jusqu'au plan matériel !
Magog signifie démasqué ; mais avant d'être démasqué, ne faut-il pas être masqué ? Or, Gog et Magog sont la même armée, celle-même de l'Antéchrist qui d'abord avance masquée pour n'être point découverte, puis elle se découvre et jette bas le masque. Et alors... nous voyons ce que l'on voit aujourd'hui et qui demain sera pire jusqu'à ce que la plénitude de l'iniquité soit atteinte.
Comment lutter contre Gog et Magog qui est l'armée de l'Antéchrist, pour lors Bergoglio ? Par le CHAPELET QUOTIDIEN !
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Re: News au 19 mai 2020
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Un ENNEMI INEXISTANTCe qui se passe aujourd'hui me fait penser à un passage de la Bible où Dieu dit à son peuple que s'il pèche, il sera en fuite alors même que personne ne le poursuivra. N'est-ce pas ce qui se passe dans le monde depuis quelques mois ? On dit que nous sommes en guerre, mais en guerre contre qui ? En guerre contre un misérable virus fabriqué pour la circonstance et qui fait moins de ravage que la grippe ! Et contre cet ennemi "redoutable", le monde entier se confine, se masque, se teste. Assurément, c'est plus que risible, et il faut que l'humanité soit tombée bien bas pour arriver à une telle extrémité !
Une réflexion me vient. Si les hommes acceptent une telle aberration d'esprit, ils accepteront d'autant plus facilement les faux-miracles de l'Antéchrist. L'humanité est donc mûre et le saut de qualité marquant le coup d'envoi du temps des prodiges de l'Antéchrist, est tout proche : il peut se produire d'un instant à l'autre. Préparez-vous donc !
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Re: News au 19 mai 2020
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Mort DE/AVEC LE coronavirus ?La distinction est cruciale, alors que, pour prolonger l’état de sidération mentale collective auquel la peur, même légitime, a réduit les populations, l’info officielle continue de nous égrener, soir après soir le lugubre décompte des morts. Paolo Gulisano s’étonne qu’en Italie, une circulaire émanant du « gouvernement de crise » ait imposé la crémation des corps et prohibé les autopsies (quid de la France?)Les MORTS ne MENTENT PAS :
Il FAUT PLUS d’AUTOPSIES pour COMPRENDRE le COVIDpar Paolo Gulisano
Seule l’autopsie permet de savoir qui meurt du coronavirus ou avec le coronavirus. Seules les autopsies nous permettent de comprendre le fonctionnement du Covid et de le traiter. Alors pourquoi le gouvernement continue-t-il à s’opposer aux autopsies ?
Adriano Trevisan, de Vo, province de Padoue, avait un triste record : être le premier Italien mort du Covid-19. Il est mort au début de l’épidémie, le 21 février dernier, à l’âge de 78 ans. Mais l’autopsie demandée par le ministère public de Padoue et réalisée ces derniers jours révélerait une autre vérité : Trevisan présentait de graves pathologies chroniques dégénératives et sa mort ne serait donc pas directement imputable au virus.
Une conclusion qui, en réalité, n’a rien de surprenant: dès le début, on a essayé d’expliquer que le Coronavirus faisait ce que font normalement chez les personnes sans défense, fragiles, atteintes de maladies graves, d’autres micro-organismes, comme les virus de la grippe ou les pneumonies bactériennes. Au début de l’épidémie, l’Institut supérieur de la santé avait tenté de souligner qu’il était nécessaire de distinguer les morts dus au Coronavirus et les morts avec le Coronavirus, une distinction fondamentale. Mais le Premier ministre Conte a immédiatement fait taire la direction de l’Institut: cette distinction ne devait pas être faite. Le nombre de morts devaient monter, pour augmenter la peur.
