samedi 29 janvier 2022

Vaccin : la FSSPX préfère se mettre à l'écart (suite et fin)

M. l'abbé Chazal vient de nous envoyer la fin de sa réfutation de la conférence de l'abbé Pagliarani sur le vaccin. Lamentable conférence du supérieur de la FSSPX pour justifier le vaccin, les prêtres et les fidèles catholiques remercient particulièrement l'abbé Chazal de nous donner des arguments de poids pour ne pas recevoir ce poison du diable. 


Ayant juste affirmé que le cas du vaccin ne concerne pas la morale mais la médecine, l'abbé Pagliarani fait volte face et fait de la morale sur le sujet posé. Il amène un argument de morale, le volontaire indirect, pour légitimer la prise de concoction. Comprenne qui pourra.

La formulation est imparfaite, elle parle d'avantages... avantages? Oui, parlons-en.

AVANTAGES ?

● De quoi? 

D'un vaxassin. On nous dit que ce n'est pas la première fois que des mesures restrictives furent imposées pour vacciner la population. Ce fut même le cas dans les Etats Pontificaux sous Grégoire XVI, pour éradiquer une épidémie. Evidemment, il s'agissait d'un vrai vaccin qui écarta une vraie épidémie; tout comme il y a encore de vrais vaccins efficaces. Le bien commun fut assuré.

Ici ce fut une gripette au départ, puis des maladies grandissantes au fur et à mesure que la population inocule l'expérience génique... Tout est à l'envers!

● De qui? 

Du big pharma, contrôlé par la finance mondiale judéo-maçonnique. Doit-on, peut-on confier notre santé et notre liberté à ces gens-là?  Pourquoi la Fraternité refuse-t-elle de pointer du doigt les milieux occultes, juifs et maçonniques, particulièrement impliqués dans cette affaire? 

A force de refuser de dénoncer qui fait quoi parmi les "globalistes", on finit par ignorer le problème : l'esclavage médical, l'établissement d'une immuno-déficience perpétuelle. (Il semble que Montagnier exagère quand il parle de mort des vaccinés sous deux ans.)

Il est plus probable que le Pr. Raoult ait raison; on va continuer à constater une dégradation de l'immunité et des effets secondaires multiples. Le produit fini est plus la dépendance que la mort, comme celui qui a besoin de plus en plus de café pour ne pas dormir. 
C'est cela que recherchent ces gens, qui doivent être enfermés avant qu'ils ne nous enferment.

●  Pour quoi?

De son côté, le petit rat de laboratoire cherche à recouvrer une portion de liberté seulement, dans une société à deux étages, à condition qu'il se fasse piquer tous les trois mois. Trois doses sont requises dorénavant; et en Israël, on parle de 5e dose... même si le vaccin ne marche pas. Maintenant, il faut vacciner les enfants, avec des conséquences potentielles très graves.

Moins ça marche, plus la fuite en avant s'accélère. 

Pour quoi ? Le recouvrement de la santé et du bonheur ? La fin des restrictions en tout genre ? Un retour à la normale ? Non pas, tant le but est d'exclure ce qui est normal, faire un graite recette (great reset).

Le but du démon, depuis le commencement, c'est le mensonge et l'homicide.

●  Par quel moyen? 

Là, inutile de le dire, les moyens sont immenses:

L'urgence sanitaire donne tous les moyens à Jupiter; au dessus même des lois sacrales de Nuremberg. Les décisions du "Conseil de défense" sont au dessus de tout scrutin pour les décennies à venir.
Le big pharma est tellement au-dessus des instances souveraines qu'il n'est pas tenu de révéler à la "Haute Autorité" le contenu de la potion.
Et au dessus même du big pharma, il y a la big finance, Blackrock, Vanguard, les super riches, les membres privés de la Fed.
Vanguard est l'actionnaire majoritaire tant du big pharma que du gafam (le big tech); le conflit d'intérêt est total tant avec l'état, qu'à l'intérieur de la structure financière. La capitalisation de Vanguard atteint 7000 milliards de dollars, autant que le PNB de la France et de l'Allemagne réunis, et il n'est que l'une des parties prenantes (Bill Gates a beaucoup d'actions Pfizer). Et au dessus, nous arrivons au sommet, à cette entité dont le nom est imprononçable, ce qui laisse un peu Jupiter en bas. 

Qui veut le grand reset a la fin, a les moyens, prend les moyens.

●  Comment ?

Par le mensonge et les menaces. Pour emmm les non vaccinés, Jupiter a fait une promesse, qu'il tiendra pour une fois; c'est la stratégie.
Même si Omicron est peu létal, les nouvelles doses s'imposent, les mesures doivent se multiplier, les lois, le muselage la surveillance. Macron sera réélu.

●  Où ?

Surtout dans les pays que Dieu punit, qui ont fait une idole du bien-être sanitaire. Dans les pays que Dieu ne punit pas, on le voit, la vie normale continue. La Russie est épargnée de la folie covidique; la Chine, on ne sait pas trop ce qui se passe; peine de mort dès la première injection chez les talibans; et pays d Afrique qui se moquent complètement du cowide. Ca ne prend pas partout. En Syrie, 5% de vaccinés...

