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Enfin, la réponse tant attendue de Rome à la Contre-Réforme Catholique ! Un texte fort, clair et implacable ! Un texte fortement charpenté et argumenté !Plus
Enfin, la réponse tant attendue de Rome à la Contre-Réforme Catholique !
Un texte fort, clair et implacable ! Un texte fortement charpenté et argumenté !
Roy-XXIII
Catholique et Français 😇 ✍️
« Votre argumentaire perfide, destiné à noyer le poisson (vous tenez cette méthode de votre mentor ?), n'a aucune valeur et vous le savez parfaitement, monsieur ! Il suffit d'interroger nombre d'évêques de France dont beaucoup refusent de se déshonorer comme vous le faites; il suffit également d'aller sur le site de la CRC pour prendre connaissance des documents …Plus
Catholique et Français 😇 ✍️
« Votre argumentaire perfide, destiné à noyer le poisson (vous tenez cette méthode de votre mentor ?), n'a aucune valeur et vous le savez parfaitement, monsieur ! Il suffit d'interroger nombre d'évêques de France dont beaucoup refusent de se déshonorer comme vous le faites; il suffit également d'aller sur le site de la CRC pour prendre connaissance des documents et lire les réponses qui peuvent être faites à vos assertions et que les gens droits et honnêtes pourront comprendre. Je maintiens donc ce que j'ai précédemment écrit : vous êtes un perfide, un manipulateur et, comme tout un chacun peut le constater, un menteur invétéré ("sédévacantiste", "avis sur le voyage sur la lune", "haine féroce", "Tribunal de Dieu", "situation canonique de l'abbé de Nantes" etc... etc...) : Maintenant j'ai assez perdu de temps avec vous; je vous laisse définitivement dans votre vomi, avec votre conscience et avec le mentor dont vous vous dites, à juste titre, un "aficionado". Vous êtes répugnant ! »
Catholique et Français
Merci, cher ami, votre honnêteté, votre amitié et votre gentillesse (comme Perceval) font bien chaud au coeur, surtout quand on sait que nous ne sommes pas tout à fait du même bord ! Vous avez très bien fait d'attirer l'attention sur ce dernier et tout récent document de monseigneur Pontier qui constitue, si besoin était, une preuve superfétatoire, de l'inanité des assertions de cet ignoble …Plus
Merci, cher ami, votre honnêteté, votre amitié et votre gentillesse (comme Perceval) font bien chaud au coeur, surtout quand on sait que nous ne sommes pas tout à fait du même bord ! Vous avez très bien fait d'attirer l'attention sur ce dernier et tout récent document de monseigneur Pontier qui constitue, si besoin était, une preuve superfétatoire, de l'inanité des assertions de cet ignoble "aficionado". Je vous embrasse !
Catholique et Français
La stupéfiante proclamation du Culte de l’Homme : "...Le ressort intime de l’enseignement de Paul VI fut un amour immodéré, étrange de tout homme, quel qu’il soit, un amour qui adore son objet, qui s’affranchit de la Vérité, de la Loi : « Amour, amour pour tous les hommes d’aujourd’hui, quels qu’ils soient, où qu’ils soient, amour pour tous. » (Discours du 14 septembre 1965)
Cet amour …Plus
La stupéfiante proclamation du Culte de l’Homme : "...Le ressort intime de l’enseignement de Paul VI fut un amour immodéré, étrange de tout homme, quel qu’il soit, un amour qui adore son objet, qui s’affranchit de la Vérité, de la Loi : « Amour, amour pour tous les hommes d’aujourd’hui, quels qu’ils soient, où qu’ils soient, amour pour tous. » (Discours du 14 septembre 1965)

Cet amour inconditionné parce qu’il n’est plus ni dépendant de l’Amour de Dieu ni réglé par Lui, mène à l’idéalisation, à l’idolâtrie de son objet et conduit le Pape à une "foi" en l’homme la plus extravagante : « Nous avons confiance en l’Homme, nous croyons en ce fond de bonté qui est en chaque cœur, nous connaissons les motifs de justice, de vérité, de renouveau, de progrès, de fraternité qui sont à l’origine de tant de belles initiatives et jusque tant de contestations et, malheureusement, parfois de violences. À vous, non pas de le flatter, mais de lui faire prendre conscience de ce qu’il vaut, de ce qu’il peut ! » (Déclaration du 2 décembre 1970 à Sidney)

