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jeudi 26 octobre 2023

La FUMÉE BLANCHE du 26 octobre 1958 : HABEMUS PAPAM -1-


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« Marie est appelée la Mère de la persévérance. »

(Saint Alphonse de Liguori)

LIENS de TÉLÉCHARGEMENT des PDF de CANTIQUES & PAROLES de SAINTS
 

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SIGNAUX de FUMÉE :

La FUMÉE BLANCHE du 26 octobre 1958


par Novus Ordo Watch, le 26 octobre 2016


Que s’est-il passé il y a 58 ans aujourd’hui ?

[65 ans en 2023]


Photo de la fumée blanche du dimanche 26 octobre 1958,
de 17h55 à 18h00:
 
 
« Le changement de couleur de la fumée induit en erreur la Cité du Vatican.
Nouveau Pape : faux signaux
La radio annonce l’élection, les cloches sonnent par erreur.
Les cardinaux ne parviennent pas à choisir le Pontife. »


Ce qui s’est passé il y a 58 ans au conclave qui se tenait à Rome

pour élire un successeur au Pape Pie XII.


        Comme après la mort de chaque Pape, les cardinaux se réunirent en 1958 dans la Chapelle Sixtine de la Cité du Vatican pour déterminer qui succéderait à feu Pie XII, mort le 9 octobre. Le conclave a ouvert ses portes le samedi 25 octobre. Officiellement, il s’est terminé le mardi 28 octobre par l’élection du Cardinal Angelo Roncalli, qui a pris le nom de "Jean XXIII".

        Officiellement.

        Quiconque se rend dans une bibliothèque pour faire des recherches sur le conclave - ou même pour faire des recherches dans les journaux en ligne, comme on peut
facilement le faire de nos jours - découvrira que quelque chose de curieux s’est produit le dimanche 26 octobre, le deuxième jour du conclave : De la fumée blanche, signalant l’élection réussie d’un Pape, s’échappa de la cheminée de la chapelle Sixtine vers 18 h ce jour-là. Pas seulement quelques bouffées, comme cela peut facilement arriver à tout moment lorsque la paille lutte pour prendre feu, mais une grande quantité de fumée clairement blanche, d’une durée totale de cinq minutes (si vous ne pensez pas que cinq minutes c’est long, comptez jusqu’à 60 cinq fois de suite et voyez combien elle dure).


        En plus de la fumée blanche, les cloches de Saint-Pierre commencèrent à sonner pour confirmer le succès de l’élection papale, et les gardes suisses se hâtèrent de préparer l’accueil du nouveau Pape à leurs postes assignés. La foule s’est rassemblée sur la place Saint-Pierre pour applaudir. Radio Vatican a annoncé avec confiance : « Il n’y a absolument aucun doute. Un Pape a été élu. »

 

        Le problème, c’est qu’aucun Pape n’est jamais apparu. Au bout de cinq minutes, la fumée a commencé à grisonner, ce qui a semé la confusion. Au bout d’une demi-heure environ, la foule s’est dispersée et Radio Vatican a dû annoncer qu’une erreur avait apparemment été commise.


        Tout cela a été rapporté par Associated Press et dans divers journaux à travers le monde le lendemain, 27 octobre. Puis, le 28 octobre, le conclave produisit à nouveau de la fumée blanche, et cette fois le cardinal Roncalli apparut comme "Pape Jean XXIII". Vous pouvez regarder la vidéo de l’apparition de Roncalli ici. Plus d’images du conclave sont disponibles ici.


        N’oubliez pas que ce conclave - celui de 1958 - est celui qui a tout changé pour les catholiques. C’était, pour ainsi dire, le début officiel de l’Église Novus Ordo, car c’est Jean XXIII qui a commencé à faire basculer les choses et a appelé le Concile Vatican II comme par hasard, exigeant qu’il commence même sans préparation suffisante.


Jean XXIII l’Intrus


        C’est Jean XXIII qui a jeté les bases de la religion Novus Ordo : Il a institué le "Secrétariat pour la promotion de l’unité des chrétiens", ouvrant ainsi la porte à l’œcuménisme ; il a appelé à un gouvernement mondial unique et à la liberté religieuse dans son Pacem in Terris, "encyclique" essentiellement maçonnique (voir nn. 136-138 ; n. 14) ; il réhabilita les personnages théologiques louches soupçonnés d’hérésie et/ou réduits au silence sous Pie XII et Pie XI en les nommant comme experts théologiques pour le concile, tels que Joseph Ratzinger, Yves Congar, Jean Danielou, Karl Rahner, et Henri de Lubac ; il a permis que tout le travail théologique orthodoxe préparatoire à Vatican II soit rejeté et remplacé par une pseudo-théologie moderniste ; il a passé un accord avec les Russes qui garantissait que le Concile ne dénoncerait pas le communisme ; et il a ouvert la voie pour que Mgr Giovanni Battista Montini devienne "Pape" en ne perdant aucun temps pour l’appeler au "cardinalat". Nous serions stupides d’ignorer les bizarreries objectivement vérifiables qui entourent ce conclave. C’était le moment clé qui a inauguré tout ce que nous avons connu depuis lors sous le nom de l’étrange nouvelle religion Novus Ordo.


