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Propos hallucinants de François dans "Politique et société" (Wolton)

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Message par Gilbert Chevalier Lun 12 Nov - 21:32

François avoue n'être pas catholique et donc... pas Pape !

Ce qui suit est tiré des entretiens de François avec Dominique Wolton "Politique et société" paru en septembre 2017, où le dit François commence par un mensonge éhonté, persistant et signant puisqu'il a relu le livre avant son édition et où il avoue que les non-baptisés sont plus chrétiens que lui !!! C'est court mais suggestif.
« Vous [les français] avez un grand chrétien, qui est, je crois, mort sans baptême, mais un grand chrétien : Péguy. Péguy est celui qui a bien compris le rôle de l'espérance dans le christianisme. Il était plus chrétien que moi ! Curieusement , il n'a pas réussi a entrer dans l’Église, il est mort à la guerre, mais lui, l'espérance, il l'appelle la plus humble des vertus. »
(p.111)
Wolton est obligé de mettre en note que Péguy a été baptisé à sa naissance. Tout ceci se passe évidemment de commentaire ! Ceux qui n'ont pas compris ne comprendront jamais rien.


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Message par Gilbert Chevalier Mer 14 Nov - 10:27

François Bergoglio a écrit:
« Certains préfèrent parler de morale, dans les homélies ou dans les chaires de théologie. Il y a un grand danger pour les prédicateurs, les prêcheurs, qui est de tomber dans la médiocrité. De ne seulement condamner que la morale – je vous demande pardon -  "sous la ceinture". Mais les autres péchés, qui sont les plus graves, la haine, l'envie, l'orgueil, la vanité, tuer l'autre, ôter la vie..., ceux-là on n'en parle pas tant que ça. Entrer dans la mafia, faire des accords clandestins... « Tu es un bon catholique ? Alors donne-moi le chèque. » »
(p.153)

« L’Église s'est souvent identifiée aux pharisiens. »
(p.152)

« Il y a les péchés des dirigeants de l’Église, qui manquent d'intelligence ou se laissent manipuler. Mais l’Église, ce ne sont pas les évêques, les papes et les prêtres. L’Église, c'est le peuple. Et Vatican II a dit : « Le peuple de Dieu, dans son ensemble, ne se trompe pas. » »
(p.152)

« Allez en Afrique, où l'on trouve tant de missionnaires. Ils brûlent leur vie là-bas. Et ils font de vraies révolutions. Pas pour convertir, c'est à une autre époque que l'on parlait de conversion, mais pour servir. »
(p.153)

« Il y a une théologie dite "du peuple". Le peuple fait avancer la foi. Ça, c’est très développé en Amérique latine. Mais il y a aussi dans certains pays le problème des prêtres-patrons, des prêtres-princes, des évêques-seigneurs... »
(p.142-143)

« C’est le même problème qu’au temps de Jésus, quand Jésus-Christ a commencé à parler. Le peuple le comprenait parfaitement et s’enthousiasmait parce qu’il parlait avec autorité. En revanche, les docteurs de l’Église de ce temps-là étaient fermés. Fondamentalistes. « On peut aller jusqu’ici, mais pas jusque-là. » C’est le combat que je mène aujourd’hui avec l’exhortation Amoris lætitia. Parce que certains disent encore : « Ça, on peut, ça, on ne peut pas. » »
(p.139)

« Certaines femmes me disent : « Mais pourquoi nous ne pouvons pas devenir des diaconesses ? » Ça, c’est un ministère. On peut y réfléchir. Mais à moi il me plaît davantage que la fonction et le rôle de la femme dans une société évoluée. »
(p.137)

« La politique au XVIe siècle était "trop" catholique. Le trop nous fait du mal. Il est normal de dire « nous, on pense comme ça », mais si je pense « trop comme ça », quelque chose ne va plus, et cela conduit à l’exagération, au fondamentalisme, à l’isolement, à la fermeture au dialogue et à la parole de l’autre. »
(p.135-136)

 « Les péchés les plus légers sont les péchés de la chair. »
 (p.249)

