News au 22 juin 2019

fr.news  22 juin 2019

La milliardaire Gloria von Thurn und Taxis : il est « totalement absurde » que je me batte contre François

C'est « totalement absurde » qu'elle fasse partie d'une résistance « anti-François » comme l'ont suggéré le New York Times, a déclaré la princesse et milliardaire allemande Gloria von Thurn und Taxis à LifeSiteNews.com (18 juin).

Cette amie du cardinal Müller souligne qu'elle rassemble toutes sortes de gens dans sa maison : socialistes, communistes, catholiques de la messe latine et de la nouvelle.

« Si les gens sont gentils, ils sont tous les bienvenus dans mon cercle d'amis. »

Au sujet du Pape François, Gloria a dit qu'il est jésuite et que les jésuites ont « leur propre façon » d'évangéliser, « ils pensent que leur façon de faire a du succès ».

« Vous pouvez être d'accord avec cela ou vous pouvez dire que c'est peut-être un peu trop mondain », a-t-elle ajouté.

[Elle fait son G.R.E.C.]

fr.news  22 juin 2019

Un péché impardonnable : L'Osservatore Romano s'excuse

Le directeur du quotidien du Vatican L'Osservatore Romano, Andrea Monda, s'excuse d'avoir publié un article du père Giacomo Ruggeri.

Ruggeri a été condamné à deux ans et six mois de prison pour avoir "agressé" une fille de 13 ans.

Ancien attaché de presse du diocèse de Fano, en Italie, Ruggeri a été reconnu en juillet 2011 par un maître baigneur sur une plage publique alors qu'il jouait avec la fille.

Le lendemain, la police a secrètement installé des caméras qui documentaient une plus grande caresse des deux, ce qui a même attiré l'attention des baigneurs qui les entouraient.

L'Église de la Miséricorde d'aujourd'hui traite les crimes comme ceux de Ruggeri comme des péchés pour lesquels le Christ n'est pas mort et qui ne peuvent donc être pardonnés.

[… selon la nouvelle théologie de l'Antéchrist !!! Il faut noter que le même Antéchrist a dit de l'Osservatore que c'était « le journal du parti », autrement dit du parti communiste dont le dirigeant est le néo-Staline Bergoglio.]

fr.news  22 juin 2019

Le cardinal Marx « ne peut pas imaginer » que la dernière Cène protestante n'est pas la même chose que la Sainte Messe

Les femmes devraient diriger les dicastères du Vatican, a déclaré le cardinal Reinhard Marx, membre du Conseil des cardinaux du Pape François, lors du "Kirchentag" protestant à Dortmund, Allemagne, raporte katholisch.de (21 juin).

Marx a ajouté qu'il ne fallait pas s'attendre à ce que des femmes soient diacres et prêtres « pour le moment ».

Au sujet d'une "Dernière Cène", célébrée en commun avec les protestants d’État, Marx a demandé :

« Croyez-vous vraiment que Jésus se tient à la porte des protestants, puis ils s'assoient pour la Cène du Seigneur et Jésus dit : « Non, je ne m'assoirai pas avec vous. » On ne peut pas imaginer ça, n'est-ce pas ? » - comme si le problème était avec le Christ et non avec le refus protestant d'accepter la Sainte Messe telle qu'elle est.

[Marx ne mérite que d'aller avec son homonyme en enfer, mais quand il y sera, ce sera au-dessous même de son homonyme.]

fr.news  22 juin 2019

Zanchetta autorisé à retourner au Vatican

Un juge argentin a autorisé l'ancien évêque d'Orán, Gustavo Zanchetta, accusé d'homosexualité, à retourner au Vatican « pour des raisons d'emploi ».

Cette justification a été donnée en dépit du fait que Zanchetta est suspendu de ses fonctions à la Curie romaine, du moins selon le pape François dont les paroles ne sont pas toujours fiables.

Selon ElTribuno.com (21 juin), Zanchetta devra être de retour en Argentine pour une comparution le 8 août.

[L'Antéchrist maniera Zanchetta comme il l'entendra.]

fr.news  22 juin 2019

Le cardinal Schönborn attaqué pour sa complicité avec le lobby gay

Deux cents à trois cents personnes ont participé à la marche du 15 juin pour la famille à Vienne, en Autriche.

Ils ont défendu les enfants à naître, le mariage et la famille, et cette année aussi contre l'endoctrinement sexuel et la corruption des enfants d'âge scolaire et même des enfants de maternelle.

En même temps que les pro-vie, un sombre "défilé" d'homosexuels pro-mort, célébré par les médias oligarques, a eu lieu au centre-ville de Vienne dans la célèbre Ringstrasse.