        Que s’est-il passé dans le conclave ? Pourquoi y avait-il de la fumée blanche deux jours avant la fin officielle du conclave ? Quelqu’un d’autre a-t-il été élu Pape avant Roncalli ? La fumée est produite par la combustion des bulletins de vote avec de la paille humide ou sèche. La paille humide produit de la fumée noire ; la paille sèche produit du blanc. La fumée blanche ne se serait jamais signalée à moins que le cardinal élu n’accepte aussi l’élection, car ce n’est qu’alors qu’il devient Pape.


        Quelqu’un a-t-il été élu Pape ce jour-là, et si oui, qui ? Franchement, nous ne le savons pas. Le nom le plus souvent cité ici est celui de l’archevêque de Gênes, le cardinal Giuseppe Siri, prétendument l’homme que Pie XII lui-même voulait avoir comme successeur et, en tout cas, très favorisé comme le prochain Pape après Pie XII. A partir du milieu des années 1950, Siri se préparait déjà à un éventuel pontificat :

Le Cardinal Siri se préparait à succéder au Pape Pie XII (Vidéo)


        Federico Tedeschini et Grégoire-Pierre Agagianian sont d’autres cardinaux qui sont parfois présentés comme ayant été élus pape en 1958. En fait, en 2004, le très apprécié magazine Inside the Vatican a publié ce qui suit dans ses pages :


        « Il y a eu certaines irrégularités dans l’élection pendant ce conclave de 1958, comme le Cardinal Tisserant l’a lui-même reconnu. Certains disent qu’Agagianian a été élu, d’autres Siri, d’autres encore un autre cardinal, et que le camerlingue [=cardinal chambellan] a alors annulé l’élection. »

(P. Charles-Roux, Inside the Vatican, septembre 2004, p. 41)


        Ces « irrégularités » expliqueraient certainement pourquoi le Cardinal Francis Spellman de New York a été vu « sortant du conclave avec l’air blanc et secoué », comme le rapporte Mgr Joseph C. Fenton dans un de ses journaux personnels (voir entrée du 2 novembre 1960).


        Une autre particularité de ce conclave était le fait qu’après sa fameuse apparition sur le balcon, Jean XXIII ordonna à tous les cardinaux de revenir dans le conclave pour 24 heures supplémentaires - au grand dam des éminences âgées et malades :


        « [Jean XXIII] ordonna aux cardinaux de rester en conclave avec lui pendant encore vingt-quatre heures, afin qu’il ait la possibilité de les consulter. Les cardinaux, sans doute, avaient hâte de sortir de leurs quartiers confinés (beaucoup d’entre eux étaient en effet très âgés - un avait quatre-vingt-seize ans - et plusieurs étaient malades). Mais ils acceptèrent le commandement dans l’esprit dans lequel il avait été donné : Le désir ardent de Jean de tous les attirer dans le gouvernement de l’Église, en contraste frappant avec son prédécesseur. C’était un présage de choses à venir. Mais le commandement, naturellement, n’a pas été immédiatement communiqué au monde extérieur. L’annonce du nouveau pontife a été faite à quatre heures quarante-cinq, du balcon de la basilique Saint-Pierre. [Mgr Domenico] Tardini, le secrétaire d’État par intérim, a supposé que le conclave était maintenant terminé et, avec un groupe de hauts fonctionnaires, a fait irruption dans la zone scellée pour rendre hommage à son nouveau maître. Cela a suscité la colère moralisatrice du [Cardinal Eugène] Tisserant, qui a excommunié Tardini sur-le-champ - la punition canonique pour avoir interrompu un conclave. C’était un épisode bizarre, mi-comique, mi-sérieux. Personne ne se souvenait de la dernière fois qu’un secrétaire d’État, même par intérim, avait été retranché de l’Église. Le pape Jean, de bonne humeur, a levé la peine le lendemain. Mais c’était tout de même le premier signe, et un signe troublant, pour les monsigniori de la Curie, que l’Église était entrée dans une nouvelle ère. »

(Paul Johnson, Pape Jean XXIII [Boston, MA : Little, Brown and Company, 1974], pp. 114-115)


        Qui sait si Roncalli voulait vraiment simplement « consulter » ses cardinaux, ou s’il leur expliquait clairement quelles seraient les conséquences au cas où l’un d’entre eux aurait un jour laissé entendre qu’il avait usurpé la chaise papale.


cardinal-giuseppe-siri

Cardinal Giuseppe Siri


        En 2003, l’ancien consultant du FBI Paul L. Williams - qui n’est pas un sympathisant du Sédévacantisme - a publié un livre dans lequel il écrivait longuement sur le conclave de 1958 et citait des documents de renseignements américains prétendument déclassifiés selon lesquels la fumée blanche avait effectivement été causée par l’élection du cardinal Siri comme Pape Grégoire XVII :


        « En 1954, le comte Della Torre, rédacteur en chef du journal L’Osservatore Romano du Vatican, avertit [le Pape] Pie XII des sympathies communistes du [cardinal Angelo] Roncalli. D’autres membres de la "Noblesse noire" ont exprimé des préoccupations similaires [5].


