Ainsi, j’éprouve une grande tristesse en pensant à tous ces pères de familles, exténués après une journée de soumission avec leurs muselières obligatoires, désormais obligatoires, non pas seulement dans les transports en communs mais aussi sur leurs lieux de travail, qui rentrant à la maison doivent encore se faire « pourrir » par leurs femmes, et ce, devant les enfants, parce qu’ils ne se seraient lavé les mains que deux fois au lieu de trois ; parce qu’ils auraient commis le crime de les embrasser sans s’être d’abord lavé dix fois la figure ou tout simplement parce qu’ils osent enlever leurs masques une fois chez eux. C’est que, comme nous le suggère la dictature par le truchement de ses médias, après tout, il conviendrait sans doute que le père rentrant à la maison, conserve sa muselière y compris, et surtout, quand il s'approche de ses enfants (démolissant au passage, encore un peu plus son image auprès d'eux…).
Eh oui, un tel père qui ne respecterait pas les règles serait donc un « salaud » qui n’aurait que faire de la vie de ses propres enfants en prenant le risque de leur coller le corona (le corona qui à ce jour, pour ne prendre l'exemple que de L'Allemagne - 82 million d’habitants- n’a pas tué un seul enfant, hein…).
Mais quel salaud alors !
Certes, ces pères de famille n’ont pas la gloir
