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L'Antéchrist boucle le Dossier-Chine à la diable : chronologie des faits

Article précédent : Viganò intervient de nouveau contre l'Antéchrist (texte intégral) : la finale (en rouge) dit tout

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Accord avec la Chine

Un lien trouble entre McCarrick et Parolin, selon LifeSieNews

("Benoît-et-moi", le 22/9/2018)

Capture d'écran, 22/9/2018

Internet ne bruit que de cela. Une information qui vient à point nommé pour redorer le blason du Pape, quelque peu écorné ces temps-ci, auprès des médias laïcs et des milieux catholiques progressistes.

Un peu avant l'annonce, <LifeSiteNews> proposait une autre lecture de la nouvelle, une lecture disons, décalée, qu'Isabelle a traduite.


UN CARDINAL DE LA CURIE BLÂME CEUX QUI CRITIQUENT L’ACCORD AVEC LA CHINE : « NUL BESOIN DE DRAMATISER »

Lianne Laurence
Life Site News

CITÉ DU VATICAN, 21 septembre 2018. – Le chef de la diplomatie vaticane défend l’accord imminent avec la Chine, que les critiques dénoncent comme une trahison des catholiques.

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« Il n’y a aucune raison de dramatiser la chose en condamnant et en rejetant », a déclaré jeudi à Rome le secrétaire d’État, le cardinal Pietro Parolin, selon l’agence Reuters.
Principal négociateur à l’œuvre dans cet accord controversé, Parolin a ajouté qu’il espérait que l’accord serait signé « dans un avenir pas trop éloigné ».

Cette remarque ressemble fort à une confirmation officielle des annonces médiatiques selon lesquelles une délégation vaticane se rendra à Pékin avant la fin du mois de septembre pour finaliser l’accord en question. Cet accord est salué dans certains milieux progressistes comme un document « révolutionnaire », rétablissant après 70 ans les relations diplomatiques entre la Chine et le Saint-Siège.

Ce que l’on sait de cet accord secret, c’est que Pékin reconnaîtra le pape comme chef de l’Eglise catholique en Chine ; mais le régime, tout en laissant au pape un droit de veto, aura le dernier mot pour nommer les évêques. Le Vatican a également accepté de reconnaître et de consacrer sept « évêques » illégitimes, qui avaient été mis en place par l’Association patriotique catholique contrôlée par les communistes. De plus, le Vatican a demandé à deux évêques de l’église souterraine persécutée de démissionner en faveur des « évêques » de l’église patriotique.

« Nous sommes convaincus que cet accord est un pas en avant », a déclaré Parolin aux journalistes. « Nous ne sommes pas assez naïfs pour penser que désormais tout sera parfait, mais il nous semble que c’est la bonne direction à prendre ».

Parolin, un diplomate de carrière considéré comme l’un des principaux papabili lors du prochain conclave, n’a pas mentionné de noms lorsqu’il a ajouté : « Tout le monde a le droit de penser ce qu’il veut, mais il doit le faire avec respect ». Cependant, ces remarques visent le cardinal Joseph Zen de Hong Kong, qui a appelé publiquement le secrétaire d’Etat à démissionner à cause de cet accord : « Ils livrent le troupeau à la gueule des loups ; c’est une trahison incroyable », a déclaré Joseph Zen à l’agence Reuters dans une interview publiée jeudi dernier.
L’évêque émérite de Hong Kong, âgé de 86 ans, s’est également interrogé sur le catholicisme de Parolin : « Je ne pense pas qu’il ait la foi. Il est juste un bon diplomate, dans un sens profane et mondain », a-t-il dit.

Steve Mosher, expert de la Chine et auteur de l’ouvrage Bully of Asia: Why China’s Dream is the New Threat to World Order [« La brute de l’Asie: Pourquoi le rêve de la Chine est la nouvelle menace pour l’ordre mondial »], soutient le cardinal Zen en condamnant l’accord proposé par Parolin : « Le Parti communiste s’est employé longtemps à forcer les catholiques chinois à sortir des catacombes pour qu’ils puissent être soumis au strict contrôle du Parti », a déclaré Mosher à <LifeSiteNews>. « Que des gens au Vatican, y compris le cardinal Parolin, aient pu croire que c’est une bonne idée de prêter le nom du pape à leurs actions, voilà qui me dépasse ».

