Retour en arrière ? Le vieux François méprise les jeunes prêtres fidèles

Il a déclaré aux jésuites slovaques le 13 septembre que le "retour en arrière" est une "idéologie qui colonise les esprits" - quoi que cela veuille dire (transcription : LaCiviltaCattolica.com, 21 septembre).
Hanté par sa haine de la messe tridentine et sans qu'on le lui demande, François a parlé de Traditionis Custodes : "J'espère qu'avec la décision de mettre fin à l'automatisme de l'ancien rite, nous pourrons revenir aux véritables intentions de Benoît XVI et de Jean-Paul II" - suggérant que l'annulation de l'intention de Benoît XVI était dans l'intention de Benoît XVI, comprenne qui pourra.
François s'est plaint que les jeunes prêtres, après un mois d'ordination, demandent la messe tridentine à leurs évêques et a qualifié cela de "retour en arrière" - alors qu'en réalité, célébrer la messe de tous les âges est un énorme pas en avant pour sortir du désordre laissé par le Novus Ordo sécularisé et raté.
Il a répété l'histoire d'un cardinal qui a dit à deux prêtres nouvellement ordonnés qui lui demandaient la permission d'étudier le latin pour célébrer la messe tridentine, d'étudier plutôt l'espagnol ou le vietnamien, pour servir les communautés locales. Or, la messe en latin sert toutes les nations et toutes les langues, contrairement au Novus Ordo vernaculaire.
Une fois de plus, François a trompé les fidèles en disant que l'idéologie du genre - qui est synonyme d'homosexualisme - était "abstraite" - quoi que cela veuille dire - et "dangereuse" mais n'avait "rien à voir avec l'homosexualisme".
À propos des personnes qui le regardent avec suspicion, François a déclaré qu'il existe une grande chaîne de télévision catholique qui n'hésite pas à dire continuellement du mal du pape : "Je mérite personnellement des attaques et des insultes parce que je suis un pécheur, mais l'Église ne les mérite pas." Il a clairement indiqué qu'il était incapable d'accepter les critiques et d'en tirer des leçons, aussi s'en est-il pris aux clercs qui font des commentaires "méchants" à son sujet : "Je perds parfois patience, surtout lorsqu'ils portent des jugements sans entrer dans un véritable dialogue."
Mais le vrai problème du "dialogue", c'est François qui a admis que "je ne veux pas entrer dans leur monde d'idées" - c'est-à-dire dialoguer avec eux. "C'est pourquoi je préfère prêcher, prêcher..." La prédication est un monologue.
Image: Vatican Media, #newsOzpdwccart