 « Les prêtres ont eu la tentation – pas tous, mais beaucoup – de se focaliser sur les péchés de la sexualité. C’est ce dont je vous ai déjà parlé : ce que j’appelle la morale sous la ceinture. Les péchés les plus graves sont ailleurs.
 Mais il y a de bons prêtres... Je connais un cardinal ici qui est un bon exemple. Il m’a confié, en parlant de ces choses-là, que lorsqu’on vient le voir pour lui parler de ces péchés sous la ceinture, il dit tout de suite : « J’ai compris, passons à autre chose. » Il arrête la personne, comme pour dire : «  J’ai compris, mais voyons si tu as quelque chose de plus important. »
« Je ne sais pas.
- Mais est-ce que tu pries ? Tu cherches le Seigneur ? Tu lis l’évangile ? »
Il lui fait comprendre qu’il y a des échecs plus importants que ça. Oui, c’est un péché, mais... il lui signifie « j’ai compris », puis il passe à autre chose.
 À l’inverse, il y en a certains, qui, quand ils reçoivent confession d’un péché de ce genre, demandent : « Comment tu l’as fait, et quand l’as-tu fait, et combien de temps ? »... Et ils se font un "film" dans leur tête. Mais ceux-là, ils ont besoin d’un psychiatre. »
(p.249-250)

Source : "POLITIQUE et SOCIÉTÉ"
Pape François
Rencontres avec Dominique Wolton

(septembre 2017)
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : comme François l'est, concluez.


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Message par Gilbert Chevalier Ven 16 Nov - 12:04

François Bergoglio a écrit:
« Dominique Wolton : Mais où est Dieu à Auschwitz ? Et où est Dieu dans l’écrasement des chrétiens d’Orient ?
 Pape François : Je ne sais pas où est Dieu. »
(p.97)

 « Une certaine fraîcheur n’empêche pas le cléricalisme, par exemple. Le danger, pour les Églises organisées, anciennes, c’est la rigidité. Selon moi, c’est un des dangers les plus grands, en ce moment, que rencontre le clergé de l’Église. »
(p.97-98)

 « En Arménie […] ils sont « apostoliques » (orthodoxes), et ils ont souffert d’un problème de communication pendant le concile de Chalcédoine, dont les propositions ont été l’objet d’interprétations contradictoires. »
(p.100-101)

 « Et moi, j’allais à Noël, le 6 janvier, aux Vêpres avec les Russes. Je restais dîner avec eux, puis faire la fête... chez nous, il y avait beaucoup de familiarité. »
(p.100)

 « La richesse de l’Afrique ! L’Afrique est grande. Pauvre, mais grande. Elle sait faire la fête ! »
(p.98)

« On parle trop de la vérité, de défendre la vérité : où trouver Dieu dans la vérité ? C’est difficile... »
(p.112)
 
 « La fermeture n’est pas chrétienne. La fidélité est chrétienne. Si je me ferme, si je me défends, ce n’est pas chrétien. Défendre les valeurs par la fermeture n’est pas une voie chrétienne. […] Les valeurs se défendent, mais pas par la fermeture. L’esprit chrétien est ouvert. La modernité, c’est l’ouverture. Ne pas avoir peur. […] Et c’est pour cela que je parle de la conversion de l’Église dans Evangelii gaudium. Je parle d’une Église « qui sort ». »
(p.108-109)

 « Sortir de soi-même. Pas une Église fermée. Devant les congrégations générales, avant le conclave, dans une intervention brève, j’ai dit ceci : « Nous lisons dans l’Apocalypse que Jésus dit : "Je suis à la porte et j’appelle, et si quelqu’un m’ouvre la porte, j’entrerai." » Mais très souvent, Jésus est à la porte et il appelle, mais parce qu’il est à l’intérieur, nous ne le laissons pas sortir. »
(p.109-110)

 « Dans les écoles, on doit enseigner à cheminer en cherchant les choses. Apprendre en cherchant. Et non pas « question-réponse, question-réponse ». »
(p.130)

 « Un exemple qui me vient en tête, mais je ne sais pas comment l’exprimer : je suis libre. Je me sens libre. Ça ne veut pas dire que je fais ce que je veux, non. Mais je ne me sens pas emprisonné, en cage. En cage ici, au Vatican, oui, mais pas spirituellement. Je ne sais pas si c’est ça... À moi, rien ne me fait peur. C’est peut-être de l’inconscience ou de l’immaturité !
 Dominique Wolton : Les deux !
 Pape François : Mais oui, les choses viennent comme ça, on fait ce qu’on peut, on prend les choses comme elles viennent, on évite de faire des choses, certaines marchent, d’autres pas... Ça peut être de la superficialité, je ne sais pas. Je ne sais pas comment l’appeler. Je me sens comme un poisson dans l’eau. »
(Ainsi s’achève le chapitre II, p.113-114)

