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Port du masque : on fait le décompte des morts ?

par Henri Dubost. Une étude du Pr Beny Spira, microbiologiste de l’Université de Sao Paulo, étude intitulée : « Correlation Between Mask Compliance …
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Port du masque : on fait le décompte des morts ?
par Henri Dubost.
Une étude du Pr Beny Spira, microbiologiste de l’Université de Sao Paulo, étude intitulée : « Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe » et publiée le 19 avril dernier dans la revue Coreus, montre que, non seulement le port du masque n’a eu aucune incidence en termes de protection contre la propagation …Plus
Port du masque : on fait le décompte des morts ?
par Henri Dubost.

Une étude du Pr Beny Spira, microbiologiste de l’Université de Sao Paulo, étude intitulée : « Correlation Between Mask Compliance and COVID-19 Outcomes in Europe » et publiée le 19 avril dernier dans la revue Coreus, montre que, non seulement le port du masque n’a eu aucune incidence en termes de protection contre la propagation du virus Sars-Cov2 – responsable du Covid-19 – mais qu’il a induit des effets toxiques, voire létaux, dans l’ensemble de la population.
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L’étude a été effectuée sur la base de données provenant de 35 pays européens, englobant un total de 602 millions de personnes. Elle révèle que la proportion moyenne d’utilisation de masques au cours de la période étudiée (octobre 2020 à mars 2021) était de 60,9 % ± 19,9%.

Les gouvernements et les autorités sanitaires de ces 35 pays ont recommandé – voire imposé – le port du masque dans les espaces publics. Dans de nombreux pays, ces dispositions perdurent malgré le fait, note l’étude, que des essais contrôlés randomisés n’ont pas réussi à montrer que le port du masque présentait un quelconque avantage quant à la transmission du Covid-19.

En revanche, l’étude note une corrélation entre l’utilisation des masques et un certain nombre d’effets délétères : céphalées, dette chronique en oxygène, perte de connaissance, vieillissement accéléré du cerveau lié à un manque d’oxygénation, etc., jusqu’au décès par hypoxie.
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Cette étude corrobore un article publié en mai 2020 dans la revue Technocracy News & Trends, commenté en français sur le site medisite.fr :
medisite.fr/…-que-vous-courez-en-le-portant.5566446.806703.html
Son auteur, le Dr Russell Blaylock, neurochirurgien, notait déjà que l’utilisation prolongée d’un masque facial peut entraîner de sérieux effets secondaires, qui vont des maux de tête, à une résistance accrue des voies respiratoires, à l’accumulation de dioxyde de carbone, à l’hypoxie, jusqu’à une menace grave pour la vie du sujet.
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L’auteur s’est fondé sur 17 études portant sur l’utilisation d’un masque et d’un respirateur artificiel chez des patients atteints de la grippe : à l’époque, aucune étude significative n’avait été réalisée spécifiquement au sujet du Coronavirus. La conclusion du Dr Blaylock est sans appel : « Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation d’un masque/respirateur et la protection contre une infection grippale ». Conclusion qui s’applique verbatim au Covid-19.
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Le port prolongé du masque peut entraîner des maux de tête. Une étude portant sur 159 travailleurs de la santé, a révélé que 81% d’entre eux ont développé des céphalées en portant un masque facial. Le risque serait encore plus élevé lorsqu’il s’agit d’un masque N95 ou FFP2. Ce type de masque, qui filtre 95% des particules d’un diamètre médian > 0,3 micromètre (=micron) (alors que la taille du Coronavirus varie entre 0,06 micron et 0,14 micron, soit entre 2 et 5 fois moins…), altère en effet davantage la respiration qu’un masque souple.

Le port prolongé du masque induit également une résistance accrue des voies respiratoires, autrement dit, des difficultés à respirer.

Les masques faciaux, en particulier de type N95 ou FFP2, induisent une hypoxie, c’est-à-dire une réduction du niveau d’oxygène dans le sang. Une réduction qui se traduit entre autres par une somnolence, source d’accidents par défaut de vigilance dans les gestes de la vie quotidienne, voire par une perte de connaissance. Le masque N95, s’il est porté plusieurs heures durant, peut réduire jusqu’à 20% l’oxygénation du sang.

Une hypo-oxygénation qui se traduit par un vieillissement accéléré de l’organisme, notamment du cerveau, gros consommateur d’oxygène.
Autre conséquence du port du masque : une élévation du taux sanguin de dioxyde de carbone (CO2), également appelée hypercapnie. Se conjuguant à l’hypoxie, l’hypercapnie aggrave les risques de céphalées et d’évanouissements.

Une diminution du niveau d’oxygène de l’organisme induit également une altération de l’immunité. L’hypoxie inhibe en effet les lymphocytes T CD4 +, principales cellules immunitaires du corps humain – autrement dit les cellules qui luttent contre les infections virales. Un phénomène dont les conséquences peuvent s’avérer bien plus graves que le Covid-19.
source : Riposte Laïque
envoyé par Francis Goumain