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Arnaud Upinsky, l'énigme du Saint Suaire est indiscutablement résolu. www.youtube.com/watchPlus
Arnaud Upinsky, l'énigme du Saint Suaire est indiscutablement résolu.

www.youtube.com/watch
Catholique et Français
Merci de votre réponse, cher AveMaria44, je vais réfléchir, peser et méditer vos arguments afin de revoir, si nécessaire, ma conviction (tout à fait personnelle et qui n'engage évidemment que moi).
AveMaria44
Si toucher les plaies de Notre Seigneur ressuscité fut nécessaire à St Thomas, pour aider aussi notre foi imparfaite, Jésus lui montre que sa foi est imparfaite et déclare bienheureux ceux qui croiront sans voir, qui feront, en fait, plus confiance à Dieu et à sa Parole qu'à leur jugement propre.
@Catholique et Français Si nous sommes dans "un nouvel age qui n'est plus celui de la foi", c'est …Plus
Si toucher les plaies de Notre Seigneur ressuscité fut nécessaire à St Thomas, pour aider aussi notre foi imparfaite, Jésus lui montre que sa foi est imparfaite et déclare bienheureux ceux qui croiront sans voir, qui feront, en fait, plus confiance à Dieu et à sa Parole qu'à leur jugement propre.

@Catholique et Français Si nous sommes dans "un nouvel age qui n'est plus celui de la foi", c'est que nous sommes plus catholiques, la foi comme Dieu ne change pas, elle disparaîtra quand elle fera place à la vision, au ciel.
Catholique et Français
Chère AveMaria44, il me semble (mais ce sentiment est tellement au dessus de moi que je n'ai pas la prétention de l'imposer à quiconque) qu'avec le Saint Suaire de Turin nous sommes entrés dans un domaine (un "nouvel âge" de l'Eglise ???) qui n'est plus celui de la Foi, mais d'une autre nature, moins méritant ("Heureux celui qui croit sans avoir vu") mais beaucoup plus contraignant ("Tu crois …Plus
Chère AveMaria44, il me semble (mais ce sentiment est tellement au dessus de moi que je n'ai pas la prétention de l'imposer à quiconque) qu'avec le Saint Suaire de Turin nous sommes entrés dans un domaine (un "nouvel âge" de l'Eglise ???) qui n'est plus celui de la Foi, mais d'une autre nature, moins méritant ("Heureux celui qui croit sans avoir vu") mais beaucoup plus contraignant ("Tu crois parce que tu as vu"); dans son immense et peut-être ultime Miséricorde (la Miséricorde de Dieu a pour Noms aujourd'hui "Notre Dame de Fatima" et le "Saint Suaire"), le Ciel se fait très pressant en actualisant l'Evangile de saint Thomas pour notre monde en pleine "désorientation diabolique", ce monde qui prétend ne plus croire parce qu'il n'a pas vu les Mains et les Pieds percés ! La seule différence, lourde de menaces, entre l'apôtre Thomas et l'"Homme Moderne", c'est que Thomas, lui, au moins, vit, crut et s'écria : "Mon Seigneur et mon Dieu !" C'est aussi une Réponse à tous ces Catholiques qui affirment sans réfléchir : "Moi, j'ai la Foi, je n'ai pas besoin du Saint-Suaire; le Saint-Suaire n'apporte rien !" : ces mêmes catholiques, esprits forts et égocentriques, auraient certainement, en suivant leur logique, interdit à Notre-Seigneur de montrer ses Plaies à Saint-Thomas incrédule !!!!
AveMaria44
Il faut ajouter, que la foi de saint Jean a débuté par ce qu'il a vu du linceul, mais qu'après il a vu le ressuscité lui-même et que pour finir à la Pentecôte il a reçu le Saint-Esprit.
Le miracle ne prouve pas la foi, mais la crédibilité. Saint Louis refusait d'aller voir un miracle eucharistique en répondant ; "ma foi" me suffit. La foi est fondée sur l'autorité de Dieu révélant qui ne peut …Plus
Il faut ajouter, que la foi de saint Jean a débuté par ce qu'il a vu du linceul, mais qu'après il a vu le ressuscité lui-même et que pour finir à la Pentecôte il a reçu le Saint-Esprit.
Le miracle ne prouve pas la foi, mais la crédibilité. Saint Louis refusait d'aller voir un miracle eucharistique en répondant ; "ma foi" me suffit. La foi est fondée sur l'autorité de Dieu révélant qui ne peut ni se tromper, ni nous tromper, c'est l'hommage de notre intelligence au mystère divin qui nous dépasse infiniment., et comme notre intelligence ne peut le saisir c'est la volonté mue par la grâce qui nous fait adhérer à sa Parole.
AveMaria44
Le R.P.Filas part de l’observation minutieuse d’une image tridimensionneile du Corps qu’enveloppa le Suaire de Turin. Cette image, obtenue au moyen d’instruments électroniques perfectionnés permettant la mesure précise, au densitomètre, de l’intensité du brunissement du Linge en chacun de ses points micrométriques, révèle, comme l’a dit un des chercheurs américains ayant participé à ces …Plus
Le R.P.Filas part de l’observation minutieuse d’une image tridimensionneile du Corps qu’enveloppa le Suaire de Turin. Cette image, obtenue au moyen d’instruments électroniques perfectionnés permettant la mesure précise, au densitomètre, de l’intensité du brunissement du Linge en chacun de ses points micrométriques, révèle, comme l’a dit un des chercheurs américains ayant participé à ces travaux « l’extraordinaire beauté du Crucifié ».

Sa taille impressionnante se laisse aisément mesurer : 1 m 81 ; le corps est robuste et bien proportionné. Mais le plus fascinant reste le visage. Et c’est sur ce visage que le R.P. Filas se penche avec une extrême attention. Il y fait une découverte absolument décisive : il distingue, posé sur chaque paupière, une sorte de disque. Un agrandissement de cette empreinte sur la paupière droite a permis au R.P. Filas de reconnaître l’empreinte d’une pièce de monnaie portant une inscription : « TYBERIOY CAICAPOC », « de Tibère César ». Or chacun sait que l’usage romain, lors de l’ensevelissement d’un défunt était de maintenir les paupières fermées en y déposant une pièce de monnaie. De plus, une comparaison minutieuse de cette empreinte, effectuée par des spécialistes de la numismatique avec des pièces de collection a permis de la dater et d’y reconnaître une pièce de monnaie frappée sous Ponce Pilate : même dimension, même découpe, même effigie, même exergue qu’une certaine piécette dûment cataloguée pour les années 16, 17 et 18 de Tibère César, soit 29, 30 et 31 de notre ère. Comme par une volonté expresse de Celui qui fut l’Artisan de cette image imprimée sur le tissu, voilà le document daté, et voilà confirmées les paroles du Credo : Il a souffert sous Ponce Pilate. Il est mort et a été enseveli. Il est ressuscité le troisième jour ! Source : Victor Bioul, Le Saint Suaire est authentique, revue “Pour qu’Il Règne”, n° 24, mars 1998, p. 6.

La Liturgie est un lieu théologique, donc de foi, il n'y aurait pas de Messe si l’Église ne l'avait pas reconnu implicitement authentique, même si les instruments de notre époque permettent de le découvrir beaucoup mieux.

On doit adorer le Linceul, comme toutes les reliques de la Passion et plus particulièrement le Très Précieux Sang.
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Apologétique & catéchèse.
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