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Réponse aux calomniateurs : rapports entre le Christ et saint Jean dans l'oeuvre de Maria Valtorta

L'oeuvre révélée à Maria Valtorta nous offre une opportunité unique, que rien ni personne n'aurait jamais pu nous donner en ce monde, si le Seigneur en personne n'en avait pris l'initiative : nous faire revoir l'Evangile, non plus simplement d'une manière liturgique, et donc forcément compendieuse comme le permettent saint Matthieu , saint Marc, saint Luc et saint Jean, mais comme si nous y étions, en découvrant au cœur de l'action le caractère de chaque personnage, en des scènes et des dialogues inédits, plein de sens et d'enseignements.

Ainsi, nous y découvrons en particulier le rapport exceptionnel, constitué du pur Amour Divin entre le Christ et saint Jean, rapport juste esquissé en deux phrases par l'apôtre lorsqu'il évoque dans son Évangile comment il était "celui que Jésus aimait", celui qui reposait la tête sur sa Poitrine, geste exprimant une rare intimité.

Bouflet n'est plus à présenter.
Il appartient à ce courant théologique moderniste très pernicieux donc Kasper est la tête de proue, niant le caractère surnaturel et réel des miracles dans l'Évangile, et prétendant que le Christ n'aurait pas fondé directement son Eglise sur les 7 sacrements, mais que celle-ci aurait émergée progressivement grâce aux découvertes humaines, en une progressive évolution, ce qui s'oppose au catéchisme de l'Eglise catholique.

Voilà pourquoi Bouflet s'attaque par n'importe quel moyen, allant jusqu'à utiliser le mensonge et la calomnie la plus odieuse, à cette révélation privée qui a l'immense mérite de remettre les pendules à l'heure, en pourfendant ce genre d'hérésie.

Tout doit servir à la discréditer auprès du grand public.

Voici une des plus viles calomnies que l'on puisse trouver dans son pamphlet, frère jumeau de celui de dom Guillaume Chevallier, et qui demande réparation, soit dans ce monde, soit dans l'autre.

Il s'agit d'une scène qui - dans l'oeuvre originale du moins ! - nous entraîne à respirer un instant la pureté la plus absolue, et à voir Jésus dont l'amour est véritablement comparable à celui d'une mère pour son petit enfant.

Sans plus tarder, nous allons découvrir ce que Bouflet fait de ce passage :


Lorsque Valtorta décrit l’apôtre « favori » Jean comme ayant le visage d’une jeune fille avec le «regard d’un amant»,

...ce qui est le cas pour un très grand nombre de jeunes hommes post adolescents, purs de coeur, innocents d'esprit, juste sortis du giron maternel.

nous ne pouvons guère éviter d’avoir l’impression qu’ils ont une relation homosexuelle.

Tout ramener au sexe. Voilà le secret de Bouflet. On va voir quelles astuces il va prendre pour arriver à ses fins abjectes.

Ici, Jésus embrasse Jean pour le réveiller :
«Jésus se penche et embrasse la joue de Jean, qui ouvre les yeux et est stupéfait de voir Jésus. Il se redresse et dit : «Avez-vous besoin de moi ? Ici, je suis…»


Par une subtile et perverse omission, Bouflet va chercher à nier toute l'innocence de la scène, que nous découvrirons ci-dessous, dans sa version non déformée.

Il continue :


«Jean, à moitié nu dans sa sous-tunique, parce qu’il a utilisé sa tunique et son manteau comme couvre-lit, enserre le cou de Jésus et pose sa tête entre l’épaule et la joue de Jésus».

Ici, une autre omission encore plus perverse et subtile du calomniateur, qui continue à tisser sa toile mensongère pour tenter de nous capturer dedans.

Qu'est donc devenu le dialogue qui explique tout, entre Jean et le Christ ? Il se garde bien de le rapporter.


«il sourit et pleure, haletant, enflammé par son amour,

On va voir plus loin que l'astuce imparable de Bouflet, c'est ici l'omission volontaire.

se détendant sur la poitrine de Jésus, comme s’il était épuisé par son ardeur. Et Jésus le caresse, brûlant d’amour lui-même.

Alors que dans l'oeuvre, il est question de Jean qui "s'abandonne sur la poitrine de Jésus" ( ce qui est justifié par le dialogue omis ), vous lisez comment Boufflet emploie à dessein un vocabulaire étranger à l'oeuvre, rappelant plutôt la sexualité ( la "détente" orgasmique ), afin de mieux pervertir la scène.

Ensuite :

«Jean supplie Jésus de ne pas dire aux autres ce qui s’est passé entre eux."

L'astuce de Bouflet fonctionne à merveille : on imagine tous le rapport charnel que cette supplication voudrait garder secrète ! Or le mensonge est là, dans toute sa laideur : Jean ne supplie pas le Christ de taire "CE QUI S'EST PASSÉ ENTRE EUX", mais bien "CE QUE JEAN LUI A CONFIÉ", ce qui est radicalement différent. Bouflet trafique le sens original de l'oeuvre.

Mais au fait ? Qu'est-ce que saint Jean a confié à son Maître, et Le supplie de garder secret ? Silence absolu à ce sujet.

Ici, il s'agit pour Bouflet de taire les propos de Jean s'adressant à Jésus, car ils expliquent parfaitement l'humble supplication qui suit , et montrent sans équivoque possible que rien de scandaleux, au grand jamais, ne s'est produit entre Jean et son Maître dans le récit original de Maria Valtorta. Bouflet voudrait ici le faire croire, mais dans le récit exhaustif, c'est évident il n'en est rien.


Jésus répond : «Ne vous inquiétez pas, Jean. Personne ne sera au courant de votre mariage avec l’amour. Habillez-vous, venez. Nous devons partir».

Les propos du Christ, par un jeu savant de sournoises omissions, sont transformés en un infâme sous-entendu, comme quoi saint Jean devrait se rhabiller après l'acte homosexuel commis en secret avec son Maître.

Ce montage digne de Satan son instigateur est une calomnie très grave, et demande encore une fois réparation, dans cette vie ou dans l'autre, comme tout acte profondément mauvais et pervers.

Quittons donc la calomnie sans aucun intérêt de Boufflet, pour lire le passage original de Maria Valtorta dans toute sa limpide innocence, sans aucune équivoque possible :


165. L'ELECTION DES DOUZES APÔTRES ( tome 3, chap 25 ou 165 nouv. ed. )

- Premier passage descriptif, magnifique mais non indispensable : on peut éventuellement le passer, pour aller directement au passage en caractère gras.

Il apporte pourtant une bienfaisante mise en situation pour ce qui suivra... Les disciples et le Christ ont dormi en pleine nature ( comme souvent ), dans des grottes, et au petit matin, la nature est en éveille, tout comme Jésus qui s'est éveillé avant tous les autres pour prier, et qui communie à l'innocence de Ses créatures -


36> 165.1 - L’aube blanchit les montagnes et semble adoucir cette pente sauvage où l’on n’entend que le bruit du petit torrentmaria-valtorta.org/Publication/TOME 03/03-025.htm qui bondit au fond, mugissement qui, répercuté par les monts truffés de cavernes, résonne bien particulièrement. À l’endroit où ont fait halte les disciples, on n’entend qu’un timide bruissement dans les frondaisons et les plantes : celui des premiers oiseaux qui s’éveillent, ou des derniers animaux qui regagnent leur tanière.

Une bande de
lièvres ou de lapins sauvages en train de ronger un mûrier bas s’enfuient, effrayés par la chute d’une pierre. Puis ils reviennent prudemment, en tendant l’oreille pour écouter le moindre bruit ; voyant que tout est paisible, ils retournent à leur buisson. La rosée humecte feuillages et pierres, et la forêt exhale une forte odeur de mousse, de menthe et de marjolaine.