Ce n'est pas le cas pour nos populations sans Dieu, vieillissantes et décadentes. Elles sont naturellement hypochondriaques, et même leur plus jeune composante se laisse persuader. Le Docteur Raoult inclut le phénomène de panique, la peur de la mort, le totem du vaccin dans son diagnostique. Il dit qu'on a fait une religion du vaccin, il parle d'une folie collective, qu'il qualifie de religion. Même s'il devrait ajouter l'adjectif "fausse" à cette religion qui existe, le constat est frappant. L'Occident a abandonné Dieu, et tous les Raoult, Fouché, Péronne, Joyeux etc. n'arrivent pas à ramener les gens à la raison. Le temps ne fait rien à l'affaire, dit Brassens.

Ainsi,
L'emplacement prochain du keuvide maladif, c'est l'intelligence.  L'intelligence "moderne" est coupée du réel, elle est viciée dans son acte qui est de connecter la chose existante à l'intellect. Les gadgets et la destruction de l'éducation ont fait des ravages énormes et ont détruit la capacité de lire, de réfléchir. Nous arrivons au stade final du repli contre-nature de l'intelligence sur elle même, qui fut commencé jadis par Luther et Descartes.

Marcel de Corte dirait aujour'hui que l'intelligence est morte. Il y a un degré d'aveuglement immense, à l'infini:
* Les vaccinés, porteurs du virus, peuvent circuler même s'ils répandent l'épidémie, et les non porteurs non vaccinés doivent rester chez eux et représentent un danger pour la population.
* On ne peut plus faire confiance à l'immunité naturelle : en dehors des vaxcxins, pas de salut !
* L'hydroxichloroquine et l'ivermectine sont des produits dangereux qui doivent être retirés du marché.
* Seul le vaccin fonctionne, même s'il ne fonctionne pas. Il épargne les formes graves mais on ne peut pas lui imputer les innombrables accidents graves qu'il cause.
* Par conséquent, les non-vax sont des imbéciles dangereux pour toute la société.
* Omicron est bénin, mais c'est cela même qui nous incite à être encore plus vigilants.
* Le port du masque doit rester obligatoire pour les enfants.
* La consommation de nourriture dans les trains doit être effectuée rapidement.
* On a le droit de tomber malades à condition que ce soit après le vaxzinzin.


Malgré les faits réels, accessibles, l'intelligence ne fonctionne plus.

"Quos Deus vult perdere, dementat"; Dieu rend fous ceux qu'il veut perdre, il les laisse tomber dans une nasse et la nouvelle vertu civique covidique, c'est la lâcheté. La volonté suit l'intellect, elle devient veule. On dirait que tout cela est justice.

Quand?
C'est un gros problème. Sauf intervention divine, nous ne savons pas quand cette tyrannie vaccinale s'arrêtera. L'Europe a commandé douze doses par citoyen en un revers de main. Restent ainsi neuf doses à subir pour que le pass ne soit pas désactivé, et que ne soient perdus les "avantages".

La fausse liberté nous aura menés à l'esclavage, la multiplication talmudique des préceptes, au nom de la sécurité et de l'urgence sanitaire. Les choses étaient déjà hyper régulées avant la crise, mais ici la cage se referme.
On nous parle d'implant électronique suédois, mais le puçage a déjà commencé, et deux procès sont intentés sur cette question en Suisse et en France (par des vaccinés pas contents, pucés à leur insu). Avec un téléphone portable et un peu d'expérience, on peut capter le signal bluetooth qu'émettent les vaccinés. Le puçage répond par la perpétuité à la question "Quand?"

Voilà pour les avantages, j'espère que l'abbé Pagliarani ne représente pas toute la Fraternité, mais si c est le cas, ils sont complètement à côté de la plaque.

Tout cela au grand dam de la moitié des fidèles de la FSSPX, qui ne sont pas aveugles et qui réfléchissent correctement sur cette question, comme le site MPI et Civitas par exemple.

Pour légitimer l'accès vaccinal à ces "avantages", le Supérieur Général amène trois exemples:

1. Les prélèvements d'organes.

"Dans la mesure où on ne tue pas dans ce but.." est bien une manière de traiter le volontaire indirect, mais que doit-on penser des 70 enfants tués dans le but de tester chaque vacxin? Ils ont été tués dans ce but, puisque le testage est une étape de la fabrication du vaxcin.
L'effet bon ne doit pas venir de l'action mauvaise, dit la théologie, avec St Paul "Non faciamus mala ut eveniant bona".

L'exemple des meurtriers, celui des cartels mexicains qui sont connus pour ça, est complètement inapproprié: acheter des organes auprès de ces meurtriers ne fait qu'encourager leurs crimes. Et on ne peut pas non plus retirer un organe d'une personne sans son autorisation, ni avant la mort clinique. L'abbé Pagliarani aurait dû prendre l'exemple des victimes d'accidents de la route qui ont exprimé une volonté de don.
C'est comme la revente de pièces de voitures volées. Ici, on prend part au business de ceux qui tuent les enfants de façon industrielle, et Big Pharma est en train de récidiver avec de nouveaux vaccins. On facilite aussi beaucoup la corruption, ici aux Philippines c'est flagrant. Chaque dose "coûte" 3000 pesos, une fortune, il y a surfacturation puis bakshish.

