Il faut cesser au plus vite cette mascarade qui cache de plus en plus quelque chose de malsain alors que nous avons plusieurs  traitements qui marchent.  De plus en plus d'études l'indiquent, de même que la réalité des pays qui les ont administré. Dire le contraire devient de plus en plus criminel. Nous aurions pu sauver des vies clame le professeur Perronne. Et attaquer le professeur Raoult, lui tarir en douce son traitement, en soutenir un autre qui ne marche pas (le Remdisivir), ne proposer que la réanimation, tout ne hissant le système hospitalier à niveau (le triple de lits en Allemagne) ne sauvera pas les responsables de cette infamie.

Et égrener chaque soir le nombre de cas dits “positifs” (qui ne sont pas malades) devient un mensonge criminel, surtout après l’avoir fait pour le nombre de morts qui s’est non seulement tari comparé à mars-avril 2020, mais se trouve réduit, même s'il évolue en dents de scie, ayant remplacé la grippe saisonnière (dont les chiffres ont quasiment disparu) ; ceux liés seulement à la maladie sont en réalité  infimes: 6%, comme  l’avait indiquée l’agence de santé américaine (1); et ces 6% auraient pu d'ailleurs être sinon tous sauvés du moins être considérablement réduits malgré leur comorbidité si l'on avait donné ce traitement comme l'avait également conseillé Harvey Rish (attaqué lui aussi ou comment tuer à tout prix le messager).

Et ce mensonge criminel continue alors que l’on a appris il y a plusieurs mois que les 2/3 des tests sont en réalité trop sensibles pour être de “vrais” positifs (signala un article du New York Times) ; y compris dans le monde alors qu’en 2018 l’on comptait déjà 650.000 morts liés à la “grippe” dite saisonnière, la tuberculose en tuant bien plus: un million cinq cent mille. Les infections pulmonaires, elles, tuent plus de quatre millions chaque année et non pas en cumulé comme aujourd'hui.

Cette crise ayant débuté en août 2019 en réalité n’a pas atteint le nombre de morts liés à la “grippe asiatique” puisque il faut compter annuellement et non pas en cumulé.

Que ceux qui désirent rester confinés, isolés, ne plus embrasser serrer la main porter le masque  le fassent, mais qu’ils ne nous l’imposent pas et ce a fortiori aux enfants de plus de six ans maintenant (pas contagieux en réalité) ; qu’ils  nous laissent  être capables de juger que si je suis malade je ne porterai évidemment pas préjudice à autrui en lui crachant ou en toussant en pleine face et donc j'irai d’autant plus me soigner que les médecins pourront me prescrire ce qu’il faut, surtout avec le recul de plus d'un an maintenant.

D’où la nécessité de reprendre ses esprits, d’écarter les charlatans qui se pavanent sur les écrans et au gouvernement alors qu’ils ne sont pas compétents, de rendre la liberté confisquée aux citoyens, de laisser les médecins faire leur métier, d’arrêter donc de biaiser leur travail en leur imposant des méthodes qui ne les concernent pas en tant que médecins car le soin est une pratique pas seulement une recherche fondamentale.

L'heure est grave : allons-nous ainsi laisser la liberté et les acquis civilisationnels être ainsi bafoués nous réduisant à l'état de "nuisibles " qu'il faut confiner et masquer ?... Cette hystérie (obscession rétrécissant le champ de la conscience) doit cesser !...

(1).“Table 3 shows the types of health conditions and contributing causes mentioned in conjunction with deaths involving coronavirus disease 2019 (COVID-19). For 6% of the deaths, COVID-19 was the only cause mentioned. For deaths with conditions or causes in addition to COVID-19, on average, there were 2.6 additional conditions or causes per death. The number of deaths with each condition or cause is shown for all deaths and by age groups”.