Un
rouge-gorge descend jusqu’au rebord d’une caverne à laquelle une pierre en saillie sert de toit et, bien droit sur ses pattes soyeuses, prêt à s’enfuir, il bouge la tête, regarde à l’intérieur, regarde par terre, lance quelques tchiptchip interrogateurs et… gourmands à la vue de miettes de pain par terre. mais il ne se décide à descendre que lorsqu’il se voit devancé par un gros merle qui s’avance en sautillant de biais ; avec son air de gamin et son profil de vieux notaire à qui il ne manque que des lunettes pour faire vrai, il est amusant. Alors le rouge-gorge descend lui aussi et se met derrière ce hardi monsieur qui, de temps à autre, plonge son bec jaune dans la terre humide à la recherche… d’archéologie comestible, puis s’en va sur un tchop ou un bref sifflement tout à fait polisson. Le rouge-gorge se gave de miettes et semble ébahi de voir le merle, qui est entré avec assurance dans la caverne silencieuse, en ressortir avec une croûte de fromage, qu’il bat tant et plus sur une pierre pour la fragmenter et s’en faire un copieux repas. Puis il retourne à l’intérieur, jette un regard furtif et comme il ne trouve rien, il fait un beau sifflement moqueur et s’envole finir son chant sur la cime d’un rouvre dans l’azur du matin. À son tour, le rouge-gorge s’envole à cause d’un bruit qu’il entend venir de l’intérieur de la caverne… et il reste sur une petite branche qui pend au-dessus du vide.

Note :
Si le "ton et le style" de cette innocente et magnifique description "ne cadre pas avec la sainteté de l'Evangile", alors c'est que pour les censeurs de l'œuvre, la création est indigne de paraître là où paraît le Christ, et c'est purement et simplement nier l'Incarnation voulue par le Verbe, qui est venu dans notre monde parmi nous : c'est une pure hérésie.

La création a toute sa place dans l'Évangile, car c'est Jésus Lui-même qui en est l'Auteur, comme elle a également toute sa place dans les bas-reliefs de la sainte Chapelle à Paris.


165.2 - Jésus s’avance sur le seuil et émiette du pain en appelant doucement les oiseaux par un sifflement modulé qui imite bien le pépiement de plusieurs petits oiseaux. Puis il s’écarte, monte plus haut et s’immobilise contre une paroi rocheuse pour ne pas effrayer ses amis, qui descendent vivement : d’abord le rouge-gorge, puis beaucoup d’autres de différentes espèces.

37> J’aime à penser – et j’en ai fait l’expérience – que les animaux les plus méfiants n’hésitent pas à s’approcher de ceux que, d’instinct, ils reconnaissent, non pas comme des ennemis, mais comme des protecteurs. L’immobilité de Jésus ou même son regard font que bien vite les oiseaux sautillent à quelques centimètres de lui. Le rouge-gorge, maintenant rassasié, vole au-dessus du rocher où s’appuie Jésus, s’agrippe à un brin de clématite et se balance au-dessus de Jésus avec le désir de descendre sur sa tête blonde ou sur son épaule.

Le repas est fini. Le soleil dore le sommet des montagnes puis les plus hautes branches des fourrés, tandis que la vallée est encore plongée dans la pâle lueur de l’aube. Satisfaits et repus, les oiseaux s’envolent vers le soleil et chantent à plein gosier.


Entrons maintenant dans le vif du sujet :

165.3 - « Maintenant, allons réveiller mes autres enfants » dit Jésus.

Comme sa grotte est la plus élevée, il descend et, passant d’une grotte à l’autre, il appelle par leur nom les douze dormeurs.
Simon, Barthélemy,Philippe, Jacques, André répondent aussitôt. Matthieu, Pierre et Thomassont plus lents. Et alors que Jude vient à la rencontre de Jésus dès qu’il le voit sur le seuil, déjà prêt et bien éveillé, l'autre cousin, Judas et Jeandorment à poings fermésmaria-valtorta.org/Publication/TOME 03/03-025.htm, à tel point que Jésus doit les secouer sur leur lit de feuillage pour les réveiller.

Jean, appelé le dernier, dort si profondément qu’il ne reconnaît pas celui qui l’appelle. Dans les brumes de son sommeil à demi interrompu, il marmonne : «Oui, maman, j’arrive tout de suite…», puis il se retourne.


note :
Jean est le plus jeune des apôtres du Christ, il n'est pas encore très éloigné de l'adolescence, et comme tel, il est traité avec encore plus de prévenance et de douceur que les autres qui sont déjà adultes depuis longtemps, et mariés pour certains.

Jean a le souvenir récent d'être avec sa maman, et c'est Jésus, plus tendre que la plus tendre des mères ( Dieu nous aime ainsi ), qui y pourvoit à la juste mesure.

Jésus sourit, s’assied sur la couche de feuilles ramassées dans les bois, et se penche pour déposer un baiser sur la joue de son Jean, qui ouvre les yeux et reste un instant ébahi de voir Jésus.

note :
Avec toute l'innocence et la tendresse d'une mère, le Christ se penche sur saint Jean, qui a les réactions d'un enfant...

Il s’assied d’un seul coup et dit :

« Tu as besoin de moi ? Me voici.


note :
Jésus l'a appelé pour le réveiller en vu du départ, après cette retraite de quelques jours dans des grottes, rappelant le jeûne du Maître.

Et saint Jean, qui a compris qu'il avait besoin de lui, manifeste son obéissance parfaite, comme le plus docile des moines nocices, en ce tenant à sa disposition, tel aussi le jeune Samuel se tenant devant Dieu :

"Tu m'as appelé, me voici ! "

Boufflet suggère que c'était pour accomplir n'importe quel acte scabreux avec son Maître, faisant ainsi la part belle aux pensées des salopards et des pervers, mais l'évidence est là : c'est une invention de sa part.

– Non, je t’ai réveillé comme tous les autres. Mais tu m’as pris pour ta mère, alors je t’ai donné un baiser, comme une mère.»

Note :
Tant d'innocence et tant d'amour se passe de commentaire. Que Bouflet excite les pensées des pervers au sujet de ce qui est totalement pur n'a désormais plus le don de nous étonner : c'est en effet le biais de son pamphlet. Mais jamais quelqu'un de bonne volonté ne tombera dans son piège.

Jean ne porte que ses sous-vêtements car il a mis son habit et son manteau comme couvertures.

Jean n'avait pas acheté un pyjama en coton bio au Prisunic du coin, il se contentait de peu, et lorsqu'on dort, le but est d'être à l'aise pour ce faire, non pas d'être à la dernière mode.

Les militaires en manœuvre savent se comporter de la sorte, les bergers, les gens rustiques également. Maria Valtorta est fidèle au Seigneur, qui lui a dit de noter tous les détails des visions, rendues ainsi très vivantes et précises.

Que les calomniateurs assouvissent ici leur désir d'y voir de l'impureté est totalement prévisible, et ne change rien à l'innocence de la scène. Tout est souillé pour qui est souillé.

Il saisit Jésus par le cou, se réfugie contre lui, la tête entre l’épaule et la joue et s’exclame :

Peut-être que les calomniateurs présupposent que le seul et unique geste de tendresse physique entre Jean et son Maître se situe à la sainte Cène, lorsque Jean repose la tête sur la poitrine de Jésus. C'est ignorer volontairement cette phrase qui affirme bien le contraire :

" Jean, le disciple que Jésus aimait".
C'est donc qu'entre eux, une sainte intimité était née, du faite de l'exceptionnelle pureté de saint Jean, qui si jeune, était capable de recevoir et de rendre à son Maitre et Seigneur amour pour amour, autant qu'Il en était possible à une créature humaine.

Et l'amour s'incarne chez les être humains par des gestes concrets. Notre Seigneur s'était fait vrai Homme, et non pas Ange.

«Oh, pour moi tu es bien plus qu’elle ! Je l’ai quittée pour toi, mais toi, je ne te quitterais pas pour elle ! Elle m’a enfanté sur la terre, mais toi tu m’enfantes au Ciel. Ah ! je le sais bien !

Note :
Saint Jean ne fait ici que confirmer les Paroles de Jésus Lui-même :
" Quiconque fait la volonté de mon Père qui est aux cieux, celui-là m'est un frère, une sœur, une mère. "
Il faut s'appeler Bouflet pour dénoncer ce fait.