        Roncalli [plus tard connu sous le nom de "Pape Jean XXIII"] n’échappa pas non plus à l’attention du FBI et de la CIA. Les agences ont commencé à accumuler d’épais dossiers sur lui et sur les activités douteuses d’autres "progressistes" au Vatican, dont Monseigneur Giovanni Battista Montini (le futur Paul VI).

        Pie XII avait nommé le cardinal Giuseppe Siri comme son successeur désiré [7]. Siri était un anticommuniste impitoyable, un traditionaliste intransigeant en matière de doctrine ecclésiastique et un habile bureaucrate......

        En 1958 [le 26 octobre], lorsque les cardinaux furent enfermés dans la chapelle Sixtine pour élire un nouveau pape, des événements mystérieux commencèrent à se produire. Au troisième tour de scrutin, Siri, selon des sources du FBI, obtient les votes nécessaires et est élu Pape Grégoire XVII [8]. Une fumée blanche s’échappe de la cheminée de la chapelle pour informer les fidèles qu’un nouveau Pape a été choisi. La nouvelle a été annoncée avec joie à 18 heures sur la radio du Vatican. L’annonceur dit : « La fumée est blanche. . . Il n’y a absolument aucun doute. Un pape a été élu »[9] ....

        Mais le nouveau pape n’est pas apparu. On s’est demandé si la fumée était blanche ou grise. Pour dissiper ces doutes, Monseigneur Santaro, secrétaire du Conclave des Cardinaux, informa la presse que la fumée, en effet, avait été blanche et qu’un nouveau Pape avait été élu. L’attente continuait. En soirée, la radio du Vatican a annoncé que les résultats restaient incertains. Le 27 octobre 1958, le Houston Post faisait la une des journaux : « Les Cardinaux ne parviennent pas à élire le Pape en 4 tours de scrutin : « La confusion dans les signaux de fumée provoque de faux rapports. » [10]

        Mais les rapports étaient valides, c’est-à-dire qu’au quatrième tour de scrutin, selon des sources du FBI, Siri a bien obtenu les votes nécessaires et a été élu Souverain Pontife. Mais les cardinaux français ont annulé les résultats, affirmant que l’élection provoquerait des émeutes généralisées et l’assassinat de plusieurs évêques importants derrière le rideau de fer [11].

        Les cardinaux ont alors choisi d’élire le cardinal Frederico Tedischini comme « pape de transition », mais Tedischini était trop malade pour accepter ce poste.

        Enfin, le troisième jour du scrutin, Roncalli a reçu le soutien nécessaire pour devenir le Pape Jean XXIII...... »
(Paul L. Williams, The Vatican Exposed [Amherst, NY : Prometheus Books, 2003], pp. 90-92)

        Pour plus d’informations sur ce livre, veuillez consulter le lien suivant : Ancien consultant du FBI : Intel Docs confirme que le cardinal Siri a été élu pape en 1958.

        Les numéros des notes de bas de page figurant dans le texte de Williams renvoient aux références suivantes (adaptées de la p. 243 du même ouvrage) :

[5] Biographie confidentielle du département d’État, "John XXIII" ; date de publication : pas de date, déclassifié : 15 février 1974 ; voir aussi Avro Manhattan, Murder in the Vatican, p. 31.

[7] John Cooney, The American Pope, p. 259.

[8] Dépêche secrète du Département d’État, "John XXIII" ; date d’émission : 20 novembre 1958, déclassifié : 11 novembre 1974.

[9] Les propos de l’annonceur sont parus dans le London Tablet, le 1er novembre 1958, p. 387.

[10] Houston Post, 27 octobre 1958, p. 1 et 7.

[11] Dossier secret du Département d’État, "Cardinal Siri" ; date d’émission : 10 avril 1961, déclassifié : 28 février 1994.

 

        Un clip vidéo intrigant sur la fumée blanche et toute l’affaire concernant l’élection présumée du cardinal Siri comme Pape se trouve sur YouTube. Il fait partie du documentaire Papal Imposters, que nous avons détaillé plus loin. Au contraire, c’est certainement une question qui suscite la réflexion : https://youtu.be/xMtMbe6odh4

        Soyons clairs : nous n’essayons pas de pousser la thèse "Pape Siri", qui a de très graves problèmes. Nous n’essayons pas non plus de suggérer que savoir ce qui s’est passé dans ce conclave est nécessaire pour que le Sédévacantisme soit certain. Ce n’est certainement pas nécessaire, car même si nous ne connaissons pas la cause exacte de ce qui s’est passé, nous en connaissons certainement l’effet, et cet effet nous dit que l’Église Vaticane II est une fraude. (Pour plus de détails sur l’effet, voir "Le Syllogisme du Sédévacantisme").

