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Éoliennes: du rêve aux réalités (suite)

Environnement / Vidéos

Un lecteur me signale que la vidéo sur les éoliennes est passionnante, mais longue (2h) et décourageante. Il nous propose dessous la transcription de l’essentiel de ce qui est diffusé.

Près de 8.000 éoliennes installées en France. Réactions hostiles : quelle est la réalité ?

Problème : produire de l’énergie. L’éolien est ancien ; le changement se fait au XIX-ème avec le charbon. L’hydrolique est créé après 1945. Entre 50 et 70, consommation x 4 ; la crise de 74 conduit à la recherche d’autres énergies que le pétrole : le nucléaire. Les mouvements écolos montent en puissance. Fin 90 : libéralisation de la distribution de l’énergie. En Allemagne, G.Schroeder achète plus cher l’énergie dite verte ; le système est adopté en France par Jospin mais l’ampleur est limitée malgré la spéculation débridée vers cette nouvelle « ruée vers l’or ».

Le discours dominant sur « l’énergie verte » est hégémonique ; pourtant la production de carbone en France tourne autour de 7,5 % (du fait du nucléaire) contre 11,4 % en Allemagne. Le refrain « la France est ‘en retard’ » impose, via l’UE, l’accélération de l’éolien, notamment par Hollande. Le message martelé est que l’éolien garantit l’emploi, fait baisser les factures et réduit l’émission des gaz à effet de serre. Les proportions de production d’électricité en France sont (environ) : 70 % nucléaire, 11 % hydraulique, 7 % gaz, 2 % solaire et 6 % éolien.

Bilan énergétique : la France exporte (grâce au nucléaire) et « stocke » l’électricité grâce à un système de barrages en altitude qui permet de remonter de l’eau et alimenter les ressources potentielles en hydraulique (2 % d’énergie produite consacrée au fonctionnement des pompes de remontage).

Pour le nucléaire, l’hydraulique, le gaz, on peut piloter la production en + ou – ; pour l’éolien on ne peut pas. Le rendement de l’éolien dépend de la vitesse (V) du vent. La production commence à V>10 km/h mais pour un rendement très faible ; la capacité maximale est atteinte entre 50 et 90 km/h ; au-delà, la production est stoppée (sécurité). Bilan : une année compte 8.760 heures ; une centrale photovoltaïque (solaire) fonctionne environ 1.000h ; une éolienne autour de 2.000h. Les chiffres de production évacuent cette réalité en citant uniquement la capacité maximale de puissance produite (en Kw), et non la consommation effective délivrée (en Kw.h). En période de vent (hiver) , l’éolien peut couvrir entre 20 et 30 % des besoins ; en été, cela peut tomber à pratiquement rien ; on parle « d’énergie intermittente ». Ce qui fait que l’éolien ne se substitue pas à l’existant mais vient en supplément.

La plus grosse demande se situe en février, alors qu’éolien et solaire sont hors course. On accepte de payer très cher une énergie imprévisible, inutilisable lors des demandes fortes. L’abandon du nucléaire en faveur du renouvelable est la politique allemande : l’objectif annoncé était la réduction de l’émission de CO2.

Bilan allemand : l’objectif industriel solaire + éolien a commencé à fonctionner, jusqu’à ce que les Chinois proposent la même chose, moins cher. Le coût de l’électricité a commencé à augmenter sensiblement (30Mds annuels investissement dans éolien + solaire, 500 Mds de cumul prévus en 2025) : 45 % > prix moyen européen, 100 % > France. Sur le plan écolo, avec 30.000 éoliennes implantées, la baisse d’émissions CO2 2010-2020 est anecdotique (950 → 912). La part pilotable (incontournable) est restée à 100 Gw, avec moins de nucléaire mais davantage de gaz. Ce qui surprend c’est que c’est précisément au moment où l’Allemagne réalise l’impasse dans laquelle elle s’est fourvoyée, que la France décide de l’imiter.