Cette "Foi en l’Homme" n’est autre que le Culte de l’Homme que le Saint-Père osa proclamer ouvertement devant toute l’assemblée conciliaire, le 7 décembre 1965, au cours d’un discours « dont il est certain qu’il n’y en n’a jamais eu de tel dans les annales de l’Église et qu’il n’y en aura jamais :

« L’Église du Concile, il est vrai, s’est beaucoup occupé de l’Homme, de l’Homme tel qu’en réalité il se présente à notre époque, l’Homme vivant, l’Homme tout entier occupé de soi, l’Homme qui se fait non seulement le centre de tout ce qui l’intéresse, mais qui ose se prétendre le principe et la raison dernière de toute réalité ! L’humanisme laïque et profane enfin est apparu dans sa terrible stature et a, en un sens, défié le Concile. La Religion du Dieu qui s’est fait homme s’est rencontrée avec la Religion (car c’en est une) de l’Homme qui se fait Dieu.

« Qu’est-il arrivé ? Un choc, une lutte, un anathème ? Cela pouvait arriver ; mais cela n’a pas eu lieu. La vieille histoire du Samaritain a été le modèle de la spiritualité du Concile. Une sympathie sans bornes l’a envahi tout entier. La découverte des besoins humains – et ils sont d’autant plus grands que le Fils de la terre (sic !) se fait plus grand – a absorbé l’attention de ce synode.

« Reconnaissez-lui au moins ce mérite, vous, humanistes modernes, qui renoncez à la transcendance des choses suprêmes, et sachez reconnaître notre nouvel humanisme : Nous aussi, Nous plus que quiconque, Nous avons le Culte de l’Homme. »

« On mesure ici le glissement forcé de votre hétéropraxie à l’hétérodoxie pleine et entière, commente notre Père, je ne dis même plus de l’hérésie, mais de l’apostasie. Dans votre bonté apostolique ! à l’encontre des conseils de prudence et des enseignements infaillibles de tous vos prédécesseurs, vous voulez être le Samaritain évangélique, affectueusement penché sur tout homme, son frère… Et voilà que ce sentiment d’amour immodéré vous conduit à vous réconcilier avec le Goliath du monde moderne, à vous agenouiller devant l’Ennemi de Dieu qui vous défie et vous hait ! Au lieu de prendre courage et de lutter, comme David, contre l’Adversaire, vous vous déclarez plein d’amour pour lui, vous l’adulez et vous allez bientôt vous ranger à son service exclusif ! Votre charité se fait culte et service de l’Ennemi de Dieu, et pour le flatter, vous allez jusqu’à rivaliser avec lui dans son erreur, dans son blasphème même ! »

Paul VI n’avait pas besoin de lire ce livre. Il connaissait les accusations portées contre lui par l’abbé de Nantes grâce au procès de 1968 au cours duquel les juges ne purent établir contre son accusateur aucune erreur doctrinale. Pour ne pas avoir à se rétracter et au mépris des devoirs de sa charge, il fit obstacle à l’examen de cette plainte. Plusieurs rangs serrés d’agents en civil et de carabiniers en arme de la police italienne rangés devant la Porte de bronze pour en empêcher le dépôt furent sa seule réponse à ce livre d’accusation qui à lui seul invalide la canonisation de celui qui profane nos autels depuis le 14 octobre 2018.

Et c’est sans doute pour éviter l’instruction d’un procès contradictoire de la cause de Jean-Paul II que Benoît XVI a précipité la procédure pour le canoniser, le 27 avril 2014, sans répondre aux nombreuses critiques formulées par l’abbé Georges de Nantes, notre Père fondateur, sous forme de « plainte pour hérésie, schisme et scandale à l’encontre de notre frère dans la foi Karol Wojtyla »..."
Catholique et Français
Ni schisme, ni hérésie ! : "...« Je crois avoir donné toutes mes forces à lutter contre l’hérésie jusqu’au 16 juillet 1969. À partir du 21 juillet 1969, c’est dans la lutte contre le schisme que nous nous sommes graduellement engagés. »
Ce jour-là l’abbé de Nantes reçut la visite de plusieurs prêtres intégristes qui voulurent l’entraîner à faire schisme. Ils jugeaient, de leur seule autorité …Plus
Ni schisme, ni hérésie ! : "...« Je crois avoir donné toutes mes forces à lutter contre l’hérésie jusqu’au 16 juillet 1969. À partir du 21 juillet 1969, c’est dans la lutte contre le schisme que nous nous sommes graduellement engagés. »

