Comment fonctionne la maçonnerie conciliaire
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Scandales sexuels dans l’Église
Le très dur témoignage (de première main!) de Father Z
("Benoît-et-moi", le 20/8/2018)
L'influent blogueur américain dit avoir hésité avant de le publier, et j'ai moi-même hésité avant de le traduire. Il est exprimé en termes volontairement crûs, et tel quel, cela lui confère une grande force. Le lecteur est prévenu.
Il va sans dire que, selon la formule consacrée, son contenu n'engage que son auteur.
- - -
Où Father Z offre l'un des commentaires les plus durs qu'il ait jamais écrits
Père John Zuhlsdorf
wdtprs.com/…/wherein-fr-z-of…
17 août 2018
Ma traduction
* * *
Cet avant-propos a été écrit après que j'ai écrit le reste, comme le sont habituellement les avant-propos. C'est l'un des messages les plus durs que j'ai jamais écrits. C'était physiquement difficile à formuler, et j'ai dû m'arrêter plusieurs fois et faire quelques pas avant de reprendre l'épée. Je suppose que je vais hésiter plusieurs fois et prier un peu avant d'appuyer sur le bouton PUBLIER.
------
Un de nos commentaires, sous un autre post, mentionne le site web d'un prêtre, le Père Edwin Palka, qui explique pourquoi certains prêtres n'ont pas dénoncé les prêtres homosexuels et les prêtres prédateurs homosexuels. Franchement, son post m'a mis de l'acier dans les doigts.
Les prêtres peuvent donner des exemples décourageants à leurs frères. Ils peuvent aussi donner le bon exemple en matière d'encouragement.
Ce qu'il a écrit est effroyable. C'est également vrai. Il ouvre la poubelle pour laisser entrer un peu de soleil purifiant. Je ferai de même, et dans la même veine.
Mes amis, je sais que vous êtes vraiment en colère. La profondeur de la laideur que vous voyez dans les nouvelles n'est de loin pas aussi profonde que la laideur que voient certains prêtres. Vous êtes sûrement et à juste titre en colère. Pensez-vous que nous, prêtres, nous ne le sommes pas ?
Je dois me souvenir que lorsque Notre Seigneur a maudit le figuier avant Sa Passion (Luc 13:6-9), ce n'était pas le modèle que nous, prêtres, nous devrions utiliser lorsqu'il s'agit de prêtres prédateurs homosexuels.
Et soyons clairs. Ce scandale concerne l'HOMOSEXUALITÉ.
Je crois que certains de ces prédateurs homosexuels sont possédés. Réfléchissez-y. Si vous vous y connaissez un peu en activité démoniaque - une chose dans laquelle les laïcs ne devraient pas trop s'impliquer -, alors vous savez que certains démons se spécialisent dans certains types de péchés. Ils s'attacheront comme des lamproies spirituelles aux âmes des gens qui les commettent et aussi aux lieux où les péchés ont été commis. Une fois qu'un démon s'accroche, ils [les autres] revendiquent le droit d'être là, jusqu'à ce que les couches de leur connexion soient anéanties une par une. C'est ce que font les rites d'exorcisme : ils anéantissent les prétentions légalistes de l'Ennemi à être là.
Les péchés homosexuels sont particulièrement graves et leur force démoniaque est en même temps infâme. Et ces péchés impliquent aussi les jeunes ou ceux qui sont soumis à l'autorité ou au pouvoir du prédateur. Les meules ne suffisent pas [allusion à Mat 18:6] . Si vous vous interrogez sur le Seigneur et la peine capitale, IL a parlé de la meule avant que l'Église ne le fasse.
C'est le côté surnaturel. Il y a aussi le côté naturel. Il me semble que les hommes ayant ces puissantes inclinations désordonnées ne savent pas... comment dire les choses... agir comme les autres hommes. Ils pensent différemment. Je sais, je sais. Mais c'est mon sentiment. C'est difficile à formuler.
Pour expliquer un autre aspect, j'ai quelques anecdotes.