Aujourd’hui, grâce au résultat de cette autopsie, peut-être l’opinion publique comprendra-t-elle qu’elle a été trompée. L’autopsie est depuis toujours une solution à de nombreux dilemmes. Il y a une façon de dire chez les médecins légistes: les morts ne mentent pas. Les autopsies, si elles avaient été pratiquées dès le début de l’épidémie, auraient immédiatement mis en évidence la manière dont le virus agit et endommage l’organisme. Quand enfin un nombre suffisant d’autopsies ont été pratiquées, un fait flagrant a émergé: le premier effet du covide 19 est la coagulation intravasculaire disséminée (CID). C’est-à-dire la formation de « caillots » dans le sang et la thrombose. Ce n’est qu’après que survient une double pneumonie interstitielle.
Nous avons donc compris que les traitements effectués jusqu’alors dans les hôpitaux, basés sur la ventilation mécanique en soins intensifs, n’étaient pas concluants. Au contraire : comme l’explique le professeur Valerio De Stefano, professeur titulaire d’hématologie à l’Université catholique, l’inflammation en général, les infections de l’arbre respiratoire, l’hospitalisation et l’admission en soins intensifs sont autant de facteurs de risque de thrombose. Ayant pris note de tout cela, on a commencé à utiliser l’héparine, un vieux médicament anticoagulant qui s’est avéré très efficace. La diminution de la mortalité due au Covid est également due à cet ajustement de la thérapie, qui a été rendu possible par une évidence élémentaire: si je connais les dommages causés par le virus, je peux agir en les prévenant.
Mais pourquoi les autopsies n’ont-elles pas été pratiquées en Italie dès le début? Pourquoi les cadavres ont-ils été immédiatement envoyés à la crémation? La réponse est: parce que le gouvernement les a interdits. Tout est noir sur blanc dans la circulaire « Indications d’urgence liées à l’épidémie de Covid-19 concernant le secteur des funérailles, du cimetière et de la crémation » de la Direction générale de la prévention sanitaire, signée par le Secrétaire général Giuseppe Ruocco et envoyée à tous les destinataires compétents, de la Protection civile à l’association des municipalités, de l’ordre des médecins, des professions infirmières et des pharmaciens aux Régions. Il s’agit d’une mise à jour, début mai, des normes adoptées par le même bureau depuis le 22 février et réitérées les 17 et 29 mars. Le point C, intitulé « Examens d’autopsie et résultats du diagnostic », peut être lu au paragraphe 1: « Pendant toute la durée de la phase d’urgence, aucune autopsie ou diagnostic ne doit être pratiqué dans les cas de Covid 19, qu’ils soient morts à l’hôpital ou à la maison« .
Pour quel motif devrait-on ne pas procéder à des contrôles aussi importants? Il convient de souligner qu’avec la mort, les fonctions vitales cessent et le risque d’infection est considérablement réduit (en fait, la transmission du virus se fait principalement par gouttelettes et par contact) et que le patient décédé, une fois la respiration et la motilité arrêtées, n’est pas une source de dispersion du virus dans l’environnement. Quelles raisons de précaution auraient donc pu conduire à l’interdiction des autopsies? Aucune. De plus, la circulaire est même allée jusqu’à limiter l’intervention de la loi. Au point 2, en effet, en référence à une éventuelle intervention de la magistrature, il est prescrit que « l’autorité judiciaire peut évaluer, dans le cadre de sa propre autonomie, la possibilité de limiter la vérification à la seule inspection externe du corps dans tous les cas où l’autopsie n’est pas strictement nécessaire ». L’inspection externe seule ne peut évidemment pas fournir des indications précises sur la cause du décès.
Il a donc suffi de pratiquer une autopsie sur le premier mort du Covid pour identifier immédiatement les meilleures voies cliniques et thérapeutiques, mais cela n’a pas été fait.
Cette erreur a pesé lourdement sur le bilan de cette épidémie.
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Re: News au 19 mai 2020
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PAS à PAS vers les PRÊTRE MARIÉS.
Une mise à jourComme on le sait, dans les conclusions qu’il a tirées du synode sur l’Amazonie, le Pape François n’a absolument rien dit sur l’ordination de prêtres mariés. Mais cela n’a nullement fait taire les partisans de l’innovation.
