Du mensuel Stella Maris de mai 2015 n° 524 qui a interviewé Vassula Ryden en février 2015 lors de sa conférence au Luxembourg :
- extrait des pages 8 et 9 :
« [...] Vassula Ryden : Pour moi les pesécutions, ça glisse.
Stella Maris : Donc vous avez reçu une grâce spéciale.
Vassula Ryden : Non. Doucement on apprend à ne pas s'en faire. Parce que le Christ m'a dit : "ne perd pas ma paix". Si on perd la paix, toutes les flèches qui nous sont destinées vont nous faire du mal et on ne va pas continuer comme il faut. Il faut être dans un état qui fait qu'on ne sent pas ces choses là et ça passe.
Si j'entends une persécution, oui, je me fâche, parce que c'est injuste. C'est normal. Et après ça, je me calme. Et je persévère encore plus.
Par exemple, à Marseille [le 20 novembre 2011], j'ai eu tous les évêques de la région contre moi, mais j'ai appris que l'évêque qui a fait cela a mis le nom des autres évêques, malgré eux.
Quand j'ai appris qu'il me chassait comme ça, j'ai dit à Bertrand, (président de la VVD en France) reprogramme-moi cinq autres réunions en France. Pensait-il que j'allais me décourager ? Non, pas du tout. Je suis revenue pour 5 réunions.
Les évêques hésitent, car ils ne veulent pas avoir de problèmes avec tous leurs prêtres à cause d'une Vassula et de son soi-disant "message". Ils préfèrent se soumettre aux exigences des prêtres au lieu de défendre la parole du Seigneur ».