Écoutons très attentivement ce qui suit, et que Boufflet a bien pris soin de ne pas rapporter :

38> 165.4 - Que sais-tu de plus que les autres ?( demande Jésus à Jean afin qu'il puisse en parler, pour notre édification )

Réponse de saint Jean :

– Ce que le Seigneur m’a dit dans cette grotte.

Tu vois, je ne suis jamais venu te trouver et je suppose que mes compagnons t’auront dit que c’était par indifférence et orgueil.


note :
C'est donc cela, "l'abominable et honteux secret de Jean" : ne pas être venu trouver Jésus durant toute cette retraite spirituelle ! On comprend mieux pourquoi Bouflet se garde d'en parler, car cela ne cadre pas très bien avec ses allégations de rapport homosexuels entre les deux protagonistes...

Saint Jean :
" Mais ce qu’ils pensent ne m’intéresse guère. Je sais que tu connais la vérité. Je ne suis pas venu à Jésus Christ, le Fils de Dieu incarné, mais à ce que tu es au sein du Feu qu’est l’Amour éternel de la très sainte Trinité, sa nature, son essence, sa véritable essence, je suis venu à ce que tu es, toi la deuxième Personne de l’ineffable Mystère qui est Dieu et que je pénètre, car il m’a aspiré à lui, je l’ai toujours eu avec moi… Ah ! je ne saurais redire tout ce que j’ai compris dans cette grotte sombre, noire, qui est devenue pour moi pleine de lumières, dans cette froide caverne où j’ai été brûlé d’un feu invisible, mais qui est descendu au plus profond de mon être et l’a enflammé d’un doux martyre, dans cet antre silencieux qui m’a chanté des vérités célestes. Tous mes désirs, toutes mes larmes, toutes mes demandes, je les ai déversés sur ton sein divin, à toi le Verbe de Dieu.

De tout ce que j’ai pu entendre de ta part, jamais aucune parole n’a été aussi vaste que celle que tu m’as dite ici, toi le Fils de Dieu, qui es Dieu comme le Père et Dieu comme l’Esprit Saint, toi qui es le pivot de la Trinité… Ah ! je blasphème peut-être, mais c’est ce qu’il me semble, car si tu n’existais pas, toi, l’Amour venu du Père et qui retourne au Père, il manquerait l’Amour, l’Amour divin, et la Divinité ne serait plus trine, il y manquerait l’attribut le plus essentiel de Dieu : son amour !


Note :
Jean avoue donc qu'à l'inverse de beaucoup d'autres, il ne s'arrête plus au seul côté humain du Christ Jésus son Seigneur, mais se sent entièrement attiré par sa Divinité, qui lui communique des mystères ineffables et l'aspire comme Verbe du Père dans l'abîme d'Amour de la très Sainte Trinité.

Jean manifeste ici l'extrême pureté de son cœur, qui lui vaut plus que tout autre la grâce de "voir Dieu" dans la contemplation de son Divin Mystère Trinitaire.

Cela également dément catégoriquement l'existence d'un quelconque rapport homosexuel entre Jésus et Jean, et on comprend pourquoi Bouflet l'a omis, son but étant de masquer purement et simplement la vérité, afin de pouvoir accuser sans fondement.

Saint Jean :
" Ah, j’ai tant ici ! Mais c’est comme de l’eau qui bouillonne contre une écluse et ne peut sortir… j’ai l’impression de mourir tant est violent et sublime le tumulte qui m’est descendu dans le cœur à partir du moment où je t’ai compris… mais pour rien au monde je ne voudrais en être libéré… Fais-moi mourir de cet amour, mon doux Dieu !»

Note :
Ce qui rend saint Jean haletant, ce n'est pas du tout une vulgaire excitation des sens corporels à la vue de son Maître, ou un quelconque acte charnel gravement déviant, c'est la douce violence de l'Amour Divin, telle que tant et tant de mystiques ont pu la ressentir, que ce soit saint François, sainte Thérèse d'Avila ou d'autres grands saints, expérimentant la proximité consumante avec cette Fournaise Ardente d'Amour qu'est le Coeur Sacré de Jésus.

Mais la mystique n'est pas du tout le domaine de Bouflet, qui n'y comprend rien. Son domaine à lui, ici, c'est l'imposture.

Jean sourit et pleure, haletant, enflammé d’amour, et il s’abandonne sur la poitrine de Jésus comme si cette flamme l’épuisait.

"Car l'amour est fort comme la mort" ( Cantique des cantiques ) De nombreuses âmes mystiques sont réellement mortes d'Amour, telle la bienheureuse Imelda Lambertini ( 1222-1233), lors de sa première communion qu'elle désirait plus que tout au monde.

Comment supposer que saint Jean puisse avoir été visité moins fortement qu'elle par l'Amour Brûlant de son divin Maître, par l'Amour Trinitaire ?

Notre Seigneur ne l'a certes pas laissé mourir, lui, car sa mission terrestre était loin d'être achevée, comme ses progrès spirituels qui devaient nous servir à tous de modèle.

Bouflet doit ignorer que nous sommes dans la Religion de l'Amour. Saint Jean n'a pas pu quant à lui l'ignorer, dans une telle proximité avec la Source de l'Amour.

Jésus, brûlant d’amour à son tour, le caresse.

De nouveau, voici un micro-passage soigneusement cité par Bouflet en omettant astucieusement tout ce qui précède. La tromperie est évidente :

au lieu d'une caresse pleine de tendresse et d'innocente, comme celles que distribuait Mgr l'évêque à la toute jeune Thérèse Martin venue lui confier son désir ardent d'entrer au carmel ( cf Manuscrits autobiographiques de sainte Thérèse de l'enfant Jésus), Bouflet suggère sournoisement qu'il s'agirait de tout autre chose, que la décence interdit de décrire ici.

On le comprend : Bouflet n'a honte de rien. Même pas d'être pris en flagrant déli de calomnie.

Jean se ressaisit sous un flot d’humilité qui le fait supplier :

«Ne répète pas aux autres ce que je t’ai dit.


Encore un micro-passage sélectionné par Bouflet pour être cité hors contexte, dans le but astucieux d'induire en erreur ses lecteurs illusionnés : en effet, quand on ne doit pas répéter quelque-chose, c'est qu'on veut garder secret... quelque-chose d'inavouable, de très coupable ! Quel montage astucieux et pervers, de la part de Bouflet, qui n'en rougit même pas.

Ce n'est d'ailleurs pas le seul endroit de l'oeuvre où on entend une pareille demande adressée à Jésus par un de ses apôtres. André par exemple en use également en une autre circonstance, car il a un caractère timide, surtout face à Pierre son grand frère.

C'est bien cette discrétion qui caractérise toute direction spirituelle authentique, et qui est plus Directeur spirituel que le Christ ? Il apparaît donc bien ici comme le Confident des âmes, capables de comprendre et de garder secret leurs épanchements.

Jean continue :
"Eux aussi ont certainement su vivre de Dieu comme je l’ai fait ces jours-ci. Mais pose sur mon secret la pierre du silence."

Décidément non : notre Seigneur n'a rien d'un indiscret, à qui on ne peut rien confier au risque d'être trahi.

" Il faut tenir cacher les secrets du Roi ( Tobit 12 )

On notera l'extrême humilité de saint Jean, qui suppose que tous les autres apôtres ont eu durant cette retraite les mêmes révélations sublimes de l'Amour Trinitaire que lui-même a eu, et qui ne veut pas être cité en exemple devant les autres.

Quelle trace de vice ou de scandale y a-t-il ici ? Nul part, sauf manifestement dans l'esprit de Bouflet.

Jésus lui répond :
– Sois tranquille, Jean, personne ne saura rien de tes noces avec l’Amour. Habille-toi, et viens. Nous devons partir.»

Ceci est soigneusement cité par notre pamphlétaire, qui y voit une opportunité en or massif de laisser croire à "des noces charnelles homosexuelles", puisque saint Jean doit "s'habiller".

Oui, enfin : d'après ce que nous venons de lire, saint Jean se devait de s'habiller après avoir dormi en tenue légère, on ne voit pas au nom de quoi son Maître aurait du lui commander de partir tout nu !

