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Francesco I
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Le protestantisme , par l'abbé Billecocq.

Le protestantisme (I), par l'abbé Billecocq

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apvs
Catholique et Français Un très grand merci pour toutes ces précisions historiques forts intéressantes ! Que Dieu vous bénisse + 🤗 😇 👍
Catholique et Français
Pour ce qui est du protestantisme français avant les "Guerres de Religion", François I° s'est réveillé un peu tard contre ces sectes "prétendues réformées", mais, devant le spectacle des horreurs commises, il s'est réveillé; en revanche, son fils Henri II, sitôt la paix faite avec l'empire, se préparait à tordre le cou énergiquement à cette abomination, comme les espagnols. Hélas, sa fin …Plus
Pour ce qui est du protestantisme français avant les "Guerres de Religion", François I° s'est réveillé un peu tard contre ces sectes "prétendues réformées", mais, devant le spectacle des horreurs commises, il s'est réveillé; en revanche, son fils Henri II, sitôt la paix faite avec l'empire, se préparait à tordre le cou énergiquement à cette abomination, comme les espagnols. Hélas, sa fin accidentelle en 1559 l'en empêcha...
Catholique et Français
Voici un très intéressant petit complément d'information, des faits souvent peu ou mal connus, sur ce que vous venez d'écrire, cher ami; on critique toujours, à juste titre, les relations entre François I° et ses successeurs et la Porte, mais il faut être juste et savoir reconnaître que cette alliance a eu également des fruits positifs qui expliquent à quel point le Moyen Orient quasiment …Plus
Voici un très intéressant petit complément d'information, des faits souvent peu ou mal connus, sur ce que vous venez d'écrire, cher ami; on critique toujours, à juste titre, les relations entre François I° et ses successeurs et la Porte, mais il faut être juste et savoir reconnaître que cette alliance a eu également des fruits positifs qui expliquent à quel point le Moyen Orient quasiment unanime, depuis des siècles et jusqu'à nos lamentables et misérables derniers gouvernements, avait les yeux tournés avec amour vers notre France, certains pays la considérant comme leur mère : "...Cette reprise de relations (avec le Levant) survint avec la signature du traité des Capitulations entre François I° et le sultan ottoman, en 1535. Par cette convention, le roi de France s’engageait à ne pas faire la guerre à l’empire ottoman, à charge pour le sultan de permettre aux commerçants et aux pèlerins français de voyager librement en Orient.

Dans ses conférences sur le sujet, notre Père (l'abbé de Nantes) a désapprouvé cette politique, car le Roi très chrétien doit combattre le Turc, et non faire alliance avec lui, surtout quand il assiège la Chrétienté ! Cependant, soulignait aussi notre Père, à long terme cette diplomatie permit de protéger les chrétiens d’Orient. En effet, si le Saint-Empire combattit efficacement les Turcs en Méditerranée, notamment lors de la victoire miraculeuse de Lépante (1571), aucun pays européen n’intervint militairement au Levant pour secourir les chrétiens, et ce, jusqu’au XVIII° siècle et pratiquement jusqu’au XX° siècle. Or, comme le montre François Charles-Roux dans "France et chrétiens d’Orient", en renouvelant régulièrement les Capitulations, les rois de France demandèrent aux Ottomans sans cesse davantage de privilèges, et finalement, ils prirent sous leur protection non seulement les pèlerins français, mais tous les pèlerins chrétiens se rendant aux Lieux saints, puis tous les chrétiens d’Orient, et enfin les missionnaires qui commencèrent à arriver en Orient dès la fin du XVI° siècle. Y compris en Syrie !

De cette histoire trop méconnue, nous retiendrons seulement deux noms, emblématiques d’une œuvre admirable, exemplaire pour nous. C’est d’abord le Père Joseph du Tremblay (1577-1638) que notre Père nous a fait connaître et aimer (“ Le Père Joseph, digne émule de sainte Jeanne d’Arc ”, CRC n° 339, octobre 1997, p. 23; CRC n° 341, décembre 1997, p. 23 sq.). Ce capucin brûlé du désir de reprendre la Croisade ne se rendit jamais en Syrie. Mais il envoya dès 1625 des capucins à Alep, à Tripoli et à Beyrouth, ouvrant ainsi l’ère des missions en Syrie, qui n’a plus cessé jusqu’au XX° siècle.

