La téléologie de "l'instrumentalisation du corona"

Chers amis, la conclusion de cet essai étant une sorte de résumé, je pense qu’elle pourra en intéresser plus d’un parmi vous.

Les boucs émissaires: l’Eglise catholique, la famille et le sexe masculin, responsables de la « pandémie »

L’instrumentalisation du « corona » dévoile chaque jour un peu plus, en tout cas pour tout observateur avisé, son intention cachée. Même si cela est encore subtil et diffus, on sent bien que c’est dans « l’air ». Ce phénomène ne pourra aller que crescendo; il ne peut en être autrement. Et cette mission reste à terme de porter un coup fatal aux plans de Dieu concernant la reproduction de l’espèce humaine. Répétons-le car cela est la « substantifique moelle » des vraies finalités du Diktat-corona (en partie encore inconscientes car mues par le diable, qui reste, quand bien même à l’insu de tous, et même des instigateurs de la dramatisation de ce simple virus, le vrai chef d’orchestre). Il s’agit de dissocier la reproduction du genre humain de l’acte hétérosexuel. Il s’agit en semant la peur d’être contaminé par « l’autre » de générer, in fine, une méfiance réciproque entre les sexes, ce qui finira par développer la fécondation in vitro, chose qui comme dans un cercle vicieux, développera l’homosexualité.
C’est que priver les hommes et les femmes de relations sexuelles, c’est, in fine, les condamner à s’enfermer dans leur propre sexe. Le raisonnement sera le suivant : « Si je n’ai plus à passer par une relation sexuelle pour me reproduire, alors autant assurer la reproduction avec un être qui m’est semblable ; donc un être du même sexe que moi ». C’est pourquoi, il faut oser affirmer que la distanciation sociale (qui sème les graines de la peur de l’autre), en favorisant à terme la fécondation in vitro, favorisera, ipso facto et dans un premier temps, le développement de l’homosexualité, et à terme son universalisation.

Il s’agit aussi de détruire la promiscuité en famille, rendant ainsi «illégales» ces réunions d’amour qui sont les seuls vrais contrepoids à l’aridité et à la dureté de la vie. En Allemagne, mais aussi ailleurs, au mois de mars dernier, les réunions entre frères et sœurs, parents enfants (qui n’étaient pas déjà ensemble dans la même maison), étaient dans les faits très déconseillées, voire interdites.

Or les religions, au moins les monothéistes (et en particulier l’Église Catholique), s’opposeront toujours, à moins de se prostituer, à cet effacement du naturel et du réel que la culture de mort est en en train sous nos yeux d’instaurer parmi les peuples. La dictature planétaire en est bien consciente. C’est pourquoi elle se voit contrainte (et c’est ce qu’elle s’emploie à faire depuis des décennies, le coronavirus n’étant que la dernière trouvaille pour accélérer le processus), d’organiser en amont ce génocide culturel du fait religieux. Car ne l’oublions pas: le succès du génocide culturel est la condition «sine qua non» à la victoire de l’indifférenciation universelle et de la culture de mort.

Au fond, toutes les opérations permanentes de lavage de cerveaux par le truchement des médias, n’ont d’autres buts que de déculpabiliser la haine à l’endroit du croyant et des religions; il faut rendre la haine contre Dieu «acceptable», il faut que le mépris des religions (surtout du catholicisme) et de Dieu, devienne la principale valeur citoyenne. Cela n’est pas un hasard, si tandis que la vie reprend « provisoirement » son cours (certes «pour les vaccinés»), les prêtres, eux, sont tenus de jeter littéralement la sainte hostie (ce qu’il y a de plus sacré dans le catholicisme), dans les mains des fidèles pour éviter tout risque de contamination par contact direct, et les croyants « masqués » sont tenus pendant les messes à ne plus chanter, et à respecter des distances de sécurité qui frisent le ridicule (et surtout le blasphème). En outre ici et là, des voix commencent à dire haut et fort que les assemblées religieuses seraient les lieux les plus favorables à la transmission du virus (eh oui, donc des lieux de contamination plus dangereux que les métros, les bordels et les casinos…).

Un danger pointe aussi à l’horizon, c’est celui des fausses priorités, celui des faux combats. Attention, cette erreur serait fatale. Car si à court terme l’instrumentalisation de ce virus sert, en effet, à enrichir les industries pharmaceutiques, à faire le jeu des capitalistes déjà cités et à diminuer la population planétaire, son ultime finalité -et quand bien même en partie inconsciente car prenant sa source dans le grand mal luciférien qui en réalité est le vrai facteur de manipulation (on ne le répètera jamais assez) - est de créer parmi les peuples, les conditions psychologiques devant favoriser l’établissement définitif (si Dieu laissait faire) de la culture de mort sur terre. C’est-à-dire, la victoire de l’indifférenciation universelle entre les choses et des êtres (y compris, et surtout, entre le bien et le mal) qui passera par le génocide culturel des religions et l’éradication du « père », l’éradication du sexe masculin (voire à ce sujet mon essai « le complot inconscient » qui est au fond une bonne introduction à l’opération corona).

Cette ultime attaque satanique de fins des temps, ne vise rien d’autre que la remise en question des plans naturels de la reproduction de l’espèce voulus par Dieu. C’est une attaque contre la vie « tout court ». C’est pourquoi, la dictature planétaire est grotesquement « crispée » sur la « légalisation-déculpabilisation » absolue du meurtre légal des enfants-à-naître, du mariage homosexuel, de la théorie du genre, de la PMA « pour toutes », et c’est pourquoi elle attache tant d’importance à déculpabiliser la haine contre la famille, contre la Sainte Église Catholique et contre le mâle. Dieu dans sa création a « différencié » (aidant ainsi sa créature-créée à son image- à discerner entre le bien et le mal). Satan, lui, veut « indifférencier », c’est-à-dire, tout aplatir, tout égaliser, pour pouvoir, in fine, effacer la frontière entre le vrai et le faux ; il voudrait rendre le bien et le mal interchangeable. Tout est là.

Bien comprise dans son ultime finalité l’instrumentalisation du coronavirus n’est qu’un pas de plus - et fut-il un pas de géant - allant dans ce sens. Il n’est pas « une fin en soi ». Puisse ce court essai nous aider à identifier les vraies priorités ; car autrement nos combats, et quand bien même héroïques, n’auront pas plus d’efficacité qu’un coup d’épée dans l’eau ; mal orientés, ils pourraient même faire le jeu du système.
Jean-Pierre Aussant

Je rappelle que si j’ai pu commencer à écrire cet essai en février 2020, voici presque deux ans (à un moment où tout le monde croyait dans la pandémie), c'est que dès le début j'ai été en mesure d'identifier l'intentionnalité civilisationnelle de l'opération corona, à une continuation logique de ma théorie du complot inconscient. Cela bien sûr m'a beaucoup aidé.