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Tombes anonymes : un pas de plus vers l’identification des victimes

Le pensionnat pour Autochtones de Kamloops, en Colombie-Britannique.
Le pensionnat pour Autochtones de Kamloops, en Colombie-Britannique, a accueilli des milliers d'enfants Autochtones de son ouverture, en 1890, à sa fermeture, en 1978.PHOTO : CBC / Jonathan Castell
Publié le 25 janvier 2022

Des milliers de documents transmis par Ottawa aux communautés autochtones permettront d'avancer dans le processus d'identification des tombes anonymes, notamment celles du pensionnat pour Autochtones de Kamloops. Robert-Falcon Ouellette, chercheur au Centre Pearson et ancien député fédéral à Winnipeg, réagit.

Les 875 000 documents sont des archives, des rapports, des messages qui n’ont pas encore été donnés au Centre national pour la vérité et la réconciliation à Winnipeg, précise Robert-Falcon Ouellette.

Jusque-là, un consentement de la part des organisations religieuses était nécessaire pour accéder à ces données, mais la découverte des tombes anonymes en 2021 aurait changé la donne, selon le chercheur.

C’est la pression publique qui a changé les choses. Quand j’étais député, on me disait que ces documents n’existaient pas. Le gouvernement libéral a caché ça, c’est inexcusable, commente Robert-Falcon Ouellette.

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