Tout d'abord, quand j'étais séminariste, je me souviens que le curé de ma paroisse nous a dit à nous, les jeunes, de ne pas écrire notre nom dans nos bréviaires ou dans nos livres de prières. Il nous a expliqué que si nous perdions le livre, quelqu'un pourrait prétendre qu'on l'avait retrouvé dans une "maison de tolérance". Certains ont trouvé cela drôle. Pas moi. Mes parents étaient flics. J'ai grandi en entendant et en voyant des photos des plus horribles circonstances humaines imaginables. J'ai pensé "chantage" et "compromis"... arrière. De plus, si vous parlez à des flics qui travaillent depuis un certain temps, ils vous confirmeront que la "violence" masculine est l'une des pires qu'ils voient. Demandez à un flic, si vous en connaissez un suffisamment. Demandez aux médecins et aux infirmières des urgences ce qu'ils voient entrer et comment cela a été infligé. J'ai une petite anecdote pour vous: en italien, un terme péjoratif pour désigner un homme homosexuel est "froccio", qui vient étymologiquement du latin ferox, "sauvage". Sont-ils tous comme cela? Non. Bien sûr que non. Mais cela ne veut pas dire que ceux qui le sont n'existent pas.
Par la suite, toujours quand j'étais séminariste, un jour, au petit déjeuner, un évêque auxiliaire de cette époque m'a dit que lorsqu'il rendait compte de quelque chose à l'archevêque, il était interrompu: "Si je sais, je devrais peut-être faire quelque chose!" Alors l'auxiliaire m'a dit : "Souviens-toi, John, il y a des vieilles femmes des deux sexes." Cela devait se confirmer à de multiples reprises au cours des années suivantes. Quand je suis allé chez le recteur du séminaire pour me plaindre des choses que j'entendais à travers les murs, leur façon de me traiter n'a fait qu'empirer et j'ai été mis à la porte la deuxième fois. C'est comme cela que je suis arrivé à Rome.
A Rome, parce que j'étais dans la position inhabituelle de travailler à la Curie tout en étant au séminaire, à cause de ma jeunesse, etc., j'ai été subtilement averti de certaines personnes bien placées qui offriraient ceci ou cela, ouvrant telle porte, invitant dans tel cercle, pour grimper plus vite, pour obtenir des faveurs, etc. On me mettait en garde, principalement, contre deux groupes, la mafia et les homosexuels. Les deux groupes - avec les francs-maçons, mais je pense qu'ils faisaient partie des deux autres - voulait des initiés, et j'étais perçu à l'époque comme ayant le potentiel d'avancer. Bien sûr, de temps à autre, je recevais une invitation, un cadeau inattendu, une forte suggestion que X pourrait être un bon choix pour avancer. Des années plus tard, j'ai lu quelque chose à propos de l'un d'entre eux, un gentiluomo di Sua Santità, trouvé attaché, la tête défoncée et une vidéo porno homosexuelle dans le magnétoscope. Je l'avais rencontré à l'Université du Latran, où, pour une raison quelconque, il suivait des cours avec les séminaristes. Mon "gaydar" est fort, donc ce type n'est pas allé loin avec moi. Mais certains de mes camarades de classe.......
En tant que prêtre, j'ai vite compris que si vous étiez du mauvais côté, vous seriez plus ou moins subtilement la cible de persécution, bien sûr, mais aussi de compromis, que ce soit homosexuel, hétérosexuel, pour l'argent, les drogues, l'ambition, bref, quelle que soit votre faiblesse. On vous tendrait des pièges.
Si vous y pensez, si vous essayez de penser comme l'ennemi, n'est-ce pas logique ? Si vous ne parvenez pas à convaincre quelqu'un de vous rejoindre dans votre fumier, mais que vous soupçonnez qu'il est sur la même longueur d'ondes, vous essayez d'obtenir quelque chose sur lui. Il y a plusieurs années, une femme m'a parlé d'une réunion d'une organisation féministe pro-choix ou autre, à laquelle elle était allée. Elle a dit que l'une des choses dont ils ont parlé, après la partie plus publique de la réunion, c'était de déterminer laquelle d'entre elles pourrait séduire des prêtres du diocèse qui prêchaient ouvertement contre la contraception et l'avortement. L'une d'entre elles le ferait ou bien ils pourraient embaucher des prostituées et tendre des pièges.