        Qu’essayons-nous donc de faire ? Quel est l’intérêt d’en parler ? Tout simplement, nous attirons l’attention sur cet événement bizarre dans l’histoire de l’Église parce qu’il est à l’origine, l’heure zéro, de la religion Vatican II. Jusque-là, le monde n’avait encore rien vu de Novus Ordo : pas d’œcuménisme, pas de Vatican II, pas de "Nouvelle Messe", pas de moniales New Age en culotte, pas de filles d’autel, pas de clown "Messes", pas de condamnation de la peine capitale, pas de "Grand renouveau" ou "Nouveau printemps", pas de JMJ, pas de voyages papaux dans le monde, pas de religion humaine, etc.... Bref, la religion que le monde d’aujourd’hui connaît (faussement) sous le nom de "catholicisme romain" n’existait pas jusqu’à cette époque. Tout cela a commencé avec l’élection de Jean XXIII. Ainsi, s’il y a un événement décisif qui a marqué la transition de l’Église catholique à la secte Novus Ordo, c’est bien ce conclave - un conclave qui a produit un faux pape - et il est certainement légitime de se demander quelle pourrait être la raison/cause de ce gigantesque désastre qui nous a frappé depuis. Un vrai Pape élu avant Jean XXIII expliquerait certainement beaucoup de choses, indépendamment, pour le moment, de qui était ce vrai Pape.

        Ainsi, si un autre cardinal avait été élu Pape le 26 octobre, c’est-à-dire avant Roncalli, et que cet autre cardinal acceptait son élection, cela expliquerait pourquoi Roncalli n’est pas monté validement au Pontificat, parce qu’un autre Pape régnait déjà. Bien qu’elle soulèverait un certain nombre d’autres questions et problèmes, elle fournirait néanmoins la clé pour comprendre pourquoi un conclave pourrait tout d’un coup produire un antipape même si le monde entier accepte virtuellement l’homme comme valide (cf. le cardinal Billot sur l’acceptation pacifique universelle). Après tout, c’est une question de loi divine que personne ne peut validement être élu Pape alors qu’un autre Pape valide règne déjà.

        Connaître et comprendre les faits entourant le conclave de 1958 aide à donner de l’espoir aux gens, car cela explique comment l’Église catholique pourrait être éclipsée par la secte Novus Ordo - cela permettrait à la papauté d’être apparemment vaincue sans être réellement vaincue. C’est pourquoi nous continuons à dire que la seule façon de soutenir de manière crédible que les portes de l’enfer n’ont pas prévalu contre l’Église catholique - qui est un dogme infaillible et garanti par le Christ lui-même - est de dire que François n’est pas un Pape valide et que l’institution à Rome n’est plus l’Église catholique :
>>> La papauté et le sédévacantisme : Les portes de l’enfer ont-elles prévalu ?
>>> Cardinal Manning sur l’éclipse de la papauté

        Tout le sujet n’est donc pas frivole, stupide ou indigne de faire l’objet d’une enquête plus approfondie. Gardez à l’esprit que pendant de nombreuses décennies, les vrais Papes nous avaient mis en garde contre l’infiltration franc-maçonnique dans l’Église, les Papes Pie IX et Léon XIII ont ordonné la publication des plans divulgués de la Loge Haute Vente, précisant comment l’infiltration allait se faire et l’Apocalypse de la Sainte Écriture elle-même prophétise une élection papale perturbée. De plus, l’ancien garde noble du Vatican Franco Bellegrandi a révélé dans un livre explosif en 1994 (disponible en PDF ici) que l’élection de Roncalli avait été déterminée et planifiée à l’avance - Roncalli devait être le choix des Maçons pour « consacrer l’œcuménisme », faire de Montini un « cardinal », et mettre en marche la révolution théologique de Vatican II. Mission accomplie.

 

        Il y a tant de choses à dire et à spéculer à ce sujet, et il y a beaucoup de questions non résolues. Nous n’allons pas essayer de raconter tous les faits maintenant, ni d’évaluer toutes les rumeurs entourant ce conclave. Nous nous contenterons simplement de fournir les liens supplémentaires suivants comme incitatifs supplémentaires pour ceux qui sont intéressés à approfondir la question :


        Si vous en avez les moyens, veuillez vous rendre dans les bibliothèques et essayer de rassembler autant d’informations que possible sur le conclave de 1958. Qui sait, peut-être qu’un petit détail d’information caché quelque part nous donnera la clé pour enfin comprendre comment l’usurpation du trône pontifical a été accomplie, et ce qui s’est passé pendant cette semaine fatidique à Rome.