2. "Transformation de mosquées en églises."

Transformer le Panthéon de Rome en église n'est pas un mal, et il est évident que les croisés espagnols n'ont pas d'abord construit une mosquée pour en faire une cathédrale. Il s'agit d'un triomphe de la Croix sur le Croissant. Les bâtiments, dans leur composante structurelle, voire même artistique - somme toute indifférente - changent de camp dans les deux sens, hélas.
La mosquée de Séville était un bâtiment splendide; et au lieu de brûler la bibliothèque d'Alexandrie, comme le Calife Omar, le Chrétien préfère conserver tout ce qui est beau et utile.

Mais là n'est pas la question. Car, en quoi peut-on transformer un produit aussi mauvais et dangereux en quelque chose de bon? Qu'a-t-on à retirer de cette permission de respirer dans le paradis médicommuniste?

Seule la Justice Divine est capable de tirer un effet bon supérieur à cette calamité, pour punir l'apostasie de l'Occident, tandis que la Chine et la Russie en réchappent avec des vaccins classiques non stérilisants, le Brésil avec Bolsonaro et la plupart des pays d'Afrique avec... le bon sens.

3. "St Paul autorise de manger la viande offerte aux idoles..."

...si le frère n'est pas scandalisé, pas en toutes circonstances. Ici toutes les circonstances sont au rouge, comme nous l'avons vu et l'acte lui même est une thérapie génique expérimentale qui, c'est ce que nous constatons, dégrade l'immunité naturelle des gens. Les pays malades sont les pays vaccinés, à l'inverse des non-vax, coupablement en bonne santé.

Dans le cas de Corinthe, l'animal est tué et les fragments sont mis en vente sur le marché. L'immolation aux idoles ne constitue pas l'acte essentiel, mais est adventice et ne corrompt pas la bonté originelle de l'acte de disposer d'un animal. Contrairement aux faux vaccins, on peut faire abstraction de l'action idolâtrique du païen, par la nécessité même de l'acte de se nourrir.

Dans le volontaire indirect, l'effet bon doit excéder l'effet mauvais. Ce n'est pas le cas du prétendu vaxche. Si le père de famille détruit sa santé, non seulement il perdra son travail, mais il ne pourra plus travailler, (comme mon propre cousin, Herve Matet, rendu ex-pilote de ligne, grâce a un AVC vaccinal, dès la première dose je crois).
L'avantage de prévenir les gens est aussi que s'ils désobéissent et tombent malades, ils nous font plus confiance. Nous avons plusieurs cas ici. Les fidèles sont reconnaissants.

Comment les prêtres de la Fraternité pourront-ils faire face à leurs fidèles quand le nombre des victimes augmentera beaucoup? Pourront-ils se refugier en disant, "c'était à vous de décider", "Menzingen locuta est", alors qu'un grand nombre de bons prêtres et évêques ont condamné à temps les vaxshins covidiens?

Soyons honnêtes, la moitié (?) des prêtres de la Fraternité est en désaccord avec la position de Menzingen et rejetait déjà le torchon de l'abbe Sélégny. 

Garderont-ils à nouveau le silence, comme en 2012, il y a dix ans? Ce sera plus difficile cette fois, car il ne s'agit pas d'arrangements canoniques discrets, loin de la perception des fidèles. Cette fois, l'attaque de l'enfer est beaucoup plus menaçante et visible sur les brebis, sur les innocents, et les choses ne cessent d'empirer depuis deux ans. Les enfants des fidèles sont aussi menacés. 

Difficile de rester neutres, difficile de se taire, il y aura des comptes à rendre cette fois; et félicitations aux abbés Lang, Rusak, Noronha et d'autres encore, dont on n'a pas connaissance, mais ils viennent tous d'être pris a contrepied.

A vue humaine, c'est tout de même mal parti, si l'on suit ce qui se passe dans le prieuré de Nouvelle Zélande.

Beaucoup de bonnes surprises se font jour en dehors de nos milieux, même chez le schismatique orthodoxe Novax Djokovic. On dirait que Dieu se prépare à redistribuer les cartes.

Prions pour que  les assoupis se ressaisissent et qu'ils comprennent la Vérité, qui est sécurité à long terme.
Nous avons tout essayé, depuis dix ans, pour les réveiller.
Tournons-nous vers Celui qui seul est en droit de laisser le mal augmenter, voire même de créer le mal "secundum quid", (l'écriture dit "qui creas malum"), pour un plus grand bien.
Qu'il rende la lumière à ceux qui ont commis la terrible erreur de Lui tourner le dos dans nos malheureuses sociétés issues de la Révolution.

Il n y est pas tenu, sauf, d'une certaine façon, par nos prières et nos sacrifices, et par le fait qu'ils ont été trompés, et "qu'ils ne savent pas distinguer leur main droite de leur main gauche"(Jonas).


"Potens est enim Deus statuere eos" (Romains).
In Iesu et Maria.
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