Au niveau UE : l’affirmation est « les peuples européens nous ont demandé davantage d’éolien ». L’idée logique, au moment où l’UE imposait l’ouverture à la concurrence était de réaliser un réseau européen unifié ; mais les Allemands n’en voulait à aucun prix : le nucléaire français, énergie la plus économique et sûre aurait dominé l’Europe, et l’Allemagne en particulier. Mario Monti a allégué d’aides accordées à EDF (lors de son développement) pour l’exclure du marché (alors même que l’état allemand avait massivement financé sa propre production d’électricité). La complicité des fonctionnaires français a conduit non seulement à accepter ce ‘marché’ (la doxa était alors « nucléaire = mal » etc.) mais à démanteler EDF en petites structures sans cohérence. Les nouveaux « distributeurs » ne produisent aucune électricité mais l’achètent à EDF et la revendent aux particuliers en utilisant l’effet ‘discount’ : « on a créé des traders subventionnés ». L’élément important est que l’UE impose à EDF de vendre à ses concurrents à un prix inférieur au coût de revient (donc sans risque pour eux), tout en les subventionnant pour diminuer la puissance d’EDF. Ce qui conduit EDF à la faillite : on ne peut pas vendre durablement à perte.

Dissémination de l’éolien pour atténuer l’effet « intermittence » au niveau européen : ce n’est pas du tout ce qui est observé. La dépression ou anticyclone sur la façade atlantique concerne tous les pays européens du Nord au Sud ; la capacité de l’éolien est au mieux la moitié de la puissance installée, et la part « sûre » ne représente que quelques %. Les plus favorables à l’éolien sont précisément les « gaziers » car tout parc d’éoliennes conduit automatiquement à installer la même puissance potentielle en centrale à gaz (moitié moins d’émissions que le charbon, mais beaucoup, beaucoup plus que le nucléaire qui en produit deux fois moins que l’éolien). Donc destruction de ce qui marche en France, en achetant cher le gaz à l’étranger : pour quoi, pour qui ? L’état français a été sommé de céder GDF à Suez, qui est devenu Engie, premier exploitant éolien et solaire… Sachant que l’Allemagne contrôle l’arrivée du gaz par le Nord, depuis la Russie. La pénalisation de la France est patente, le plus surprenant est qu’elle est acceptée sans discussion par les responsables français. Les pétroliers, mais aussi les Gafas, investissent massivement dans l’électricité. A titre indicatif, l’Australie, qui a investi massivement dans le renouvelable, a eu cinq BlakOut au cours de l’hiver 2016-2017, dont un de plus de 48h. Les centrales à gaz sont subventionnées, comme les éoliennes. Bien se rappeler que la production électrique à base de pétrole, charbon ou gaz a considérablement plus augmenté que celle à base de solaire ou éolien : on reste sur un mode de production fossile, lors même qu’on vante le renouvelable.

Sortie du nucléaire : le coeur du débat est sur le nucléaire ; ‘renouvelable’ signifie ‘énergies fossiles’ pour compenser les pics et l’intermittence ; les « Verts » omettent curieusement cet aspect de l’équation. En 2018 une commission d’enquête parlementaire a reconnu l’inutilité climatique des éoliennes en France ; le nucléaire consomme deux fois moins de métal au kw.h produit, prend beaucoup moins d’espace, et coûte deux fois moins cher ; plusieurs pays européens ont entrepris de développer cette voie. Ce qui n’empêche pas de maintenir le plan « renouvelable » pour des raisons qui ne tiennent pas à l’économie ni même la préservation de la planète mais sur le même principe allemand, aveugle et sans avenir. Au dépens des Français, à la fois parce qu’ils le payent, et qu’ils subissent une détérioration sans précédent de leur environnement.