C'est de l'espionnage classique, vraiment. Compromettre la personne pour la faire taire.
Le problème est que la plupart des prêtres sont des hommes compatissants qui, face à une femme en détresse, pourraient abaisser leur garde. Regardons les choses en face. Les femmes, qui sont branchées d'une certaine façon, pensent différemment des hommes. Elles peuvent littéralement enrouler les mecs autour de leur tube de rouge à lèvres s'ils ne sont pas méfiants, et les hommes ne le sont souvent pas assez. Quelques larmes et une dose de GBH [grievous bodily harm - coups et blessures] peuvent faire des merveilles sur la naïveté. Cette technique s'applique aussi aux prédateurs "gay". C'est une des raisons pour lesquelles je pense que les prédateurs homosexuels des jeunes hommes pensent différemment, indépendamment de l'aide des démons qu'ils ont dans leur tête.
Et puis, en tant que prêtre, il y a les voies vraiment sacrilèges que certains de ces agents de l'Enfer utiliseront pour faire taire les prêtres qui ne veulent pas et ne voudrons pas se faire sodomiser [l'expression utilisée en anglais est plus crue, "putt from the ruff"]. Ils utilisent le secret du confessionnal contre le solide confesseur non-gay. Ils vont se confesser à un bon confesseur pour le lier par le secret de la confession. Bien sûr, c'est assez sournois, satanique même. C'est un horrible sacrilège. Beaucoup de bons prêtres savent que s'ils entendent quelque chose dans le confessionnal, ils ne doivent jamais en parler. Ils ne savent pas quoi faire et, par prudence, ils se taisent au sujet de leurs frères. C'est une des raisons pour lesquelles la loi de l'Église décourage un supérieur d'entendre les confessions de ceux qui sont sous son autorité.
Je connais des types qui n'en pouvaient plus et qui ont démissionné. Il y a eu des moments où j'y ai pensé moi-même. Mais après, ma froide fureur prussienne et mon entêtement ont pris feu et, j'en suis sûr, la grâce d'en sortir pour tout ce que je suis destiné à faire ou à endurer.
Source : benoit-et-moi.fr/…/scandales-sexue…
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>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : si François l'est, concluez
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Scandales sexuels dans l’Église
Le très dur témoignage (de première main!) de Father Z
("Benoît-et-moi", le 20/8/2018)
L'influent blogueur américain dit avoir hésité avant de le publier, et j'ai moi-même hésité avant de le traduire. Il est exprimé en termes volontairement crûs, et tel quel, cela lui confère une grande force. Le lecteur est prévenu.
Il va sans dire que, selon la formule consacrée, son contenu n'engage que son auteur.
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Où Father Z offre l'un des commentaires les plus durs qu'il ait jamais écrits
Père John Zuhlsdorf
wdtprs.com/…/wherein-fr-z-of…
17 août 2018
Ma traduction
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Cet avant-propos a été écrit après que j'ai écrit le reste, comme le sont habituellement les avant-propos. C'est l'un des messages les plus durs que j'ai jamais écrits. C'était physiquement difficile à formuler, et j'ai dû m'arrêter plusieurs fois et faire quelques pas avant de reprendre l'épée. Je suppose que je vais hésiter plusieurs fois et prier un peu avant d'appuyer sur le bouton PUBLIER.
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Un de nos commentaires, sous un autre post, mentionne le site web d'un prêtre, le Père Edwin Palka, qui explique pourquoi certains prêtres n'ont pas dénoncé les prêtres homosexuels et les prêtres prédateurs homosexuels. Franchement, son post m'a mis de l'acier dans les doigts.
Les prêtres peuvent donner des exemples décourageants à leurs frères. Ils peuvent aussi donner le bon exemple en matière d'encouragement.
Ce qu'il a écrit est effroyable. C'est également vrai. Il ouvre la poubelle pour laisser entrer un peu de soleil purifiant. Je ferai de même, et dans la même veine.
Mes amis, je sais que vous êtes vraiment en colère. La profondeur de la laideur que vous voyez dans les nouvelles n'est de loin pas aussi profonde que la laideur que voient certains prêtres. Vous êtes sûrement et à juste titre en colère. Pensez-vous que nous, prêtres, nous ne le sommes pas ?