Bien au contraire, ceux-ci se font toujours plus impatients et loquaces. Un de leurs théologiens renommé en est la preuve vivante : consultant au synode pour un bon nombre d’évêques brésiliens, il détaille par le menu à Mauro Castagnaro dans le dernier numéro de la revue « Il Regno » tous les pas à franchir pour atteindre l’objectif, en se disant certain que le Pape y consentira.
Le théologien en question, c’est Antonio José De Almeida, prêtre du diocèse d’Apucarana dans le sud du Brésil et professeur à l’Université catholique pontificale de Paraná, plus connu pour avoir développé les hypothèses initialement avancées par l’allemand Fritz Lobinger, évêque en Afrique du Sud entre 1987 et 2004, lu et apprécié par le Pape François. Lobinger avait imaginé à la tête des paroisses des « équipes d’anciens » composées d’hommes et de femmes, célibataires ou mariés, ordonnés prêtres et donc avec la pouvoir de célébrer la messe.
*
Pour commencer, De Almeida prétend que le silence de François « ne signifie pas qu’il ait fermé la porte ». D’autant plus, explique-t-il, que « Querida Amazonie », l’exhortation apostolique post-synodale du Pape, dans ses premiers paragraphes, cite justement avec emphase le document final du synode qui approuvait l’ordination de prêtres mariés, la déclarant « valide » et invitant les pasteurs et le peuple chrétien de la région à « s’impliquer dans sa mise en œuvre ».
Et donc, comment procéder ? Le « premier pas » – dit De Almeida – consistera à « énumérer les raisons pour lesquelles un diocèse entend proposer l’ordination d’hommes mariés ».
Un diocèse pourrait même faire ce premier pas de sa propre initiative mais « il serait mieux de décider de le faire avec les diocèses voisins, peut-être au niveau d’une province ecclésiastique ou d’une conférence épiscopale régionale ». Et ceci serait « le deuxième pas ».
Le « troisième pas » intervient une fois que le « projet » est élaboré et consiste à « présenter la demande au Saint-Siège ».
Et le Saint-Siège y répondra-t-il favorablement ? « Certainement, le Saint-Siège peut le faire – répond De Almeida -. Dans le contexte amazonien et vu le processus synodal mis en branle depuis l’annonce du synode spécial pour l’Amazonie, je n’ai aucun doute à ce sujet ».
Mais comment l’autorisation d’ordination des hommes mariés sera-t-elle donnée ? De Almeida dit que « pour l’instant, la solution se trouve dans le code de droit canon », qui admet aux canons 1042 et 1047 que dans des cas particuliers le Saint-Siège puisse dispenser les candidats au sacerdoce de l’ « empêchement » du mariage, « en prenant en compte le ‘bien des fidèles’ , la présence d’une ‘juste et raisonnable cause’ (l’accès des fidèles à la célébration de l’Eucharistie) et ‘des circonstances du cas’ (en Amazonie l’absence quasi absolue de clergé célibataire) ».
Où le Pape François écrit qu’ « il ne s’agit pas seulement de faciliter une plus grande présence des ministres ordonnés qui peuvent célébrer l’Eucharistie » mais « aussi de susciter une nouvelle vie dans les communautés ».
Pour De Almeida, cela doit nous inciter à imaginer à un nouveau modèle de prêtre, le « prêtre de communauté » qui, dans le sillage de Lobinger, pourrait également consister en « une équipe de tels prêtres », non pas itinérants mais à demeure, avec leurs familles respectives, exerçant ou pas une profession civile.
Une fois la demande adressée à Rome – poursuit De Almeida -, le Saint-Siège pourra concéder aux diocèses d’Amazonie « de manière permanente ou pour une certaine période la faculté d’accorder la dispense de l’empêchement du mariage afin qu’un homme marié puisse accéder à l’ordination presbytérale ».
