S'exprimant sur la nouvelle constitution du Chili, il a souligné que "les valeurs passent avant tout". Aós donne un exemple : "La propreté est pour moi une valeur, je la vivrai en tant que chrétien, en tant que catholique, du point de vue de l'écologie".
Il dit que les "valeurs" obligent tout le monde, qu'ils soient catholiques ou non. Ainsi, Aós réduit l'importance publique de l'Évangile à la défense des "valeurs" avec tous les hommes de bonne volonté.
Le problème : les "valeurs" ne vont pas de soi, elles sont fondées sur la foi (comme l'a même souligné Aós au début).
Il est intéressant de noter qu'au cours de cet entretien, Aós a omis de mentionner les églises en feu au Chili.
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