Source : "POLITIQUE et SOCIÉTÉ"
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Message par Gilbert Chevalier Ven 16 Nov - 22:28

François Bergoglio a écrit:
« La tentation est toujours celle de l’uniformité des règles... Prenez, par exemple, l’exhortation apostolique Amoris laetitia. Quand je parle des familles en difficulté, je dis : « Il faut accueillir, accompagner, discerner, intégrer... » et puis chacun verra les portes ouvertes. Ce qu’il se passe, en réalité, c’est qu’on entend les gens dirent : « Ils ne peuvent pas faire leur communion », « Ils ne peuvent pas faire ceci, cela » : la tentation de l’Église, elle est là. Mais non, non et non ! Ce type d’interdictions, c’est ce qu’on retrouve dans le drame de Jésus avec les pharisiens. Le même ! »
(p.93)

 « Une autre faiblesse, et ça nous touche, c’est le cléricalisme rigide. La rigidité. On voit des jeunes prêtres rigides. Ils ont peur de l’évangile et préfèrent le droit canonique. Mais cela, c’est une caricature, juste pour dire... Il y a aussi de la rigidité dans certaines expressions alors que le Seigneur nous a ouvert une telle joie, un tel espoir ! Les voici, les deux faiblesses graves que je connaisse : le cléricalisme et la rigidité. C’est pour cela que j’aime bien dire – excusez-moi, je me cite moi-même – que les prêtres doivent être des « bergers qui gardent une odeur de chèvre ». Si tu es un pasteur, c’est pour servir les gens. Pas pour te regarder dans le miroir. »
(p.60)

 « Dominique Wolton : Pourquoi l’Église ne se fait-elle pas plus entendre sur le fait d’accepter l’immigration et d’accueillir les migrants ?
 Pape François : Je crois que si elle ne le fait pas, elle manque à son devoir. Rappelons-nous ce qui marque le début de l’Église ! La Pentecôte ! »
(p.90-91)

 « Et, des siècles plus tard, Matteo Ricci « ouvre » la Chine... Souvent, Rome ne comprenait pas cette attitude, parce que Rome était fermée. Ça, c’est vrai. L’Église a toujours la tentation de trop se défendre. Elle a peur. C’est une mauvaise tentation, ce n’est pas bon. Où le Seigneur dit-il dans les Évangiles qu’il faut chercher la sécurité ? Il a dit au contraire « risque, vas-y, pardonne ! » (silence) et évangélise. On  a voulu freiner Matteo Ricci en Chine, Roberto de Nobili en Inde. Et il y en eut tellement d’autres... »
(p.92)

 « « L’Église dans le Royaume de Dieu est comme un grain de moutarde. » Ne pas comprendre ça, ce serait faire preuve de triomphalisme. Alors il faudrait procéder à l’examen de l’Église. »
(p.89)

 « Puis, il y a le problème – et vous les Français vous êtes créatifs en la matière – des lefebvristes. J’ai pensé aux gens qui vont aux messes des lefebvristes, et j’ai donné aux prêtres lefebvristes la capacité d’absoudre tous les péchés. Pas les leurs, car ils doivent encore s’expliquer avec nous. Mais ceux des gens qui viennent à eux. L’Église est ouverte à tous. Et cela a fait beaucoup de bien. »
(p.84-85)
 
 « Et je suis aussi allé voir les prêtres qui ont quitté le ministère, parce que ces défroqués (mot prononcé en français par François) sont regardés avec mépris. Ce sont des hommes qui, à un moment donné, pour une raison ou pour une autre, ne se sont pas senti la force de continuer et ont choisi de demander la dispense. Puis ils ont trouvé une femme, ou l’avaient trouvée avant, on ne le sait pas. Ils ont fondé une famille avec la permission de l’Église, ils vont à l’Église le dimanche... Et moi je suis allé les voir. L’idée, c’était cela : TOUS. […] L’idée est celle-là. Tous dans le même sac. Le sac, c’est la miséricorde de Dieu. »
(p.86)