Ce jour-là l’abbé de Nantes reçut la visite de plusieurs prêtres intégristes qui voulurent l’entraîner à faire schisme. Ils jugeaient, de leur seule autorité, que le nouvel Ordo Missæ qui devait entrer en vigueur le 30 novembre 1969 était hérétique et rendait invalide la célébration du Saint-Sacrifice de la messe, le pape Paul VI étant déposé par le seul fait de l’avoir promulgué. Notre Père tenta, en vain, de leur montrer qu’en admettant même que le Pape ait été déchu du fait de la promulgation d’une messe hérétique et invalide, encore fallait-il que toute l’Église constate et reconnaisse cette “ déposition ” par un jugement de l’autorité romaine. « Vous pouvez argumenter, démontrer, polémiquer, en formulant une accusation d’hérésie contre Paul VI. Mais tant que le Magistère de l’Église n’aura pas rendu une sentence dogmatique, votre pensée ne sera que l’opinion d’un théologien qui peut se tromper. Donc, il faut obtenir un jugement. » Ces prêtres ne voulant se rendre à ces raisons impérieuses, catholiques et romaines, notre Père les mit littéralement à la porte ne voulant entretenir de relations avec des clercs ouvertement schismatiques mais il comprenait que la Maison de Dieu était désormais menacée par un nouveau péril dont la réforme du rite de la messe était l’occasion.

N’étant d’aucun parti pris, notre Père mit aussitôt ses analyses théologiques à l’épreuve de la pratique des Églises locales et de celle de Rome pour faire ce constat : partout, que ce soit à Rome, à Madrid, en Allemagne, en Suisse, au Portugal et même en Australie, le rite nouveau imposé par la volonté du Pape était accepté par tous, quoique sans enchantement. Il était donc impossible d’affirmer que cette Messe est invalide puisque toute l’Église catholique partout dans le monde acceptait de la célébrer quotidiennement. « Toute l’Église n’aurait pu accepter, même par obéissance au Pape, un simulacre de Sacrifice… L’argument est catégorique : si aujourd’hui, partout dans le monde, l’ensemble du clergé catholique célébrait un culte invalide, ne donnant aux fidèles à adorer et consommer que du pain et du vin en lieu et place du Corps et du Sang adorables de Notre-Seigneur Jésus-Christ, et si toute la communauté catholique participait à ce simulacre en se trompant dans sa foi, alors les promesses du Christ à son Église auraient été vaines, l’enfer aurait prévalu et il n’existerait plus d’Église de Dieu. » (CRC n° 30, suppl., Pâques 1970, p. 3)

Le nouveau rite de la messe étant valide quoique mauvais, l’abbé de Nantes, par une sagesse toute surnaturelle, adjurait ses amis et ses lecteurs de le tolérer et surtout de ne pas se fixer comme programme celui « d’imposer par la force notre opinion, notre liturgie, nos traditions à nos pères et nos frères dans la foi. Mais sûrs d’être fidèles aux véritables institutions et aux volontés du Christ, nous avons la généreuse ambition de nous y tenir, de les défendre, de les donner à aimer à tous, en attendant que Dieu lui-même y ramène les cœurs de nos Pasteurs égarés. » (ibid., p. 4) Et cela ne peut se faire qu’en demeurant dans nos paroisses, pour garder le contact vivant, sacramentel, irremplaçable avec l’Église.

Dans cette période de désorientation conciliaire, désespérer de l’Église, se faire à soi seul une chapelle, une secte ou même un schisme fut la grande tentation pour bon nombre de catholiques traditionalistes, à laquelle finalement beaucoup succombèrent. Ce faisant, ils désertaient le seul combat utile pour le service de l’Église, le combat contre la Réforme. Mais il faut, pour le mener, rester dans l’Église en étant bien persuadé que « nous ne sommes pas les sauveurs de l’Église. C’est elle qui est encore et toujours notre salut. Je ne le vois pas, mais je le crois de foi certaine : le salut de l’Église est aujourd’hui, comme hier et toujours, dans ses Pasteurs. Même passagèrement enfoncés dans l’erreur et le sectarisme de leur “ Réforme ”, la grâce subsiste en eux, indéfectible, inapparente mais prête à rejaillir au jour de Dieu pour le salut de tous. Le trouble peut être grand, le dommage pour les âmes mortel : Dieu ne veut nous gouverner que par la hiérarchie […]. L’Église n’est pas en nous, elle subsiste en ceux mêmes que nous voyons occupés à sa ruine et que nous croyons cependant, en vertu de leur juridiction apostolique, porteurs de la grâce du Christ. » (CRC n° 25, octobre 1969, p. 12)