Et de plus on a compris, bien loin de ce qu'insinue Bouflet, en quoi consistait "les noces de saint Jean avec l'Amour", puisque lui-même vient d'en faire l'émouvant récit, digne des plus grandes âmes mystiques.

Tout dans ce passage respire la tranquillité, la pureté, l'amour authentique, et la plus sublime spiritualité.

Mais rien de cela n'est le domaine de Bouflet. Encore une fois, son domaine à lui, c'est ici la calomnie, et uniquement la calomnie.

Comment pourrait-Il laisser tranquille une oeuvre qui rétablie la Vérité sur les miracles historiques du Christ, et sur la présence des sept sacrements dès l'origine du christianisme ?

Si Bouflet use de pareils stratagèmes qui le décrédibilisent, c'est donc l'intégralité de son livre qui est ainsi à remettre en question. On reconnaît en effet l'arbre à son fruit.
apvs
Cher @Pierre MASQUELIER, merci pour votre soutien à Maria Valtorta. Cependant, pourriez-vous s'il-vous-plaît m'expliquer en quoi je manque ici de charité envers M. Boufflet :
" Bouflet n'est plus à présenter.
Il appartient à ce courant théologique moderniste très pernicieux donc Kasper est la tête de proue, niant le caractère surnaturel et réel des miracles dans l'Évangile, et prétendant que …
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Cher @Pierre MASQUELIER, merci pour votre soutien à Maria Valtorta. Cependant, pourriez-vous s'il-vous-plaît m'expliquer en quoi je manque ici de charité envers M. Boufflet :

" Bouflet n'est plus à présenter.
Il appartient à ce courant théologique moderniste très pernicieux donc Kasper est la tête de proue, niant le caractère surnaturel et réel des miracles dans l'Évangile, et prétendant que le Christ n'aurait pas fondé directement son Eglise sur les 7 sacrements, mais que celle-ci aurait émergée progressivement grâce aux découvertes humaines, en une progressive évolution, ce qui s'oppose au catéchisme de l'Eglise catholique.

Voilà pourquoi Bouflet s'attaque par n'importe quel moyen, allant jusqu'à utiliser le mensonge et la calomnie la plus odieuse, à cette révélation privée qui a l'immense mérite de remettre les pendules à l'heure, en pourfendant ce genre d'hérésie.

Tout doit servir à la discréditer auprès du grand public.


Vous me dites qu'il cherche comme moi la vérité, mais : est-ce que pour vous, les pharisiens que notre Seigneur qualifiait de "sépulcres blanchis pleins d'ossements et de pourritures" - ce que je me garde bien de dire à l'encontre de Boufflet, vous l'aurez noté j'espère - cherchaient eux-aussi la Vérité, simplement parce qu'ils se référaient constamment aux saintes Écritures ?

Le scandale est évidemment ici que Boufflet ne cherche en rien la Vérité, contrairement à ce que vous soutenez : sinon, expliquez-moi pourquoi il en serait réduit à réécrire sciemment des passages de l'oeuvre, en coupant certains bouts et en déformant les autres, afin de leur faire dire ce qu'ils ne veulent strictement pas dire ?

Je ne règle pas mes comptes personnels avec lui, mais vu que ses indignes attaques ont été reprises par maintes et maintes voix, il est normal qu'il en prenne un peu pour son grade, lui qui aime par dessus tout se faire appeler "professeur" publiquement, et se faire traiter avec tous les égards dont il se croit digne.

Il croit pouvoir mettre en lumière des infâmies dans l'oeuvre ? Il est juste qu'en retour, on puisse mieux savoir qui il est. Et dans ce domaine, contrairement à lui, je n'ai rien inventé. Vu ce qu'il est, se fier à Boufflet est la pire erreur que l'on puisse faire.

Vous ignorez sûrement avec quel soulagement je vous aurais cédé ma place de pourfendeur des injustes attaques contre Maria Valtorta sur Gloria.tv, ce qui m'aurait permis de venir en toute tranquillité vous critiquer sur la forme à l'occasion, sans trop me fatiguer, et en vous abandonnant toute la peine.

Lisez également l'excellent livre de dom Zucchini "Maria Valtorta, sa vie, son oeuvre, sa croix" : vous y lirez comment saint Jérôme traitait frère Ruffin, le qualifiant de "porc qui grogne" , et son oeuvre d' "excréments de porc".

Que Dieu vous bénisse et vous garde +
Pierre MASQUELIER
Cher frère @apvs, merci pour votre investissement. Je pense que vous avez raison. Cependant, bien que ce post soit ancien, je me permets de vous corriger fraternellement sur un point : il faut être plus charitable envers ce monsieur (M. Bouflet). Sinon, les gens comme moi qui viennent ici peuvent avoir l'impression de tomber sur des règlements de compte personnels, non pas tirant occasion de M.…Plus
Cher frère @apvs, merci pour votre investissement. Je pense que vous avez raison. Cependant, bien que ce post soit ancien, je me permets de vous corriger fraternellement sur un point : il faut être plus charitable envers ce monsieur (M. Bouflet). Sinon, les gens comme moi qui viennent ici peuvent avoir l'impression de tomber sur des règlements de compte personnels, non pas tirant occasion de M. Valtorta mais, pire encore, à son sujet, c'est-à-dire au sujet d'une disciple du Christ qui, comme vous, comme moi, comme M. Bouflet, cherche la vérité. A ce double titre, mais seulement déjà du fait d'être un homme et, quant à nous, de nous revendiquer du Christ, nous ne pouvons dire, comme vous le faites, qu'il "n'a honte de rien" ou qu'il "poursuit des fins abjectes", parce que cela sent chez vous la défense d'une identité (la vôtre), ou d'une communauté (la "communauté valtortienne"), comme si vous vous sentiez offensé personnellement comme un représentant de personnes idiotes, oubliant que lui aussi cherche la vérité, même s'il se trompe et que, quand bien même il ne la chercherait pas du tout (très difficile à soutenir), il faut...enfin, nul besoin de vous faire une leçon de morale. Nous devons être exemplaires, car c'est à l'effort pour nous aimer malgré nos offenses mutuelles que nous serons reconnus pour Ses disciples et pourrons ainsi témoigner de Lui.
apvs
"- Que sais-tu de plus que les autres ?"
( demande Jésus à Jean afin qu'il puisse en parler, pour notre édification )
Réponse de saint Jean :
" – Ce que le Seigneur m’a dit dans cette grotte.
Tu vois, je ne suis jamais venu te trouver ( durant cette retraite)
et je suppose que mes compagnons t’auront dit que c’était par indifférence et orgueil. Mais ce qu’ils pensent ne m’intéresse guère. Je …Plus
"- Que sais-tu de plus que les autres ?"
( demande Jésus à Jean afin qu'il puisse en parler, pour notre édification )

Réponse de saint Jean :
" – Ce que le Seigneur m’a dit dans cette grotte.

Tu vois, je ne suis jamais venu te trouver ( durant cette retraite)
et je suppose que mes compagnons t’auront dit que c’était par indifférence et orgueil. Mais ce qu’ils pensent ne m’intéresse guère. Je sais que tu connais la vérité."

note :
C'EST DONC CELA, L'ABOMINABLE SECRET DE JEAN ! DE NE JAMAIS ÊTRE VENU TROUVER JÉSUS DURANT CETTE RETRAITE SPIRITUELLE ! ON COMPREND QUE LES CALOMNIATEURS L'AIENT SOIGNEUSEMENT TU !

" Je ne suis pas venu à Jésus Christ, le Fils de Dieu incarné, mais à ce que tu es au sein du Feu qu’est l’Amour éternel de la très sainte Trinité, sa nature, son essence, sa véritable essence, je suis venu à ce que tu es, toi la deuxième Personne de l’ineffable Mystère qui est Dieu et que je pénètre, car il m’a aspiré à lui, je l’ai toujours eu avec moi… Ah ! je ne saurais redire tout ce que j’ai compris dans cette grotte sombre, noire, qui est devenue pour moi pleine de lumières, dans cette froide caverne où j’ai été brûlé d’un feu invisible, mais qui est descendu au plus profond de mon être et l’a enflammé d’un doux martyre, dans cet antre silencieux qui m’a chanté des vérités célestesmaria-valtorta.org/Publication/TOME 03/03-025.htm. Tous mes désirs, toutes mes larmes, toutes mes demandes, je les ai déversés sur ton sein divin, à toi le Verbe de Dieu.