Zen s’est longtemps méfié de Parolin, avertissant le pape François en 2013 que son nouveau secrétaire d’État a un « esprit empoisonné » : « il croit en la diplomatie, mais il n’a pas notre foi ». Mais François a néanmoins chargé Parolin de renouer les négociations avec Pékin, que le pape Benoît avant sa renonciation avait interrompues.

Le nom de Parolin, qui a défendu le document controversé du pape Amoris Laetitia en y voyant un « changement de paradigme » pour l’Église, a été cité par l’ancien nonce Mgr Carlo Viganò dans son témoignage du mois d’août, une véritable bombe. Viganò a affirmé que Parolin fait partie de ces prélats de haut rang qui ont couvert les nombreux cas d’abus sexuel de l’ex-cardinal Theodore McCarrick et qui lui ont conféré des positions d’influence dans l’Église.
En effet, « après l’élection du pape François, McCarrick s’est vanté ouvertement de ses voyages et de ses missions dans plusieurs continents », a écrit Viganò. Cela incluait des voyages en Chine, dernièrement encore en 2016 pour rencontrer de « vieux amis », comme McCarrick devait déclarer ensuite au Global Times, publication semi-officielle du Parti communiste.

En fait, McCarrick, maintenant discrédité, « a effectué pas moins de huit voyages en Chine ces dernières années afin de parvenir à un accord — et, pour les derniers déplacements, à la demande expresse du pape François », a déclaré Steve Mosher à <LifeSiteNews>. Ailleurs, le même Mosher a dénoncé le bilan de 13 ans de Parolin en Chine assimilé à une série de « gaffes calamiteuses », affirmant que c’est là une autre raison pour se défier de l’accord imminent.

« Si l’accord avait été négocié par des prélats comme le cardinal Zen, c’est-à-dire par des hommes qui sont profondément et personnellement conscients de la vraie nature régime dictatorial officiellement athée qui gouverne la Chine, nous aurions pu avoir confiance », a-t-il déclaré à LifeSiteNews. « Mais je n’ai aucune confiance dans un accord qui a été négocié par des clercs qui font preuve d’une totale incompréhension de l’histoire récente de la Chine et des mesures visant à supprimer brutalement la religion », ou par des clercs comme McCarrick.

« Dans la mesure où j’ai, au fil des ans, aidé les catholiques clandestins en Chine à construire des églises et à ouvrir des orphelinats, je suis d’accord avec le cardinal Zen pour dire que l’accord proposé est une trahison », a écrit Mosher. Et il ajoute : « En fait, il s’agit d’une trahison à plusieurs niveaux. L’accord trahit l’autorité de la papauté en donnant au Parti communiste chinois le droit de nommer les évêques […] Il trahit l’Église clandestine en Chine, une Église qui non seulement a survécu à des décennies de persécutions de la part des autorités mais est maintenant, une nouvelle fois, en état de siège » ; et Mosher critique également le Vatican pour avoir gardé le secret sur l’accord, qui « trahit la vérité » et donne l’atout majeur au président Xi Jinpin dans sa volonté de réprimer toute observance religieuse.

« Quels sont les objectifs en jeu pour signer un accord secret ? Un tel accord maintient les catholiques en Chine et dans le monde entier dans l’ignorance de tous les compromis que le Vatican a pu faire », a déclaré Mosher, poursuivant : « Cela permet également aux autorités communistes de présenter, aux fidèles chinois, une image fausse de l’accord et de l’utiliser à leurs propres fins. Les ténèbres haïssent toujours la lumière ».

Source : benoit-et-moi.fr/…/accord-avec-la-…

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L’Église de l’Association patriotique catholique de Chine
refait allégeance au Parti communiste après l’accord avec Rome


par Jeanne Smits, Réinformation.TV, le 26 septembre 2018

Au-delà de l’optimisme et du pessimisme qui ont, des deux côtés de l’échiquier, accueilli l’annonce d'un accord provisoire entre le Vatican et Pékin en vue de la régularisation immédiate de tous les évêques excommuniés et du droit de regard du pouvoir en Chine sur la nomination des évêques catholiques, il est certainement bon de s’attacher avant tout aux faits. Parmi les plus récents concernant le sort de l’Église en Chine, celui-ci est sans aucun doute le plus significatif : l’Association patriotique catholique, connue également comme l’Église nationaliste, vient de réaffirmer sa loyauté à l’égard du parti communiste au pouvoir, quasiment dans le même mouvement que celui de l’accord Rome-Pékin. Une protestation d’allégeance lourde de menaces pour l’avenir…

