
Il prévoit de mourir à Rome "en tant que pape, soit en fonction, soit émérite". François a également parlé de son traitement psychiatrique avec une "grande psychiatre" une fois par semaine pendant six mois.
Il n'a jamais subi de psychanalyse mais a parlé avec elle des grands risques qu'il aurait pris en aidant les gens à s'échapper pendant le gouvernement militaire en Argentine. En tant que jésuite provincial, il aurait fait entrer clandestinement dans sa voiture des personnes qui ne se cachaient que sous des draps en passant par des bases militaires.
François admet qu'il souffre d'une "angoisse névrotique", mais qu'il a appris à la surmonter en écoutant du Bach et en sirotant du maté. L'anxiété névrotique provient d'un conflit inconscient au sein de son propre esprit et a des effets négatifs sur les capacités de l'individu à faire face à un changement d'émotions.
Il révèle également qu'il a souffert d'une sorte de problème d'attaque pré-cardiaque pendant son mandat d'archevêque qui a été résolu.
Image: © Mazur, CC BY-NC-ND, #newsRoppekpwdj