(Source : https://novusordowatch.org/2016/10/smoke-signals-white-smoke-1958/

traduit avec l’aide de DeepL.com/Translator)


http://montfortajpm.blogspot.fr/search/label/Proph%C3%A9tie%20de%20St%20Fran%C3%A7ois%20d%27Assise


 

 




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jeudi 25 janvier 2018

Le GRAND AVERTISSEMENT du 25 JANVIER 1938 annoncé par Notre-Dame de Fatima

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 « L’effet de la prière est infaillible 
toutes les fois qu’elle réunit les quatre conditions suivantes :
        1- demander pour soi ;
        2- demander des choses nécessaires au salut ;
        3- les demander avec piété ;
        4- les demander avec persévérance.
    Ces quatre conditions réunies rendent toujours infaillible la prière du juste ; 

si elle ne l’est pas, tenez pour certain qu’une ou plusieurs de ces conditions n’ont pas été remplies.
    Celle du pécheur est également exaucée, 

non pas en vertu des lois de la justice, mais par miséricorde, 
lorsqu’elle procède d’un bon désir 
et qu’elle est revêtue des quatre conditions indiquées plus haut. »

(Saint Thomas d’Aquin)

LIENS de TÉLÉCHARGEMENT des PDF de CANTIQUES & PAROLES de SAINTS

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 http://montfortajpm.blogspot.fr/2017/12/cantiques-prieres-pour-janvier-2018.html



  Il y a 80 ans :


LE GRAND AVERTISSEMENT 
du 25 JANVIER 1938 
annoncé  
par Notre-Dame de Fatima 
le 13 juillet 1917 



« Vous avez vu l’enfer où vont les âmes des pauvres pécheurs. 
Pour les sauver, Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé. 

Si l’on fait ce que je vais vous dire, beaucoup d’âmes se sauveront et l’on aura la paix. La guerre va finir. Mais si l’on ne cesse d’offenser Dieu, sous le règne de Pie XI, en commencera une autre pire. 

Quand vous verrez une nuit illuminée par une lumière inconnue, sachez que c’est le grand signe que Dieu vous donne qu’il va punir le monde de ses crimes, par le moyen de la guerre, de la famine et des persécutions contre l’Église et le Saint-Père. 

Pour empêcher cela, je viendrai demander la consécration de la Russie à mon Cœur Immaculé et la communion réparatrice des premiers samedis du mois. 

Si l’on écoute mes demandes, la Russie se convertira et l’on aura la paix. Sinon elle répandra ses erreurs à travers le monde, provoquant des guerres et des persécutions contre l’Église. Les bons seront martyrisés, le Saint-Père aura beaucoup à souffrir, plusieurs nations seront anéanties. 

Au Portugal se conservera toujours le dogme de la foi. 

[ici le texte du troisième secret] 

À la fin mon Cœur Immaculé triomphera. Le Saint-Père me consacrera la Russie qui se convertira, et il sera donné au monde un certain temps de paix. »


La lumière inconnue :

La nuit des 25-26 janvier 1938 : les lumières célestes prédites à Fatima le 13 juillet 1917 se sont manifestées à la grandeur de l’Europe et de l’Amérique du Nord. Tous s’étonnaient d’un pareil spectacle que les scientistes identifièrent comme « des aurores boréales d’une magnitude exceptionnelle ».  
De son couvent de Tuy en Espagne, Sœur Lucie aussi s’émerveilla et a transmis une lettre à l’Évêque de Leiria, le 8 août 1941, dans laquelle elle mentionnait : « Votre Excellence n’ignore pas qu’il y a quelques années, Dieu s’est manifesté par un signe du ciel, désigné habituellement par les astronomes sous le nom d’aurore boréale. Si l’on étudie bien la question, on s’apercevra qu’étant donné la forme sous laquelle ce signe est apparu, il ne s’agissait pas et il ne pouvait s’agir d’une aurore de ce genre : quoiqu’il en soit, il a plu à Dieu de me faire comprendre de cette manière que le poids de Sa Justice était sur le point de s’appesantir sur les nations coupables, et de m’inciter ainsi à demander avec insistance la Communion réparatrice des premiers samedis et la consécration de la Russie au Cœur Immaculé de Marie. »  
Déjà Jacinta avait confié peu avant sa mort (février 1920), à la Supérieure de l’Orphelinat de Lisbonne : « Si les hommes ne changent pas de vie, le bon Dieu enverra au monde, à commencer par l’Espagne, un châtiment comme on n’en a jamais vu ! » Et elle parlait, ajouta la Supérieure, « de grands événements mondiaux qui auraient lieu vers 1940. » 
Pas plus que quelques mois plus tard, l’armée d’Hitler entrait en Autriche et l’annexait à l’Allemagne. La terrible agression hitlérienne commençait et bientôt la deuxième guerre mondiale débutait avec l’invasion de la Pologne le premier septembre 1939. 

Plusieurs témoignages d’époque :