Cela ne faisait que quelques heures que l’accord avait été rendu public à la suite de longues négociations entre le Saint-Siège et le régime communiste chinois – longues parce que l’on peut supposer que les accords provisoires sont le résultat de bien des années de contacts et de discussions. C’est donc dans la foulée de l’accord et en quelque sorte pour le ponctuer que l’Association patriotique catholique chinoise a publié un communiqué portant la signature de son porte-parole :

« Il me plaît d’apprendre que la Chine et le Vatican ont signé un accord provisoire sur la nomination des évêques. L’Association patriotique catholique de Chine et la conférence des évêques catholiques de Chine lui apportent leur soutien sincère. »

L’Association patriotique catholique de Chine se félicite de l’accord avec Rome

Rappelons que la conférence des évêques catholiques de Chine désignée ici est celle qui est officiellement reconnue par le pouvoir. Mais le plus important est ce qui suit :

« L’Église catholique chinoise aime profondément sa mère patrie. Nous adhérons à la magnifique tradition de patriotisme et d’amour pour la religion, nous adhérons au principe de l’Église indépendante et auto-gouvernante, nous maintiendrons le cap de la sinisation, nous adhérons à la voix de l’adaptation à la société socialiste et, sous la conduite du Parti communiste de Chine, nous travaillerons avec des gens de toutes nationalités dans le pays pour rendre compte de la grandeur de la nation chinoise. »

On ne saurait être plus clair : cette association patriotique épouse sans réserve les orientations politiques du régime chinois, y compris la construction du socialisme, dans un contexte de religion autocéphale certes disposée à considérer le pape de Rome comme son chef visible, mais de très, très loin.

Le communiqué poursuit :

« L’Église catholique de Chine partage les mêmes croyances que les Églises catholiques du monde. Nous sommes disposés à mener à bien des échanges amicaux avec d’autres Églises catholiques sur la base de l’indépendance, du respect mutuel, de l’égalité et de l’amitié. »

L’allégeance au Parti communiste suppose l’indépendance par rapport à Rome

Autrement dit, l’accord s’est fait, du moins dans l’esprit des responsables chinois, dans l’idée que de nombreuses Églises nationales se côtoient dans le monde, partageant sans doute les mêmes convictions spirituelles mais toutes égales et toutes indépendantes les unes par rapport aux autres.

Avec tout cela, les catholiques officiels de Chine « espèrent sincèrement » selon leur porte-parole que « les relations entre la Chine et le Vatican continuent de s’améliorer ».

Faut-il le rappeler ? Le communisme, athée et anticatholique par nature – et Dieu sait s’il continue de l’être en Chine – a été jugé « intrinsèquement pervers » par Pie XI. Serait-ce un enseignement révolu ? Le communisme chinois, qui se veut de plus en plus marxiste, de plus en plus proche de Mao, de plus en plus attaché au culte de la personnalité de Xi Jinping, œuvrant de plus en plus pour la « sinisation » accueillie sans critique par l’Église patriotique, accentue aujourd’hui sa pression persécutrice sur les minorités religieuses et en particulier à l’encontre de l’Église clandestine.

L’accord de Rome avec le Parti communiste chinois passe sous silence persécution et génocide

Faut-il le rappeler ? Par une toute récente loi, il est interdit aux mineurs de fréquenter les églises, fussent-elles officielles, et les parents contrevenants à cette règle risquent gros.

Faut-il le rappeler ? Ce pouvoir communiste avec lequel Rome compose porte la responsabilité d’innombrables stérilisations et avortements forcés pour mettre en œuvre sa politique de contrôle de la population aussi contraignante que cruelle, et toujours d’actualité, même si des ajustements sont apportés au nombre d’enfants toléré.

S’il s’agissait vraiment de protéger les catholiques en Chine, et plus encore leur foi, s’il fallait pour cela faire semblant de croire qu’un pouvoir communiste est tenu par sa propre parole, ces réalités sont suffisantes pour rendre la conclusion d’un accord provisoire incompréhensible, et même scandaleuse.