 « Dominique Wolton : Où est Dieu dans la mondialisation ?
 Pape François : Dans la mondialisation, comme je l’entends moi – celle du polyèdre –, il est partout, en tout. Dans chaque personne qui donne de soi et qui apporte sa propre contribution au tout. Dans chaque pays, dans le tout. »
(p.74)

 « Dominique Wolton : Quelle est, selon vous, la plus grande menace contre la paix aujourd’hui dans le monde ?
 Pape François : L’argent. »
(p.94)

 « Je n’ai jamais, jamais pensé finir ici, dans cette cage (rires) ! »
(p.62)

 « Le sens de l’humour est ce qui, sur le plan humain, s’approche le plus de la grâce divine. »
(p.62)

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Message par Gilbert Chevalier Lun 19 Nov - 17:29

François Bergoglio a écrit:
« Les peuples ont la compréhension de la réalité. Parce que le mot « peuple », je crois que je l'ai dit, n'est pas un concept logique, c'est un concept mythique. Pas mystique, mythique. Parce qu'une fois j'ai dit mythique, et dans L'Osservatore Romano, ils se sont trompés involontairement dans la traduction, parlant de « peuple mystique »...
Dominique Wolton : (rires) Ah, je ne savais pas ! Ils ont dû se dire : « Il est fou, le pape ! »
Pape François : Et vous savez pourquoi ? Parce qu'ils n'ont pas compris ce que signifie le peuple mythique. Ils se sont dit « Non, c'est le pape qui s'est trompé, mettons "mystique" » ! »
(p.59-60 ; pour plus de détails voir ici : https://gloria.tv/track/QpLfTYY2YBFc6DwDWfS4kAuj3 )

« Dominique Wolton : Vous avez dit : « Jamais une guerre n'est sainte ».
Pape François : Aucune guerre n'est juste.
Dominique Wolton : Oui, c'est radical. »
(p.56-58)

« Je crois qu'Assise est un symbole de la paix. Et ces rencontres des leaders religieux, de toutes les religions, sont un témoignage que toutes les religions veulent la paix et la fraternité. Faire la guerre au nom de Dieu, ce n'est pas juste. La seule chose juste, c'est la paix. »
(p.57)

« Le peuple doit pouvoir faire la liturgie de telle ou telle façon... Là est le grand apport de Vatican II : l’inculturation. Il faut continuer dans ce sens. »
(p.50)

« Je reprends ce que j'ai dit auparavant : évangéliser, ce n'est pas faire du prosélytisme. Et cela, c'est une phrase de Benoît XVI. Benoît XVI a dit d'abord au Brésil, à Aparecida, puis souvent ensuite, que l’Église grandit par attraction, non par prosélytisme. La politique aussi. Untel est catholique, untel protestant, untel musulman, l'autre juif, mais elle grandit par attraction, par amitié... des ponts, des ponts et encore des ponts... »
(p.45-46)

« À Bangui, dans le quartier des musulmans, je me suis rendu à la mosquée, j'ai prié à la mosquée, j'ai fait monter l'imam dans la papamobile pour faire un tour. Je ne dis pas que j'ai fait la paix, mais je dis que l’Église doit faire des choses de cet ordre-là. Il y a là-bas un bon archevêque, il y a un bon imam et il y a un bon président évangélique. Et tous les trois travaillent ensemble pour la paix. Tous les trois. Ils ne se disputent pas entre eux. »
(p.43-44)

« Pape François : Face à la diversité des partis politiques, là, l’Église ne doit pas intervenir. Cela, c'est la liberté des fidèles.
Dominique Wolton : Est-ce pour cette raison que vous n'êtes pas très favorable à l'existence de partis chrétiens ?
Pape François : C'est une question difficile, j'ai peur d'y répondre. Je suis favorable à ce qu'il y ait des partis qui portent les grandes valeurs chrétiennes : ce sont des valeurs pour le bien de l'humanité. Ça oui. Mais un parti seulement pour les chrétiens ou pour les catholiques, non. Cela conduit toujours à l'échec. C'est une forme de « césaro-papisme ». »
(p.40-41)

« L’État laïc est une chose saine. »
(p.41)