C’est pourquoi l’abbé de Nantes décida, lors du printemps 1970, de fonder une Ligue au service de “ L’église, l’église seule ” (éditorial de la CRC n° 30, mars 1970) pour retenir les fidèles tentés de “ quitter le navire ” et les maintenir dans la voie étroite mais sûre de la fidélité catholique. « Je n’ai pas de mérite à vous montrer ce chemin. Il m’est tracé par l’article 28 de la Règle sous laquelle nous vivons ici et qui est plus ancienne que nos problèmes : “ Les petits frères du Sacré-Cœur s’aimeront tous comme les membres d’une même famille, l’Église. Ils ne compareront ni n’opposeront jamais leur Ordre à quelque communauté que ce soit. Une seule existe pour leur cœur, celle qui les contient toutes, l’Église catholique ” […]. Nous récusons “ l’esprit de corps ” intégriste comme nous souffrons mort et passion de “ l’esprit de corps ” réformiste qui soude et syndique contre nous toute la chaîne hiérarchique des oppresseurs de l’Église […]. Odieux esprit que cet esprit de secte ! Le seul esprit de corps qu’inspire la Sagesse surnaturelle est celui qui nous configure à l’Esprit-Saint dans son amour unique pour son Corps qui est l’Église : l’Esprit de corps mystique, le seul qui soit saint. » (CRC n° 31, avril 1970, p. 1-2)

Peu de traditionalistes, hélas, surent tirer profit de ces salutaires leçons, pourtant d’une vérité rayonnante dans la fidélité aimante, indéfectible, à la communion catholique qu’il fallait, qu’il faut encore aujourd’hui maintenir coûte que coûte. Un grand nombre d’entre eux, exaspérés par l’anarchie postconciliaire, préférèrent tourner leurs regards vers Mgr Marcel Lefebvre lequel développait un séminaire à Écône ouvert avec la permission provisoire de Rome, pour “ faire l’expérience de la Tradition ”, mais en s’abstenant de désigner les grands responsables de la Réforme à laquelle il était censé porter remède… à pas feutrés, c’est-à-dire le Pape et le Concile.

L’abbé de Nantes engagea publiquement Mgr Lefebvre à “ frapper à la tête ”, c’est-à-dire à accuser ouvertement le Pape d’hérésie, de schisme et de scandale. « Tant que vous épargnerez la Tête, vous ne maîtriserez pas les membres, tant que vous obéirez à la Tête, vous serez broyés par les griffes et les dents de ce masdu. » (CRC n° 89, février 1975, p. 2)

Mgr Lefebvre n’en fit rien et ce qui devait arriver arriva, comme l’abbé de Nantes le prévoyait. Il reçut de Rome l’ordre de fermer le séminaire d’Écône et malgré l’interdiction il ordonna le 29 juin 1976 quinze prêtres en attendant de consommer son schisme douze ans plus tard, par la consécration de quatre évêques sans mandat pontifical. « Voilà bien le gâchis ! » écrivait notre Père en juillet 1976 : « Avoir raison sur l’essentiel et se donner tort en se séparant de l’unique Église de Jésus-Christ. » (CRC n° 108, août 1976, p. 2) Et il avertissait ses amis et ses lecteurs qu’il était désormais « non seulement inutile mais coupable » de soutenir les fondations de Mgr Lefebvre.

Durant ces années, le cœur du Pape n’a pas changé et Dieu ne lui a pas ôté sa charge pour la confier à un autre qui en soit digne. Et notre Père de faire ce constat en janvier 1973 d’une véritable autodémolition de l’Église : « Les catéchismes corrompent partout les âmes pures des enfants et corrodent la foi des prêtres eux-mêmes. Le Saint-Sacrifice de la messe est l’objet de sacrilèges innombrables auxquels portent toutes les directives romaines. C’en est au point que la Présence réelle du Corps et du Sang du Christ dans ce sacrement est méprisée. L’obsession sexuelle qui dévore le clergé et les religieux envahit leurs collèges et abandonne la société chrétienne aux aberrations les plus redoutables pour l’avenir de la religion et de la civilisation. La politique a envahi le sanctuaire, séditieuse contre les derniers États catholiques, socialisante chez nous, servile vis-à-vis du Pouvoir dans les pays de l’Est. La célébration de la Paix à l’instar d’une divinité, est une trahison du monde libre sous la menace d’invasion qui pèse sur lui. » (CRC n° 64, janvier 1973, p. 1)