Le journal le Nouvelliste de Lyon, écrivait le 26 janvier 1938 : «  Une aurore boréale d’une ampleur exceptionnelle a sillonné hier le ciel de l’Europe occidentale ; elle a révolutionné nombre de départements, où l’on a cru tout d’abord à un gigantesque incendie. Dans toute la région des Alpes, la population a été fort intriguée par cet étrange spectacle. Le ciel était embrasé comme un immense foyer mouvant provoquant une lueur rouge très vive. Le bord du foyer était blanc comme si le soleil allait se lever… Après 21 heures, le phénomène est allé en décroissant. La clarté était si vive à Briançon que les postiers ont travaillé sans lumière artificielle. Un certain affolement a régné dans quelques communes de la montagne. »  
Le Soir, de Bruxelles, dans ses colonnes du 27/01/1938, écrit : « … Le météore occupait toute la constellation de la Grande Ourse, en longues bandes d’une luminosité très intense, d’un rouge foncé. Les bandes du centre paraissaient un peu plus orangées et elles se dirigeaient nettement du nord au sud. Le phénomène s’atténua pour se déplacer vers le nord, tandis que les lueurs se dissipaient en un brouillard rougeâtre. Vers l’ouest, entre les deux constellations du Cygne et d’Andromède, notre observateur remarqua également l’apparition d’un phénomène semblable. Seulement les lueurs s’étendaient sous forme de nappes d’un rouge sombre, pareilles aux flammes d’un incendie… »  
En Italie, le Corriere della Sera, signalait : «  La nuit dernière, de 21h à 23h, on a pu admirer à Rome, dans le ciel resplendissant, une magnifique aurore boréale de couleur rouge »      
À Londres, le Times du 26/01/1938, sous la signature de son correspondant à Lisbonne, publiait : « … L’aurore boréale a été observée dans tout le pays pendant plus de deux heures et demie. Un semblable météore lumineux n’avait pas été vu au Portugal depuis cinquante ans… Les gens simples ont interprété le phénomène comme un signe surnaturel et ils en ont conçu de vives alarmes. »  
La Libre Belgique du 27/01/1938, recevait de son informateur en Norvège, où les aurores boréales sont fréquentes, les lignes suivantes : «… Jamais on n’en avait vu d’aussi intenses, à tel point que la ville de Riukanfoss, dans le département de Tellemarken, a été éclairée pendant plusieurs heures, comme en plein jour. »


Des astronomes commentèrent l’événement : 
Mme Gabrielle Camille Flammarion écrit dans l’Illustration du 5 février 1938 : « Une aurore boréale d’une grandiose beauté a été visible en France, dans presque tous les pays d’Europe, jusqu’au Portugal, ainsi que dans le nord de l’Italie. Elle a été d’une intensité exceptionnelle. C’est une aurore nocturne, étrange, dont la lumière vient du septentrion, et comme on n’en avait pas vu depuis très, très longtemps… Quand le soleil a reparu, au jour, nous l’avons ausculté. Il n’y avait rien d’anormal, en apparence, à sa surface. »  
Mr Dufay, directeur de l’Observatoire de St-Genis-Laval, dans le Nouvelliste de Lyon précise : «Le spectacle dont nous venons d’être témoins est curieux. Il s’agit d’une aurore boréale à haute altitude, phénomène fort rare sous nos latitudes, particularisée cette fois par la lumière rouge provoquée par des raies d’émission d’oxygène et d’azote d’une composition spectrale particulière. Les aurores boréales sont en corrélation avec une tache qui passe à certaines époques au méridien centre du soleil. Ces phénomènes visibles dans le ciel ont lieu normalement 48h après le passage de la tache. Or les études que nous avons faites sur le soleil, au cours de ces derniers jours nous permettent d’affirmer qu’aucune ombre n’est passée sur l’astre central. Cette constatation rend le phénomène plus curieux encore, puisque les causes de l’aurore boréale que nous venons de constater ne subsistent pas. » 
 L’explication aurore boréale est loin de faire l’unanimité des savants : Les aurores boréales ont pour particularité de se produire au pôle, ou dans les environs immédiats du pôle. Pas au Maroc ou en Grèce, ni même en France ! Partout on a été vivement frappé par la phase durant laquelle le phénomène évoquait, par sa vive couleur rouge, la lueur d’un gigantesque incendie. Les régions du monde, où la lueur fut visible, correspondent de façon remarquable à la zone de la chrétienté qui allait être embrasée par la 2e guerre mondiale.  

Albert Marty écrivait dans Alerte au Monde : « … Le signe est du 25 janvier 1938. Un mois et demi plus tard, les troupes allemandes entraient à Vienne. L’Anschluss était accompli. Hitler s’engageait sur le chemin de la guerre. Ce fut ensuite la Tchécoslovaquie, l’attaque contre la Pologne, l’intervention de l’Angleterre et de la France… » 

D’aucuns auront entendu le témoignage de vieilles personnes se rappelant cette grande lueur rougeâtre survenue le soir du jour où l’Église commémore la Conversion de Saint Paul, tel ainsi Marie-Anne Rouleaux dans un commentaire en date 9 août 2014à l’article de la revue La Nature reproduit ci-dessous : « Ma mère, 12 ans au moment des faits, l’observa de sa campagne d’Ile et Vilaine. Souvent elle nous relatait cet évènement, nous décrivant les couleurs embrasées du ciel. Toute sa vie elle en garda une vive émotion. » 


L’aurore boréale du 25 janvier 1938 

Lucien Rudaux, La Nature N°3020 - 1er mars 1938


Beaucoup de personnes pensent assez volontiers que les aurores boréales ou australes se produisent uniquement dans les régions polaires où leur splendeur lumineuse vient souvent dissiper les longues périodes d’obscurité que subissent ces régions chaque hiver. Cependant, de tels phénomènes ne sont pas aussi strictement localisés, ils peuvent au contraire s’étendre largement sur le globe terrestre et se manifester ainsi à des latitudes relativement basses ; et ceci plus fréquemment qu’on ne le croit en général. Aussi bien, observer une aurore boréale en France, comme le 25 janvier dernier, n’est pas du tout un événement exceptionnel ; mais cet événement est seulement assez rare pour que nous ne soyons pas blasés à son endroit. Et alors le spectacle attire vivement l’attention, surtout lorsqu’il revêt une magnificence l’imposant à l’admiration, même de ceux qui n’ont pas pour habitude de diriger leurs regards vers le ciel ou de s’occuper de ce qui s’y passe.