De tout ce que j’ai pu entendre de ta part, jamais aucune parole n’a été aussi vaste que celle que tu m’as dite ici, toi le Fils de Dieu, qui es Dieu comme le Père et Dieu comme l’Esprit Saint, toi qui es le pivot de la Trinité… Ah ! je blasphème peut-être, mais c’est ce qu’il me semble, car si tu n’existais pas, toi, l’Amour venu du Père et qui retourne au Père, il manquerait l’Amour, l’Amour divin, et la Divinité ne serait plus trine, il y manquerait l’attribut le plus essentiel de Dieu : son amour ! "
gerard57
Un "appareil critique", dans le jargon scientifique, c'est l'ensemble des remarques, des précisions, des interrogations, des faits, et ainsi de suite, que nous, pauvres humains, pouvons apporter à l'étude d'un phénomène ou d'un objet précis... La raison, dans le sens que lui a donné Saint Thomas d'Aquin, qui nous aide au discernement, que Dieu met à notre disposition. L'ouverture de notre esprit …Plus
Un "appareil critique", dans le jargon scientifique, c'est l'ensemble des remarques, des précisions, des interrogations, des faits, et ainsi de suite, que nous, pauvres humains, pouvons apporter à l'étude d'un phénomène ou d'un objet précis... La raison, dans le sens que lui a donné Saint Thomas d'Aquin, qui nous aide au discernement, que Dieu met à notre disposition. L'ouverture de notre esprit à l'Esprit Saint est évidemment, la chose la plus indispensable ; mais elle n'exclut pas le travail de l'homme, ses efforts, sachant que la science vient après la sainteté seulement. L'homme moderne a inversé ce rapport, y compris malheureusement dans l'Eglise et ce au plus haut niveau, fermant les portes à l'Esprit.
apvs
@ladoctrine
Mais beaucoup plus simplement, cher ami :
FAUT-IL DONC, POUR CRITIQUER QUELQUE OEUVRE QUE CE SOIT, PRENDRE POUR ARME LE MENSONGE ?
Lorsque vous me dîtes que l'on a pas la certitude que Pie XII ait manifesté son approbation de l'oeuvre, je ne vous traite pas de menteur pour autant. Mais vous, de votre côté, reconnaissez que citer ce "site-fake-news-caniveau" n'est pas une bonne oeuvre …
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@ladoctrine

Mais beaucoup plus simplement, cher ami :
FAUT-IL DONC, POUR CRITIQUER QUELQUE OEUVRE QUE CE SOIT, PRENDRE POUR ARME LE MENSONGE ?
Lorsque vous me dîtes que l'on a pas la certitude que Pie XII ait manifesté son approbation de l'oeuvre, je ne vous traite pas de menteur pour autant. Mais vous, de votre côté, reconnaissez que citer ce "site-fake-news-caniveau" n'est pas une bonne oeuvre, et vous dessert considérablement. Est-ce que mon présent post n'en apporte pas la preuve falgrande ? ( pour ceux qui auront la patience d'en prendre connaissance )

Autre chose :
beaucoup des premiers martyrs sont morts pour le Christ SANS CONNAÎTRE EN DETAIL LES EVANGILES, SANS AVOIR PU LES LIRE EN ENTIER, peut-être par manque de moyens, peut-être parce que leur conversion avait précédé de très peu leur martyr...
IL N'EST DONC PAS NON PLUS UNE NECESSITE ABSOLUE POUR ÊTRE SAUVE PAR LE SANG DU CHRIST, DE CONNAITRE TOUTES LES PARABOLES, TOUS LES MIRACLES, TOUS LES FAITS ET GESTES DU CHRIST : CROIRE AU KERYGME ET RECEVOIR LE BAPTEME SUFFIT.

Ainsi, si quelqu'un meurt et désire in extremis le baptême : il sera baptisé, et donc sauvé par sa foi au Christ son Sauveur, mort pour ses péchés sur la Croix du Calvaire, sans forcément connaître à fond tous les Evangiles.

L'oeuvre de Maria Valtorta n'est pas indispensable ici-bas ? Et bien : que vous lisiez les quatre Evangiles non plus, et pourtant, vous le faîtes bien, je l'espère !
Je vous laisse méditer paisiblement tout cela, et m'unis très sincèrement à vos prières, en ce beau mois du Sacré-Coeur de Jésus : PUISSE-T-IL TOUS NOUS EMBRASER DE SON FEU D'AMOUR SACRE, PAR LE COEUR DOULOUREUX ET IMMACULE DE MARIE !
Amen +
apvs
@ladoctrine
Qui est-ce qui peut donner ici-bas la certitude que toutes ces paroles descendent ou non du Ciel, si ce n'est un décret officiel de Rome que nous n'avons pas ?
Tout à fait d'accord, sauf avec les 5 derniers mots, car il est impensable que Pie XII n'ait pas publié un avis explicite qui nous soit parvenu, concernant cette oeuvre , QUI L'INTERPELLE PERSONNELLEMENT. Et voilà ce que Dieu …Plus
@ladoctrine
Qui est-ce qui peut donner ici-bas la certitude que toutes ces paroles descendent ou non du Ciel, si ce n'est un décret officiel de Rome que nous n'avons pas ?
Tout à fait d'accord, sauf avec les 5 derniers mots, car il est impensable que Pie XII n'ait pas publié un avis explicite qui nous soit parvenu, concernant cette oeuvre , QUI L'INTERPELLE PERSONNELLEMENT. Et voilà ce que Dieu dit à Pie XII :

(...)
" Prends et lis, en invoquant Mon Esprit. Lis les prophètes. Lis Ezéchiel aux chapitres 8, 9 et 16www.maria-valtorta.org/Quaderni/481223.htm. Lis le chapitre 19 d'Isaïewww.maria-valtorta.org/Quaderni/481223.htm. Celui qui ne sait plus comment être Jérusalem, Église, Sainteté, devient Égypte. Lis, lis, relis, médite sur le chapitre 22 d'Isaïewww.maria-valtorta.org/Quaderni/481223.htm. Trop de préfets Sebna indignes du Templewww.maria-valtorta.org/Quaderni/481223.htm, sont aujourd'hui dans le Templewww.maria-valtorta.org/Quaderni/481223.htm, pour que Dieu puisse y habiter avec son Esprit, créant par sa présence un bouclier invincible, une armure immatérielle, une muraille qui ne s’écroule pas. Au contraire, Dieu permettra au Mal de progresser et de purifier de ses flèches horribles, ceux qui font des dieux d'eux-mêmes, en s’adorant dans leur pouvoir, dans leur esprit, dans leur jugement. Oh ! Malheureux ! Que sont-ils sans moi ? Comment peuvent-ils juger moi et ma Volonté parfaite, s’ils ne savent pas se juger eux-mêmes, se repentir et renaître dans l'Esprit de Dieu ?

Lis, lis, relis, médite, tremble, pleure. Le temps de Shebna est imminent. Une grande partie de l'Église déborde déjà. Elle est lancée comme une balle au milieu de la foule déchaînée. Ce que j'ai déjà dit il y a des années à mon messager (Maria Valtorta), afin qu'il te le soit dit.

Je le dit aujourd’hui à Toi, Vicaire de mon Christ et mon serviteur. Oui. Parce que je suis Dieu. Personne n'est plus grand que moi. Tous sont des serviteurs par rapport à moi : le Seigneur. Tous ne sont rien devant mon Tout Divin.

