News au 10 mars 2020

CORONAVIRUS :
l'ÉPIDÉMIE, une MISÉRICORDE DIVINE
(et autres considérations
après l'interdiction des messes publiques à Rome)

Jusqu’au 3 avril prochain – et il faut espérer que ce ne soit pas seulement une date provisoire – toutes les messes publiques et tous les offices religieux publics ont été interdits à Rome, au cœur de la chrétienté. Les restaurants, bars et commerces restent ouverts. C’est inouï. Effroyable. Signe d’une soumission terrible de l’Église à l’État. Croient-il encore en la force de la prière ?

La grande peur du Coronavirus a ainsi obtenu ce que des siècles de persécutions, des épisodes de grande peste, d’hostilité laïciste à la religion catholique et autres catastrophes naturelles ou non, n’avaient réussi à imposer : l’impossibilité pour le laïc d’assister au sacrifice qui sauve le monde et ouvre les portes du ciel aux hommes qui obtiennent et acceptent la miséricorde de Dieu.

Cette grande peur se comprend peut-être face au taux d’hospitalisation et de soins de réanimation que nécessitent les malades du COVID-19. Mais cela va de pair avec une incohérence manifeste. La quarantaine est loin d’être complète. Et puis : si au lieu d’interdire les messes, on les multipliait ? Les prêtres ne manquent pas à Rome. Cela permettrait une moins forte densité de l’assistance, réduisant ainsi les risques de contagion.

Mais non. Tout est interdit. Y compris les funérailles – et ainsi, les morts de Rome seront mis en terre pendant ce mois de carême sans le secours des suffrages publics de leurs proches.

Suffrage publics : parlons-en. Le cardinal Angelo De Donatis, vicaire général pour le diocèse de Rome, a appelé à une journée de jeûne et de prière dans la Ville éternelle le 11 mars, pour « invoquer l’aide de Dieu pour Rome, pour l’Italie et pour le monde ». « Nous prierons pour tous les contaminés et ceux qui prennent soin d’eux, ainsi que pour nos communautés, car elles sont témoignages de foi et d’espérance en cette période », a-t-il écrit dans sa lettre aux fidèles vendredi dernier.

Il n’est pas question de prier pour la fin de l’épidémie. Nous sommes aujourd’hui des chrétiens adultes, n’est-ce pas, qui n'implorons plus le secours de Dieu face aux malheurs du temps. La science et la technique s’en chargent.

Il n’est même pas question de prier pour le repos de l’âme de ceux qui meurent – du Coronavirus ou d’autre chose d’ailleurs.

Il n’est surtout pas question de rappeler que les épidémies en tant que telles ont toujours été considérées par l’Église comme la punition du mal que fait l’homme : non pas la punition directe de tel ou tel malfaiteur, cela va de soi, mais la conséquence du bouleversement de l’ordre de la Création par les fautes commises par l’humanité. La mort n’est-elle pas la sanction du péché originel ? La maladie aussi. Et la souffrance qu’elle entraîne peut devenir féconde dès lors qu’elle est associée à la plus épouvantable et la plus injuste des souffrances, celle du Christ sur la croix.

Qui osera le dire ? Les épidémies sont des miséricordes divines : elles rappellent à l’homme la fragilité de sa condition, sa nature de passager sur cette terre, la possibilité que la mort puisse frapper n’importe qui, n’importe quand, au hasard d’une poignée de mains (ou d’un accident, ou d’une maladie ignorée), alors qu’on avait prévu de vivre et de faire tant de choses encore.

Ce sont des miséricordes divines, car elles sont occasion de charité : celle des soignants ; celle des « médecins spirituels » que sont les prêtres et des religieux accompagnant héroïquement lépreux ou pestiférés tout au long des siècles ; celle des proches qui prenant toutes les précautions nécessaires se rendent disponibles pour les malades.

Ce sont des miséricordes divines, parce qu’elles rappellent à chacun la réalité et la proximité des fins dernières. Suis-je prêt, prête pour mourir ? Quand donc nos bons évêques publieront-ils des communiqués pour rappeler aux populations des nations postchrétiennes, mais où restent des souvenirs du ciel et de l’enfer, et peut-être même du purgatoire, que l’important de la vie est de se préparer à bien mourir, et non d’abord de vivre en bonne santé ?

Ce sont des miséricordes divines, enfin, lorsqu’après avoir permis ces maux, à travers elles, Dieu fait montre de sa grande sollicitude pour les hommes, en répondant à leurs supplications et en faisant cesser ces plaies qui frappent notre vie ici-bas – non seulement par la maladie et la mort, mais par le bouleversement de la vie paisible et du bon ordre économique qui, dans l’exacte mesure où il favorise une vie juste et conforme au bien, peut et doit être recherché.