La Marche pour la famille avait besoin de la protection de dizaines de policiers en raison de la tendance à la violence qui caractérise les militants de gauche et les militants pro-gay.

Après la chute du gouvernement autrichien [nominalement] de centre-droit et surtout l'éviction du ministre patriotique de l'Intérieur, Herbert Kickl, le climat politique est rapidement revenu dans l'ancien état. Il est devenu rude et hostile pour les militants pro-vie et pro-famille et pour les organisateurs de la Marche.

Malgré de nombreux obstacles, la marche a pu commencer sur la place Ballhausplatz, près du bureau du chancelier et du château impérial, aujourd'hui le bureau du président autrichien de gauche.

Les deux bâtiments ont été marqués d'une abomination appelée « drapeau arc-en-ciel Euro-Pride ».

La Marche a traversé les rues les moins peuplées de Vienne avant d'atteindre le centre et enfin la place Saint-Étienne, où se trouve la célèbre cathédrale de Vienne.

Le modérateur de la marche, Wolfram Schrems, théologien, a remarqué que des marches pour la famille étaient organisées dans de nombreuses villes européennes à la même époque (Prague, Vérone, Dantzig, Sofia, etc.).

La conseillère municipale et ancienne eurodéputée Ursula Stenzel a exprimé sa solidarité avec la Marche et a demandé une politique familiale chrétienne.

L'ancien Premier ministre slovaque, Dr Ján Čarnogurský, a parlé des conséquences économiques désastreuses de l'homosexualisation sur les sociétés.

Christian Zeitz du Wiener Akademikerbund a critiqué la tendance à l'hédonisme et à l'égalitarisme dans l'Église, l'État et la société, qui dénigre tout ce qui est élevé.

Les étudiantes universitaires Tatjana Trotzky et Assunta Gappmaier, toutes deux membres de familles nombreuses, ont plaidé pour un amour vrai et sacrificiel, pour la dignité du mariage et de la famille et pour la protection des enfants à naître. Leur témoignage a été un moment spécial lors du rassemblement.

Le modérateur Schrems a critiqué le cardinal viennois Christoph Schönborn pour avoir gardé le silence sur le massacre qui a lieu dans un avortoir, à une centaine de mètres de son palais.

Le comportement de Schönborn contraste fortement avec le Catéchisme de l'Église catholique qui a été produit dans les années 1990 par une commission avec Schönborn comme secrétaire, et qui déclare que les enfants à naître doivent être protégés par la loi (§2273).

Schrems a également critiqué le Cardinal pour sa collaboration avec le lobby homosexuel et pour les transgressions homosexuelles qu'il a permises dans sa cathédrale lors de la "Journée mondiale contre le sida" en 2017 et 2018. C'est contre le Catéchisme (§1867).

Le père Johannes Regele, biologiste moléculaire, prêtre de la FSSPX et ancien laïc de l'Opus Dei, a reproché aux évêques leur passivité. Il a mis en garde les fidèles contre la résignation et leur a donné sa bénédiction à la fin du rassemblement.

Face aux circonstances adverses de l’Église et de la politique, à la violence des manifestants de gauche et à la température exceptionnellement élevée, la Marche pour la Famille a été un grand succès.

Même les familles avec enfants ont osé venir.

À cause de qui ? De Vatican II !

Il est devenu très clair, pour qui sait ouvrir les yeux, que le « printemps de l’Église » dont on a rabattu les oreilles des séminaristes durant les années 1970-80 n’était qu’un leurre. Tout comme n’étaient qu’une tromperie les bienfaits de la liturgie célébrée exclusivement en « langue-qu’on-comprend » et « face au peuple » pour, soi-disant, favoriser la participation des fidèles.

On aura beau organiser des synodes diocésains, des restructurations de paroisses et l’on aura beau s’atteler à nommer des laïcs en responsabilité, les églises sont vides, les paroisses sont à l’abandon, les séminaires ferment les uns après les autres. Quant aux personnes qui vont encore à la messe le dimanche, elles ne savent plus rien de la liturgie : devenues incapables de se poser la moindre question, elles acceptent n’importe quel type de célébration sans même se soucier de savoir si ce que fait le prêtre à l’autel a encore un quelconque rapport avec la foi catholique.

Soyons lucides : dans dix ans, plus de 90% des paroisses n’auront plus de prêtre ; les presbytères seront transformés en logements sociaux et les églises ne seront ouvertes qu’à l’occasion de concerts (si l’acoustique est bonne) ou d’exposition (d’art moderne de préférence).

Pendant ce temps-là, le chœur des évêques continuera à chanter « tout va très bien, madame la marquise » tout en tirant à vue sur ceux qui auront encore le courage de tirer le signal d’alarme.