« Que veut dire un État laïc « ouvert à la transcendance » ? Que les religions font partie de la culture, que ce ne sont pas des sous-cultures. Quand on dit qu'il ne faut pas porter de croix visibles autour du cou ou que les femmes ne doivent pas porter ça ou ça, c'est une bêtise. Car l'une et l'autre attitudes représentent une culture. L'un porte la croix, l'autre porte autre chose, le rabbin porte la kippa, et le pape porte la calotte ! (rires)... La voilà, la saine laïcité ! »
(p.42)

« Je rencontre ici chaque mercredi des enfants atteints de maladies rares. Mais ces maladies rares, d'où viennent-elles ? De déchets atomiques, de déchets de batteries... on parle des ondes électro-magnétiques. »
(p.49)

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Message par Gilbert Chevalier Lun 10 Déc - 20:59

François Bergoglio a écrit:
« L’Église doit donc ouvrir les portes. Quand l’Église adopte une attitude qui n’est pas juste, elle devient prosélyte. Or le prosélytisme, je ne sais pas si je peux le dire, ce n’est pas très catholique ! (rires) »
(p.36)

« Le prosélytisme détruit l’unité. Et c’est pour cela que le dialogue interreligieux ne signifie pas se mettre tous d’accord, non, cela signifie marcher ensemble, chacun avec sa propre identité. »
(p.36-37)

« Les fondamentalistes s’enferment dans leur propre identité et ne veulent rien entendre d’autre. »
(p.37)

« Le travail des nonces, c’est de lancer des ponts. »
(p.38)

« Lançons des ponts. Travaillons. Ne nous laissons pas aller à dire : « Mais toi, tu es qui ? » Faisons tout ensemble, et puis parlons-nous. C’est comme cela que les choses pourront s’améliorer. Par exemple, j’ai ressenti l’obligation d’aller à Caserte et de demander pardon aux charismatiques, aux pentecôtistes. Puis j’ai ressenti la nécessité, quand j’étais à Turin, de me rendre à l’église vaudoise. On a fait beaucoup de choses terribles contre les Vaudois, y compris des morts. Demander pardon : parfois, les ponts s’établissent quand on demande pardon. Ou quand on va dans la maison des autres. »
(p.39)

« Dans une tension, il ne faut donc pas chercher la synthèse, parce que la synthèse peut détruire. Il faut tendre vers le polyèdre, vers l’unité conservant toutes les diversités, toutes les identités. »
(p.35)

« Quand j’étais enfant, on disait que tous les protestants allaient en enfer, tous, absolument tous (rires). Hé oui, c’était un péché mortel. »
(p.34)

« Notre théologie est une théologie de migrants. Parce que nous le sommes tous depuis l’appel d’Abraham, avec toutes les migrations du peuple d’Israël, puis Jésus lui-même a été un réfugié, un immigrant. Et puis, existentiellement, de par la foi, nous sommes des migrants. La dignité humaine implique nécessairement « d’être en chemin ». Quand un homme ou une femme n’est pas en chemin, c’est une momie. C’est une pièce de musée. La personne n’est pas vivante. »
(p.26-27)

« Quand la personne humaine décide de ne plus marcher, elle échoue. Elle échoue dans sa vocation humaine. Marcher, être toujours en chemin, c’est toujours communiquer. On peut se tromper de chemin, on peut tomber... comme dans l’histoire du fil d’Ariane, comme Ariane et Thésée, on peut se retrouver dans un labyrinthe... Mais on marche. On marche en se trompant, mais on marche. On communique. On a du mal à communiquer, mais on communique malgré tout. Je dis cela parce qu’on ne doit pas repousser les personnes qui sont en marche. Parce que ce serait repousser la communication. »
(p.27-28)

« J’ai lu qu’un chef d’État africain récemment élu a eu pour premier acte de gouvernement de soumettre au Parlement une loi de reboisement de son pays – elle a d’ailleurs été promulguée. Les puissances économiques mondiales avaient coupé tous les arbres. Reboiser. »
(p.29)

Source : "POLITIQUE et SOCIÉTÉ"
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Message par Gilbert Chevalier Dim 16 Déc - 22:43

François Bergoglio a écrit:
« Dominique Wolton : Que répondez-vous à ceux qui n’arrêtent pas de souligner les exactions et les crimes de l’Église pendant des siècles ?
Pape François : Quand l’Église a arrêté d’être servante et est devenue patronne ?
Dominique Wolton : Oui, cela a duré longtemps.
Pape François : Oui, mais c’est une culture de l’époque, aussi. L’Église a perdu cette culture.»
(p.153-154)