Source : reinformation.tv/eglise-associat…

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Le Vatican cède à la Chine la nomination des évêques,
le cardinal Zen dénonce une « reddition sans conditions »


par Matthieu Lenoir, Réinformation.TV, le 25 septembre 2018

Le Vatican annonce un « accord provisoire » avec le régime communiste chinois, censé mettre un terme au schisme entre l’Église catholique des catacombes fidèle à Rome et l’Église « patriotique » soumise au parti. Cet accord implique que le Vatican reconnaisse la validité de la nomination des évêques déjà nommés par Pékin et remette de fait à la Chine le contrôle de la nomination des évêques de la future Église réunifiée. En contrepartie, il assure au pape la reconnaissance symbolique par les communistes du statut de chef des catholiques chinois. Élément d’un « accord général » piloté par le secrétaire d’État Mgr Pietro Parolin, le pape François a décidé « de réadmettre en pleine communion ecclésiale les évêques “officiels” ordonnés sans mandat pontifical », a fait savoir le Vatican. Dès l’annonce, le cardinal Joseph Zen, 86 ans, ancien archevêque de Hong Kong, a publié une déclaration stigmatisant « une reddition sans conditions ».

Joseph Zen : « Une reddition sans conditions qui précipite le troupeau dans la gueule du loup »

Le cardinal Joseph Zen avait auparavant déjà mis en garde contre cette « reddition sans conditions » qui « précipiterait le troupeau dans la gueule du loup ». Il mettait gravement en cause le Secrétaire d’État du pape François, le cardinal Pietro Parolin. Ce dernier a répondu qu’il « ne fallait pas être radical dans sa condamnation et son rejet ». Le Vatican proposait à l’origine que la Chine accepte les termes de l’accord qu’il avait conclu sur la nomination des évêques avec le gouvernement communiste du Vietnam. Cet accord stipule que l’Église et Hanoï collaborent pour établir une liste de candidats sur laquelle le Vatican choisit un nom que Hanoï doit ensuite ratifier. Ce modèle préservait clairement l’autorité pontificale tout en ménageant celle du régime. Pékin l’a trouvé insuffisant.

Pékin proposera un nom. Reviendra au pape à approuver ou rejeter l’homme sélectionné par le régime. Si le Vatican oppose un veto, Pékin en proposera un autre, mais le droit de veto du pape sera limité. « Nous devons pouvoir nommer un évêque non approuvé par le pape après un certain nombre de propositions », explique un cadre chinois. En d’autres termes, le pape pourra bloquer une ou deux propositions, mais Pékin limitera le nombre de vetos. L’accord impose aussi au Vatican un délai pour répondre. Toutes ces conditions signifient que ce seront les autorités communistes, et non le pape, qui décideront.

Le pape François a réadmis neuf évêques nommés par le régime

Il y a pire encore. Le Vatican a fait savoir que le pape François avait réadmis dans la pleine communion ecclésiale neuf évêques gouvernementaux dans l’espoir « qu’avec ces décisions, puisse s’engager un processus qui permettra de dépasser les blessures du passé, menant à une pleine unité tous les catholiques chinois ». onepeterfive.com/vatican-to-allo…, relève qu’au moins sept d’entre eux avaient été rejetés par le Vatican pour diverses raisons ayant trait à leur moralité personnelle, à leurs actions publiques ou aux deux. Pour couronner le tout, l’administration de François a promis que le pape lèverait l’excommunication de ces « évêques » illicites avant même que le nouvel accord ne soit signé.

Par ailleurs, le pape ordonnera à deux évêques de l’Église des catacombes qui ont servi fidèlement malgré les persécutions, de transmettre leur charge à des évêques nommés par les communistes. Zhuang Jianjian, évêque de Shantou dans la province du Guandong, vient ainsi de recevoir l’ordre de prendre sa retraite, causant une très vive émotion dans l’Église fidèle à Rome. Le destin de la quarantaine d’autres évêques des catacombes reste inconnu, même si le Global Times, journal du régime, annonce que les autorités communistes pourraient en reconnaître un, Wei Jingyi, évêque de Qiqihar.

