VERITES SUR LE SAINT SUAIRE

 

    Qui ne se rappelle de l'immense battage des médias annonçant triomphalement début 1989 que le Suaire de Turin était un faux datant du Moyen-Age ?

    Qui ne se rappelle en effet du contenu de la revue très " scientifique " Nature du 16 février publiant les résultats d'une analyse au Carbone 14 d'un morceau prélevé de 8,1 sur 1,6 cm sur le fameux linge de Turin et donnant le compte-rendu final des travaux signés par 21 " savants " de trois laboratoires situés à Oxford (Angleterre), à Tucson (U S A), et à Zurich (Suisse) ?

    La communauté scientifique du monde entier avait pourtant réagi très fortement, surtout d'ailleurs aux Etats-Unis, en mettant en doute et le respect du protocole, et les méthodes d'analyse, et la loyauté des conclusions. Les croyants, eux, étaient consternés, crédules qu'ils sont hélas trop souvent face à toute nouvelle colportée par l'unanimité des médias... Que s'était-il donc passé ?

    Avant le prélèvement du 21 avril 1988 :

    * La datation au Carbone 14, selon les meilleurs experts, ne pouvait donner aucun résultat fiable sur ce linge, à cause de l'histoire même de la relique et de nombreux facteurs antérieurs ayant modifié la teneur du C 14 (exposition à l'air, voyages divers, fumées des bougies, et surtout les incendies qui avaient été jusqu'à endommager le Suaire au 13ème et au 15ème siècle). La date obtenue, d'après l'avis des spécialistes du C 14, ne pouvait aboutir dans ces conditions à une date inférieure au 7ème ou au 8ème siècle.

    L'incendie par exemple du 15ème siècle avait fait fondre le coffret en argent où était enfermé le Saint Suaire (et l'argent fond à 2000 degrés de température !), ce qui a catalysé les distributions en carbone du tissu et infusé des éléments frais de 1500 années plus récents que le sudarion lui-même.

    * Après 90 années de travaux, de débats scientifiques ininterrompus, l'annonce fracassante a d'autant plus surpris que l'on n'avait accumulé jusque là que des résultats favorables à l'authenticité. Pour ne prendre qu'un petit exemple rappelons que 400 scientifiques, experts de la NASA, avaient travaillé dans les laboratoires de cette célèbre institution entre 1976 et 1980 à raison de 150.000 heures d'analyse en " spectrométrie par fluorescence sous rayon X ", " radiographie par infra-rouge ", " spectroscopie sous ultra-violet ", " technologie de renforcement d'image par ordinateur, macroscopes... ", sans compter 100.000 heures supplémentaires " d'analyses micro-chimiques " ! !

    Ces derniers avaient conclu à l'existence d'un " flash fulgurant " analogue à une décharge thermique très brève mais de haute intensité de chaleur, unique explication possible ou plausible pour la formation de l'image. Cette fulguration ne pouvant d'ailleurs que modifier, par ses caractéristiques, la teneur en Carbone, elle modifiait également complètement les données de la datation...

    De face__ De dos__

    * L'analyse la plus connue fut celle du programme de décodage ordinateur appelé " V.P.8. analyser ", grâce auquel on peut lire les photographies prises par des sondes sur Vénus ou sur Mars, et reproduire en relief le paysage représenté. Appliqué au Suaire, il donna un résultat totalement inattendu : le relief était restitué en creux, ce qui prouvait sans contestation possible que l'origine de la lumière qui imprima l'image venait de l'intérieur du cadavre, et cela d'une manière uniforme dans tout le corps, et enfin avec des caractéristiques thermiques inconnues de nous...

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    L'animation montre un effet de zoom 3D effectué par le VP8 analyser à partir de l'image 2D du suaire

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    Application de différents filtres avec le logiciel "Photoshop".

    Après le compte-rendu de la revue Nature le 16 Février 1989 :

    * Les tapageuses triomphantes de l'athéisme militant ont permis de tromper un grand public désinformé, qui a alors cru aussitôt comme scientifiquement établi que ce drap-icône n'était en fait qu'une vulgaire mystification moyen-âgeuse.

    * Des Symposiums scientifiques internationaux se sont tenus à Paris en septembre 1989, dénonçant la déloyauté des communications en faux, et relevant les irrégularités innombrables des travaux réalisés par les laboratoires ; ces derniers furent accusés de n'avoir pratiquement pas respecté les règles du protocole préétabli pour empêcher les fraudes... Puis à Rome en juin 1993 avec le grand nombre des spécialistes de la Sindonologie (ou science du suaire) venus de 18 pays différents. Rassemblés en assemblée représentative de l'ensemble de la Recherche, la communauté internationale des scientifiques a unanimement, formellement, et pour la première fois, " pris acte du fait que si la science soumet l'évaluation du Linceul au même niveau d'exigence épistémologique régulièrement requis pour identifier les phénomènes physiques, et au vu des résultats déjà acquis, elle ne peut que conclure : l'homme du Linceul ne peut pas ne pas être Jésus de Nazareth ".

    * L'émission de Jacques Pradel sur TF1 a versé cette affaire au dossier de " l'odyssée de l'étrange ", sans oser dire qu'Oxford reconnaît aujourd'hui que le Suaire n'est pas un faux, sans oser parler non plus de la fraude reconstituée et prouvée des trois Laboratoires...

    Qui aurait pu soupçonner lesdits savants d'avoir prémédité le " truandage " des analyses (selon l'expression de Evin, spécialiste des faibles radioactivités à Villeurbanne) pour obtenir la moyenne arithmétique publiée comme résultat final : 1260 - 1390 ? ? ! ! Ceux de nos lecteurs qui le désirent trouveront une copie en trois pages du procès en fraude préméditée prouvant que dans chacun de ces trois Laboratoires des complices ont pu intervertir les échantillons à analyser ! ! !

    Merci aux savants honnêtes, Miséricorde pour les faussaires et... Gloire à Dieu ! ! !