« Serrer les mains. Quand je donne la main à quelqu’un, je jette un pont. Quand je vois l’autre là-bas et que je m’intéresse à lui, je commence à construire un pont.
Selon moi, le pont le plus humain, le pont universel, disons, c’est cela : serrer les mains. Si un homme n’est pas capable de serrer des mains en faisant comme ça avec l’autre (le geste accompagne la parole), il n’est pas capable de faire des ponts. »
(p.156)

« Dominique Wolton : Je me pince parfois pour réaliser avec qui je dialogue. […] Le Saint-Père parle mieux français qu’il ne le dit ; il le comprend bien en tout cas. Les échanges sont complétés par cet inestimable langage des yeux, des gestes et des comportements. Une ambiance, un peu miraculeuse, règne... »
(p.171-172)

« Des cinq sens, le plus important, c’est le toucher... »
(p.173)

« On ne peut rien dire devant le mystère d’une autre personne. Quand je veux transmettre quelque chose à quelqu’un, je dois m’efforcer de penser que je suis devant le mystère d’une autre personne. Et je dois communiquer du plus profond de mon mystère, de mon expérience, le plus silencieusement possible. Et dans des situations limites, seulement par le toucher. »
(p.174)

« Passons à Dieu. La communication est une trinité, un mystère dans la façon dont il est transmis. Mais la Bible nous dit que Dieu a fait l’homme et la femme à son image. De même pour la façon dont ils communiquent entre eux. Avec la parole, les caresses, la sexualité, le silence... Et tout cela est sacré. »
(p.176)

« Humainement, on ne peut pas concevoir une communication de qualité sans boire, ou manger, ou faire quelque chose ensemble. Toucher, manger, boire. Le vin en est le symbole […] Et voilà comment finit la fête de Dieu... La communication finit toujours, et ça je ne le dis pas religieusement ou de façon sacrée, mais humainement... il y a une vraie communion dans le manger et le boire. »
(p.180)

« Danser, serrer les mains, s’embrasser, manger et boire ensemble, pleurer... Si on ne fait pas ces choses-là, il n’y a pas de communication possible. »
(p.182)

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Message par Gilbert Chevalier Lun 17 Déc - 16:54

François Bergoglio a écrit:
« Ici, lors des audiences du mercredi, nous avons beaucoup de jeunes mariés. Certains sont mariés depuis six mois, et parfois quand ils viennent pour la bénédiction, la mariée a déjà un gros ventre et ils me demandent de bénir le ventre. Mais c’est très beau. Et puis, parmi eux, il y a des anciens, mariés depuis cinquante ou soixante ans. Et moi, je pose toujours des questions pour faire rire. »
(p.182-183)

« Le moment est venu où les anciens doivent rêver et nous raconter leurs rêves. Pour que les jeunes accomplissent les prophéties et changent le monde. Ce n’est pas l’heure des adultes, si l’on peut dire, des gens mûrs. Non, les protagonistes qui sauveront le monde seront ces deux groupes-là. À condition que les vieux rêvent et racontent leurs rêves, et que les jeunes s’emparent de ces rêves et les portent en avant.
Il y a une scène qui me touche beaucoup dans l’Évangile : celle de la présentation au Temple. Quatre fois, ce passage de l’Évangile précise que c’était des jeunes qui allaient accomplir la loi, et trois fois ils disent que ce sont deux anciens, Siméon et Anne, qui étaient mus par l’Esprit. Ce sont eux qui ont la capacité des rêves de l’Esprit. Les jeunes doivent recevoir ces rêves et accomplir les prophéties. On dirait que je suis en train de prêcher ! »
(p.184-185)

« Dominique Wolton : Pourquoi est-ce que l’Église ne parle pas de « communication » mais de « communication sociale » ? Surtout depuis Vatican II.
Pape François : Mais sur l’anthropologie de la communication, on ne trouve pas grand-chose dans les textes. Vous savez où il y a peut-être quelque chose ? Dans La Théologie du corps de Jean-Paul II. Il a parlé du mariage et a fait cette théologie du corps qui en a scandalisé beaucoup. Mais il a dit comment une femme et un homme communiquent, sans peur mais de façon naturelle. Je crois que ça a été la première fois qu’un pape, ou l’Église officiellement, a parlé de la communication personnelle, et non sociale. […]
Et communiquer, c’est se donner entre les mains de l’autre. (phrase prononcée en français par François) »
(p.188)

