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shazam
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"Après la guerre" ("After the war", chanté par Sarah Slean) Après la guerre Musique : « After the war », chanté par Sarah Slean. Vidéo du générique de fin du film La bataille de Passchendaele…Plus
"Après la guerre" ("After the war", chanté par Sarah Slean)

Après la guerre

Musique : « After the war », chanté par Sarah Slean.

Vidéo du générique de fin du film La bataille de Passchendaele (2008) sur l'armée Canadienne, intervenue en Belgique en 1917.

Passchendaele en Belgique, actuellement : Passendale.

Après la guerre

Après que les armes se seront tues

Après que tes blessures seront guéries

Je t'aimerai après la guerre

Toujours, pour toujours et plus

Mon amour, je te pardonne, tu n'avais jamais prévu de mourir
Je placerais deux sous sur tes yeux


Le 26 octobre 1917 le corps canadien entrait dans la bataille de Passchendaele. Dans la semaine ils s‘emparent des ruines du village, au prix de 5.000 vies.

La campagne a duré quatre mois et fait 600.000 victimes dans les deux camps.

Au printemps suivant, une offensive de l’ennemi reprend le terrain durement gagné, en moins d’une semaine.

En mémoire de…
Ne nous laissez pas sucomber
P.S. Même chef de missions
Ne nous laissez pas sucomber
Vous parler du Robesp peillon Ils peuvent prendre le terme qu'ils veulent ,mais c'est l'homme nouveau? pour un reiche de milles ans et cela date de 1789 ,différant pays même idées même massacres .
perceval2507
la vérité sur Georges Clemenceau.
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"Puisqu’on s’apprête à célébrer le début du suicide collectif de l’Europe à l’été 1914, il convient de rappeler certains faits historiques avérés, mais trop volontiers « oubliés », et pour cause…
L’abominable boucherie intra-européenne durait depuis trois ans et avait déjà fait des millions de morts, lorsque l’Empereur d’Autriche Charles 1er …Plus
la vérité sur Georges Clemenceau.
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"Puisqu’on s’apprête à célébrer le début du suicide collectif de l’Europe à l’été 1914, il convient de rappeler certains faits historiques avérés, mais trop volontiers « oubliés », et pour cause…
L’abominable boucherie intra-européenne durait depuis trois ans et avait déjà fait des millions de morts, lorsque l’Empereur d’Autriche Charles 1er prit l’initiative de proposer à la France une paix séparée. Il fit appel, pour cela, à ses neveux Xavier et Sixte de Bourbon-Parme qui, n’ayant pu s’engager sous l’uniforme français (à cause d’une loi française), avaient intégré l’armée belge, s’y illustrant du reste par leur bravoure. Précisons que dans sa lettre manuscrite, l’Empereur se montrait tout sauf francophobe et allait même jusqu’à reconnaître que l’Alsace et la Moselle devaient revenir à la France, dont elles faisaient partie intégrante.
Les deux jeunes gens transmirent l’offre de leur oncle au gouvernement français. Mais George Clemenceau, le « Tigre », le héros suprême de nos boulevards et avenues, n’eut rien de plus pressé que de clabauder partout la nouvelle, sûr ainsi de faire échouer l’opération, car cette dernière relevait de la haute diplomatie et exigeait donc – pour aboutir – le plus grand secret initial.
Ce faisant, Clemenceau prit la terrible responsabilité de prolonger la guerre d’un an, et l’on est effaré en songeant aux centaines de milliers de nouvelles victimes qu’il a ainsi sur la conscience. En effet, grâce à une paix séparée entre la France et l’Autriche, la guerre aurait pris fin immédiatement, l’Allemagne étant trop épuisée pour la poursuivre sans son principal allié.
Pourquoi Clemenceau a-t-il agi ainsi ? Parce qu’en « bon » franc-maçon athée et anticlérical, il voulait passionnément la chute des Habsbourg, qui représentaient tout ce qu’il haïssait le plus : le trône et l’autel réunis, étant donné le fervent catholicisme de cette famille impériale. Il a d’ailleurs eu entière satisfaction, puisque la Première Guerre mondiale aboutit à la chute de DEUX empires : non seulement l’Autriche catholique romaine, mais également la Russie orthodoxe ; rien que du bonheur pour lui et son engeance…
Si l’on doute de cette haine inexpiable de tout ce qui est royal et chrétien, que l’on se souvienne des paroles effroyables qu’il aurait prononcées à l’Assemblée à propos de la Révolution française, cette guerre originelle contre le trône et l’autel :
« « J’approuve tout de la Révolution. J’approuve les massacres de Septembre où pour s’éclairer, la nuit venue, les travailleurs plantaient des chandelles dans les yeux des morts. J’approuve les noyades de Nantes, les mariages républicains où les vierges accouplées à des hommes, par une imagination néronnienne, avant d’être jetées dans la Loire, avaient à la foi l’angoisse de la mort et la souffrance de la pudeur outragée. J’approuve les horreurs de Lyon où on attachait des enfants à la gueule des canons, et les égorgements de vieillards de quatre-vingt-dix ans et de jeunes filles à peine nubiles. Tout cela forme un bloc glorieux et je défends qu’on y touche. Je défends que, sur un théâtre qui dépend de l’État, un dramaturge illustre vienne après plus de cent ans révolus, prononcer une parole de pitié qui serait un outrage aux mânes augustes de Robespierre et de Marat. »
Les thuriféraires de Clemenceau (menteurs consommés et de la même mouvance que lui) clament que ces paroles sont apocryphes, qu’il ne les a jamais prononcées, que ce sont ses ennemis qui les ont mises dans sa bouche afin de nuire à sa mémoire. Admettons que la chose soit possible. En attendant, c’est probablement ce qu’il pensait, car d’autres déclarations de lui – à coup sûr authentiques, celles-là – sont exactement du même esprit, les outrances évidentes en moins.
VOILÀ QUELLE PRESTIGIEUSE ORDURE LA FRANCE S’APPRÊTE À CÉLÉBRER À LA FAVEUR DU CENTENAIRE DU DÉBUT DE LA GRANDE GUERRE. IL FALLAIT QUE CE FÛT DIT.
La Révolution DITE française fait toujours fantasmer les continuateurs contemporains de Clemenceau, à commencer par le petit robespierre Peillon, du Grand Orient de France, qui voulait soustraire les enfants à leur milieu familial et social pour mieux les endoctriner conformément à son irreligion, et selon qui la Révolution française n’est pas terminée (titre d’un de ses ouvrages)… Du moins ce grand malade n’est-il plus ministre de la Rééducation antinationale (mais faisons confiance à son successeur pour emprunter le même chemin que lui, car ces gens-là ne renoncent jamais à poursuivre la réalisation de leur « Grand Oeuvre » !)"
F.T.(2014)
AveMaria44
Victimes de ceux qui ont financé des deux côtés, victimes de la haine de l'Europe chrétienne.........RIP
Ne nous laissez pas sucomber
Aujourd'hui en mémoire de mon grand père lieutenant d'infanterie mort a 32 ans le 20 septembre 1916 fleur Igny devant Douaumont ,et pour touts ses compagnons.