Et cela ne s’arrête pas là. Il pourrait également arriver – imagine De Almeida – qu’entretemps, l’on institue dans la région un « rite amazonien » sur le modèle des Églises « sui iuris », comme par exemples les grecs-catholiques dans lesquelles le sacerdoce marié existe.
Dans ce cas, « cela changerait tout », parce que le sacerdoce marié lui-même ferait partie de ce nouveau rite autonome. D’autant plus – conclut De Almeida – que « la note 120 de ‘Querida Amazonia’, qui en parle, est déjà lue par certains dans l’optique de la note 336 d’ ‘Amoris laetitia’ qui a ouvert la porte à la communion des divorcés remariés’ ».*
La note 120 de ‘Querida Amazonia’ dit simplement : « Dans le Synode a germé la proposition d’élaborer un ‘rite amazonien’ ».
Et les notes 336 et 351 d’ « Amoris laetitia » ne font que des allusions : « Dans certains cas, il peut s’agir aussi de l’aide des sacrements…
L’Eucharistie n’est pas un prix destiné aux parfaits, mais un généreux remède et un aliment pour les faibles… Le discernement peut reconnaître que dans une situation particulière il n’y a pas de faute grave… ».
Mais comme dans « Amoris laetitia », ces allusions ont servi de levier pour une application très large – et pour beaucoup abusives – de l’exhortation apostolique post-synodale, une interprétation autorisée par le Pape François en personne, certains voudraient que la même chose se produise avec cette petite note de bas de page de « Querida Amazonia ».
Ceci dans une perspective d’autonomie rituelle qui semble encore éloignée. Mais en attendant, nombreux sont ceux qui sont prêts à entamer dès à présent ces autres pas indiqués par De Almeida.
Et pas uniquement en Amazonie. Parce qu’il y a un autre synode, en Allemagne, qui suit le même chemin. Avec une prédilection particulière pour une autonomie d’avec Rome encore plus poussée, à la limite du schisme.
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Re: News au 19 mai 2020
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ANNONCE PERSONNELLEJe viens d'être exclu de la modération de GTV par Don Reto-Doppelbauer. Ceci fait partie de la censure antéchristique. Comme c'est très clair, je n'ai rien à ajouter.
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Re: News au 19 mai 2020
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FRANÇOIS, le BON CHEF d’ENTREPRISE
« QUI NE VEUT LICENCIER PERSONNE » :
MAIS les FAITS DISENT le CONTRAIRE
La guerre sans merci qui fait rage en Italie depuis le 3 mai dernier entre le ministre de la justice Alfonso Bonafede et le magistrat Nino Di Matteo, tous deux catalogués comme appartenant à l’aile justicialiste de la politique et de la magistrature, a éclipsé ce qui vient de se passer au Vatican et qui implique le Pape François, là encore sous le signe du justicialisme le plus débridé.
En Argentine, on appelait « justicialiste » le parti créé par Juan Domingo Perón, le leader dont Jorge Mario Bergoglio fut un fervent partisan, jusqu’à figurer parmi les rédacteurs de son testament politique, publié après sa mort en 1974.
Mais dans la langue courante, le justicialisme consiste à vouloir juger sommairement les accusés, avant même qu’un procès en bonne et due forme ne puisse déterminer leur responsabilité. C’est une manière de s’en prendre de manière expéditive à ceux que l’on veut attaquer, en organisant des procès sur la place publique plutôt que dans les tribunaux, à grand renfort de campagnes médiatiques préparées à l’avance et de condamnations « a priori » basées sur la seule suspicion.
Au Vatican, sous le pontificat actuel, le justicialisme est monnaie courante. On a assisté à une nouvelle flambée entre fin avril et début mai, avec qui plus est une contradiction flagrante entre les paroles et les actes.