Toi, toi au moins, ne sois comme les autres, trop nombreux. Sépare ta volonté de la leur, afin de ne pas te faire leur complice. Tu es mon serviteur et ils sont tes serviteurs. Tu es le Chef Suprême. Ta parole se fond et se lie, en second lieu, uniquement à la mienne qui, puisque tu me sers avec sainteté et amour, s'unit à la tienne afin que ce soit Dieu qui parle par ta bouche de Pontife.


www.maria-valtorta.org/Quaderni/481223.htm

Tu as dans les mains les verges, et dans ton esprit, la sagesse. Je te les ai données quand tu as été élu. Utilises le pouvoir et la connaissance comme il te convient, et ne déçois pas ton Seigneur qui a voulu contresigner ton pontificat d’un don extraordinaire : La Bonne Nouvelle ré-évangéliséewww.maria-valtorta.org/Quaderni/481223.htm afin de confirmer l'Évangile qui a traversé les âges, afin de t’aider, ô Père de la Chrétienté, et d’aider la chrétienté toute entière contre laquelle s’avance le Dragon maudit.

" Ne secoues pas, toi aussi, la tête. Ne dis pas : «Il n'y a pas de proportion entre le don et le danger caché», comme certains le disent, et t’incitent à le dire. Ne m’offense pas, Moi qui ai engendré le Verbe. Moi, qui suis le Tout Puissant, et peut faire tout ce que je veux. Je suis un père, et si un fils m’obéit, je l'aide. Quel que soit la taille du danger caché qui l'assaille.

Ne regarde pas le moyen (Maria Valtorta) par lequel te parviens le don de la Parole qui secoure ceux qui croient, ou ceux qui ont des doutes, ou même ceux qui ne croient pas
www.maria-valtorta.org/Quaderni/481223.htm. L'instrument a obéi au service de la Parole et aux ordres reçus de Dieu. Elle s'est donc adressée à toi, de sorte que tu puisses faire ce que Dieu veut. Mais si tu rejettes l'instrument, ce n’est pas tellement elle que tu frapperas et contre qui, étant sans reproche, tu pécheras mais c’est Nous qui te frapperions nous qui sommes un seul Dieu dans notre merveilleuse Trinité et tu pécherais contre l’Amour.

Parce que l'Amour, Notre Amour Trinitaire, veut donner à ton Pontificat ceci : la Parole de Dieu. Et si tu résistes à ma volonté d'amour, tu répètes le geste des Chefs des prêtres, des synhédristes, des pharisiens, des sadducéens et des scribes qui ne se plièrent pas à la Charité évangélisatrice. Ils l’ont persécuté et l’ont condamné avant l'heure marquée pour son martyre.

Je te dis : lis encore Jean au chapitre 11
www.maria-valtorta.org/Quaderni/481223.htm. Il y est dit que lorsque le Sanhédrin décida de la condamnation de Jésus, il se retira à Éphraïm. Dieu lui-même se retire quand l'humanité le rejette. Par conséquent, à partir de ce moment, le sort du temple et de la ville fut scellé : leur destruction et la persécution de ceux qui avaient persécuté la Parole. À un acte de justice et d'amour, répondent l'amour et la justice.

Et moi, qui suis le Seigneur, je te le dis : Toi, comme vous tous, avez besoin de ma défense encore plus que vos prédécesseurs ou les agneaux du troupeau au cours de ces vingt siècles. Parce que les bergers seront d'abord frappés, et que le troupeau sera donc dispersé
www.maria-valtorta.org/Quaderni/481223.htm.

Apaise le Seigneur ton Dieu. Tu le peux. Sois le Pontife. Tu n’as aucune excuses de ne pas le faire.

N'imite pas Pilate, ou tu auras le sort de Pilate qui ne fut pas justifié par le lavage symbolique de ses mains. Il a échoué dans la justice autant, et plus, que s'il avait condamné (Jésus) sans demander aux autres de le faire à sa place. Plus même, parce qu’ayant le pouvoir et l'autorité pour le faire, il aurait pu faire taire la voix des pécheurs.

Ne (re)nies pas Celui qui parle dans l’œuvre
www.maria-valtorta.org/Quaderni/481223.htm. Ce serait un jugement pour toi. Et le reconnaissant, sers-le en le faisant connaître. Ce sera ta gloire. Ne méprise pas cet avertissement, même s’il vient à toi par l'intermédiaire d'une créature. D'autres de tes prédécesseurs ont écouté mes instruments. Et si l'Église romaine est encore là, c'est parce qu'un Souverain Pontife lui-même s’en est remis à Catherinewww.maria-valtorta.org/Quaderni/481223.htm.

Sois juste, de sorte que tu puisses avoir ton Seigneur comme allié contre l'Antéchrist qui avance.
ladoctrine
@apvs Une diffamation c'est une calomnie, c'est à dire quelque chose qui n'est pas vrai. Or, ici, c'est du délire. Parce que tout simplement on navigue en eaux troubles : imaginez-vous un seul instant que ce soit le diable qui soit derrière Maria Valtorta..... est-ce que vous vous rendez compte de l'offense faite à Jésus au milieu de tout cela ?
Qui est-ce qui peut donner ici-bas la certitude …Plus
@apvs Une diffamation c'est une calomnie, c'est à dire quelque chose qui n'est pas vrai. Or, ici, c'est du délire. Parce que tout simplement on navigue en eaux troubles : imaginez-vous un seul instant que ce soit le diable qui soit derrière Maria Valtorta..... est-ce que vous vous rendez compte de l'offense faite à Jésus au milieu de tout cela ?
Qui est-ce qui peut donner ici-bas la certitude que toutes ces paroles descendent ou non du Ciel, si ce n'est un décret officiel de Rome que nous n'avons pas : c'est un principe de sagesse et de prudence et le désordre de publier sans attendre un "feu vert" de l'Autorité ne peut engendrer que du désordre parmi ceux qui passent "au rouge" et un carambolage gigantesque de tous ceux qui se rentrent dedans....
En plus, tout ça ne sert à rien pour notre combat spirituel, à savoir être en état de grâce le jour où nous ferons le saut sur les genoux du Père Eternel. Profitez donc de ce mois de juin pour glisser votre cœur dans Celui du Supplicié en attendant de lui demander de vive voix quand vous le verrez dans la Gloire de vous raconter lui-même sa vie lorsqu'il était avec sa Mère et Saint Jean dans cette vallée de larmes ! Et là nous aurons vous et moi..... l'imprimatur et le nihil obstat ! Vous savez, l'humilité et les petits détails c'est ce qui fait notre Sainteté. Allez, courage ! Confessez-vous souvent et communiez ! A bientôt.
apvs
Cher @ladoctrine, j'entends fort bien ce que vous énoncez . Pourriez-vous cependant me dire, soit ici, soit en MP, si vous reconnaissez ou non avoir été berné par ce site-caniveau ( ou site-fake-news ) et ses diffamations ? Bien fraternellement + Que Dieu vous bénisse et vous garde +
ladoctrine
@gerard57 Bonjour. Je pense que "le seul appareil critique", pour reprendre votre expression, c'est la Sainte Trinité : la Troisième Personne, le Saint-Esprit, se prononcera officiellement du haut du Ciel, à côté du Fils qui est le plus concerné par cette histoire, et d'une manière infaillible par l'intermédiaire de la Sainte Eglise Catholique en la personne du Pape : c'est Dieu le Père …Plus
@gerard57 Bonjour. Je pense que "le seul appareil critique", pour reprendre votre expression, c'est la Sainte Trinité : la Troisième Personne, le Saint-Esprit, se prononcera officiellement du haut du Ciel, à côté du Fils qui est le plus concerné par cette histoire, et d'une manière infaillible par l'intermédiaire de la Sainte Eglise Catholique en la personne du Pape : c'est Dieu le Père qui en a décidé ainsi et il nous reste à Le supplier de restaurer au plus vite la Papauté car force est de constater que nous sommes depuis des dizaines d'années orphelins d'Autorité.
apvs
Rappelons que cette oeuvre ne remplace EN AUCUN CAS ni les quatre Evangiles, ni la Bible en général. Elle y renvoie au contraire. Et si beaucoup peuvent s'en passer, car ils disposent d'une abondance de bons livres spirituels, des pères de l'Eglise et autres trésors ( qui sont indispensables ! )
d'autres âmes, et de plus en plus nombreuses de nos jours, seraient comme perdues dans un désert, …
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Rappelons que cette oeuvre ne remplace EN AUCUN CAS ni les quatre Evangiles, ni la Bible en général. Elle y renvoie au contraire. Et si beaucoup peuvent s'en passer, car ils disposent d'une abondance de bons livres spirituels, des pères de l'Eglise et autres trésors ( qui sont indispensables ! )
d'autres âmes, et de plus en plus nombreuses de nos jours, seraient comme perdues dans un désert, assoiffées, incapables de se nourrir si facilement de ces fameux livres hors de leur portée. Pour elles, pour de nombreux prêtres, pour des adeptes des fausses religions comme l'islam, cet écrit peut être comme UNE REVELATION, UNE TRANCHE DE VIE QUI DEVIENDRA LA LEUR, LE MOYEN DIRECT DE RECEVOIR SUR EUX LE REGARD ARDENT D'AMOUR DU CHRIST LEUR SAUVEUR.