Pour Steven W. Mosher, « l’idée de la loyauté des dirigeants chinois paraît singulièrement naïve si l’on considère les nombreux accords que la Chine a jusqu’ici signés – toujours en les violant ». Cet irénisme paraît d’autant plus coupable que le régime communiste a lancé une politique de répression massive de toutes les religions. Une nouvelle salve de lois restreignant les activités religieuses a été promulguée le 1er février.

L’accord Vatican-Chine, dont les détails restent secrets, non-contraignant pour la Chine

On ne pourra enfin que déplorer que l’accord Vatican-Chine annoncé semble délibérément conçu pour ne pas être contraignant (pour la partie chinoise), les détails de ses termes restant secrets pour le monde en général et pour les catholiques chinois en particulier. Comment oser parler d’accord « équilibré » si les détails ne sont connus que d’une poignée de dignitaires romains ? Nonobstant, ce haut gradé de la Curie persistait à énoncer : « Puisque nous allons signer avec Xi Jinping en personne, pourquoi ne l’appliqueraient-ils pas ? » Parce qu’ils n’ont pas appliqué le traité de non-prolifération nucléaire, l’accord sino-britannique sur Hong Kong ou les conventions de l’OMC ! Au demeurant, le président chinois Xi Jinping, héraut autoproclamé de l’abaissement des frontières (celles des autres), a clairement déclaré qu’il ne tolèrerait pas « d’interférence étrangère dans les affaires internes de la Chine ».

L’État-parti chinois prendra prétexte du nouvel accord pour exiger que chacun des 12 millions de catholiques chinois prie dans les églises du régime. Il se servira de l’autorité qui lui aura été déléguée par le pape François pour continuer à persécuter et fermer celles menées par des évêques loyaux à Rome. L’affirmation du Vatican selon laquelle « l’espoir partagé est que l’accord favorise un processus fructueux (…) pour le bien commun du peuple chinois » relève d’un sabir iréniste dont François est coutumier.

Pour le cardinal Zen, les conséquences de l’accord seront « tragiques »

Pour le cardinal Zen, « Les conséquences de cet accord seront tragiques et durables, non seulement pour l’Église en Chine mais aussi pour l’ensemble de l’Église car il affaiblira sa crédibilité ». Joseph Zen estime qu’une moitié de l’Église des catacombes est susceptible d’accepter l’accord, mais il a exprimé son inquiétude de voir nombre de catholiques de l’Église des catacombes rejeter le traité et « commettre des actes irrationnels, jusqu’à la rébellion ». Ouvrant la voie à une répression violente de la part du régime totalitaire. Joseph Zen a mis en cause les convictions profondes du principal artisan de l’accord, le cardinal Pietro Parolin : « Je ne crois pas qu’il ait la foi. C’est juste un bon diplomate, dans le sens le plus séculier et le plus mondain. » Parolin a été nommé par François en 2013.

Source : reinformation.tv/vatican-chine-n…

>>> "DIVINI REDEMPTORIS"
encyclique du 19 mars 1937 contre le communisme athée

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Album ACTU

>>> BERGOGLIO = 666 !!! Troublant, non ?
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : si François l'est, concluez.
ne nous laissez pas succomber
Merci François les communiste d'abord et pour Dieu on verra ,cela est très Catholique ?pour un "pape "comme cela je ne vais pas le suivre .
Montfort.
- Plus qu'un maçon, quoi !
Est-il ainsi, François ?
- Jusqu'à preuve du contraire,
Foi d'un vrai conciliaire,
Il le paraît de plus en plus
Jusqu'à ce qu'il fasse trois plus,
Car il aime bien les trois :
As-tu au moins remarqué ça ?
Montfort AJPM
- Là, tu y vas un peu fort !
Ne sommes-nous pas dans son fort ?
- Ce que tu dis est exact !
Mais il est encore plus exact
Que c'est de chez nous qu'il viendra,
L'Antéchrist, le scélérat,
Tu sais l'Humunculus
Qui est un maçon-plus.
GChevalier
Convient-il de te perdre en sauvant les autres ?
Parfaitement, répond Antéchrist : il faut savoir se salir les mains et faire l'expérience de la gadoue ! Il faut se noyer avec le noyé et en noyant tout le monde !