Ne reconnaît-on pas l'arbre à son fruit ? Voilà tout Vatican II !
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Dans le cadre de la « pastorale liturgique » post-conciliaire, les chiffres de la fréquentation des messes dominicales et des ordinations sacerdotales amènent quelques rares évêques à délivrer un message dont l’effet ventilateur est garanti.
« La situation actuelle nous interpelle » disait, il y a plusieurs années déjà, un pasteur mitré. Authentique trou noir de la réflexion, ce propos fut alors salué par quelques anesthésistes de la pensée : « Ah oui, ces chiffres ne sont pas bons... » dit aujourd’hui un vicaire épiscopal en prenant le bel air grave qui sied à celui qui découvre la situation.
Mais gardons-nous de toute inquiétude : dans leurs bureaux encombrés de plans efficaces, de projets géniaux et de topos raisonnés, nos pasteurs ne nous feront pas de déprime ; il ont déjà réfléchi à la façon de gérer la situation efficacement :
organiser un synode diocésain avec recommandations, appels, banderoles, lâchers de ballons, flash mob... Bref, tout ce qui permettra de redresser la situation dans les meilleurs délais. Et en guise de charte finale, les participants à cette « fête diocésaine » recevront un badge à épingler sur un foulard aux couleurs arc-en-ciel d’une gaypride et sur lequel sera inscrit le slogan approuvé par l’ensemble des participants : « Pour une Église vivante qui appelle ».
Dans nos diocèse comme dans nos paroisses, il est de bon ton de savoir brasser de l’air dans l’indifférence générale des fidèles qui attendent autre chose de l’Église que du vent.
Source : www.proliturgia.org/actua.html
(Vendredi, 6 juillet 2018)
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Album ACTU
>>> Le CAS d'un PAPE HÉRÉTIQUE : si François l'est, concluez
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Dans le cadre de la « pastorale liturgique » post-conciliaire, les chiffres de la fréquentation des messes dominicales et des ordinations sacerdotales amènent quelques rares évêques à délivrer un message dont l’effet ventilateur est garanti.
« La situation actuelle nous interpelle » disait, il y a plusieurs années déjà, un pasteur mitré. Authentique trou noir de la réflexion, ce propos fut alors salué par quelques anesthésistes de la pensée : « Ah oui, ces chiffres ne sont pas bons... » dit aujourd’hui un vicaire épiscopal en prenant le bel air grave qui sied à celui qui découvre la situation.
Mais gardons-nous de toute inquiétude : dans leurs bureaux encombrés de plans efficaces, de projets géniaux et de topos raisonnés, nos pasteurs ne nous feront pas de déprime ; il ont déjà réfléchi à la façon de gérer la situation efficacement :
organiser un synode diocésain avec recommandations, appels, banderoles, lâchers de ballons, flash mob... Bref, tout ce qui permettra de redresser la situation dans les meilleurs délais. Et en guise de charte finale, les participants à cette « fête diocésaine » recevront un badge à épingler sur un foulard aux couleurs arc-en-ciel d’une gaypride et sur lequel sera inscrit le slogan approuvé par l’ensemble des participants : « Pour une Église vivante qui appelle ».
Dans nos diocèse comme dans nos paroisses, il est de bon ton de savoir brasser de l’air dans l’indifférence générale des fidèles qui attendent autre chose de l’Église que du vent.
Source : www.proliturgia.org/actua.html
(Vendredi, 6 juillet 2018)
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