Et notre Père s’étonne de ce que d’autres remplis de sagesse et de science, de vertus et de sainteté, ne se soient pas levés avant lui. Il en conclut qu’il faut accepter maintenant de faire avec l’aide de Dieu ce que Dieu n’a pas voulu faire sans nous : « Il faut tenter l’ultime démarche qui est de notre ressort, de notre devoir. Il faut aller à Rome faire remontrance au Pape en personne de l’hérésie, du schisme, du scandale dont il est, lui, l’auteur premier et responsable. » (ibid.)..."
5 autres commentaires de Catholique et Français
Catholique et Français
"...La question est dramatique « parce que les bons catholiques […] sont pris en tenaille par deux tentations auxquelles ils doivent résister. Accepter tout, le désordre et la corruption du culte de la foi, des mœurs, tout cela commandé ou autorisé par une hiérarchie unanime dont le Pape est le Chef, ce à quoi ils sont fortement poussés et contraints… Ou refuser tout en bloc, parce que tout …Plus
"...La question est dramatique « parce que les bons catholiques […] sont pris en tenaille par deux tentations auxquelles ils doivent résister. Accepter tout, le désordre et la corruption du culte de la foi, des mœurs, tout cela commandé ou autorisé par une hiérarchie unanime dont le Pape est le Chef, ce à quoi ils sont fortement poussés et contraints… Ou refuser tout en bloc, parce que tout est vraiment trop bête, trop triste, impudique et malfaisant, mais en quittant une Église qui les provoque à la révolte et qui souhaite ouvertement leur départ. Ces deux solutions faciles, trop faciles, sont des péchés. On ne quitte pas l’Église de Jésus-Christ ! On ne se rallie pas à la Réforme moderniste et progressiste ! Alors la solution ? La solution est de refuser la réforme en restant dans l’Église. Mais il n’y a pas moyen de dissocier la Réforme actuelle, de l’Église qui l’impose sauf…"
Catholique et Français
"...À partir de l’année 1963, l’abbé de Nantes put à loisir suivre et commenter les travaux du Concile, juste au moment où celui-ci prenait ses orientations décisives. Notre Père s’était providentiellement préparé à un tel travail, ayant mené en 1951 une vaste campagne contre le livre du dominicain Yves Congar Vraie et fausse réforme dans l’église publié à la fin de l’année 1950 et qui …Plus
"...À partir de l’année 1963, l’abbé de Nantes put à loisir suivre et commenter les travaux du Concile, juste au moment où celui-ci prenait ses orientations décisives. Notre Père s’était providentiellement préparé à un tel travail, ayant mené en 1951 une vaste campagne contre le livre du dominicain Yves Congar Vraie et fausse réforme dans l’église publié à la fin de l’année 1950 et qui deviendra la charte du concile Vatican II. Mesurant son danger, notre Père jugea aussi de son devoir de le dénoncer à Rome le 3 juin 1951. À l’issue de son entretien qu’il eut alors avec le futur cardinal Ottaviani, du Saint-Office, Rome en interdit les rééditions et les traductions. Entre 1959 et 1963, l’abbé de Nantes publia sous le titre Le mystère de l’Église et l’Antichrist une étude théologique du progressisme qu’il voyait à l’œuvre dans l’Église de France..."
Catholique et Français
Mots terribles : "...Après avoir renoncé à exercer son autorité suprême et infaillible en matière dogmatique et morale, le Concile a revendiqué un pouvoir prophétique de Réforme évangélique dans l’Église, à l’égal du collège des Apôtres, comme s’il jouissait des mêmes privilèges dont celui-ci bénéficiait seul pour fonder l’Église. Il s’est dit pastoral, non pour se faire moindre que les …Plus
Mots terribles : "...Après avoir renoncé à exercer son autorité suprême et infaillible en matière dogmatique et morale, le Concile a revendiqué un pouvoir prophétique de Réforme évangélique dans l’Église, à l’égal du collège des Apôtres, comme s’il jouissait des mêmes privilèges dont celui-ci bénéficiait seul pour fonder l’Église. Il s’est dit pastoral, non pour se faire moindre que les conciles dogmatiques antérieurs, mais pour paraître plus qu’eux tous réunis. Les premiers mots de la constitution Dei verbummontrent sur quoi se fonde cette prétention : les Pères affirment être en contact direct, immédiat, inspiré, avec la Parole même de Dieu pour fonder librement une nouvelle Église.