Le 1er mai, c’était la fête de saint Joseph travailleur et dans l’homélie de sa messe télévisée à Sainte-Marthe, le Pape a dit, après avoir demandé de prier « pour que personne ne se retrouve sans travail » :
« Il y a deux mois, j’ai eu au téléphone un chef d’entreprise, ici, en Italie, qui m’a demandé de prier pour lui parce qu’il ne voulait licencier personne et qui m’a dit comme ça : ‘Parce que licencier l’un d’entre eux, ce serait comme me licencier moi-même’. Cette conscience de tant de bons chefs d’entreprise, qui protègent leurs travailleurs comme si c’était leurs enfants… Prions également pour eux ».
Les médias ont relayé en chœur ces paroles émouvantes du Pape François, prononcées le jour de la fête du travail partout dans le monde (sur la photo, le Pape en train de déjeuner avec les ouvriers dans le réfectoire du Vatican).
Sauf que la veille au soir, la salle de presse du Vatican publiait un communiqué sibyllin pour informer que « des mesures individuelles ont été prises concernant certains employés du Saint-Siège, à l’échéance de celles qui avaient été adoptées au début de l’enquête sur les investissements financiers et dans le secteur immobilier par le Secrétairerie d’État ».
De quelles « mesures » s’agissait-il ? De licenciements secs. Décidés par le Pape François et infligés aux malchanceux du jour, ce 30 avril.L’enquête à l’origine des licenciements cités dans le communiqué est résumée dans cet article de Settimo Cielo datant du 25 novembre dernier :
En résumé, le 1er octobre 2019, la gendarmerie du Vatican, sous les ordres du commandant de l’époque, Domenico Giani, avait perquisitionné les bureaux de la Secrétairerie d’État et de l’Autorité d’Information Financière, l’AIF, et saisit des documents, des ordinateurs et des téléphones portables. Le jour suivant, cinq fonctionnaires avaient été suspendus, un clerc et quatre laïcs, tous suspectés par la justice du Vatican, et un sixième serait venu s’y ajouter, Mgr Alberto Perlasco, l’ancien chef du bureau administratif de la Secrétairerie d’État.
Les chefs d’accusation concernaient principalement l’acquisition par la Secrétairerie d’État, et avec l’argent du Denier de Saint-Pierre, d’un immeuble de luxe dans un quartier huppé de Londres, au n°60 de Sloane Avenue. Un achat coûteux et réalisé par des voies détournées, à partir de 2015, par la première section de la Secrétairerie, celle dirigée par le « substitut », qui fin mai 2018 était encore Mgr Giovanni Angelo Becciu, aujourd’hui cardinal, et auquel a succédé le vénézuélien Edgar Peña Parra.
Pour conclure l’affaire, Mgr Peña Parra avait réclamé début 2019 une nouvelle somme importante à l’IOR, la « banque » du Vatican. Et c’est à ce moment qu’a éclaté le différend qui a mené au raid de la gendarmerie.
Non seulement l’IOR a refusé de fournir cette somme mais elle a en outre estimé que l’opération toute entière était irrégulière et a porté plainte auprès du tribunal du Vatican, impliquant également l’AIF et l’accusant d’avoir manqué à son devoir de vigilance.
La personne la plus connue et la plus haut placée parmi les suspects était en fait le directeur de l’AIF de l’époque, Tommaso Di Ruzza. Son innocence a été publiquement clamée par son supérieur, le Suisse René Brüelhart, avant qu’ils ne soient tous les deux licenciés par le Pape au terme de leur quinquennat de service, le 18 novembre pour Brüelhart et le 20 janvier pour Di Ruzza.
Quant aux autres suspects, Mgr Perslasca est toujours en place à son poste de promoteur de justice adjoint au tribunal suprême de la signature apostolique tandis que la seule femme des six, Caterina Sansone, a été réaffectée à d’autres tâches. Les trois autres employés restants sont en revanche tombés sous le couperet du licenciement, il s’agit de l’abbé Maura Carlino, ancien responsable du bureau d’information et de documentation de la Secrétairerie d’État et secrétaire de Mgr Becciu quand il était encore substitut, ainsi que de deux laïcs, Vincenzo Mauriello et Fabrizio Tirabassi.
