Et pendant ce temps, comme d'habitude, les fruits de la dictature bergoglienne dispersent le Troupeau...

=> mercredi 17 août 2022

La dictature

Ceci est l’église de Chicago qui avait été confiée à l’Institut du Christ Roi Souverain Prêtre en 2004 par le cardinal George , l’église Saint-Gélase, devenue sanctuaire du Christ Roi. En application enthousiaste du diktat de François, l’actuel archevêque le cardinal Cupich a décidé de chasser l’Institut de cette église et de son diocèse. La dernière messe y a été célébrée le 31 juillet.

Et il y a eu devant l’église une adoration du Saint-Sacrement. Et une procession autour du quartier. La procession est passée devant la « Première église presbytérienne », avenue Kimbark. C’était la fin du culte, et le pasteur, David Black, avec nombre de fidèles… a suivi la procession.

« Chaque fois que j’ai vu cette congrégation j’ai été étonné, tout d’abord par sa croissance, sa vitalité et son caractère multiculturel, dit le pasteur. Ce ne sont que de jeunes familles venues de partout – blacks, latinos, de nombreuses ethnies, beaucoup de familles d’immigrés, beaucoup de jeunes enfants. »

Rappelons qu’en 2003 l’église devait être détruite par absence de fidèles, et avait été sauvée de justesse.

Quant au pasteur Black il est bien connu des catholiques du Sanctuaire du Christ Roi pour les avoir longtemps accueillis dans sa salle paroissiale après l’incendie qui avait ravagé l’église en 2015.

« Tout le monde dans le quartier est vraiment désorienté », dit une habitante, Heather Malpass, qui se souvient comment le chanoine Talarico s’est occupée de sa mère au long de la maladie qui devait l’emporter. « Leur contribution à la communauté était beaucoup plus importante (que leur genre de messe), et nous ne pouvons vraiment pas imaginer notre quartier sans eux. »

Mais l’Eglise du cardinal Cupich et du pape François l’imagine très bien. Et installe le désert.

Et pendant ce temps là...

On voit l'arbre (CV2) à ses fruits ( pourris )...

=> samedi 13 août 2022

Sa Dictature

Le président de la Latin Mass Society publie la lettre type que le Dicastère pour le Culte divin envoie aux évêques qui ont la naïveté de demander à Rome l’autorisation pour un prêtre du diocèse de célébrer la messe selon les livres de 1962 :

... ce Dicastère est d'avis que cette [permission] ne serait pas une décision opportune. Par conséquent, nous rejetons la demande. Le chemin établi par le Saint-Père dans Traditionis custodes est très clair et cela a été souligné tant dans la "Lettre aux évêques du monde entier" qui accompagnait le Motu proprio que dans les Responsa ad dubia de ce Dicastère, qui ont été personnellement approuvés par le Saint-Père. Dans ce dernier document, à propos de ce point précis, il a été souligné que la réforme liturgique du Concile Vatican II "a mis en valeur chaque élément du rite romain et a favorisé - comme l'espéraient les Pères du Concile - la participation pleine, consciente et active de tout le peuple de Dieu à la liturgie (cf. Sacrosanctum Concilium n° 14), source première de l'authentique spiritualité chrétienne". Plus récemment, la Lettre apostolique du Saint-Père du 29 juin, Desiderio Desideravi, sur la formation liturgique du peuple de Dieu, développe la lettre aux évêques mentionnée ci-dessus et réaffirme le désir du Pape François que l'unité autour de la célébration de la liturgie soit rétablie dans toute l'Église de rite romain (n. 61).

C’est ce qu’on appelle la sollicitude du pape François pour ses frères prêtres…

Hélas, ce genre de curaillon-diablotin est loin d'être un cas isolé, non seulement géographiquement mais aussi historiquement et on peut remarquer qu'il a encore beaucoup de chemin à faire pour égaler le monstrueux et hallucinant curé Meslier (1664-1729), contemporain de l'immense saint Louis-Marie Grignon de Montfort. Il faut absolument lire la totalité de la fiche Wikipedia de Meslier, que je crois exacte, et se pincer pour croire ce qu'on lit !!! La citation le plus célèbre de l'abominable Meslier : "Je voudrais, et ce sera le dernier et le plus ardent de mes souhaits, je voudrais que le dernier des rois fût étranglé avec les boyaux du dernier prêtre."

Si ce sombre personnage veut des références sur la pratique homosexuelle, dans le Nouveau Testament, le grand Saint Paul est très clair: Romains 1, 27; 1 Corinthiens 6, 9-10; 1 Timothée 1, 10; Enfin Jude, 7. Celui qui a cette tendance contre nature n'est pas forcément un pécheur, pas plus que celui qui a tendance à voler. Mais celui qui pratique ces péchés attire sur lui la malédiction de Dieu. C'est un énorme mensonge que de prétendre que la Sainte Ecriture ne dit rien contre l'homosexualité. Il faut relire le passage de la Genèse flétrissant les habitants de Sodome et Gomorrhe juste avant leur châtiment divin.
Ce monsieur se montre fervent disciple du Prince du mensonge. S'il a envie de le rejoindre, c'est son affaire, mais qu'il n'y entraîne pas les autres, il ajouterait ce péché de scandale condamné par Jésus.

Encore un qui a un gros souci à se faire pour son éternité ! Le péché contre l'Esprit ! Faire mentir l'Ancien Testament, le Nouveau Testament, la Parole de l'Église et de ses saints, faut le faire ! Quant à ses réflexions sur l'"amour", plus éculé et plus imbécile, tu meurs; en effet, comme le mot "liberté", le mot "amour" est l'un des plus indéterminés, des plus ambigus et peut signifier une chose et son exact contraire : "l'amour de Dieu jusqu'au mépris de soi et l'amour de soi jusqu'au mépris de Dieu", "c'est combien pour l'amour, chérie ?", "j'aime la laïcité républicaine, le communisme" etc... etc... etc... Et pour l'"amour" entre "homos", tous les psychiatres et tous les bons confesseurs savent qu'il est loin de la pure idylle que ce pauvre détraqué nous dépeint et qu'il s'y mêle une infinité de désordres (narcissisme, perversité, sensualité, bestialité, traumatismes antérieurs etc...)

Et pendant ce temps là...

samedi 30 juillet 2022

La dictature

L’évêque d’Arlington, en Virginie, Michael Burbidge, a publié son diktat contre la messe traditionnelle dans le diocèse. A partir du 8 septembre, sur les 21 lieux où elle est célébrée, il n’en restera que 8, et avec des restrictions (à commencer par l’interdiction de célébrer tout autre sacrement).

Il y avait une messe quotidienne à la paroisse Saint-Jean de Front Royal : elle devra être célébrée dans un gymnase. L’église de la Sainte-Trinité de Gainesville avait trois prêtres qui célébraient la messe traditionnelle, ils devront se replier sur une école. Etc.