Résultat : Les seize textes promulgués au cours des quatre sessions du concile Vatican II, tous faillibles puisque non infaillibles, ont droit à une considération différente selon leurs titres divers, leur forme canonique, leur “ note théologique ”. Ces seize textes sont discutables, les uns plus, les autres moins. Constitutions, décrets, déclarations : c’est un maquis. Nul ne sait ce que Vatican II veut dire. C’est tout et rien, du traditionnel, du nouveau, du certain et du douteux, du vrai et du faux, le meilleur avalisant le pire. Donner cela comme l’égal du Credo de Nicée, c’est décérébrer l’Église, c’est pourrir la foi en lui donnant un objet confus, inintelligible, fuyant l’analyse, refusant toute définition..."
Catholique et Français
"...Le pape Paul VI confirma cette orientation (non doctrinale et non infaillible) en faisant ajouter une notification à la Constitution dogmatique Lumen Gentium citant la Déclaration de la Commission doctrinale du 6 mars 1964 : «Compte-tenu de l’usage des conciles et du but pastoral du Concile actuel, celui-ci ne définit comme devant être tenus par l’Église que les seuls points concernant la …Plus
"...Le pape Paul VI confirma cette orientation (non doctrinale et non infaillible) en faisant ajouter une notification à la Constitution dogmatique Lumen Gentium citant la Déclaration de la Commission doctrinale du 6 mars 1964 : «Compte-tenu de l’usage des conciles et du but pastoral du Concile actuel, celui-ci ne définit comme devant être tenus par l’Église que les seuls points concernant la Foi et les mœurs qu’il aura clairement déclaré tels.» Et le 12 janvier 1966, donc un mois après sa clôture, le même Paul VI confirmait : «Étant donné le caractère pastoral du Concile, celui-ci a évité de proclamer de manière extraordinaire des dogmes affectés de la note d’infaillibilité.»..."
Catholique et Français
La critique du prétendu "Droit à la Liberté Religieuse" proclamé par Vatican II : "...Nous (CRC) professons que le grand combat apocalyptique dont la Révélation nous entretient sans cesse est celui des hommes révoltés contre Dieu, à l’instar de Satan, leur Prince, dont le cri de guerre est : Non serviam, je ne servirai pas ! Cette révolte est la revendication d’autonomie de la créature avide …Plus
La critique du prétendu "Droit à la Liberté Religieuse" proclamé par Vatican II : "...Nous (CRC) professons que le grand combat apocalyptique dont la Révélation nous entretient sans cesse est celui des hommes révoltés contre Dieu, à l’instar de Satan, leur Prince, dont le cri de guerre est : Non serviam, je ne servirai pas ! Cette révolte est la revendication d’autonomie de la créature avide de se diviniser, de s’égaler à Dieu en se prétendant libre… Eritis sicut dii, vous serez comme des dieux. À mesure que Dieu entrera dans la société des hommes pour leur salut, cette révolte se fera plus agressive.

Dans notre monde moderne, toute la tradition de l’Humanisme athée et de la Révolution – “ satanique dans son essence ” – est un refus de la souveraineté du Dieu fait homme par l’homme qui veut se faire lui-même dieu. La charte de cette révolte, c’est la Déclaration des droits de l’homme dont la teneur est plus métaphysique que politique, et politique pour atteindre au religieux et substituer le culte de l’Homme au culte de Dieu. Il est donc normal que le principal adversaire de la Révolution, plus que les familles et que les trônes, soit l’Église qui est l’œuvre de Dieu et du Christ au milieu des hommes. Ce n’est pas dire que l’Église ait nié la liberté humaine par contradiction absolue d’une Révolution qui la proclamait souveraine et qui la réclamait contre Dieu.

L’Église a toujours reconnu aux personnes le droit et le devoir de suivre leur conscience, même si correctement informée elle est erronée. L’Église sait que « Dieu a remis l’homme à son conseil » (Si 15, 14). Tous, pour agir en homme, doivent écouter leur conscience et suivre ses commandements. C’est sur cette obéissance intérieure qu’ils seront jugés et par Dieu seul. Et puisque la religion, la morale sont des œuvres spirituelles dont la décision relève de la conscience, nul ne pourra être contraint à croire ou adopter une règle morale par force, car ce que Dieu veut c’est l’adhésion du cœur. Toutefois, l’Église ne donne jamais raison à une conscience qui déraisonne.