« Écoute moi et comprends bien, toi, le plus petit de mes fils, rien ne doit effrayer ou de peiner.

Que ton cœur ne soit pas troublé. N’ai pas peur de cette maladie, ni d’aucune autre maladie ou angoisse.

Ne suis-je pas là, moi qui suis ta Mère ?

N’es-tu pas sous ma protection ?

Ne suis-je pas ta santé ?

Ne reposes tu pas heureux en mon sein ? Que désires-tu de plus ? Ne sois pas malheureux ni troublé par quoi que ce soit. »

(Paroles de Notre Dame de Guadalupe à son petit Juantzin , saint Juan Diego)

[En ce 10 mars 2020, toute l'Italie est sous cloche ! Il ne reste plus à l'Antéchrist qu'à mettre le monde entier en résidence surveillé, et toutes les cloches des églises se tairont !!! Où allons-nous ???]

LINZ :
le FÉMINISME ANTI-CATHOLIQUE
dans l’ÉGLISE du PÉLERINAGE
(+ vidéo allemande)

Waltraud Stockinger, qui vient de Linz et se fait appeler Valie Export, va redessiner l'orgue de l'église du pèlerinage du Pöstlingberg pour le diocèse de Linz. Export est synonyme de féminisme radical, d'avortement et d'homosexualisme. En 1969, elle expose sa honte en marchant dans les rangées d'un cinéma avec un pantalon sans entrejambe et en l'appelant le « pantalon d'action la panique génitale ». En 1985, elle a réalisé le long métrage "La pratique de l'amour" et a tenté de lever le « tabou de l'homosexualité ». La semaine dernière, Hubert Nitsch, le consultant en art du diocèse de Linz, a expliqué à l'ORF (Société autrichienne de radiodiffusion), à propos de l'arrêt des exportations, que le diocèse essayait de mettre en place des contrepoints dans les églises historiques par le biais de l'art contemporain.

En juin 2018, le pasteur de l'université luthérienne Gerda Pfandl a fait ses adieux à la communauté universitaire luthérienne de Vienne. Le prêtre catholique Gregor Jansen, qui était présent, portait un corsage homosexuel. Il montre un couple de lesbiennes, un couple normal et un couple de gays avec l'inscription "Love = Love". Jansen a un doctorat en théologie morale. Il a été aumônier des jeunes pendant neuf ans et un pilier des scandaleuses foires disco viennoises. Depuis des années, il promeut l'homosexualité pratique. En juin 2019, il a participé à la "Prière de la fierté", un événement œcuménique organisé dans la Michaelskirche catholique à l'occasion du défilé arc-en-ciel de Vienne. La "Prière de la fierté" était ouverte à tous - je cite : « peu importe qui ils aiment, quelle confession ils ont, de quel genre ils sont ou ne sont pas ».

[Nous râclons le fond de la fosse à purin !!!]

en.news 10 mars 2020

Quel est le véritable problème du coronavirus ? par le Dr Geoffrey Brushwood

La propagation du coronavirus se limite aux gouttelettes et aux liquides respiratoires.

La propagation et la virulence d'un virus sont classées selon un indice appelé R0.

Il décrit le nombre d'individus que chaque porteur peut infecter. Le coronavirus a un numéro R0 de 2,4 (certains veulent le faire passer à 7).

Pour donner une certaine proportionnalité, le virus de la rougeole a un R0 de 18.

Le taux de mortalité de la rougeole est actuellement de 0,2 %, mais il existe de nombreuses autres complications graves, telles que les crises d'épilepsie (0,6 à 0,7 %) qui peuvent provoquer des dommages neurologiques importants ou la mort par elles-mêmes, et l'encéphalite (gonflement du cerveau) dans 0,1 % des cas.

Plus de 30 % des patients atteints de rougeole développent plus d'une complication

Complications de la rougeole
Diarrhée 8
Otite moyenne 7
Pneumonie 6
Encéphalite 0,1
Saisies 0,6-0,7

Comparez cela avec le taux de mortalité actuel du coronavirus en Chine. Dans toute la Chine, comme à Wuhan au départ, il était de 4 % et est maintenant tombé à moins de 2 %, ramené au fil du temps à 0,7 %.

À mon avis, il y a beaucoup de craintes inutiles et de prévisions catastrophiques concernant le coronavirus, autant que la politique climatique du Brexit ou de Donald Trump.

Cependant, nous sommes confrontés à un nouveau virus contre lequel nos sociétés n'ont pas une immunité de base.

Par conséquent, sans contre-mesures, beaucoup plus de personnes tomberont malades pendant la première, la deuxième et la troisième vague d'une attaque de ce nouveau virus que pendant une saison de grippe normale.