Des jésuites et des carmes français se joignirent bientôt aux capucins, à Alep, à Damas et à Tripoli, fondant des écoles, des congrégations et des dispensaires, rayonnant merveilleusement auprès des chrétiens mais aussi des musulmans (cf. François Charles-Roux, "France et chrétiens d’Orient", et Bernard de Vaulx, "Histoire des missions catholiques françaises", 1951).

L’Empire ottoman étant habituellement très persécuteur à l’égard des chrétiens, ces missions françaises en Syrie et au Liban n’auraient jamais été possibles sans l’appui politique ou, plus précisément, diplomatique, de la France. En effet, en vertu du traité des Capitulations, le royaume de France était le seul pays catholique européen (avec le Saint Empire) à avoir un ambassadeur à Constantinople et des consuls dans les grandes villes de l’Empire. En cas de difficulté voire de persécution, les missionnaires pouvaient recourir au consul qui réglait lui-même le problème, ou faisait appel à Constantinople.

Cela nous amène au deuxième personnage clef de cette période : François Picquet, qui fut consul de France à Alep à partir de 1652. Il fut une véritable providence pour les missionnaires, travaillant constamment de concert avec eux. Cette entente fut si féconde que trois patriarches schismatiques demandèrent leur rattachement à Rome en même temps que la protection du roi de France. C’est ainsi que les Syriens grecs-melkites devinrent uniates – définitivement à partir de 1724 – conservant jusqu’aujourd’hui leur rite oriental. Par la suite, François Picquet devint le troisième évêque de Bagdad.

Faut-il en conclure que ce système des Capitulations était une alternative avantageuse à la Croisade ? Certainement pas. D’abord parce que les saints ont toujours voulu qu’on reprenne les Croisades. Ensuite parce que ce système a maintes fois montré ses limites. Il n’en reste pas moins que cette politique permit une protection certaine des chrétiens et des missionnaires, sans concurrence significative d’aucun pays occidental dans ce domaine.

En revanche, à partir de la fin du XVIIIe siècle, plusieurs puissances prétendirent disputer à la France sa prééminence politique dans le Levant..." (source et article complet sur la Syrie depuis Notre-Seigneur jusqu'à Bachar El Addad de frère Jean Duns de Sainte Anne : ICI)
apvs
" (...) Et pas la peine d'attendre longtemps : à l'époque de Luther, le saint Empire est à feu ! Et il est bien malheureux qu'un roi de France chrétien ( François 1er... hem ), n'ait pas aidé l'empereur à combattre le protestantisme, mais ai plutôt cherché ses alliances avec les turcs et les protestants pour pouvoir combattre le saint Empire. "
Fin de la conférence
apvs
" Le visage de Luther, le dernier visage de Luther, je crois qu'il y a un masque qui a été fait de ce visage, qu'on peut voir en Allemagne... enfin, il paraît que c'est horrible à voir . Il fait peur, même, dit-on...
www.pinterest.fr/pin/179862578840836844/
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" Le masque mortuaire et les mains de Martin Luther me rappellent son fameux dicton: "Vis vite, meurs jeune, et laisse …
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" Le visage de Luther, le dernier visage de Luther, je crois qu'il y a un masque qui a été fait de ce visage, qu'on peut voir en Allemagne... enfin, il paraît que c'est horrible à voir . Il fait peur, même, dit-on...

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" Le masque mortuaire et les mains de Martin Luther me rappellent son fameux dicton: "Vis vite, meurs jeune, et laisse derrière toi un masque de mort bizarre qui donnera à tout le monde l'envie de grimper sur les genoux du pape en suçant son pouce." "
Ne nous laissez pas sucomber
Quand je reviendrais y aura t'il encore LA FOI ,pour dire cela notre Seigneur voyais bien vers quoi nous allions .