François veut "toujours pardonner" dans la confession Novus Ordo non existante

Au cours de son voyage de 30 heures à Marseille, en France, François a exhorté le clergé, le 22 septembre, à suivre son idéologie de fausse miséricorde et à "toujours" accorder l'absolution dans la …More
Au cours de son voyage de 30 heures à Marseille, en France, François a exhorté le clergé, le 22 septembre, à suivre son idéologie de fausse miséricorde et à "toujours" accorder l'absolution dans la confession, apparemment même lorsqu'il n'y a pas de repentir ou d'intention de changer. "Dans le sacrement de pénitence, pardonnez toujours, pardonnez ! Soyez généreux comme Dieu est généreux avec nous. Pardonnez !", a déclaré François. Il doit vivre dans un univers différent, car la confession est devenue un sacrement mort dans le Novus Ordo.
#newsMwmslgniyq
Etienne bis
Ce vieillard cacochyme perd les pédales. En effet...
Si le pardon devait toujours être donné... Pourquoi donc faudrait-il perdre son temps à le demander ?
dvdenise
dvdenise
Premier regard : celui de Jésus qui caresse l’homme. C’est un regard qui va de haut en bas, non pas pour juger mais pour relever celui qui est à terre. C’est un regard plein de tendresse qui transparaît dans les yeux de Marie. Et nous, appelés à transmettre ce regard, nous sommes tenus de nous abaisser, d’éprouver de la compassion – j’insiste sur ce mot : compassion. N’oublions pas que le …More
Premier regard : celui de Jésus qui caresse l’homme. C’est un regard qui va de haut en bas, non pas pour juger mais pour relever celui qui est à terre. C’est un regard plein de tendresse qui transparaît dans les yeux de Marie. Et nous, appelés à transmettre ce regard, nous sommes tenus de nous abaisser, d’éprouver de la compassion – j’insiste sur ce mot : compassion. N’oublions pas que le style de Dieu est celui de la proximité, de la compassion et de la tendresse – de faire nôtre « la bienveillance, patiente et encourageante, du Bon Pasteur qui ne fait pas de remontrances à la brebis perdue, mais la charge sur ses épaules et fête son retour à la bergerie (cf. Lc 15, 4-7) » (Congrégation pour le Clergé, Directoire pour le ministère et la vie des prêtres, n. 41). J’aime à penser que le Seigneur ne sait pas faire le geste de pointer le doigt pour juger, mais qu’il sait faire le geste de tendre la main pour relever.

Frères, sœurs, apprenons de ce regard, ne laissons pas un jour passer sans nous rappeler le moment où nous-mêmes l’avons reçu, et faisons-le nôtre, pour être des hommes et des femmes de compassion.

Proximité, compassion, tendresse. Ne l’oublions pas. Avoir de la compassion veut dire être proche et tendre. Ouvrons les portes des églises et des presbytères, mais surtout celles du cœur, pour montrer par notre douceur, notre gentillesse et notre accueil le visage de notre Seigneur. Que celui qui vous approche ne trouve ni distance ni jugement ; qu’il trouve le témoignage d’une humble joie, plus fructueuse que toute capacité affichée. Que les blessés de la vie trouvent un port sûr, un accueil dans votre regard, un encouragement dans votre étreinte, une caresse dans vos mains capables d’essuyer des larmes. Même dans les nombreuses occupations de chaque jour, s’il vous plaît, ne laissez pas faiblir la chaleur du regard paternel et maternel de Dieu.