Mgr Becciu a défendu avec force, dans plusieurs déclarations publiques, le caractère légal de l’opération faisant l’objet de l’enquête et dont il était le principal responsable hiérarchique, allant jusqu’à contredire son supérieur direct, le cardinal secrétaire d’État Pietro Parolin, qui avait quant à lui qualifié cette opération d’opaque.
Et le Pape François ? Avec la candeur calculée qui lui est propre quand il s’agit de répondre aux questions de deux journalistes au cours de la conférence de presse dans le vol de retour de son voyage en Thaïlande et au Japon le 26 novembre dernier, il a déclaré s’en tenir bien entendu à une « présomption d’innocence » garantiste tout en se disant convaincu que « la corruption, il y en a, et ça se voit ».
Mais ça ne s’arrête pas là. Le Pape a révélé que c’était lui qui avait ordonné en personne au tribunal du Vatican d’ouvrir une enquête et qui avait ensuite autorisé le raid de la gendarmerie, au mépris évident de la règle d’or de séparation des pouvoirs entre le législatif, l’exécutif et le judiciaire qui sont à la base de l’État de droit, tout en mettant à la porte sans sourciller le commandant Giani peu après la perquisition, simplement parce qu’il avait fait ce que le Pape lui avait ordonné de faire.
Quant aux licenciements du 30 avril dernier, il faut noter que François les a ordonnés alors que les enquêtes ne sont encore que dans une phase préliminaire et que l’un d’entre eux, Fabrizio Tirabassi, est toujours en attente de son premier interrogatoire. C’est-à-dire en l’absence de toute certitude judiciaire quant à leurs véritables responsabilités. Qui plus est, les personnes licenciées n’ont reçu aucun motif officiel pour leur renvoi.
Ce n’est pas la première fois que le Pape François agit de la sorte. C’est ainsi qu’il s’est déjà débarrassé de certains cardinaux qui le dérangeaient. Curieusement, ces licenciements du 30 avril ont fait remonter à la surface la nouvelle d’un autre licenciement interpellant est d’il y a 3 ans, celui du Suisse Eugenio Hasler, chassé par le Pape d’un jour à l’autre du secrétariat du Gouvernorat de la Cité du Vatican sur base d’accusations anonymes circulant à la Curie, des accusations que l’employé licencié avait toujours rejetées comme totalement infondées et sur lesquelles aucune enquête n’a jamais été ouverte.
Voilà donc en quoi consisterait le fait de « considérer les travailleurs comme s’ils étaient ses enfants » du bon chef d’entreprise tant vanté par le Pape, « qui ne voulait licencier personne ».
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Re: News au 19 mai 2020
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NOTE TRÈS IMPORTANTEComme vous le savez, la censure sévit partout. Je viens de l'éprouver dans Gloria.TV où le patron, Don Reto Nay, et ses deux acolytes, l'abbé Doppelbauer et sa sœur Eva, viennent de m'enlever la modération qu'ils m'avaient donnée quelques temps auparavant. Motif ? J'ai fait monter sur la tribune une contribution qui ne leur plaisait pas. Tout ceci vous est bien connu puisque cela se pratique partout dans les réseaux sociaux. Que faire contre cette dictature ? Un moyen très simple : Récitez votre CHAPELET QUOTIDIEN et rigoler à la barbe de ces nouveaux dictateurs, car c'est bien le titre qu'ils méritent.
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Re: News au 19 mai 2020
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Une ÉVIDENCE ÉVIDENTEL'Apostasie arrivant à sa fin et l'Antéchrist prenant peu à peu possession de l'univers, l'espace de liberté qui reste aux vrais catholiques est de plus en plus réduit. Les réseaux sociaux vont bientôt se réduire à une louange quasiment unanime de l'Homme de péché ; c'est l'expérience que font tous les forums sans exception, et Gloria.TV qui se dit indépendant fait la même chose : je viens d'en être la victime aujourd'hui.
Quoi ajouter de plus ? Si si, j'ai un truc à ajouter : RÉCITONS NOTRE CHAPELET QUOTIDIEN !
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