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Miles - Christi
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Général Martinez: L'appel aux Français.

Il est urgent d’appeler un chat un chat et de relier clairement cet « ensauvagement » de la société à cette immigration de masse, non contrôlée, de culture non seulement incompatible mais hostile à notre civilisation et à notre culture qui plonge notre pays dans la barbarie. C’est la France orange mécanique qui se dévoile. Et cette culture incompatible avec la nôtre s’appelle islam. Mais nos élites politiques sont coupables de ne pas vouloir le comprendre alors qu’il suffit d’analyser les textes fondateurs de ce corpus politico-religieux totalitaire. Et même Marine Le Pen ne me semble pas être capable ou même vouloir faire le bon diagnostic qui conditionne pourtant les bons remèdes à adopter pour changer les choses dans la mesure où elle-même déclarait, il y a quelque temps à un journaliste de TF1, que « l’islam est compatible avec la République ». D’ailleurs, elle (Marine Le Pen) vient même d’exclure un quart des personnalités composant la commission d’investiture, haute instance de la direction du RN, à moins d’un an des élections régionales. Elle écarte, en fait, des représentants de la tendance identitaire pourtant essentielle dans le combat qui doit être engagé aujourd’hui. C’est bien la preuve qu’elle envisage une inflexion dans son discours, précisément au moment où il ne faut pas fléchir. Elle pourrait donc décevoir nombre de patriotes qui la suivent jusqu’à présent. Cette décision pourrait, de plus, créer quelques remous au sein du RN.

Lien vers la video sur youtube: https://www.youtube.com/watch?v=dSOAkjesmtY&t=633s

Lien vers le reportage:
ripostelaique.com/je-me-presente-…

Quant à sa dernière tribune intitulée « l’assimilation républicaine, condition indispensable à la cohésion de la Nation », on a l’impression qu’elle manque de lucidité et de réalisme. En effet, depuis quarante ans, nos dirigeants politiques ont lâchement renoncé à ce principe essentiel pour la cohésion de la nation – honte à eux ! – et aujourd’hui il est trop tard. Elle n’a manifestement pas compris qu’on peut assimiler des individus mais pas des peuples. Or c’est bien de cela dont il s’agit, des peuples qui n’ont rien de commun avec notre culture et qui sont arrivés sur notre territoire, souvent par effraction, et ne veulent pas de nos principes. Ils sont inassimilables. Pour retrouver un minimum de cohésion, il faut au contraire permettre leur retour dans leurs pays d’origine. Il faut défendre le peuple français et pour le défendre il faut, en tout premier lieu, refuser ce qui précisément le détruit. Tout cela me conforte dans l’idée que la présidente du RN n’est pas la représentante de tous les patriotes et qu’elle pourrait même, avec ses dernières déclarations et décisions, semer le trouble.

Alors vous me dites que de nombreux Français espèrent la venue d’un homme fort, capable de fédérer autour de lui l’ensemble de la famille. Et vous poursuivez en me demandant si je pense pouvoir être cet homme ? Avant de pouvoir répondre à une telle question, il faut bien reconnaître que le simple fait de la poser traduit la nécessité aujourd’hui de l’émergence d’un homme fort compte tenu de la gravité de la situation. Mais qu’est-ce qu’un homme fort dans ces circonstances dramatiques ? Je crois sincèrement que l’homme fort dont vous parlez n’existe pas en tant que tel. Il ne se décrète pas par sa simple volonté. En revanche, je dirais plutôt qu’il le devient ou peut le devenir au terme de trois séquences successives et liées.

Sa force réside tout d’abord dans le degré de confiance qu’il est en mesure d’établir avec les citoyens en leur délivrant un message de vérité sur la situation du pays et donc sur la nécessité d’une rupture totale pour inverser le cours des choses. Une crise ou une fracture identitaire n’est pas de même nature qu’une crise économique. Si la seconde peut être gérée, corrigée dans le temps, réglée à terme, la première, lorsqu’elle est engagée, n’offre que deux possibilités : la résignation et c’est la voie de la disparition à terme du peuple autochtone (l’exemple du Kosovo est emblématique), ou le refus de cette perspective en prenant des décisions propres à inverser le processus en cours avec des conséquences qu’il faut assumer.

Ensuite, cette force repose en fait sur l’adhésion du plus grand nombre de citoyens convaincus par le message de vérité sur la situation, sur le diagnostic et les remèdes proposés. Ce point est capital car sans les autres, le chef n’est rien, n’aura aucun pouvoir et ne pourra donc engager aucune action efficace. On constate donc que finalement c’est le peuple lui-même qui modèle l’homme fort par son adhésion à sa démarche parce que différente des autres, ce dernier étant en retour conforté dans les décisions qu’il est amené à prendre, conformes et cohérentes avec ce que souhaite ou réclame le peuple dans un domaine capital – ne l’oublions pas – car il s’agit de sa propre existence et de sa survie.