Et aux prêtres, s’il vous plaît : dans le sacrement de pénitence, pardonnez toujours ! Soyez généreux comme Dieu est généreux avec nous. Pardonnez ! Et avec le pardon de Dieu, de nombreux chemins s’ouvrent dans la vie. Il est bon de le faire en dispensant généreusement son pardon, toujours, toujours, afin de délivrer, par la grâce, les personnes des chaînes du péché et les libérer des blocages, des remords, des rancunes et des peurs dont elles ne peuvent triompher toutes seules. Il est beau de redécouvrir avec émerveillement, à tout âge, la joie d’éclairer les vies avec les sacrements dans les moments heureux et tristes, et de transmettre, au nom de Dieu, des espérances inattendues : sa proximité qui console, sa compassion qui guérit, sa tendresse qui émeut. Proximité, compassion, tendresse. Soyez proches de chacun, surtout des plus fragiles et des moins chanceux, et ne laissez jamais ceux qui souffrent manquer de votre proximité attentive et discrète. C’est ainsi que grandiront en eux - mais aussi en vous - la foi qui anime le présent, l’espérance qui ouvre sur l’avenir, et la charité qui dure pour toujours. Voilà le premier mouvement : porter à vos frères le regard de Jésus. Il n’y a qu’une seule situation dans la vie où il est permis de regarder une personne de haut en bas : c’est lorsque nous essayons de la prendre par la main et de la soulever. Dans les autres situations, c’est un péché d’orgueil. Regardez les personnes qui sont en bas et qui vous demandent - consciemment ou inconsciemment - de les soulever avec votre main. Prenez-les par la main et soulevez-les : c’est un très beau geste, un geste qui ne peut se faire sans tendresse.
SOURCE:
Voyage apostolique du Pape François à Marseille - Opus Dei
Catholique et Français
Dieu pardonne toujours, oui, mais seulement à ceux qui demandent pardon et ont la ferme intention de ne pas recommencer. Il ne pardonne évidemment pas à ceux qui ne lui demandent pas le pardon et Il n'a généralement pas de Miséricorde pour ces gens. Ensuite il ne faut jamais oublier que la confession n'est pas une simple transaction, "Je Te demande pardon et Tu me pardonnes", bien au calme dans …More
Dieu pardonne toujours, oui, mais seulement à ceux qui demandent pardon et ont la ferme intention de ne pas recommencer. Il ne pardonne évidemment pas à ceux qui ne lui demandent pas le pardon et Il n'a généralement pas de Miséricorde pour ces gens. Ensuite il ne faut jamais oublier que la confession n'est pas une simple transaction, "Je Te demande pardon et Tu me pardonnes", bien au calme dans un confessionnal : chaque péché, chaque faute pardonnée est immédiatement prise en charge au moment de la confession sur les épaules de Notre-Seigneur Jésus qui s'en va ensuite les expier dans son effroyable Passion et sur sa Croix. Terrible commerce que le Sacrement de Pénitence !
Silvānus Pūblius
@apvs Je suis désolé de vous contredire une fois de plus : le sacrement de réconciliation, même si effectivement il est moins pratiqué qu'il y a par exemple un siècle, est reçu dans le "nouvel ordo". Il n'est pas "mort" !
Tous les chrétiens que je connais le pratiquent. Dans les paroisses que je connais, des permanences de prêtres ont lieu, pour entre autre recevoir ce sacrement. À la période …More
@apvs Je suis désolé de vous contredire une fois de plus : le sacrement de réconciliation, même si effectivement il est moins pratiqué qu'il y a par exemple un siècle, est reçu dans le "nouvel ordo". Il n'est pas "mort" !
Tous les chrétiens que je connais le pratiquent. Dans les paroisses que je connais, des permanences de prêtres ont lieu, pour entre autre recevoir ce sacrement. À la période de Carême, des journées spéciales pénitence sont organisées. Quand au refus d'absolution, il est peut être être pratiqué si le pénitent ne regrette pas ses péchés et ne s'engage pas à suivre une voie plus droite (cf Acte de contrition). Par ailleurs, certains péchés ne peuvent être absous : Ces péchés qu’un prêtre ne peut pas absoudre
Le Christ se donne dans l'Eucharistie et le sacrement de pénitence (entre autre). Lorsque je vais me confesser, je ne vais pas à un sacrement "mort". Le Christ est Vivant !
Qu'Il vous bénisse. Silvanus
apvs
Un sacrement "mort" veut dire :
- un sacrement qui ne se donne plus, sauf à quelques-uns parmi la foule de ceux qui communient habituellement en état de péché grave,
- un sacrement qui ne convertit plus, puisqu'Il est donné sans condition à tous dans le nouvel ordo, alors qu'il faudrait comme padre Pio et tant d'autres saints prêtres refuser l'absolution en certains cas, ce que voudrait abolir …More
Un sacrement "mort" veut dire :
- un sacrement qui ne se donne plus, sauf à quelques-uns parmi la foule de ceux qui communient habituellement en état de péché grave,
- un sacrement qui ne convertit plus, puisqu'Il est donné sans condition à tous dans le nouvel ordo, alors qu'il faudrait comme padre Pio et tant d'autres saints prêtres refuser l'absolution en certains cas, ce que voudrait abolir François dans un faux esprit de miséricorde.
Silvānus Pūblius
La confession, sacrement mort (peut être une erreur de traduction automatique)? Hier, j’ai été me confesser, il y avait des prêtres et des pénitents… Sous-entendre ou dire que dans le « novus ordo », il n’y aurait pas de confession, qui serait un sacrement « mort » est erroné (ou mensonger).
dvdenise
Claudius Cartapus
Les sédévacantistes en union avec eux-mêmes, estiment accéder à des sacrements valides ??? 😲
Claudius Cartapus
Le jupon trad de fr.news dépasse ostensiblement...
fr.news est sédévacantiste ??? Manifestement oui.