Coronavirus: Réflexions

Lors de l’élection présidentielle de 2017 il y eut au total, pour le second tour, 36,9 % d’abstention et de vote blanc cumulés. C’est énorme, c’est du jamais vu, et j’en ai fait partie… mais pour quels fruits au final ? ça n’a servi à rien. C’est aujourd’hui pire qu’hier.
Je n’ai plus voté depuis le passage en force de Sarkozy en 2007 contre la volonté du peuple pourtant clairement exprimée en 2005. Donc je connais bien les arguments de ceux qui ne veulent « plus mettre de l’essence dans le moteur de la Révolution » et que cela ne sert de toutes les façons à rien. J’y ai adhéré sans discontinuité depuis.
Mais en 2022 j’irai voter pour le candidat 1) le mieux placé pour l’emporter et 2) qui nous débarrassera des passes sanitaire et vaccinal (Le Pen, Zemmour, ou un candidat anti-système surprise de dernière minute, peu m’importe), entre autres. Et j’appelle aussi tous les lecteurs de ce blog à faire de même. Car il n’est plus temps de chipoter, de faire le puriste, il est temps de sauver les meubles.
Pragmatisme, réalisme.
Nous avons donné, nous les 36, 9%, toutes les cartes à nos ennemis pour qu’ils puissent manœuvrer en toute tranquillité et comme bon leur semble. Ce n’est plus acceptable, car la preuve que cela ne sert à rien fut donnée. S’il faut le dire clairement, ils s’en foutent que vous ne votiez pas ou que vous votiez blanc.
Par contre ça les dérange que vous votiez contre eux.
Inutile de vous faire un long roman sur la finalisation accélérée de l’établissement du règne de l’Antéchrist par nos mondialistes apatrides, de la marque de la Bête peut-être encore qu’un simple prototype dans ces injections, du contrôle social total pour très bientôt etc… vous le voyez tous et savez très bien combien il faut s’y opposer.