Enfin, une fois élu, la force de cet homme résidera dans sa fidélité dans le projet qu’il aura porté et qui aura donc été approuvé par une grande partie du peuple, et par sa détermination à le mettre en œuvre en ayant toujours à l’esprit le souci du bien commun et l’intérêt de l’État et de la nation, principes complètement bafoués par les dirigeants qui se sont succédé depuis de très nombreuses années. Au point qu’aujourd’hui, l’État trahit même la Nation, ce qui va à l’encontre du bien commun. Ce n’est donc qu’à l’aune de la mise en œuvre et de l’application concrète du projet porté qu’on pourra affirmer qu’il s’agit bien de l’homme fort attendu.

Puis-je donc penser pouvoir être cet homme fort dont vous parlez ? Ce que je peux simplement vous dire au regard des trois séquences ou conditions que je viens d’évoquer, c’est que s’agissant de la première et de la troisième, mes convictions et ma détermination sont entières et me permettent d’affirmer que je m’y tiendrai. Je préciserais d’ailleurs pour cette troisième séquence, pour anticiper des questions légitimes, qu’à ce stade du processus, un moratoire serait décidé sur les conventions internationales ou institutions supranationales qui musèlent notre souveraineté et entravent notre liberté d’action sur des sujets sur lesquels le peuple doit pouvoir s’exprimer. Ce moratoire temporaire doit nous permettre de nous libérer de ce carcan pour appliquer les mesures propres à stopper la fracture identitaire et culturelle en cours et à inverser cette dérive criminelle. En revanche, je n’ai aucune maîtrise sur la deuxième séquence qui est capitale. Et qui conditionne le passage à la troisième séquence. C’est donc des citoyens que dépend la réponse à votre question. En tout cas, pour ce qui me concerne, je suis prêt à mener ce combat à son terme si on me le permet.

Et pour cela, il me semble, mais cela n’engage que moi, qu’il faut à présent tenter de rassembler – hors ou au-delà des appareils politiques qui ont démontré leur inefficacité, leur impuissance face aux vrais défis – tous les Français patriotes et donc tous les électeurs qui ont conscience de l’état de notre société, résultat de quarante années de laxisme et de manque de clairvoyance. C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de m’engager hors des partis politiques. Il faut que les citoyens réalisent que seule une révolution politique, une rupture complète, un changement total du paysage politique sont aujourd’hui indispensables. Il faut que nous puissions retrouver les moyens d’exercer le pouvoir avec efficacité pour le bien commun et dans l’intérêt de l’État et de la Nation, et ces moyens se résument en un mot : la puissance. Car cette dernière constitue l’essence même du politique. Le politique ne peut pas, en effet, par définition être impuissant Cela n’a pas de sens. C’est pourtant l’impuissance qui caractérisent nos dirigeants depuis de nombreuses années car en réalité ce ne sont pas des politiques mais des gestionnaires. La puissance doit au contraire permettre d’assurer à la fois la sécurité et la concorde.

Aujourd’hui, on en est très loin. Actuellement, pour masquer leur impuissance, leur manque de vision pour la France, nos gouvernants ne cessent de parler de la République, de pacte républicain, de front républicain, d’état de droit républicain, des valeurs de la République. Le Président a même évoqué récemment le patriotisme républicain, ce qui ne veut rien dire. Il pense peut-être que le patriotisme est né avec la République. C’est ridicule. Non, la République est née de la Révolution dans la violence. Le patriotisme c’est l’amour de la France, cela n’a rien à voir avec la République. Mais que font-ils, que fait-il de la France et de la démocratie ? Cette dernière n’est-elle pas le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple ? Quand ce dernier a-t-il été consulté sur cette immigration non souhaitée ? Je considère que le peuple doit pouvoir s’exprimer sur ce type de sujet puisqu’il conditionne son avenir. Et il serait grand temps qu’il soit consulté. En tout cas, je suis, pour ma part, partisan de l’introduction d’une dose de démocratie directe dans nos institutions. La force d’un homme politique réside, à mon avis, dans l’amour qu’il porte à son peuple et à son pays, dans sa détermination à les protéger et à défendre ses intérêts. C’est loin d’être la cas aujourd’hui.
Rosa Mystica
Comment peut-on récolter autre chose que ce que l'on sème? Voilà ce qui arrive à ceux qui se détournent de la Vérité et qui cherchent des réponses dans le monde et la fragilité humaine.
AveMaria44
L'essentiel ne peut être que la soumission aux lois divines naturelle et surnaturelle, hors du Christ-Roi point de salut.......