Pensons également aux enfants, qui sont si facilement captivés de nos jours par tant de mièvreries parfois dangereuses pour leur âme, ( pensons à Harry Potter par exemple ) et dont l'esprit pourrait grâce à ces récits RESTER ORIENTE PUREMENT ET SIMPLEMENT VERS DIEU, VOIRE TROUVER LEUR VOCATION A SE CONSACRER A DIEU !
gerard57
Oui, il suffit de reprendre le texte véritable, en entier, pour confondre ceux qui sortent des phrases ou des épisodes de leur contexte. Mais c'est vrai, je peux aussi comprendre les censeurs et les accusateurs car c'est une tendance très naturelle ! 🙂
apvs
AUTRE CALOMNIE DE CE SITE CANIVEAU QUI S'AUTO-DETRUIT TOUTE SEULE, LORSQU'ON PREND LA PEINE DE LIRE LES PASSAGE EN QUESTION.
Voici d'abord le vomi :
Histoire d’amour suggérée entre Pierre et la Mère de Dieu 🤮 🤮 🤮 🤐 🤦 🤦 🤦
( anathème sur le menteur sournois, auteur de cette suggestion )
Le « Jésus » de Maria Valtorta est un menteur et un diffamateur pur et simple. 🤒 Ce « Jésus » …Plus
AUTRE CALOMNIE DE CE SITE CANIVEAU QUI S'AUTO-DETRUIT TOUTE SEULE, LORSQU'ON PREND LA PEINE DE LIRE LES PASSAGE EN QUESTION.

Voici d'abord le vomi :

Histoire d’amour suggérée entre Pierre et la Mère de Dieu 🤮 🤮 🤮 🤐 🤦 🤦 🤦
( anathème sur le menteur sournois, auteur de cette suggestion )

Le « Jésus » de Maria Valtorta est un menteur et un diffamateur pur et simple. 🤒 Ce « Jésus » plaisante même avec inconvenance avec ses apôtres, se lève et crie haut et fort en colère contre Pierre :

( PREUVE DE L'INCAPACITE DU DIFFAMATEUR A USER SIMPLEMENT DE SON INTELLIGENCE : IL N'A PAS COMPRIS CE QU'IL A LU, COMME NOUS ALLONS LE VOIR, SI VOUS LE VOULEZ BIEN. )

Vol. 2, p. 185 :

– «Venez ici, vous, usurpateur et corrupteur !
– «Moi ? Pourquoi ? Qu’ai-je fait, Seigneur ?
– «Vous avez corrompu ma mère. C’est pourquoi vous avez voulu être seul. Que ferai-je avec vous ?
Jésus sourit et Pierre récupère sa confiance.

– «Vous m’avez vraiment fait peur ! Maintenant vous vous moquez».

Au contraire, Jésus a dit dans la Bible :

« Mais que votre parole soit oui, oui ; non, non. Et ce qui est au-delà, est du mal » (Matthieu 5, 37)

Prétendre que Jésus, le Fils de Dieu, et Dieu lui-même, agirait de cette façon, est abominable.


Remise en situation :
Contexte

Il s'agit de Pierre, qui a trouvé un enfant orphelin, Margziam. Pierre, dont la femme Porphyre ( dont on apprend l'existence dans MV ) n'a jamais pu avoir d'enfant, rêve d'en avoir un, de pouvoir l'éduquer, mais le Seigneur s'y est en premier lieu opposé, étant donné quelle sera la mission qu'Il confiera à Pierre.

Pierre est allé voir Marie seul à seul et a épenché son coeur auprès d'elle, qui est déjà la Mère, l'Avocate, l'Intercesseuse auprès de Jésus.

( VOILA L'HISTOIRE D'AMOUR EN QUESTION ! )

Marie est allé ensuite PLAIDER LA CAUSE de Pierre avec une infinie douceur, une infinie patience et charité. Elle a su trouvé les mots qui ont fléchi le coeur plein de tendresse du Bon Maître qu'est Jésus.

ENFIN VIENT CE QUI SUIT , DANS L'OEUVRE ORIGINALE NON DEFORMEE DE MARIA VALTORTA :

LA PUISSANCE DE LA PAROLE DE MARIE. ( Tome 3, chap 60 ou 199 nouv. éd. )

( On entend la Vierge finir son plaidoyer en faveur de Pierre : c'est ce qu'elle fait pour chacun de nous désormais au Ciel )

" Et sa pauvre créature d'épouse ? ( Porphyre, la femme de Pierre ) Oh ! Elle a un tel désir d'aimer et d’être aimée. La mère ? oh ! … le mari ? un cher autoritaire …Jamais une affection qui lui soit donnée sans trop exiger... Pauvre femme !... Laisse-lui l'enfant. Écoute, Fils. Pour le moment, nous l'emmenons avec nous. Je viendrai, moi aussi en Judée. Tu m'y conduiras avec Toi chez une de mes compagnes du Temple et presque une parente parce qu'elle descend de David. Elle réside à Béthsurwww.maria-valtorta.org/Publication/TOME 03/03-060.htm. Je la reverrai volontiers si elle vit encore. Ensuite, au retour en Galilée, nous le donnerons à Porphyrée. Quand nous serons dans les environs de Bethsaïda, Pierre le prendra. Quand nous viendrons ici, au loin, l’enfant restera avec elle. Ah ! mais tu souris maintenant ! Alors tu vas faire plaisir à ta Maman. Merci, mon Jésus."

"Oui, qu'il soit fait comme tu veux." Jésus se lève et appelle à haute voix :


"Simon de Jonas, viens ici."

Pierre sursaute et monte en vitesse l'escalier : "Que veux-tu, Maître ?"


"Viens ici, usurpateur et corrupteur !"

( on note ici la gentille ironie de Jésus : Pierre n'a usurpé personne, et corrompu personne. MAIS PAR SON INSISTANCE, IL A TOUT OBTENU DE SON MAITRE, EN PASSANT PAR MARIE !!! Tiens ??? Saint Louis Marie Grignon de Montfort, quel est votre avis là-dessus ?
AUCUN MOUVEMENT DE COLERE DE LA PART DE JESUS ! MAIS PAROLE D'AUTORITE, NON DENUEE D'UN CERTAIN HUMOUR, REACTION ROYALE VIS-A-VIS DE SON SUJET. JESUS CEDE, MAIS RESTE CE QU'IL EST : LE ROI, CELUI QUI DOMINE, N'EN DEPLAISE A CERTAINS. )


"Moi ? Pourquoi ? Qu'ai-je fait Seigneur ?"

"Tu as corrompu ma Mère. C'est pour cela que tu voulais être seul. Qu'est-ce que je dois te faire ?". Mais Jésus sourit et Pierre se rassure.