Le vent vaut de l’or : Antoine Waechter, ancien candidat vert, le reconnaît, l’éolien concerne surtout une production d’euros. Le développeur d’éoliennes fait du démarchage auprès de petites communes et vente les bénéfices, s’occupe de la progression administrative, puis met en vente l’autorisation sur le marché mondial. L’énergie produite doit être rachetée par EDF à un prix supérieur à celui du marché, avec une priorité d’accès et une rente garantie sur 15-20 ans. Comme si un industriel était assuré de vendre sa production à un prix garanti, supérieur à celui du marché, même si personne n’en a besoin. Résultat : le bénéfice est à près du tiers du chiffre d’affaire, sachant que la construction a été en partie payée par l’acheteur (subventions) ; un tel rendement n’existe nulle part ailleurs. Cette aubaine attire des financiers de toute nature, du style ‘fantôme’ (le dossier est vendu dès qu’il est achevé, sans tenir compte des engagements ; ex=ABO Wind) ; ou ‘presse-citron’, avec des ‘filiales’ françaises à 1€ de capital, qui sont en réalité détenues par des entreprises allemandes qui empochent tous les bénéfices (trust ; ex= Enertrag). Ce n’est même pas du ‘greenwashing’ mais du capitalisme brutal, basique, pour rémunérer les actionnaires, fonds de placements… L’alliance écolos-capitalisme éolien est difficilement compréhensible ; l’exemple typique est Valorem.

Implantation d’un site : le promoteur agit toujours en catimini : il voit le maire personnellement, ce n’est pas évoqué au conseil, on expose ce qu’il y gagne pour sa commune et on fait miroiter le gain au propriétaire qui loue son terrain. 10 K€ annuel par éolienne, plus les baux pour passage de câbles, survol etc ; au détriment des voisins qui subissent sans compensation. Les communes concernées découvrent ensuite que le projet n’est pas celui présenté, que les éoliennes sont plus grandes, plus proches des habitations… Les habitants concernés ne découvrent le projet que très tard, au moment où se fait la construction ; même organisés, ils doivent faire face aux difficultés administratives et juridiques, à la puissance financière des grands groupes (Total…) qui réclament des ‘indemnités’ exorbitantes et jouent l’intimidation. Les dizaines, voire centaines de millions d’euros de gain potentiel poussent les promoteurs à insister, voire se relayer face aux associations de simples citoyens, en comptant sur l’usure des militants. La tactique de « l’intéressement » des citoyens – qui investissent quelques centaines d’euros – facilite l’acceptation (70 % de rejet, sans égal) sans aucun bénéfice pour eux, ni en retombées financières, ni en pouvoir de décision.

L’emploi ? C’est le discours martelé par Nicolas Hulot : le renouvelable est bon pour l’économie, les emplois… Plus de la moitié des constructeurs et exploitants sont étrangers (allemands pour 2/3) ; les 44 % d’entreprises françaises doivent acheter les équipements à l’étranger ; 40 des 70 Mds€ de CA repartent à l’étranger. La France paie très cher le privilège de subir des éoliennes qui ne servent à rien, martyrise la population, dans le but de ruiner le système électrique français. En résumé, l’éolien ne diminue en rien l’émission de CO2, est nocif pour l’environnement, et ne crée aucun emploi car toutes les entreprises sont étrangères (ex= Alsthom revendu à GE…) ; la règle est simple : un service produit à l’étranger déplace l’emploi de la France vers l’étranger. Dans le nucléaire, le coût de production du Mw.h est de 50€, dont 1€ d’importation – l’uranium – donc pour 98 % de l’emploi français ; dans l’éolien, le coût est entre 40 et 80€, dont 10 à 20€ importés, ce qui détruit donc des emplois en proportion ; le plus surprenant est bien que les ministres continuent à ‘vendre’ 100.000 emplois créés…