Le devoir de suivre sa conscience, s’il s’impose à chaque individu, ne saurait créer un droit social car dès qu’il est question de vie en société, ce n’est plus la sincérité du sujet qui emporte la liberté mais c’est la vérité de l’action. En tout domaine de la vie sociale, c’est Dieu qui est le Souverain Législateur et nul ne peut revendiquer quelque autorité ou quelque droit s’il ne les tient de Dieu même, en accomplissant sa Volonté. L’Église et l’État, agissant selon Dieu, au nom de Dieu et pour Dieu, ne peuvent reconnaître aucun droit à l’homme qui se trompe, sincèrement ou non peu importe, car ce serait retirer à Dieu de son empire et souverain domaine pour l’abandonner à son Adversaire et abolir toute justice objective. Toutefois, une certaine “ tolérance ” que l’Église a toujours admise peut être laissée à qui se trompe, dans la pratique de son erreur, pour le bien de la paix.

En conséquence de quoi, la liberté sociale, politique aussi bien que religieuse, proclamée comme un droit de l’homme est, en tout état de cause, un crime contre Dieu et un délire, selon ce qu’ont toujours déclaré les Papes, en particulier le bienheureux Pie IX en 1864 dans l’encyclique Quanta cura. Car c’est tout à la fois la rupture de la sujétion de l’homme à Dieu et la rupture de l’ordre social, atomisé par cette anarchie d’une poussière de libertés individuelles, et bientôt solidifié en un totalitarisme de Léviathan où la liberté du plus fort range la multitude à l’esclavage. L’Église a par ailleurs lutté contre ses propres membres qui ont prétendu concilier la revendication des droits de l’homme avec les droits de l’Église, comme d’un tout plus vaste avec sa partie la meilleure. Elle ne saurait, en effet, accepter cette conciliation sans renoncer à son essence même, à son unique dignité de religion seule vraie de l’Unique Dieu et Sauveur Jésus-Christ.

La déclaration conciliaire Dignitatis humanæ personæ adoptée à la suite de manœuvres odieuses a élevé comme principe l’erreur d’un droit strict et universel de l’homme et de toute communauté humaine à la liberté religieuse dans le domaine des activités civiles et sociales. « Que nul ne soit empêché, que nul ne soit forcé ». Les auteurs de cette Déclaration ne purent l’asseoir sur aucune doctrine ni la fonder sur l’Écriture sainte et encore moins sur la Tradition, étant parfaitement contraire à l’une et à l’autre.

Par cette Déclaration, l’Église renonce à sa vérité, à sa dignité, à son droit, pour reconnaître à l’homme, à tout homme et aux États la liberté qu’ils revendiquent. Elle espère ainsi coopérer à une « concorde » et une « paix » de toute « la famille humaine », qui se feront au-delà des divergences religieuses considérées comme accessoires. « La liberté religieuse demande, en outre, que les groupes religieux ne soient pas empêchés de manifester librement l’efficacité singulière de leur doctrine pour organiser la société et vivifier toute l’activité humaine. » (n° 4) Cette affirmation de la Déclaration ne signifie rien d’autre qu’une volonté de bâtir un monde fraternel sans le fonder sur le Christ, mais avec le concours de toutes les religions et idéologies humaines, fraternellement associées. Voilà l’idée majeure de cette Déclaration, l’idée mère d’une doctrine nouvelle que l’abbé de Nantes a intitulé : Mouvement d’Animation Spirituelle de la Démocratie Universelle (masdu).

Ainsi que l’a écrit le Père Congar : « On ne proclame pas impunément (sic !) des choses pareilles, la loyauté envers ce qu’on a ainsi soi-même proclamé entraîne bien des conséquences. » Et c’est ainsi qu’après avoir proclamé la liberté partout ailleurs dans le monde entier, la licence pénétrera aussi dans l’Église. L’anarchie vient. Comme l’intolérance l’accompagne toujours, le Pape et les évêques devenus de simples “ gardiens de l’ordre public ”, ne toléreront plus ceux qui “ créent la division ” en s’insurgeant contre la liberté, contre leur démission, contre leur Concile et toute sa ruine. Aujourd’hui dans l’Église, c’est la liberté… ou l’anathème !

Si on considère la contradiction de la déclaration conciliaire sur la liberté religieuse avec toute notre sainte doctrine catholique et les ravages qui ont résulté de cette nouveauté dans les familles, dans les écoles, dans les nations catholiques et dans l’Église, il faut aller chercher plutôt l’inspiration de ce complot contre Dieu et contre son Christ dans un Esprit Malin, Mauvais, infernal, celui-là même qui soutint la Contre-Église dans sa revendication obstinée des droits de l’homme et de l’État à la Liberté et qui enfin triompha au Concile.

