Il y a un an jour pour jour, eut lieu ma libération de la maison d’arrêt de Draguignan avec un bracelet électronique. Mon sursis probatoire courant sur 2 ans, il me reste donc une année à effectuer en respectant de multiples contraintes. Une chose est certaine : ni cette sanction pénale inique, ni les plaintes ridicules de l’Observatoire Juif de France, [1] ni les innombrables coups bas reçus depuis 2 ans ne m’empêcheront de défendre mes idées et de mener le bon combat.