Energie bon marché ? Sur la facture on trouve un montant : le TURPE – coût d’acheminement, 30 % de la facture – qui n’est pas à la charge du vendeur d’électricité mais du gestionnaire de réseau (Enedis, RTE), confrontés à une production diffuse, coûteuse, en plus de payer deux installations en parallèle. Le consommateur trouve aussi des frais dissimulés (CSPE, contribution au service public d’électricité, multipliée par plus de 7 ces 15 dernières années) qui correspondent aux gratifications et rentes garanties aux producteurs. Trop voyante, elle a été reconvertie en TICPE, ou ‘taxe carbone’, prélevée sur les carburants à hauteur de 7 Mds ; d’où la réaction populaire (GJ) : « tout ça pour payer quoi, et qui ? » Pour un ménage modeste, c’est 4,5 % des revenus (0,2 % pour un ménage aisé). La cour des comptes souligne justement (2018) que l’objectif « environnement » est dérisoire parce que la cible visée (électricité) n’est pas pertinente. L’investissement de 120 Mds, c’est le coût historique du parc nucléaire français ; avec 40 Mds, on remplace toutes les chaudières au fuel, ou toutes les voitures à essence d’île de France. A comparer avec les 10 Mds du nucléaire de Flamanville qui fait, lui, curieusement beaucoup plus de bruit médiatique. On a donc gaspillé des montants pharaoniques pour : ne pas décarboner l’électricité française (on remplace du nucléaire par de l’éolien ; on décarbone un peu les voisins puisqu’on exporte le nucléaire mais est-ce aux Français de payer pour les Allemands ?) ; détruire globalement des emplois ; faire payer le consommateur plus cher, ce qui amplifie la destruction d’emplois puisqu’il dépense moins dans ce qui utilise des emplois français ; diminuer la sécurité nucléaire, puisque l’éolien étant prioritaire, les rentrées du nucléaire sont diminuées et cela est répercuté sur la sécurité, puisque le nucléaire est indispensable en ‘backup’.

Fabrication : verte ? Seul le mât en acier est recyclable ; le socle, c’est 800 à 1500t de béton, plus 50t de ferraillage ; non réutilisable pour une autre éolienne en fin de vie ; les pales sont découpées puis enfouies (l’élément de langage est : seuls 5 % de l’éolienne ne sont pas recyclés, on y travaille,,,) ; la nacelle utilise des aimants permanents qui nécessitent 200kg de terres rares (1t pour une éolienne en mer), avec une pollution parmi les plus élevées – mais on ne la voit pas. Le démantèlement d’une éolienne, c’est plus de 400.000€ (seuls 50.000 sont demandés en provision au constructeur) qui reviendront à la charge du propriétaire du terrain puisque la plupart du temps les actionnaires ne sont plus identifiables, donc aux contribuables puisque celui-ci ne pourra pas payer.

Eolien, choix des Français ? 80 % des Français sont urbains et ne vivent pas à proximité d’éoliennes, donc sont indifférents : c’est rural ; Le fait incontournable est que l’implantation d’une éolienne diminue la valeur des biens à proximité, ce qui indique qu’on ne se précipite pas pour vivre à côté. Les associations environnementales, nées dans les années où l’ennemi était le nucléaire, on utilisé l’éolien comme arme contre le nucléaire ; souvent financées par, ou en partenariat avec, l’industrie éolienne, Greenpeace, France Nature Environnement, Négawatt, WWF… diffusent les éléments de langage des industriels ; puis la traduction politique est le rôle d’EELV, parti central. Ce n’est pas un hasard si son patron Yannick Jadot est l’ancien directeur des opérations spéciales de Greenpeace, avec sur sa liste aux européennes Jean-Yves Grandidier, patron d’une des entreprises éoliennes françaises ; on ne s’étonne donc pas que les lois en faveur de l’éolien aient été portées par EELV. Les journalistes n’ont quasiment jamais de formation scientifique et suivent la ligne de plus grande pente en faisant ce que les autres ont fait avant : les écolos sont jeunes, sympas, leur discours est simple : ils le répètent. Ceux qui ont conduit les lois favorables à l’éolien (Brottes, 2015) se retrouvent dans des situations confortables au sein d’un grand groupe éolien : les promoteurs de l’éolien ont totalement infiltré les institutions françaises et les entreprises publiques au coeur de l’électricité. On le voit de façon caricaturale lorsque les discours des promoteurs (privés) de l’éolien, de l’agence de maitrise de l’énergie, puis du ministre de l’environnement (B. Pompilii) et ses adjoints sont identiques.