L’aurore boréale qui se développa largement le soir du 25 janvier, principalement de 18 h 30 à 21 h 30, mérite de prendre rang parmi les plus belles qui aient été observées hors des régions où elles se montrent classiquement. On la vit non seulement sur toute l’étendue de la France, mais jusqu’au Sud de l’Europe et même du Maroc, car elle fut aperçue d’un navire, par 28° de latitude Nord. En maints endroits ce brillant météore provoqua une impression d’inquiétude, sinon de terreur, car d’aucune, raconte t-on, furent portés à l’interpréter comme le présage de proches calamités ! Résultat immanquable, jusqu’à nouvel ordre, de tout phénomène inattendu dont la cause première est ignorée du commun des mortels .... Mais superstitions ou interprétations fantaisistes mises à part, nous enregistrons que partout les spectateurs eurent dès l’abord, et avant toute autre constatation susceptible d’édifier les initiés, l’impression de se trouver en présence des conséquences lumineuses d’une catastrophe, d’un immense incendie dont le reflet s’étendait largement sur le ciel. Cette unanimité apporte le témoignage d’une générale coloration rouge très accusée, qui a été la note dominante. Ainsi s’explique, d’après ce que rapportent les quotidiens, que bien des postes de pompiers, et en particulier tous ceux de Londres, furent alertés ! Par ailleurs, nous apprenons aussi que nombre de pêcheurs de la Mer du Nord restèrent au port, et que ceux qui se trouvaient en Manche furent si vivement impressionnés par le calme extraordinaire de la mer et l’aspect du ciel qu’ils n’osèrent pas jeter leurs filets. Sans répéter ici tous les détails pittoresques que l’on a lus abondamment à cette occasion, soulignons seulement qu’ils sont significatifs de l’émotion éprouvée par une grande partie des populations.

Il importe davantage de chercher à résumer les caractères généraux du phénomène. A la vérité, il est difficile de décrire un tel spectacle, aux phases multiples et sans cesse changeantes à tous égards : des plages lumineuses naissent, se dilatent, se transforment ou s’éteignent, se déplacent ou mieux se propagent d’un lieu à un autre, le tout dans l’espace de quelques instants ; la lueur dont elles brillent semble palpitante ou affectée d’ondulations comme sous l’effet d’un souffle lent. Des rayons semblables à des jets de projecteurs s’élancent à des hauteurs variables, eux aussi fugaces et instables. Certaines aurores se manifestent seulement sous l’aspect de ces grandes lueurs mobiles isolées, ou se succèdent pour former une draperie, ou éclairement d’un segment de ciel plus ou moins voisin du Nord ; d’autres ne dessinent que des rayons de développement variable et vertical ou divergeant d’un point ou d’une zone déterminée soit dans les hauteurs du ciel, soit d’un arc voisin de l’horizon. D’après les observations effectuées un peu partout sur notre territoire le 25 janvier, la plupart de ces particularités ont été vues simultanément ou successivement. Les renseignements proviennent de relations qui nous sont parvenues directement et surtout de la documentation fournie par les différents postes ou stations de l’Office National Météorologique et que M. Wehrlé, directeur de cet organisme, a mise à notre disposition avec une obligeance dont nous tenons à le remercier. Citons également l’excellent et très circonstancié rapport établi par les élèves-maîtres de l’École normale d’instituteurs de Caen, et que le directeur de cet établissement a bien voulu adresser aussitôt à La Nature. 

Tous ces renseignements concordent d’abord, comme nous l’avons dit plus haut, pour signaler la lueur d’incendie répandue dans le ciel, lueur provenant de grandes taches mobiles et fluctuant dans leur éclat en même temps que dans l’intensité de leur coloration. Bien entendu, les aspects sont variables suivant les lieux d’observation. Il s’agit d’apparences se développant dans les très hautes régions de l’atmosphère ; les déterminations effectuées par M. Carl Störmer, l’éminent physicien norvégien, spécialiste de ces études, ont révélé des altitudes qui, à partir de 100 km, s’élèvent parfois jusqu’à 800, 900 et même 1.000 km. Nous ne connaissons pas encore les mesures relatives au phénomène actuel ; en tout cas, son ensemble se développa sur une étendue énorme. En raison des distances en jeu, les diverses particularités qui sont localisées dans telle ou telle portion de l’atmosphère se voient sous des angles différents ; en même temps des effets lumineux prennent une importance variable : on ne saurait donc donner une description unique, correspondant à toutes les observations.


