Conclave: la pression satanique des médias.

En ces temps de conclave, nous assistons à l’infâme pression des racailles modernistes et des médias pour que l’Église devienne une secte protestante « de plus ».

Il est franchement insupportable d’entendre les progressistes (faussement) catholiques demander à ce que les (mauvaises) « ouvertures sociétales », établies en quelques années par le pape François, soient « intouchables et sacralisées » et maintenues par le prochain successeur de Pierre, quand on sait que ce sont justement ces mêmes modernistes qui n’ont pas hésité, par le passé, à fouler aux pieds deux millénaires de Sainte Tradition et de vérité, notamment en imposant sans retenue les mauvaises réformes issues du concile de Vatican II.

Cependant, ayons confiance dans le Saint-Esprit et prions pour que le prochain pape soit plus courageux que le pape François quant à la dénonciation du mariage d’abomination, qui, rappelons-le, est le fruit logique du outing et de la déculpabilisation de l’homosexualité ; homosexualité pourtant condamnée clairement à la fois par deux mille ans de Sainte Tradition et par la Sainte Écriture (voir notamment le début de l’épître de saint Paul aux Romains).

Si le pape François a été parfois injustement critiqué, et s’il aura mené aussi, dans certains domaines (avortement et intérêt pour les pauvres), une action s’inscrivant dans la vérité, l’honnêteté nous oblige à dire que ses réponses floues à l’endroit de la normalisation-déculpabilisation de l’homosexualité auront semé trouble et confusion dans la Sainte Église.

Puisse le prochain pape rappeler aux démon-craties occidentales et à leurs médias putréfiés par le wokisme que la mission de l’Église est de maintenir intacte la vérité qu’elle a reçue du Seigneur, et non pas de s’adapter, comme le font les sectes protestantes, à l’air du temps.
Jean-Pierre Aussant
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Quelques lignes fondamentales écrites voici quelques année pour comprendre pourquoi Dieu laisse faire le mal.
Si Dieu est à la fois infiniment bon et tout puissant, pourquoi l’existence du mal ?
La souffrance absurde et gratuite (guerres etc.) qu’a toujours connu l’humanité, relance d’une façon récurrente, et c’est bien normal, le vieux débat sur le « silence de Dieu ». Pour autant, à cette question apparemment insoluble, il y a, en y regardant de plus près, bien une réponse.
Certes, Dieu aurait pu dès le commencement créer un monde parfait, avec des êtres parfaits qui, contrairement à Adam et Ève, auraient fait le bon choix (ou plutôt auraient été obligés de faire le bon choix). Oui, Il aurait pu créer un monde sans souffrance, un monde immaculé, où dès le début toutes les créatures auraient été dans la plénitude du bonheur. Mais dans un tel monde, et c'est ici où se situe l'essence du problème, l'homme ne serait pas libre, il serait une sorte de super robot dont la dignité correspondrait en gros à celle d'une "machine à laver" ne tombant jamais en panne. C'est justement cela que Dieu a voulu éviter.
Au fond, la tragédie du "Mal" est la condition sine qua non de la liberté. Or sans liberté, il n'y a pas d'amour, en tout cas pas d'amour dans la vérité. Dieu n'a certes pas créé le "mal", Il en a seulement permit la possibilité. Sans cette "possibilité", il n'y aurait pas de choix possible. Or, sans choix, l'homme serait une marionnette. Si nous étions obligés d'aller vers Dieu, les dés seraient pipés. Cela n'était pas dans les plans de Dieu. Dieu merci.
Paradoxalement, Dieu nous aime et nous respecte tellement qu'il nous a même laissé le choix de «voter» contre lui.
C’est pourquoi, Il a laissé faire Hiroshima, c’est pourquoi, il a laissé faire Auschwitz ainsi que toutes les abominations que l’on connait : Meurtre légal des enfants à naître » (avortement) etc…
C’est volontairement que Dieu n’intervient pas. Il ne veut pas entraver notre liberté. Nous devons choisir nous même le bien. Si notre choix était « forcé », il n’aurait plus aucune de valeur ; il compterait, pour ainsi dire, pour du beurre.
Aussi étrange que cela puisse paraître, c’est justement « la possibilité » du mal qui est, en creux, la preuve de l’amour de Dieu pour sa créature.

Tout à fait, Jean Pierre Aussant.

Dieu nous a créé libres, mais Il peut intervenir comme bon le semble. Il a déjà punit à la Révolution ceux qui commettaient des méfaits (cf. pdf).
Arius, le fondateur de la secte, est mort en vomissant ses intestins.
Un empereur qui se prenait pour Dieu, en pleine fête, dans un cirque, mort de suite bouffé par des vers. Etc.
Si Dieu laisse faire, c'est sûrement en raison de nos péchés et de notre peu de foi.

J'avais donné ces exemples pour démontrer que Dieu peut intervenir en punissant certains pécheurs (mort rapide), ou laisser faire (pour que cela serve de pénitence aux autres). Enfin Dieu est omniprésent et omnipotent, donc Il peut tout. Restons en paix, même si le Seigneur semble dormir dans la barque.

Dieu ne "permet" pas , il subit comme nous...

Si si si. Dieu permet. C'est le B.A. BA de la spiritualité. Si Dieu subissait il serait périssable et perfectible. Hors il est Dieu !!!

"Dieu est amour" 1 Jn 4 16, l'amour impose de laisser à l'autre un espace de liberté, c'est s'exposer et donc le risque d'être rejeté. C'est la situation dans laquelle Dieu se trouve depuis la Chute originelle.
Jésus a subi le rejet des hommes au point d'en mourir sur une croix, si Dieu "permettait" le mal, ce qui sous-entend qu'il pourrait ne pas le permettre, il en serait complice...

Jésus n'a rien subi. Il est allé jusqu'à commander aux clous de le transpercer, dixit Sainte Françoise Romaine.

"Subir" me parait être le juste:
"Alors il leur dit: " mon âme est triste à en mourir; restez ici et veillez avec moi. " Et s'étant un peu avancé, il tomba la face contre terre en disant: " Père, s'il est possible, que ce calice s'éloigne de moi! Cependant non pas comme je le veux, mais comme tu le veux"Mt 26 38-39
Mais vous avez peut-être un terme plus adapté ?

Quel que sera ce pape, Dieu soit béni et rien à dire de plus. Si c'est un mauvais pape, Dieu le permet, c'est simple. Notre monde est satanique aussi Dieu punit par les hommes et non plus par de grandes calamités.