Déni démocratique. Les chiffres diffusés, c’est 70 %, voire 80 % des Français favorables à l’éolien, en dénigrant les « châtelains » qui s’opposent (les égoïstes !…) Les éléments de langage sont : « vert, renouvelable, durable », et encore « champ, parc, ferme » d’éoliennes. C’est faux (les trois) mais on le retrouve partout, sur les affiches, les sites parlementaires, les livres d’école, les dessins pour enfants… Le discours officiel est « je vous ai compris » face aux plaintes de dégradation, mais « en même temps » les actes vont dans le sens de la multiplication de l’éolien ; aujourd’hui 8000, l’implantation programmée est de 20.000, alors même que le constat de leur inutilité, voire nocivité, est acté. Les voies de recours des citoyens sont réduites comme une peau de chagrin : tribunal administratif – mieux contrôlable, diminution des délais de recours, suppression de l’enquête publique…

L’offshore ? « Une catastrophe économique, financière, écologique… » ; « une entreprise étrangère (Iberdrola) liée à la mafia » (Marc le Fur, député des côtes d’Armor). L’essentiel des parcs offshore appartiennent à des étrangers. Au moment où le Sénat et l’AN tentaient de remettre la main sur l’hémorragie des finances, Macron et Hulot ont offert une solution censée « économiser » X Mds, alors que le coût du Mw.h est de plus de 3 fois le coût actuel. Au vu des dégâts, qui peut encore croire que c’est pour sauver la planète qu’on stérilise nos sols et qu’on martyrise les populations ? Qu’on détruit le visage du pays, la beauté ?

 

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6 commentaires

  1. Félicitations pour le résumé écrit. Je suis partisan de l’écrit contrairement à la tendance aux vidéos sur Internet, c’est plus rapide et on retient mieux l’essentiel.

  2. On peut aussi apprendre de ces tragédies et améliorer la sécurité.

    Si les émissions de CO2 sont à bannir, il n’y a guère d’autre solution que le nucléaire.

    Par chance la France est championne dans le domaine et il ne vous aura pas échappé que nous n’avons eu aucun accident du type de ceux que vous semblez redouter.

  3. Toutes les marées noires et autres pollutions aux énergies dite fossiles. Je n’hésite pas. Je ne crache pourtant pas sur le pétrole ou le gaz car c’est ce qui nous permet de nous mouvoir ou de nous chauffer actuellement.

  4. il y a peu de temps, sur ce site un intervenant se déclarant professeur de sciences physiques , bac plus 5 , disait-il, nous faisait la leçon du haut de sa grande science. Propos qui négligeaient et balayaient tous les inconvénients des éoliennes et prenaient le contrepied de ce texte. Soyons réalistes

  5. Il y a bien des aspects concernant les éoliennes qui provoquent le rejet mais je n’en garderai qu’un qui est essentiel : La destruction de nos paysages de notre douce France !

    Certes, nos ancêtres ont vécu cela au XIXe siècle avec les sites industriels lourds et les terrils, … dont on a conservé quelques vestiges pour témoignage.

    Certes, nos ancêtres ont vécu cela au XXe siècle avec des entrées de villes défigurées qui ont été démontées heureusement, des tours, des barres et du béton dont on a du mal à se débarrasser (du béton comme pour les éoliennes, d’ailleurs).

    On ne va pas passer la seconde moitié du XXIe siècle à démonter les horribles éoliennes quand même ? Je sais bien que monter et démonter, c’est faire fonctionner l’économie (et il y en a quelques-uns qui s’engraissent) mais on n’est pas en URSS !

    Le pire c’est que ceux qui défendent l’installation de ces horreurs se disent « écolos ». Qu’ils en mettent une au ras du sol dans leur jardin et qu’on n’en parle plus !

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