La déclaration sur la liberté religieuse est ouvertement hérétique et constitue même un acte pratique d’apostasie en rupture inconciliable avec le Magistère ordinaire et extraordinaire de l’Église. Elle est le point focal de notre opposition au deuxième Concile du Vatican sur l’autorité duquel il faut maintenant se prononcer..."
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Chaque membre de la CRC est sommé par le Président de la Conférence des Evêques de France de répondre personnellement au très court "questionnaire agréé" par la Congrégation de la Doctrine de la Foi (ex Saint-Office).
Catholique et Français
"...Le concile Vatican II, comme les précédents conciles œcuméniques et en particulier le Symbole de Nicée, a-t-il énoncé un enseignement dogmatique sans lequel un fils de l’Église ne peut prétendre confesser la foi catholique ? Malgré des irrégularités flagrantes qui semblent notamment avoir entaché les procédures de vote et de promulgation des différents textes, l’abbé Georges de Nantes …Plus
"...Le concile Vatican II, comme les précédents conciles œcuméniques et en particulier le Symbole de Nicée, a-t-il énoncé un enseignement dogmatique sans lequel un fils de l’Église ne peut prétendre confesser la foi catholique ? Malgré des irrégularités flagrantes qui semblent notamment avoir entaché les procédures de vote et de promulgation des différents textes, l’abbé Georges de Nantes et nous à sa suite reconnaissons le concile Vatican II comme vrai et légitime concile œcuménique de la Sainte Église Romaine. Il en a toutes les marques canoniques et peut-être plus qu’aucun autre concile depuis le premier, celui de Jérusalem. Le rôle du Pape y fut considérable, lui conférant sa pleine autorité. Jamais les évêques n’ont été réunis si nombreux, et de presque toute la terre. Il s’est réuni et déroulé en dehors de toute ingérence séculière. Personne ne l’a contesté, il paraît avoir été reconnu de tous. Nous reconnaissons donc la pleine légitimité canonique du deuxième concile du Vatican, vingt et unième Concile œcuménique, le plus grand de tous les conciles.

Mais a-t-il pour autant énoncé un enseignement dogmatique ? Impossible de répondre à cette question sans donner les raisons qui président à la réponse à la deuxième question du formulaire..."
ne nous laissez pas succomber
@Catholique et Français , je comprend le pourquoi vous m'avez fermé votre porte et à vous lire j'en suis HEUREUX et je REMERCIE LE CHRIST QU'IL EN SOIS AINSI , je sais que rien ne luis échappe et d'une manière ou d'une autre il me met sur le BON CHEMIN en enlevant les cailloux comme vous ,Merci à @Roy-XXIII , c'est en le lisant que je fut étonner , les chemins du seigneur sont parfois sinueux .
Catholique et Français
De quoi parlez-vous, ne nous laissez pas succomber ? : bien que je ne sois pas souvent d'accord avec vous, je ne vous ai jamais "fermé ma porte", jamais !
ne nous laissez pas succomber
@Catholique et Français ,Je crois que si après l'affaire du jeune Vincent , que n'ais je pas ramassé , il me semble que vous m'avez dit que vous ne vouliez plus me parler , mais je ne savais pas que vous étiez pros Vatican II excusé mois .
Catholique et Français
Vous devez vous tromper de personne, ne nous laissez pas succomber, car je n'ai posté aucun commentaire sur l'affaire Vincent Lambert et je vous ai encore moins "fermé ma porte"; ma porte n'est fermée que pour les crapules, les vicieux, les menteurs (ceux qui ont les moyens intellectuels ou techniques de savoir) et plus généralement les gens de mauvaise foi comme le célèbre "la louange de mes …Plus
Vous devez vous tromper de personne, ne nous laissez pas succomber, car je n'ai posté aucun commentaire sur l'affaire Vincent Lambert et je vous ai encore moins "fermé ma porte"; ma porte n'est fermée que pour les crapules, les vicieux, les menteurs (ceux qui ont les moyens intellectuels ou techniques de savoir) et plus généralement les gens de mauvaise foi comme le célèbre "la louange de mes lèvres" ou, maintenant, ce "Thierry 73".
ne nous laissez pas succomber
@Catholique et Français , il ce peut alors veuillez m'excusé , mais ce que vous avez dit et que @Roy-XXIII , vous a rectifiez, me désole 1959 à détruit L'EGLISE du SEIGNEUR par les ruse du malin cela est certain et ceux qui les suivent et ce disent "Catholique devrait y réfléchir;Bien à vous Monsieur .