D’une manière générale, les aspects les plus notoires ont consisté dans l’apparition première de lueurs vers le Nord-Est et surtout vers le Nord-Ouest, et se développant en se propageant en direction du Sud-Ouest. Formes mobiles et changeantes dans leur intensité et leurs contours diffus, on les signale parfois comme des traînées allongées d ’Ouest en Est. Au poste de l’O. N. M., de Reims, on vit à 20 h 59 une grande ache lumineuse en forme d’éventail courbe ou de virgule. Un aspect analogue mais orienté tout à fait différemment, a été observé à un autre moment à la station météorologique de Rennes par M. Rieffel. Généralement, ces grandes plages sont notées plus claires au centre ; en Bretagne et dans le Sud du Cotentin, elles sont vues se propageant du Nord-Ouest ou du Nord-Est vers le Sud-Ouest où elles s’évanouissent. Dans l’illumination rouge du ciel créée par ces formations, et recoupant celles-ci, s’élancent des rayons rouges, roses, blancs ou verdâtres, suivant les différents observateurs qui les comparent volontiers à des faisceaux de projecteurs. En divers lieux, on a observé ces faisceaux émanant d’arcs ou de segments se formant vers l’horizon Nord-Ouest, leur groupement semblant parfois dessiner les plis d’une céleste draperie. De grandes lueurs, comme une clarté de jour naissant, s’élevèrent aussi de l’horizon Nord ou Nord-Est. A Lille, cette sorte d’aube, vue à 21 h, parut bleuâtre, donnant l’impression d’une belle nuit d’été ; des colorations bleues sur différents points ont été également notées à l’observatoire de Juvisy par Mme Flammarion et M. Quénisset. A Caen, on remarqua à 20 h la formation, au Nord-Est, d’une lueur que l’on compare au lever du jour ; cette lueur grandit vers le Nord et à son maximum (20 h 20), elle formait un demi-cercle très éclairé à la base et occupant toute la moitié nord du ciel : son intensité était alors telle que le paysage parut aussi illuminé que par le plus brillant clair de Lune.

Rien que par ces quelques descriptions - car la place nous fait défaut pour citer en détail toutes les observations effectuées, nous pouvons juger du caractère général, de la diversité, des multiples apparences et de la splendeur de ce magnifique phénomène dont, après la féérie maximum, les dernières phases furent visibles en certains points jusque vers 2 h du matin, le 26 janvier. 
Sans nous étendre sur les théories modernes relatives aux aurores polaires, rappelons que l’on admet qu’elles sont dues à des jets d’électrons en provenance du Soleil puis déviés ct captés par le champ magnétique terrestre qui leur inflige des trajectoires courbes les faisant converger vers des régions de notre globe situées alors dans la nuit. A l’excitation lumineuse ainsi provoquée dans la très haute atmosphère s’ajoutent de notoires perturbations magnétiques ; remarquons cependant que de telles perturbations se manifestent sans que pour cela on constate au ciel un spectacle lumineux. Celui du 25 janvier s’est accompagné d’un trouble intense dont la conséquence pratique a été tout d’abord (comme on l’avait déjà constaté fréquemment) l’arrêt prolongé de communications télégraphiques ou téléphoniques et d’émissions de T. S. F. Les magnétographes ont enregistré de notables variations des composantes horizontale et verticale et de la déclinaison. La figure 4 reproduit la variation de la déclinaison à l’Observatoire magnétique de l’Institut de Physique du Globe (à Chambon-la Forêt, Loiret) que nous remercions pour son obligeante communication ; quoique très forte, puisqu’elle atteint une amplitude de près de1°5, il en a été noté néanmoins de plus considérables : celle du 25 septembre 1909 s’est élevée à 3°, sans s’être accompagné, semble-t-il, d’une aurore très importante. 
Ceci nous incite, pour terminer à rappeler certains faits antérieurs. Personnellement nous avons contemplé de fort belles aurores en 1894, 1898, 1908, 1915 : et bien d’autres observations encore, à des époques plus récentes, notamment en 1926, témoignent de la fréquence relative du phénomène dans nos contrées. Mais plus reculés en date, il faut se souvenir des spectacles féériques qui illuminèrent le ciel dans l’hiver 1869-1870 et pendant le siège de Paris, et dont nombre de témoins se souviennent encore. Cependant le plus magnifique de tous paraît être celui du 4 février 1872 ; celui-là fut visible de presque tout l’hémisphère N., ou plus exactement il se manifesta des aurores sur l’étendue de cet hémisphère ; citons même que le 2 septembre 1859, de tels phénomènes se produisirent simultanément sur toute la Terre. 
Ainsi, comme nous le disions au début, ces magnifiques spectacles dont par ailleurs l’étude plus poussée contribuera à une connaissance de nombreux phénomènes cosmiques et de la très haute atmosphère, ne sont pas exclusivement l’apanage des contrées polaires elles sont là seulement plus fréquentes en raison des causes initiales de leur production.




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Afin que la terre 
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Ave, ave, ave Maria ! 
Ave, ave, ave Maria ! 

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Convertissons-nous : 
Au Ciel notre Mère 
Nous conduira tous ! 

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