( ALORS QUE PIERRE CRAIGNAIT LA REACTION DE SON MAÎTRE, JESUS LUI FAIT SUBTILEMENT COMPRENDRE QUE NON SEULEMENT IL N'EST PAS FÂCHE, MAIS QU'IL EST HEUREUX QUE PIERRE AIT FAIT APPEL A SA MERE, POUR LE FLECHIR. JESUS LUI MANIFESTE QU'IL EST HEUREUX DE CEDER A SA DEMANDE, CAR ELLE EST FAITE PAR L'INTERMEDIAIRE DE SA SAINTE MERE, A LAQUELLE IL NE PEUT RIEN REFUSER. QUELLE LECON POUR NOUS ! LECON QUE RETIENDRA SAINT LOUIS MARIE GRIGNON DE MONTFORT. )

Non seulement Jésus montre un côté humain VRAIMENT RASSURANT, mais Il montre ici son caractère proprement ROYAL : Il est le souverain Roi qui condescend aux désirs de celui qui le prie, et non un allah froid et lointain qui reste campé sur sa position. Il s'est abaissé jusqu'à se faire Homme parmi les hommes, et c'est vraiment, non pas celui qui commande à coup de trique comme un tyran, MAIS C'EST DEJA CELUI QUI LAVE LES PIEDS DE SES APOTRES.
Jésus cède ! Un Dieu qui cède, et condescent à exhausser à la prière de Marie sa Mère sa pauvre créature... J'AIME CE DIEU LA !!!

"Oh !" dit-il "tu m'as réellement fait peur ! Mais maintenant tu ris...


( Oui, vous avez bien lu : UN DIEU QUI RIT, QUI N'EST PAS UN DIEU MORT, MAIS VIVANT !
Je ne sais pas si vous vous souvenez que Jésus a aussi pleuré, comme sur le tombeau de Lazare. Combien j'aime mon Dieu, qui sait rire et pleurer, quand il le faut ! Mon Dieu que je vous aime ! )


Que veux-tu de moi, Maître ? Ma vie ? Je n'ai plus qu'elle puisque tu m'as tout pris... mais, si tu la veux, je te la donne."

"Je ne veux pas t'enlever, mais te donner. Cependant n'abuse pas de ta victoire et ne donne pas le secret à d'autres, homme rempli de fourberie qui triomphes du Maître avec l'arme de la parole maternelle.


( QUELLE DELICIEUSE IRONIE DU ROI QUI TANCE GENTILLEMENT SA PAUVRE CREATURE, QUI A REUSSIT A LE FAIRE CEDER PAR L'INTERMEDIAIRE DE LA REINE ! ( cf livre d'Esther ) :)))
Saint Louis Marie ?!? Cela vous semble correct ? )


Tu auras l'enfant mais..."

Jésus ne peut plus parler car Pierre qui était à genoux se redresse vivement et baise Jésus avec une telle impétuosité qu'il Lui coupe la parole.


La fameuse et touchante impétuosité de Pierre ! :))

"Remercie-la, elle, pas Moi.


( Demandons tout par Marie, qui peut TOUT nous obtenir du Coeur très aimant de son cher Fils ! Merci saint Louis Marie Grignon de Montfort ! Non, dcidément, vous auriez du trouver un autre passage pour discréditer l'oeuvre de Maria Valtorta :)))))))

Mais cependant rappelle-toi que cela doit t'aider et ne pas être pour toi un obstacle..."

( Et oui, car le premier refus de notre Seigneur n'était pas sans fondement... )

"Seigneur, tu n'auras pas à regretter ton don... Oh ! Marie ! Que tu sois toujours bénie, sainte et bonne..."

( Pierre déborde toujours d'amour et de gratitude, de foi envers son Divin Maître : il est entier, authentique. C'est ce bon fond qui fera de Lui la pierre sur laquelle le Christ pourra bâtir son Eglise, malgré ses faiblesses... )

Et Pierre, qui est retombé à genoux, pleure réellement en baisant la main de Marie...

( Et voilà la leçon de ce passage : Marie peut tout nous obtenir par sa prière toute puissante sur le Coeur de son Fils. )
apvs
@gerard57
Toutefois, personnellement, je comprends d'une certaine manière les sceptiques, voire les censeurs : puisque moi-même, ma première prise de parole sur GloriaTV fut pour m'opposer vivement à mr Dumouch, qui prétendait faire la promotion en 6 volets des fausses apparitions d'Amsterdam !
Donc je tenais alors leur rôle, en quelque sorte... Sauf que, pour Amsterdam, c'est évident ! La …
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@gerard57
Toutefois, personnellement, je comprends d'une certaine manière les sceptiques, voire les censeurs : puisque moi-même, ma première prise de parole sur GloriaTV fut pour m'opposer vivement à mr Dumouch, qui prétendait faire la promotion en 6 volets des fausses apparitions d'Amsterdam !
Donc je tenais alors leur rôle, en quelque sorte... Sauf que, pour Amsterdam, c'est évident ! La saine Mariologie y est tout simplement piétinée, sans avoir besoin de déformer les pseudo-messages qui sont toute une suite de fadaises et d'incohérences : les paroles de la "chose" donnent vraiment froid dans le dos ! La "chose" qui parle à la place de Marie NE S'Y PRESENTE MÊME PAS COMME LA MERE DE DIEU et refuse de se faire appeler Marie ! La "prière révélée" est tout bonnement hérétique : " qui fut un jour Marie ".
Alors, on prend le torchon, et on le f**t au feu, si vous me passez l'expression.


Mais on doit toujours se référer à la VERITE pour critiquer quoi que ce soit, et non AU MENSONGE, comme sur ce site-caniveau, diffamateur, qui ne renseigne que sur sa propre et triste origine abjecte...
gerard57
Tout à fait de votre avis, cher @apvs. D'autant plus que l’œuvre est totalement accessible, avec tout l'appareil critique nécessaire :
Ici (en italien) fondazionemariavaltortacev.org/en/ et là (en français) : www.maria-valtorta.org
apvs
@gerard57 Cher Gérard, beaucoup cependant d'excellents chrétiens doutent de la véracité de cette révélation :
- à cause du fait qu'ils ne sont plus certains des paroles de Pie XII, établissant la catholicité de l'oeuvre. MAIS : il est tout simplement impensable que Pie XII ait pu l'ignorer, impensable que dans les années 1940, les prêtres de l'entourage de Maria ne lui aient pas fait parvenir …
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@gerard57 Cher Gérard, beaucoup cependant d'excellents chrétiens doutent de la véracité de cette révélation :

- à cause du fait qu'ils ne sont plus certains des paroles de Pie XII, établissant la catholicité de l'oeuvre. MAIS : il est tout simplement impensable que Pie XII ait pu l'ignorer, impensable que dans les années 1940, les prêtres de l'entourage de Maria ne lui aient pas fait parvenir les manuscrits, dans lesquels il est d'ailleurs personnellement interpelé par le Christ. Et s'il a tout lu, comme c'est on ne peut plus probable ( avant de juger, on s'interroge, on vérifie toute chose, selon l'Evangile ! ) il est impensable qu'il ait pu avoir moins de sagacité qu'un abbé Pagès ou qu'un piètre apvs ! C'est proprement impensable, vu le niveau spirituel du très saint Père.
Pourtant, si pour eux aucun pape ne s'est prononcé en faveur de l'oeuvre, rien ne les rassurera et ne les décidera à la lire en toute tranquilité.

- à cause du fait qu'elle fut mise à l'index, et que cela leur fait peur, ignorant que ce n'est pas pour des raisons disciplinaires, et non doctrinales : l'oeuvre ayant été publiée avant le décès de l'auteur, erreur sur laquelle les censeurs firent haro !

- parce qu'ils ignorent que les censeurs responsables de cette mise à l'index sont les mêmes qui persécutèrent le padre Pio, et qui furent démis de leur fonctions par le pape Pie XII pour leur zèle très mal placé.

- à cause de CE QU'ON LEUR A DIT DE CETTE OEUVRE. Et le site dont je parle ici est un véritable tissus de subtils mensonges, très habilement montés à partir d'omissions soigneusement choisies.
OR ON NE PEUT PAS CONTREDIRE ET CRITIQUER QUOI QUE CE SOIT EN PRENANT LE MENSONGE POUR BASE ! Je pense que n'importe qui est d'accord avec cela...
Fraternellement +
gerard57
Cher @apvs la haine satanique qui se déchaîne contre les écrits dictés par Jésus à Maria Valtorta est une preuve de la véracité de l’œuvre. N'importe quelle personne douée d'un esprit sensé, qui lit ne serait-ce que les sermons du Christ dans cette œuvre, peut en constater la richesse et la vérité.