Le problème est le suivant : les hôpitaux seront débordés et le système de soins de santé s'effondrera, comme ce fut le cas à Wuhan, en Chine.

Un système de santé submergé par les cas de coronavirus ne peut plus non plus prendre en charge les cas ordinaires.

Les personnes souffrant d'une crise cardiaque aiguë, de problèmes de diabète ou les enfants qui sont tombés d'une bicyclette constateront que les hôpitaux sont pleins et ne peuvent pas les soigner.

[Excellente réflexion sur la psychose voulue du virus-couronné-programmé !
Je signale un autre virus, destructeur de https://gloria.tv/Gloria.TV%20News que vous pouvez admirer ici : https://gloria.tv/W%20obronie%20Tradycji%20Ko%C5%9Bcio%C5%82a . Je l'ai signalé à la Direction ( https://gloria.tv/Don%20Reto%20Nay ) mais rien n'y fait. Que Gloria.TV s'attende donc à d'autres attaques pires que celle du 7 mars dernier, car ce virus-là travaille à la destruction complète de https://gloria.tv/Gloria.tv%20Nachrichten , et c'est d'autant plus facile pour lui que la Direction ne me croit pas malgré les preuves fournies. Donc, il peut y aller en coulant toutes les contributions anti-Bergoglio, et Gloria.TV aura vécu. Préparez donc un cercueil pour Gloria.TV !]

fr.news  10 mars 2020

Surprise agréable : François recycle un évêque refusé

François a nommé l'évêque Peter Okpaleke, 57 ans, au diocèse d'Ekwulobia, au Nigeria, nouvellement créé.

Okpaleke a démissionné du diocèse d'Ahiara en février 2018, où il a été refusé parce qu'il n'était pas de là-bas.

L'évêque Paulinus Ezeokafor d'Awka, d'où le nouveau diocèse a été détaché, a qualifié cette nomination de « surprise agréable », écrit PmNewsNigeria.com (5 mars).

Pendant longtemps, il avait demandé à François de nouveaux diocèses, mais sa demande a été rejetée. Maintenant, il ressent « un grand soulagement ».

[N'oublions pas que l'Antéchrist se qualifie lui-même de « Dieu des surprises », avec tout ce que cela sous-entend !!!]

fr.news  10 mars 2020

Après la visite de Benoît XVI à Valence : Un cardinal et quatre évêques convoqués au tribunal

24 hommes d'affaires et hommes politiques espagnols sont accusés de détournement de fonds, de fraude fiscale, de corruption, de blanchiment d'argent et d'autres délits.

Ils ont participé à l'organisation de la cinquième rencontre mondiale des familles à Valence en juillet 2006, à laquelle Benoît XVI a pris part.

L'argent volé, plus de 3 millions d'euros, provenait de fonds publics. Les principaux coupables pourraient se retrouver en prison pendant plus de quarante ans.

L'ancien nonce en Espagne, le cardinal Monteiro, deux auxiliaires de Valence, et un de Tortose et Lerida, ont été convoqués parmi 124 témoins.

[Comme la corruption est partout aujourd'hui, il n'y a pas lieu de s'en scandaliser.]

fr.news  10 mars 2020

Un cardinal appelle à la dissolution d'un autre groupe catholique

Le cardinal Pedro Barreto de Huancayo, au Pérou, veut dissoudre le Sodalitium Christianae Vitae.

Avec d'autres évêques, il a proposé au Vatican de transférer ses membres vers d'autres communautés, a déclaré Barreto à RadioSantaRosa.com.pe.

Le Sodalitium international est composé de laïcs consacrés et de prêtres. Il a été fondé en 1971 au Pérou et approuvé par Jean-Paul II en 1997.

Le cardinal Bergoglio l'a invité en 2004 à Buenos Aires.

En 2017, le Vatican a révoqué le fondateur, Luis Fernando Figari. Il est accusé de violences psychologiques et homosexuelles.

En 2018, François avait nommé le cardinal Joseph Tobin de Newark, pro-homosexuel, comme délégué papal au Sodalitium.


[Une affaire interne à la conciliaire comme tant d'autres !!!]

fr.news  10 mars 2020

François présente la liturgie du costume et de la cravate

La photo a été prise lors d'une eucharistie présidée par François dans la chapelle de l'hôtel Santa Marta, au Vatican.


[Rien de nouveau : depuis 7 ans c'est ainsi. La seule nouveauté, c'est qu'à cause du virus-couronné, les messes étant supprimées dans toute l'Italie, Mr l'Antéchrist diffuse la sienne, seule et unique, en streaming depuis hier, et en intégralité : c'est le dieu-couronné !]