« Pape François : Mais alors pourquoi est-ce qu’on fait ce livre... ?
Dominique Wolton : Ce livre intéressera peut-être plus les laïcs, car vous êtes souvent plus aimé chez les laïcs et chez les athées que chez les catholiques, vous le savez. (rires). Vous êtes le dernier « communiste » d’Europe... »
(p.189)

« Dominique Wolton : Mais la différence entre nous deux, c’est que, pour vous, il y a toujours le Saint-Esprit, pour moi, ce n’est pas certain. Vous voyez ? (rires)
Pape François : Vous irez en enfer ! (phrase prononcée en français par François) (rires)
Dominique Wolton : (rires) oui. Vous avez plus d’autorité que moi. Mais nous sommes tellement d’accord. »
(p.190)

« Je crois que les catéchèses doivent être données par un prêtre qui est proche de son peuple, qui rit avec son peuple, qui se fait déranger par son peuple. Et ça, c’est la communication. »
(p.192)

« Pape François : On communique d’égal à égal. On communique du bas vers le haut. Mais si tu veux communiquer seulement du haut vers le bas, tu échoueras.
Dominique Wolton : C’est la hiérarchie.
Pape François : En parlant de l’enfer – c’est un thème que je ne veux pas aborder, mais... »
(p.195)

« À la cathédrale Sainte-Marie-Madeleine de Vézelay commence le chemin de Saint-Jacques. Il y a un magnifique chapiteau. D’un côté, il y a Judas qui s’est pendu et en est mort, et de l’autre côté il y a le bon pasteur, qui l’a pris et le porte sur ses épaules. Et quand on voit ça, on se demande si Judas a été sauvé. Mais si vous regardez le visage du bon pasteur, qui est Jésus, la moitié de son visage est triste, l’autre moitié a un beau sourire. Ça, c’est le mystère de l’enfer. Gratuité, humilité : ce sont les mots pour faire une bonne communication. Partager le repas. Boire, la danse, la fête. »
(p.196)

Source : "POLITIQUE et SOCIÉTÉ"
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Message par Gilbert Chevalier Mer 26 Déc - 22:23

François Bergoglio a écrit:
« La réalité, c’est la vérité. […] Quelle est la réalité ? Chacun voit la réalité à sa manière. Et moi je la vois comme je crois qu’elle est. Je la comprends comme elle est. Alors il faut chercher ensemble. C’est un chemin de recherche. Chercher. »
(p.210-211)

« Dominique Wolton : Que faire avec les athées ? Parce que l’Église en a tout de même tué beaucoup...
Pape François : À une autre époque, certains disaient : « Mais laissez-les tranquilles, ils iront en enfer ! »
Dominique Wolton : (rires) Bien sûr ! »
(p.211)

« Cette personne peut être agnostique, athée, catholique, juive... mais ce sont là des adjectifs. Moi je parle avec une personne. On doit parler avec une personne. C’est un homme, c’est une femme, comme moi. À Cracovie, un adolescent m’a posé la même question […]. Il m’a demandé : « Mais que dire à un athée ? »
Que dire à un athée ? Je lui ai répondu ceci : « Mais la dernière chose que tu devrais faire, c’est de s’adresser (prêcher) à un athée. Toi, tu dois vivre ta vie, tu l’écoutes, mais tu ne dois pas faire de l’apologie. Dehors, l’apologie. S’il te demande quelque chose, tu lui réponds selon ton expérience humaine. » Le dialogue doit se faire avec l’expérience humaine. Moi, je suis croyant, mais la foi est un don, un don de Dieu. Personne ne peut avoir la foi de par lui-même. Personne. Même si tu étudies une bibliothèque entière. C’est un don. Et si tu n’as pas ce don, Dieu te sauvera d’une autre manière. Et l’on peut parler de beaucoup de sujets que nous avons en commun : des problèmes éthiques, des choses mythiques, des choses humaines... Beaucoup de choses. De ce que l’on pense, des problèmes humains, comment se comporter... On peut discuter du développement de l’humanité... Parler de choses communes. Lui, il aura un point de vue différent, et moi aussi j’aurai un point de vue différent. Mais on peut parler, et lorsque l’on arrive au problème de Dieu, chacun dit son choix. Mais en écoutant l’autre avec respect. »
(p.212-213)