Je dois me souvenir que lorsque Notre Seigneur a maudit le figuier avant Sa Passion (Luc 13:6-9), ce n'était pas le modèle que nous, prêtres, nous devrions utiliser lorsqu'il s'agit de prêtres prédateurs homosexuels.
Et soyons clairs. Ce scandale concerne l'HOMOSEXUALITÉ.
Je crois que certains de ces prédateurs homosexuels sont possédés. Réfléchissez-y. Si vous vous y connaissez un peu en activité démoniaque - une chose dans laquelle les laïcs ne devraient pas trop s'impliquer -, alors vous savez que certains démons se spécialisent dans certains types de péchés. Ils s'attacheront comme des lamproies spirituelles aux âmes des gens qui les commettent et aussi aux lieux où les péchés ont été commis. Une fois qu'un démon s'accroche, ils [les autres] revendiquent le droit d'être là, jusqu'à ce que les couches de leur connexion soient anéanties une par une. C'est ce que font les rites d'exorcisme : ils anéantissent les prétentions légalistes de l'Ennemi à être là.
Les péchés homosexuels sont particulièrement graves et leur force démoniaque est en même temps infâme. Et ces péchés impliquent aussi les jeunes ou ceux qui sont soumis à l'autorité ou au pouvoir du prédateur. Les meules ne suffisent pas [allusion à Mat 18:6] . Si vous vous interrogez sur le Seigneur et la peine capitale, IL a parlé de la meule avant que l'Église ne le fasse.
C'est le côté surnaturel. Il y a aussi le côté naturel. Il me semble que les hommes ayant ces puissantes inclinations désordonnées ne savent pas... comment dire les choses... agir comme les autres hommes. Ils pensent différemment. Je sais, je sais. Mais c'est mon sentiment. C'est difficile à formuler.
Pour expliquer un autre aspect, j'ai quelques anecdotes.
Tout d'abord, quand j'étais séminariste, je me souviens que le curé de ma paroisse nous a dit à nous, les jeunes, de ne pas écrire notre nom dans nos bréviaires ou dans nos livres de prières. Il nous a expliqué que si nous perdions le livre, quelqu'un pourrait prétendre qu'on l'avait retrouvé dans une "maison de tolérance". Certains ont trouvé cela drôle. Pas moi. Mes parents étaient flics. J'ai grandi en entendant et en voyant des photos des plus horribles circonstances humaines imaginables. J'ai pensé "chantage" et "compromis"... arrière. De plus, si vous parlez à des flics qui travaillent depuis un certain temps, ils vous confirmeront que la "violence" masculine est l'une des pires qu'ils voient. Demandez à un flic, si vous en connaissez un suffisamment. Demandez aux médecins et aux infirmières des urgences ce qu'ils voient entrer et comment cela a été infligé. J'ai une petite anecdote pour vous: en italien, un terme péjoratif pour désigner un homme homosexuel est "froccio", qui vient étymologiquement du latin ferox, "sauvage". Sont-ils tous comme cela? Non. Bien sûr que non. Mais cela ne veut pas dire que ceux qui le sont n'existent pas.
Par la suite, toujours quand j'étais séminariste, un jour, au petit déjeuner, un évêque auxiliaire de cette époque m'a dit que lorsqu'il rendait compte de quelque chose à l'archevêque, il était interrompu: "Si je sais, je devrais peut-être faire quelque chose!" Alors l'auxiliaire m'a dit : "Souviens-toi, John, il y a des vieilles femmes des deux sexes." Cela devait se confirmer à de multiples reprises au cours des années suivantes. Quand je suis allé chez le recteur du séminaire pour me plaindre des choses que j'entendais à travers les murs, leur façon de me traiter n'a fait qu'empirer et j'ai été mis à la porte la deuxième fois. C'est comme cela que je suis arrivé à Rome.
