L'Église italienne en pleine décadence

Elles faisaient la promotion de "l'amour lesbien", qui consistait en "des heures de câlins", d'yeux doux et de mains tendres. Juste derrière elles se trouvaient le tabernacle et un ostensoir, prêts pour une exposition ultérieure du Saint-Sacrement.
Daniela a admis qu'elle avait déjà forniqué avec des hommes dans le passé, mais que cela n'avait "pas marché". Maintenant, elle croit que "le Seigneur" [de l'enfer ?] lui a fait trouver une complice lesbienne. Le père Valentino Iezzi "accompagne" le "couple" pour nourrir son "amour" [= péché].
Iezzi a ensuité invité des parents d'homosexuels pour promouvoir le vice. Le spectacle faisait partie d'un événement de propagande contre l'"homo-trans-phobie" et contre la foi catholique, soutenu par l'archidiocèse de Pescara-Penne (dont l'archevêque est Mgr Tommaso Valentinetti).
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