« On peut parler sans avoir peur – toi tu es athée, moi non... mais parlons-nous ! Tous les deux nous finirons dans le même endroit. Nous serons tous les deux mangés par des vers ! »
(p.215)

« La morale est une exigence de notre comportement social. Mais ce n’est pas le rigorisme ni la rigidité des commandements. »
(p.216)

« Mais nous, catholiques, comment enseigne-t-on la morale ? On ne peut pas l’enseigner avec des préceptes comme : « Tu ne peux pas faire ça, tu dois faire ça, tu dois, tu ne dois pas, tu peux, tu ne peux pas. » »
(p. 218)

« Dominique Wolton : Cela fait trente ans que le capitalisme libéral est sans morale.
Pape François : Ça tombera.
Dominique Wolton : Oui, bien sûr.
Pape François : Je crois que je ne verrai pas cela... »
(p.218)

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Message par Gilbert Chevalier Mer 26 Déc - 22:44

François Bergoglio a écrit:
« Toute l’anthropologie de la famille qu’a réalisée Jean-Paul II est très importante. Et puis, il y a ce que j’ai fait moi après les deux synodes, Amoris laetitia... C’est quelque chose de clair et positif, que certains aux tendances trop traditionalistes combattent en disant que ce n’est pas la vraie doctrine. Au sujet des familles blessées, je dis dans le huitième chapitre qu’il y a quatre critères : accueillir, accompagner, discerner les situations et intégrer. Et ça, ce n’est pas une norme figée. Cela ouvre une voie, un chemin de communication. On m’a tout de suite demandé : « Mais peut-on donner la communion aux divorcés ? » Je réponds : « Parlez donc avec le divorcé, parlez avec la divorcée, accueillez, accompagnez, intégrez, discernez ! » Hélas, nous, les prêtres, nous sommes habitués aux normes figées. Aux normes fixes. Et c’est difficile pour nous, cet « accompagner sur le chemin, intégrer, discerner, dire du bien ». Mais ma proposition, c’est bien ça. Jean-Paul II aussi, avec sa théologie du corps, très importante, est allé très loin en matière de sexualité et de famille. Je le cite dans l’exhortation Amoris laetitia à laquelle je fais référence, parce que tout y est. Une phrase en a scandalisé quelques-uns : « Le sexe est une chose bonne et belle. » »
(p.219-220)

« Un des maux de l’Église, ce sont les prêtres « vieux garçons » et les sœurs « vieilles filles ». Parce qu’ils sont pleins d’amertume. »
(p.220)

« L’Église ne doit pas aller vers une position défensive. Si un prêtre est un abuseur, c’est quelqu’un de malade. »
(p.223)

« Quand les dirigeants de l’Église, ceux qu’on appelle les pasteurs, les évêques, les prêtres, se détachent du peuple – et ici je parle du peuple de Dieu – et quand ils deviennent trop sérieux, engoncés, ils ont la face « amidonnée ». »
(p.226)

« On m’a dit une fois : « Mais vous êtes communiste ! » Non. Les communistes, ce sont les chrétiens. C’est les autres qui nous ont volé notre bannière ! »
(p.227)

« Pape François : Voyez ce que les gens entendent, quand ils écoutent Jésus parler. C’est plein de joie. Parce qu’il parle comme quelqu’un qui a de l’autorité, pas comme ceux-là, si tristes.
Dominique Wolton : Oui, mais, d’après votre expérience de prêtre, pourquoi y en a-t-il autant qui sont si tristes ?
Pape François : Vous dites en parlant d’eux « l’Église », mais ce sont là des chrétiens sans Jésus.
Dominique Wolton : C’est joli, ça.
Pape François : Ce sont des chrétiens idéologiques. Ils ont une idéologie chrétienne. Si vous préférez, une doctrine chrétienne. Ils savent tout le catéchisme. Ils connaissent même par cœur tout Denzinger. Jésus, c’est le contraire. »
(p.229-230)

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