A Rome, parce que j'étais dans la position inhabituelle de travailler à la Curie tout en étant au séminaire, à cause de ma jeunesse, etc., j'ai été subtilement averti de certaines personnes bien placées qui offriraient ceci ou cela, ouvrant telle porte, invitant dans tel cercle, pour grimper plus vite, pour obtenir des faveurs, etc. On me mettait en garde, principalement, contre deux groupes, la mafia et les homosexuels. Les deux groupes - avec les francs-maçons, mais je pense qu'ils faisaient partie des deux autres - voulait des initiés, et j'étais perçu à l'époque comme ayant le potentiel d'avancer. Bien sûr, de temps à autre, je recevais une invitation, un cadeau inattendu, une forte suggestion que X pourrait être un bon choix pour avancer. Des années plus tard, j'ai lu quelque chose à propos de l'un d'entre eux, un gentiluomo di Sua Santità, trouvé attaché, la tête défoncée et une vidéo porno homosexuelle dans le magnétoscope. Je l'avais rencontré à l'Université du Latran, où, pour une raison quelconque, il suivait des cours avec les séminaristes. Mon "gaydar" est fort, donc ce type n'est pas allé loin avec moi. Mais certains de mes camarades de classe.......
En tant que prêtre, j'ai vite compris que si vous étiez du mauvais côté, vous seriez plus ou moins subtilement la cible de persécution, bien sûr, mais aussi de compromis, que ce soit homosexuel, hétérosexuel, pour l'argent, les drogues, l'ambition, bref, quelle que soit votre faiblesse. On vous tendrait des pièges.
Si vous y pensez, si vous essayez de penser comme l'ennemi, n'est-ce pas logique ? Si vous ne parvenez pas à convaincre quelqu'un de vous rejoindre dans votre fumier, mais que vous soupçonnez qu'il est sur la même longueur d'ondes, vous essayez d'obtenir quelque chose sur lui. Il y a plusieurs années, une femme m'a parlé d'une réunion d'une organisation féministe pro-choix ou autre, à laquelle elle était allée. Elle a dit que l'une des choses dont ils ont parlé, après la partie plus publique de la réunion, c'était de déterminer laquelle d'entre elles pourrait séduire des prêtres du diocèse qui prêchaient ouvertement contre la contraception et l'avortement. L'une d'entre elles le ferait ou bien ils pourraient embaucher des prostituées et tendre des pièges.
C'est de l'espionnage classique, vraiment. Compromettre la personne pour la faire taire.
Le problème est que la plupart des prêtres sont des hommes compatissants qui, face à une femme en détresse, pourraient abaisser leur garde. Regardons les choses en face. Les femmes, qui sont branchées d'une certaine façon, pensent différemment des hommes. Elles peuvent littéralement enrouler les mecs autour de leur tube de rouge à lèvres s'ils ne sont pas méfiants, et les hommes ne le sont souvent pas assez. Quelques larmes et une dose de GBH [grievous bodily harm - coups et blessures] peuvent faire des merveilles sur la naïveté. Cette technique s'applique aussi aux prédateurs "gay". C'est une des raisons pour lesquelles je pense que les prédateurs homosexuels des jeunes hommes pensent différemment, indépendamment de l'aide des démons qu'ils ont dans leur tête.
Et puis, en tant que prêtre, il y a les voies vraiment sacrilèges que certains de ces agents de l'Enfer utiliseront pour faire taire les prêtres qui ne veulent pas et ne voudrons pas se faire sodomiser [l'expression utilisée en anglais est plus crue, "putt from the ruff"]. Ils utilisent le secret du confessionnal contre le solide confesseur non-gay. Ils vont se confesser à un bon confesseur pour le lier par le secret de la confession. Bien sûr, c'est assez sournois, satanique même. C'est un horrible sacrilège. Beaucoup de bons prêtres savent que s'ils entendent quelque chose dans le confessionnal, ils ne doivent jamais en parler. Ils ne savent pas quoi faire et, par prudence, ils se taisent au sujet de leurs frères. C'est une des raisons pour lesquelles la loi de l'Église décourage un supérieur d'entendre les confessions de ceux qui sont sous son autorité.
Je connais des types qui n'en pouvaient plus et qui ont démissionné. Il y a eu des moments où j'y ai pensé moi-même. Mais après, ma froide fureur prussienne et mon entêtement ont pris feu et, j'en suis sûr, la grâce d'en sortir pour tout ce que je suis destiné à faire ou à endurer.
Source : benoit-et-moi.fr/…/scandales-sexue…
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